L’écoute


Si Jules Renard était encore vivant aujourd’hui, il verrait que ces propos était beaucoup réaliste qu’hier. L’écoute existe que si on accepte avant tout de se taire.
Nuage

L’écoute

 

 

Aujourd’hui on ne sait plus parler, parce qu’on ne sait plus écouter.

Jules Renard

Des ados volent au secours d’un enfant de huit ans prêt à tomber d’un télésiège


Voilà des adolescents qui ont changer quelque chose dans la vie d’une famille. Un enfant de six ans dans une mauvaise posture a fait une chute de 6 mètres sans aucune blessure, grâce a un filet de sécurité improvisée par les ados.
Nuage

 

Des ados volent au secours d’un enfant de huit ans prêt à tomber d’un télésiège

 

Jeanne Poma.

Des adolescents ont profité de leur journée de ski pour faire preuve de solidarité et de courage.

Sur une piste de ski, à proximité de Vancouver, au Canada, une famille remontait tranquillement une pente, sur un télésiège. Soudain, le petit garçon de huit ans a glissé. Il a miraculeusement été retenu par son père.

Alertés par les cris, des adolescents qui skiaient ont rapidement réagi. Un jeune de quatorze ans a été chercher un filet de sécurité pour faire office de matelas d’atterrissage pour le skieur en détresse. Ils ont ensuite demandé au jeune skieur d’enlever ses skis. Le petit garçon est alors tombé de six mètres sur le filet de sécurité. Bien que choqué par l’évènement, il n’avait aucune blessure.

Depuis, la vidéo qui raconte l’histoire de ces cinq héros de Vancouver fait le tour du monde

https://www.7sur7.be/

Le Saviez-Vous ► 14 habitudes qui font des douleurs aux pieds, déconseillées par les podiatres


Les pieds, on ne les voit pas très souvent, sauf peut-être à la belle saison. Pourtant, ils demandent des soins comme toutes les parties de notre corps, car ils travaillent très fort. Il y a certaines habitudes que l’on doit prendre pour éviter des douleurs, mycoses et autres ..
Nuage

 

14 habitudes qui font des douleurs aux pieds, déconseillées par les podiatres

 

Par Colleen Travers, RD.com

Vos pieds sont peut-être la partie de votre corps la plus maltraitée et la plus négligée. Prenez-en soin pour éviter des douleurs aux pieds : vous vous sentirez mieux, au physique comme au moral.

Vous portez des talons trop hauts

Vos pieds vous supportent, et vous l’oubliez trop souvent. Vous passez au moins dix minutes le matin à prendre soin de votre visage, mais si vos pieds ont droit à une séance chez le pédicure une fois par mois, ils ont de la chance!

Pourtant, les podiatres ne plaisantent pas en disant que si vos pieds vont mal, c’est toute votre façon de vivre qui va aller cahin-caha. Les talons hauts ont peut-être du style, mais s’ils sont vertigineux, votre grimace de douleur n’aura rien d’élégant! Votre vice de posture forcera vos pieds et vos jambes à surcompenser pour vous permettre de marcher.

Selon Rebecca Pruthi, docteure en médecine podiatrique et chirurgienne à Foot Care of Manhattan, à New York, cela peut causer des états douloureux comme la fasciite plantaire, les oignons et les épines de Lenoir. Pour prévenir la douleur, elle conseille de s’en tenir à des talons de 5 cm au maximum.

Vous portez les mêmes chaussures tous les jours

Un choix qui semble plein de bon sens, c’est de dénicher des chaussures si confortables que vous n’aurez jamais envie de les quitter. Sauf que pour vos pieds, ce ne sera peut-être pas un cadeau!

La docteure en médecine podiatrique et chirurgienne du pied Jackie Sutera, spécialiste du laboratoire Vionic et porte-parole de l’American Podiatric Medical Association (Association américaine de médecine podiatrique), souligne qu’en mettant jour après jour les mêmes chaussures, vous utilisez sans arrêt les mêmes surfaces du pied pour vous tenir debout ou pour marcher, ce qui cause de la fatigue. Le mieux est d’avoir plusieurs paires de chaussures confortables et de les porter à tour de rôle tout au long de la semaine.

Vos chaussures sont trop vieilles

Casser une paire de souliers neufs, c’est barbant. Mais d’après Jackie Sutera, traîner des chaussures avachies n’est pas la solution : cela peut fausser votre démarche et causer de la douleur.

« Des chaussures usées font pencher le pied, et l’impact avec le sol va se faire à un mauvais angle, dit-elle. Même la plus petite inclinaison peut vous blesser les pieds et causer des maux de dos et de la hanche. »

Remplacez tous les six mois au maximum les souliers que vous portez tous les jours (comme vos chaussures de course), conseille Rebecca Pruthi. Vérifiez régulièrement les semelles des autres souliers et dès que vous constatez que leur soutien laisse à désirer, remplacez-les ou envoyez-les au ressemelage.

Vous portez des souliers plats dans les transports en commun

Les ballerines, les sneakers plats (du genre Converse) et les tongs ne procurent pas un bon soutien de la voûte plantaire. Si vous avez l’habitude de les mettre du lundi au vendredi pour vous rendre au travail, avertit le Dr Miguel Cunha, podiatre et fondateur de Gotham Footcare à New York, vous exposez vos pieds aux oignons, aux orteils en marteau et à l’affaissement de la voûte plantaire.

Vous coupez vos ongles d’orteils bizarrement

« En coupant ses ongles d’orteils trop courts ou trop ronds, on risque d’avoir des ongles incarnés, dit Rebecca Pruthi. L’ongle va se mettre à pousser sous la peau, ce qui causera de l’inconfort. Et les chaussures aggravent souvent le problème en créant des points de friction ou de compression.

La solution pour éviter la formation d’ongles incarnés, selon la podiatre, c’est de couper ses ongles d’orteils à angle droit.

Vous courez avec des chaussures de tennis (ou jouez au tennis avec des chaussures de course)

Pour faire de l’exercice ou pratiquer un sport, la chaussure de gym n’est pas une solution passe-partout.

« Le design des chaussures de sport fait appel à une large technologie, souligne le Dr Sutera.Chaque activité a des particularités auxquelles les chaussures doivent être adaptées. Par exemple, les chaussures de course et de marche sont faites pour un mouvement en ligne droite, tandis que les chaussures de basketball et de tennis sont étudiées pour les mouvements latéraux. »

Vous portez toujours votre sac du même côté

D’après Pruthi, si vous portez toujours du même côté votre porte-documents ou un fourre-tout lourdement chargé, ce déséquilibre à répétition peut causer non seulement une tendinite, mais aussi des douleurs au cou et au dos.

Prenez soin d’alterner le côté où vous portez vos affaires, ou distribuez le poids dans deux sacs plus petits.

Vous ne soignez pas vos plaques squameuses

« En négligeant les zones de peau sèche et rugueuses à la plante des pieds, on favorise l’apparition de craquelures, dit Rebecca Pruthi. Et avec le temps, elles peuvent empirer et s’infecter. »

La podiatre conseille d’utiliser régulièrement une pierre ponce sous la douche et d’hydrater ses pieds pour les garder en bonne santé..

Pour le Dr Cunha, les plaques squameuses peuvent aussi être le signe d’une mycose.

« Et dans ce cas, ce qu’il faut, ce n’est pas une lotion hydratante mais une crème antifungique. »

Vous ne laissez pas vos pieds respirer à la fin de la journée

Porter des chaussettes toute la journée risque de vous faire transpirer des pieds, dit Rebecca Pruthi, ce qui entraîne des odeurs désagréables, du pied d’athlète, et dans les cas extrêmes, des infections. La podiatre conseille de laisser ses pieds à l’air libre après l’exercice ou en rentrant chez soi le soir, et de ne pas oublier de bien les sécher entre les orteils après la douche.

La règle, pour les chaussettes, souligne le Dr Cunha, c’est de les changer une fois par jour (ou plus si vous bougez beaucoup), pour que les pieds restent propres.

« De façon générale, si vous changez vos sous-vêtements, vous devriez aussi changer de chaussettes. »

Vous faites trop souvent vos exercices pieds nus

C’est parfois difficile à éviter (en particulier pour le yoga et le Pilates), mais assurez-vous d’avoir un programme d’exercice assez varié, conseille Jackie Sutera.

« Les personnes qui font les mêmes exercices pieds nus plusieurs fois par semaine peuvent finir par ressentir des douleurs aux tendons, aux talons et même aux articulations », ajoute la podiatre.

Veillez à incorporer à votre routine un mélange d’exercices en sneakers et de mouvements pieds nus à impact modéré.

« Le corps apprécie la modération et la variété », conclue-t-elle.

Vous ne portez pas de pantoufles à la maison

« On sous-évalue le temps passé sans chaussures à la maison, c’est-à-dire sans protection entre le sol et les pieds, surtout avec des planchers de bois franc, de marbre ou de céramique, observe Sutera. Au fil du temps, la couche de gras naturel sur la plante de vos pieds s’amincit et plus tard, vous aurez l’impression que vos pieds sont devenus décharnés. »

Essayez des pantoufles orthopédiques (la Dre Sutera aime celles-ci) pour soutenir le pied quand vous enlevez vos chaussures à la maison.

Vous oubliez de protéger vos pieds contre les rayons UV

Si vous passez toute la journée dehors, vous devez mettre de la crème solaire sur vos pieds nus – pas question de les oublier.

« Comme le reste du corps, le dessus et la plante des pieds sont exposés au vieillissement prématuré et au mélanome », souligne Pruthi.

On veut éviter le cancer, mais essayer de rentrer dans ses souliers avec un coup de soleil sur les pieds est déjà une expérience pénible.

Vous ignorez les points douloureux

Même si vous ne vous entraînez pas pour un marathon, le surmenage des pieds peut causer des fractures de stress.

« On peut souffrir d’une blessure, même si aucun incident particulier ne l’explique », dit Pruthi.

Si vos pieds vous font mal quand vous marchez, la douleur ne peut qu’empirer et les traumatismes se multiplier.

« Si vous sentez que quelque chose ne va pas, n’hésitez pas à consulter un podiatre », ajoute-t-elle.

Vous portez vos chaussures d’extérieur à l’intérieur

Selon le Dr Cunha, prendre la peine de changer de chaussures en rentrant du jardin dans la maison est une précaution utile.

« Les chaussures d’extérieur peuvent véhiculer des germes et des virus qui vont se répandre à travers la maison.En portant ces chaussures à l’intérieur ou en les rangeant là où on s’assoit ou on s’allonge, on fait grimper le risque de mycoses ou de verrues. »

https://www.selection.ca/

Une famille modeste découvre les armes ines­ti­mables d’un sultan indien oubliées dans leur grenier


Je suis bien contente que cette découverte fût faite par une famille modeste. En tout cas, cela vaut la peine de fouiller les greniers, qui sait ce que l’on peut découvrir. Des armes d’un sultan indien qui ont été ramenées en 1799 en Angleterre et fut transmirent de génération en génération, puis oubliées jusqu’à aujourd’hui.
Nuage

 

Une famille modeste découvre les armes ines­ti­mables d’un sultan indien oubliées dans leur grenier

 

par  Laura Boudoux

Dans le grenier d’une petite maison du Berk­shire, les armes étaient négli­gem­ment embal­lées dans un vieux jour­nal. C’est le couple qui vit là qui a décou­vert l’épée incrus­tée d’or et le pisto­let datant du XVIIIe siècle, ayant appar­te­nus au sultan Tipû Sâhib.

Les objets précieux devraient être cédés lors d’une vente aux enchères orga­ni­sée ce mois-ci et pour­raient rappor­ter plusieurs millions d’eu­ros à la famille, précise le DailyMail.

Surnommé le « Tigre de Mysore », le sultan, ferme­ment opposé à la colo­ni­sa­tion de l’Inde par les forces britan­niques, aurait utilisé ces armes lors de sa dernière bataille contre les armées diri­gées par le duc de Welling­ton, en 1799. C’est Thomas Hart, de la Compa­gnie britan­nique des Indes orien­tales, qui les aurait rame­nées en Grande-Bretagne la même année. Ce trésor se serait alors trans­mis de géné­ra­tion en géné­ra­tion, avant d’ar­ri­ver entre les mains de cette famille du Berk­shire.

« Il est impos­sible de mettre un prix sur ces objets, mais je pense que cette collec­tion est plus impor­tante que la précé­dente », déclare Anthony Cribb, qui orga­ni­sera la vente.

Il fait ici réfé­rence à une vente aux enchère orga­ni­sée en 2016, lors de laquelle des biens ayant appar­tenu au sultan avaient été vendus pour un total de près de 7 millions d’eu­ros. 

« Lorsque j’ai vu le pisto­let, je me suis presque évanoui. C’est la trou­vaille d’une vie », assure le spécia­liste, qui décrit les proprié­taires comme « une famille ordi­naire ». « On peut dire dire que cette décou­verte, c’est un peu comme s’ils avaient gagné au Loto », conclut Anthony Cribb.

Le sultan Tipû Sâhib

Sources : The DailyMail

https://www.ulyces.co//

«Trashtag challenge»: un défi qui vaut (enfin) la peine d’être fait


La plupart des challenger (défi) sur les réseaux sociaux sont stupides voir dangereux. En voilà un qui est utile et profitable pour l’environnement. Le défi est de photographier avant et après un lieu plein de déchet et montrer tout ce qui a été ramasser #trashtag
Nuage

 

«Trashtag challenge»: un défi qui vaut (enfin) la peine d’être fait

 

KOTANGENS VIA GETTY IMAGES

Et qui donne des photos très impressionnantes.

 

    Par Mathieu Galarneau

Voilà pour une fois un défi émanant des réseaux sociaux qui n’est pas dénué de sens, comme lancer une tranche de fromage dans la face d’un bébé. Ou conduire les yeux bandés. Ou manger des capsules de détergent.

Au lieu de ces absurdités, vous pourriez trouver un endroit rempli de détritus, prendre une photo, ramasser les détritus et publier le résultat avant/après pour inciter vos contacts à faire de même avec le mot-clic #trashtag. Ce serait un gros plus pour l’environnement.

L’idée a commencé à circuler sur Facebook à la suite d’une publication de Byron Román devenue virale. Celui-ci appelait les ados «qui s’ennuient» à participer au défi. La photo avait déjà été partagée plus de 314 000 fois lundi après-midi.

Depuis, de nombreux internautes, et pas seulement des ados, ont embarqué dans la vague du #trashtag challenge, comme on peut le constater sur Twitter.

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter

Reddit est surprenant parfois ; ils ont lancé l’idée d’un #CleanUpChallenge #TrashTag pour rire en mode « imaginez si le nouveau challenge pour avoir des internet points c’était ça » et des gens l’ont fait.
TWITTER, WORK YOU MAGIC!

 

Voir l'image sur Twitter

«Voici de Nagaland, en Inde. Des étudiants du #tetsocollege avec le mouvement #trashtag !»

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter

«J’ai décidé de ramasser des déchets pour ma fête et j’ai rempli 4 sacs»

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter

 

«Aux abords de la rivière Potomac au sud de Washington, DC»

Insider informe que le mot-clic #trashtag est d’abord apparu sous forme de concours en 2015 commandité par la compagnie d’équipement de plein air UCO (Utility, Comfort, and Originality) aux États-Unis. Les gens devaient alors se photographier en train de ramasser des ordures pour avoir la chance de gagner de l’équipement.

En souhaitant que ce défi rende la Terre un peu plus propre!

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Une baleine avale un plongeur… puis le recrache vivant!


C’est le cas de le dire : Être au mauvais endroit au mauvais moment prend tout son sens pour ce plongeur. Alors que le rorqual dégustait des sardines, il a pris au même moment le plongeur. Sauf que l’humain, n’est pas dans le menu de la baleine. Heureusement, il s’en est sorti indemne. À 1.39 de la vidéo, on voit bien le plongeur dans la gueule de l’animal marin.
Nuage

 

Une baleine avale un plongeur… puis le recrache vivant!

 

Le plongeur s’est retrouvé dans la gueule d’un rorqual au large des côtes sud-africaines.

Rainer Schimpf, 51 ans, est directeur de Dive Expert Tours et organise des « visites guidées » pour permettre aux amateurs et professionnels d’aller observer au plus près la faune marine. Il y a quelques jours, une mésaventure a cependant bien failli mettre fin à ses escapades au large de Port Elizabeth, en Afrique du Sud.

Au milieu du repas

En effet, alors qu’il se trouvait à 40 kilomètres des côtes avec son équipe du jour, un rorqual de Bryde a soudain surgi pour avaler un banc de sardines et… le pauvre Rainer, au mauvais endroit au mauvais moment. Happé par la gueule béante du mammifère marin, l’instructeur a heureusement pu se fier à son instinct.

Malheureuse coïncidence

Le rorqual n’a pas l’habitude d’engloutir un être humain et l’incident relevait surtout d’un terrible concours de circonstances. Pris au piège, il s’est contenté de retenir sa respiration et d’espérer que la baleine se rende compte de sa méprise, ce qui s’est effectivement passé quelques secondes plus tard.

Le temps pour les autres membres du groupe, impuisants, d’immortaliser la scène surréaliste (voir photos). Rainer Schimpf s’en sort finalement indemne.

Le reportage à découvrir en images

https://www.7sur7.be/

Un an et demi après l’ou­ra­gan Maria, le plus vieil arbre de Porto Rico est revenu à la vie


En 2017 Porto Rico à durement été touché par les ouragans Irma et Maria. La destruction a touché autant les humains que la nature. Malgré un vieil arbre, un fromager de 400 ans semblait avoir été gravement touché. Pourtant un an et demi après, l’arbre fleurit.
Nuage

 

Un an et demi après l’ou­ra­gan Maria, le plus vieil arbre de Porto Rico est revenu à la vie

 

Crédits : Alexan­der C. Kauf­man

par  Malaurie Chokoualé

 

Située à 16 km au sud-est de l’île prin­ci­pale de Porto Rico, l’île de Vieques et sa flore se remettent douce­ment des violents oura­gans – Irma puis Maria – qu’elle a subi en septembre 2017. Le Huffing­ton Post rapporte toute­fois depuis l’autre côté de l’At­lan­tique une nouvelle remplie d’es­poir : un grand arbre à kapok, emblème de l’île et du pays, est revenu à la vie.

Les arbres à kapok (ou froma­gers) étaient consi­dé­rés comme sacrés dans la culture maya, et les habi­tants de l’île de Vieques les chérissent énor­mé­ment. Sur l’île, les arbres à kapok sont partout, mais celui-ci a une signi­fi­ca­tion parti­cu­lière. Avec ses 400 ans, il s’agit du plus vieil arbre de l’île et sa troi­sième attrac­tion touris­tique la plus popu­laire. Grave­ment endom­magé par l’ou­ra­gan Maria, aujourd’­hui, de nouvelles branches commencent à pous­ser et les premières fleurs roses ont fait leur appa­ri­tion durant le mois de février.

Deux semaines après le passage de Maria, Ariel Lugo, direc­teur de l’Ins­ti­tut inter­na­tio­nal de sylvi­cul­ture tropi­cale de Porto Rico s’était dit confiant en décri­vant la destruc­tion de l’éco­sys­tème de l’île.

Celui-ci a été dure­ment touché par les éléments et « dix ans seront néces­saires pour que tout revienne » comme avant, avait-il expliqué à l’AFP.

La nature semble donc suivre à son rythme ses prévi­sions.

Source : Huffing­ton Post

https://www.ulyces.co

Cet ancien homme trans­genre s’iden­ti­fie désor­mais comme un extra­ter­restre agenre


Iel, Non, je n’ai pas fait de faute sur le pronom ! Iel n’est ni homme, ni femme, ni humain, mais iel se défini comme un extraterrestre agenre. Iel porte quand même un prénom masculin. Bien que cela n’est pas vraiment de nos affaires, je trouve triste quand même les gens qui vont complètement changer leur corps de cette façon. Va t’iel toujours aimer cette apparence quand iel sera plus âgé-e
Nuage

 

Cet ancien homme trans­genre s’iden­ti­fie désor­mais comme un extra­ter­restre agenre

 

Crédits : Jareth Nebula

par  Laura Boudoux

Jareth Nebula est né·e avec un sexe fémi­nin et a commencé sa tran­si­tion lorsqu’iel avait 29 ans. Jareth s’est fina­le­ment rendu·e compte que sa recherche d’iden­tité n’était pas comblée, et a donc pour­suivi sa tran­si­tion.

Aujourd’­hui âgé·e de 33 ans, Jareth Nebula se décrit comme un·e « extra­ter­restre agenre », rapporte le Daily Mail. Pour cela, iel dit s’être fait reti­rer les tétons et ôté les sour­cils, dans le but de « se sentir moins humain ».

Récep­tion­niste dans un barber shop, Jareth Nebula a choisi de se renom­mer en s’ins­pi­rant du person­nage inter­prété par David Bowie dans la comé­die musi­cale Laby­rinth, sortie au cinéma en 1986. 

« Après avoir fait mon coming out trans­genre et avoir pensé que je m’étais enfin trou­vé·e moi-même, j’ai réalisé que j’avais tort : je n’étais ni homme, ni femme, ni même humain », explique l’in­di­vidu agenre.

Crédits : Jareth Nebula

« Je suis tout simple­ment d’un autre monde. Je ne me sentais à l’aise dans aucun genre, ni même dans un entre-deux. Je sais que je suis coin­cé·e dans une forme humaine et que c’est comme cela que les autres me voient, mais pour moi, je suis un·e extra­ter­restre agenre », affirme Jareth Nebula.

Iel raconte avoir commencé à réflé­chir à sa trans­for­ma­tion à l’âge de 26 ans, lorsqu’iel a appris qu’iel était atteint du syndrome d’Eh­lers-Danlos, qui se carac­té­rise notam­ment par une hyper­laxité des arti­cu­la­tions et de la peau. Une mala­die qui lui a fait réali­ser qu’iel était « diffé­rent·e des autres ».

Source : The Daily Mail