Reste toi-même


Pas facile de plaire à tout le monde, quoique l’on fasse, il aura toujours des gens mécontent qui trouveront à redire. Alors, mieux vaut faire continuer à vivre du mieux possible.
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Reste toi-même

 

Reste toi-même, de toute façon tu ne peux pas plaire à tout le monde et tu ne peux pas non plus t’adapter à chacun. Mais il y aura toujours des gens qui t’apprécieront  pour ce que tu es.

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Les chats et les chiens peuvent-ils être allergiques aux humains ?


A mon avis, les animaux domestiques devraient être allergiques aux humains méchants avec eux. Enfin bref, heureusement, il est quand même rare que les chiens et les chats puissent être allergiques aux humains, mais cela est possible.
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Les chats et les chiens peuvent-ils être allergiques aux humains ?

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

L’allergie aux chats, et parfois aux chiens, est un mal très courant chez les humains. Au moindre contact, les symptômes apparaissent : toux, démangeaisons, nez qui coule, yeux qui deviennent rouges… Et contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les poils de chat qui provoquent les allergies, mais leur salive.

En faisant leur toilette, ils déposent leur salive sur leurs poils qui se répandent ensuite partout dans la maison. Mais après tout, pourquoi les chats et les chiens ne pourraient-ils pas aussi être allergiques aux humains ?

Oui, les animaux peuvent être allergiques aux humains

Cela est plutôt rare, mais c’est tout à fait possible, et autant chez les chats que chez les chiens. En effet, ils seraient 0,5 % chez nos amis félins à être allergiques aux humains. Le plus souvent, les allergies des animaux sont provoquées par des produits chimiques présents sur le corps humain, comme les parfums, la fumée de cigarette, les crèmes ou les produits nettoyants.

Mais il arrive aussi parfois que l’allergie se déclare à cause des squames de la peau et des cheveux des humains. Les squames sont de fines lamelles de peau qui se détachent de l’épiderme et dont leur inhalation peut provoquer des allergies chez les animaux. Des pellicules, en quelque sorte, qui ont le même effet sur eux que leurs poils sur nous.

chien husky bisou femme maître câlin

Crédits : iStock

Les symptômes d’une allergie chez le chat ou le chien

Si votre chat ou votre chien est allergique à vous ou à autre chose, vous le saurez immédiatement. En effet, l’animal aura tendance à se gratter excessivement, à éternuer et à avoir le nez qui coule. Les félins pourront également perdre des poils en masse autour du cou et de la tête, voire avoir des crises d’asthme.

Dans tous les cas, si vous remarquez un comportement anormal chez votre boule de poils, n’hésitez pas à l’emmener chez le vétérinaire. S’il s’agit bien d’une allergie, des traitements existent.

https://animalaxy.fr/

Un Tchèque est tué par un lion qu’il élevait sans autorisation


C’est malheureux pour la famille de la victime qui a été attaquer par un lion. Cependant, un animal sauvage ne pas vivre domestiqué. Un jour ou l’autre, son instinct prend le dessus. Comme de raison, le lion instinct ou pas, il a été tué ainsi que la lionne qui vivait avec lui. C’est de la pure injustice.
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Un Tchèque est tué par un lion qu’il élevait sans autorisation

 

Un Tchèque est tué par un lion qu’il élevait sans autorisation

Photo: iStock

Un Tchèque, qui élevait deux lions sans autorisation, a été attaqué et tué mardi matin par l’un d’entre eux, un mâle de neuf ans, à Zdechov, un village de l’est de la République tchèque, a annoncé la police.

«Je peux confirmer la mort de l’éleveur», a déclaré à l’AFP la porte-parole de la police régionale, Lenka Javorkova.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’accident.

La victime, un homme de 34 ans, gardait les deux félins, le mâle et une femelle de deux ans, sans autorisation des services vétérinaires locaux, dans un enclos bâti sans permis de construction.

«La police a été obligée de tuer les deux lions par balles», a expliqué la porte-parole.

La police avait été alertée par le père de la victime, qui a vu vers 07H00 locales (06H00 GMT) sur une caméra de surveillance le corps de son fils gisant à l’intérieur de l’enclos.

Un médecin dépêché sur les lieux «a constaté la mort du propriétaire» des deux fauves, selon la porte-parole de la police.

«Aucun des deux animaux ne s’est retrouvé hors de l’enclos à la suite de l’accident, il n’y a pas de danger pour la population», a assuré Mme Javorkova.

L’homme élevait le mâle depuis 2016 et la femelle depuis l’année dernière. La présence des deux animaux suscitait une vive inquiétude à Zdechov, un village d’environ 600 habitants.

En juin dernier, la lionne promenée en laisse par son propriétaire à l’extérieur de l’enclos avait attaqué et blessé un cycliste.

https://journalmetro.com/

L’ancre d’un navire a coulé en 1641 avec 45 tonnes d’or aurait été retrou­vée


Le Merchand Royal qui a fait naufrage en 1641. Son ancre a été trouvé et son trésor pourrait provoquer la fière de l’or et des plongeurs pourraient essayer en catimini, d’atteindre les richesses englouties par la mer.
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L’ancre d’un navire qui a coulé en 1641 avec 45 tonnes d’or aurait été retrou­vée

 

Le Merchant Royal avant son naufrage

par  Laura Boudoux

Serait-ce le début de la fortune ? Au large des côtes britan­niques, une immense ancre de bateau a été retrou­vée par des pêcheurs fin février. Il pour­rait s’agir de celle de celui qu’on surnomme l’El Dorado des mers,

The Merchant Royal, un navire à l’aura mythique qui a coulé le 23 septembre 1641, empor­tant avec lui un trésor estimé à 45 tonnes d’or et 400 lingots d’argent mexi­cain, rapporte Corn­wall Live. La décou­verte devrait atti­rer de nombreux plon­geurs cher­cheurs d’or, si l’on en croit Mark Milburn, le direc­teur du club de plon­gée Atlan­tic Scuba.

Une chasse au trésor qui s’an­nonce compliquée, puisqu’il faudra d’après lui plon­ger à plus de 90 mètres pour trou­ver des restes du Merchant Royal. 

« Des gens vont rappliquer pour le trésor. Ma plus grande préoc­cu­pa­tion, ce sont les personnes qui comptent s’en empa­rer sans rien dire à personne. C’est une histoire bien connue, les gens savent qu’il est toujours là, dans les eaux profondes », explique Mark Milburn au média local I News.

Crédits : SWNS

« Une trou­vaille comme celle-là est exci­tante, nous savons que le navire trans­por­tait des millions de pièces d’or, qui vaudraient aujourd’­hui des milliards en monnaie actuelle », estime le plon­geur, qui compte lui-même tenter de retrou­ver le magot. « Nous devons attendre les bonnes condi­tions, car le site est exposé et il ne faut pas qu’il y ait de vent. C’est une plon­gée dange­reuse, il faut être un plon­geur tech­nique très expé­rimenté », conclut-il.

Sources : I News / Corn­wall Live

https://www.ulyces.co

Deuxième cas mondial de rémission d’un patient atteint du VIH


Je ne sais pas si un jour, les médecins pourront guérir tous les personnes atteint du VIH. Mais un autre cas de rémission vient d’être annoncé. C’est à Londres que cela se passe. Alors qu’il était atteint du VIH, il a subit une une greffe de la moelle osseuse a cause d’un cancer. Ce genre de traitement ne peut se faire à toutes les personnes atteintes, mais cela donne des pistes à suivre pour d’autres traitements plus prometteurs.
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Deuxième cas mondial de rémission d’un patient atteint du VIH

 

Le mot guérison revient sur les lèvres des spécialistes du sida. Aujourd'hui... (PHOTO JEWEL SAMAD, ARCHIVES AFP)

PHOTO JEWEL SAMAD, ARCHIVES AFP

 

MATHIEU PERREAULT
La Presse

Le mot guérison revient sur les lèvres des spécialistes du sida. Aujourd’hui dans une conférence à Seattle, des chercheurs européens vont dévoiler comment ils ont atteint avec une greffe de moelle osseuse la rémission chez un homme atteint du sida à Londres. Ce n’est que le deuxième cas au monde, après le « patient de Berlin » en 2007.

« On avait eu beaucoup d’attentes il y a dix ans, mais comme il n’y avait pas de percée, on avait recommencé à hésiter à parler de guérison, pour ne pas donner de faux espoirs aux patients », explique Jean-Pierre Routy, spécialiste du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) à l’Université McGill, qui assiste à la Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes à Seattle. « Les compagnies pharmaceutiques qui travaillaient sur la guérison avaient même cessé d’investir depuis deux ou trois ans. On ne parlait plus même plus de cure (guérison), on disait « c-word » (mot commençant par un c). Ce mardi va être une grande journée. »

Pour le moment, les patients atteints du VIH peuvent voir leur charge virale réduite à un point tel qu’ils ne sont plus contagieux lors de relations sexuelles, mais le virus reste caché et ne peut être éradiqué.

Comme le patient de Berlin, Timothy Ray Brown, un Américain toujours libéré du VIH, celui de Londres, dont l’identité n’a pas été révélée, a reçu une greffe pour traiter un cancer. Le greffon contenait des cellules ayant une mutation génétique rare, qui empêche l’infection au VIH, qui cause le sida. Le patient de Londres a eu un diagnostic de VIH en 2003, mais n’a commencé les traitements qu’en 2012, au même moment où il avait un diagnostic de cancer, dont le traitement a commencé en 2016, ont révélé les chercheurs du Collège impérial de Londres dans un communiqué accompagnant leur étude publiée aujourd’hui dans Nature.

« À cause de la toxicité, on ne peut pas généraliser les greffes de moelle osseuse comme traitement du VIH, dit le Dr Routy. Mais on peut travailler sur le récepteur impliqué dans cette mutation génétique, CCR5, pour le rendre moins susceptible au VIH. C’est une avenue prometteuse, mais c’est un récepteur qui est moins important dans le système immunitaire, alors le risque d’effets secondaires négatifs est peu élevé. »

Le Dr Routy pense notamment que la nouvelle technique de manipulation des gènes CRISPR pourrait être utile. Il cite le cas du médecin chinois qui a utilisé CRISPR pour rendre les embryons implantés chez une patiente résistants au VIH. La naissance de ces « jumelles CRISPR » l’automne dernier a causé un tollé international, puisque les lignes directrices actuelles interdisent une telle modification chez les bébés.

Pourrait-on carrément enlever le récepteur CCR5 dans toute une population ?

« Non, on rendrait la population plus susceptible à certaines méningites et maladies africaines rares, dit le Dr Routy. On veut simplement le rendre moins souple, parce que l’infection par le VIH implique des contorsions compliquées des deux copies du récepteur. »

Il existe une version très rare du VIH qui est capable d’infecter un patient ayant la mutation rare du CCR5, mais il n’y a eu que quelques cas dans le monde, selon le Dr Routy.

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Les canicules marines dévastent la faune et la situation devrait empirer


On sait que le réchauffement climatique fait des dégâts sur terre, on connait moins les effets dans les océans. Les canicules marines vont probablement faire disparaître les coraux, aussi a la flore marine dont dépende les animaux.
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Les canicules marines dévastent la faune et la situation devrait empirer

 

 

Tout sur les changements climatiques »

Agence France-Presse
Paris

Imperceptibles pour l’homme mais mortelles pour la vie océanique, les canicules marines ont déjà endommagé les écosystèmes du monde entier et devraient à l’avenir s’avérer encore plus destructrices, selon une étude publiée lundi. 

Depuis le milieu du XXe siècle, le nombre de jours de canicule marine a augmenté de plus de 50 %, constatent les auteurs de l’étude publiée dans la revue Nature Climate Change. Une canicule marine est définie par des températures qui restent proches pendant 5 jours des records enregistrés dans une zone donnée.

« À l’échelle mondiale, les vagues de chaleur marine deviennent de plus en plus fréquentes, et de plus en plus longues. Au cours de la dernière décennie, des événements records ont été observés dans la plupart des bassins océaniques », note Dan Smale, de la Marine Biological Association du Royaume-Uni.

« Tout comme les vagues de chaleur atmosphériques peuvent être fatales aux cultures, aux forêts et aux animaux, les canicules marines peuvent être dévastatrices pour les écosystèmes océaniques », explique à l’AFP Dan Smale.

Mais par rapport aux canicules atmosphériques (qui ont fait des dizaines de milliers de victimes depuis le début du siècle), les marines ont fait l’objet d’assez peu d’études scientifiques.

Les coraux sont les victimes par excellence de ces canicules en eau peu profonde et font face à un sombre avenir : même si l’humanité parvient à limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius-mission impossible, selon certains scientifiques-entre 70 % et 90 % des coraux sont voués à la disparition, selon un rapport du GIEC publiée en octobre.

Mais ils ne sont pas les seuls : la vague de chaleur de 2011 a tué de vastes étendues de prairies sous-marines et de forêts de varech, ainsi que les poissons et les ormeaux qui en dépendent.

En 2014, The Blob a réchauffé les eaux au large de la Californie de 6 °C pendant plus d’un an, provoquant la prolifération d’algues toxiques pour les crabes, les otaries, les baleines et les oiseaux marins…

L’intensification des canicules marines (en nombre et en puissance) a également un impact direct sur l’homme.

« Les espèces de poissons et de crustacés destinées à la consommation risquent d’être anéanties localement », s’alarme Dan Smale. De plus, « si les herbes marines et les mangroves sont touchées par des températures extrêmes, elles peuvent libérer le carbone qu’elles stockent » et augmenter le réchauffement climatique, ajoute le chercheur.

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Des plon­geurs découvrent les restes d’un pares­seux géant dans une grotte au Belize


Un paresseux de 10 mètre de long !! C’est vraiment grand à comparer aux paresseux d’aujourd’hui. Suite à sa découverte en 2014, les chercheurs croient qu’il pouvait s’adapter à des conditions difficiles pour se nourrir. Sa disparition ne serait pas du aux changements climatiques, mais plutôt par la chasse. C’était probablement le yéti à l’époque préhistorique 😉
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Des plon­geurs découvrent les restes d’un pares­seux géant dans une grotte au Belize

 

Crédits : Lucero/Valley of Peace Archaeo­logy

par  Laura Boudoux

 

Il y a 27 000 ans, les pares­seux n’étaient pas des petits mammi­fères se déplaçant d’arbre en arbre avec une infi­nie lenteur, mais des animaux géants pouvant mesu­rer jusqu’à six mètres.

Dans une grotte sous-marine, au Belize, des plon­geurs ont retrouvé les restes d’un de ces pares­seux préhis­to­riques, qui était proba­ble­ment plus lourd qu’un éléphant, rapporte Busi­ness Insi­der. C’est à 21 mètres sous la surface de l’eau que les plon­geurs ont décou­vert une dent de 10 centi­mètres, ainsi que des os de bras et de jambe.

Ces restes ont en fait été exca­vés en 2014, mais une nouvelle étude publiée dans Science Advances montre que ces pares­seux possé­daient en plus des facul­tés d’adap­ta­tion impres­sion­nantes. Après l’ana­lyse de la dent, les scien­ti­fiques ont en effet pu conclure que le mammi­fère géant chan­geait son régime alimen­taire en fonc­tion des saisons, ce qui lui a permis de survivre plus faci­le­ment et plus long­temps dans un envi­ron­ne­ment hostile.

Une adap­ta­bi­lité qui pousse les cher­cheurs à penser que l’ex­tinc­tion des pares­seux géants n’a pas été causée par un chan­ge­ment clima­tique brutal, mais par la chasse.

« L’un des facteurs poten­tiels de leur dispa­ri­tion est l’ar­ri­vée des humains, il y a entre 12 000 et 13 000 ans », date ainsi Lisa Lucero, l’au­teure prin­ci­pale de l’étude.

Les scien­ti­fiques devraient plon­ger de nouveau dans cette grotte sous-marine en 2019, pour exca­ver d’autres os et fossiles.

Source : Busi­ness Insi­der

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