Ce n’est pas moi qui va contredire cette citation
Nuage
Une grand-mère
Les oncles, les tantes et les cousins, c’est bien. Les parents, c’est à ne pas négliger. Mais une grand-mère les vaut tous !
Fanny Fern
Ce n’est pas moi qui va contredire cette citation
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Une grand-mère
Les oncles, les tantes et les cousins, c’est bien. Les parents, c’est à ne pas négliger. Mais une grand-mère les vaut tous !
Fanny Fern
Lors de vent violent, des clients d’un restaurant voulaient aider le propriétaire à garder ses parasols sur le sol. Mais l’un d’eux s’est envolé d’environs 10 mètres de haut avec un des parasols. Il s’en est tiré avec des quelques blessures.
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Un Turc, bien aidé par un parasol, a défié les lois de la gravité alors que des vents violents soufflaient sur la ville de Kadirli dans la province d’Osmaniye, en Turquie.
Une tempête s’est abattue sur la ville turque de Kadirli ce lundi 25 mars. Sur une vidéo transmise par l’agence de presse DMA, relayée par RTL info, on aperçoit comment plusieurs hommes tentent de retenir un parasol qui menace de s’envoler. L’un d’entre eux, un certain Mehmet Ali Çana, pose ses pieds dessus et pense avoir évité le pire lorsque le vent redouble d’intensité, emportant finalement le parasol et son occupant dans les airs. Une scène qui n’a rien à envier à Mary Poppins.
Selon DMA, la victime aurait volé une dizaine de mètres avant de retrouver la terre ferme. Il a été légèrement blessé.
On sait que dans les temps anciens, on avait recours à des formules magiques, des sortilèges (quoique cela existe encore aujourd’hui) Il n’est donc pas surprenant que dans l’Égypte ancienne avait des papyrus de ce genre.
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Crédits : Université d’Oxford/Fondation pour l’exploration de l’Égypte
par Nicolas Prouillac et Arthur Scheuer
Formules magiques et sortilèges antiques… Ce papyrus égyptien est un véritable mode d’emploi pour apprenti sorcier.
Datant du IIIe siècle avant J.-C., ce papyrus décrit deux sorts, traduits du grec ancien (une langue très utilisée à l’époque en Égypte) par Franco Maltomini, chercheur à l’université d’Udine en Italie.
Le premier permet de faire « brûler le cœur » d’une femme jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de vous. Le second sert, lui, à subjuguer un homme pour pouvoir le manipuler à loisir. Pour parvenir au résultat escompté, la procédure était toutefois assez contraignante. Il faillait, pour le premier, brûler des offrandes et inscrire le sortilège sur les murs des bains publics.
« Je vous implore, la terre et l’eau, par le démon qui vit en votre sein et j’implore l’avenir qui sommeille dans ce bain pour que, comme vous qui embrasez et brûlez et enflammez, brûle celle (la femme visée par le sort), que (le nom de la mère de la victime) a porté, jusqu’à ce qu’elle vienne à moi… »
Pour réaliser le second sort, en revanche, il fallait plus simplement graver sur une petite plaque de cuivre une série de mots magiques. Le précieux document fait partie des centaines de milliers de papyrus découverts par les archéologues Bernard Grenfell et Arthur Hunt en 1896, et sur la traduction desquels les scientifiques travaillent depuis plus d’un siècle. Son auteur demeure inconnu, mais le texte fait référence à des dieux gnostiques (une ancienne religion qui emprunte certains éléments à la chrétienté), ce qui nous renseigne sur ses croyances. Au verso du papyrus, on découvre également une longue liste d’ingrédients utilisés contre les migraines, la lèpre, mais aussi pour « augmenter le plaisir ».
Source : Live Science Au XVe siècle av. J.-C., les Égyptiens bravaient la mer Rouge en quête de la terre des dieux.
Je savais que cela pouvait exister, et à première vue, une personne qui ne ressent presque pas la douleur, ni l’anxiété, cela doit génial et pourtant, si on ne ressent pas la douleur, il n’y a pas d’alerte que quelque chose ne va pas. Cette femme ne s’est jamais sentie différente jusqu’à 60 ans, quand les médecins se sont penchés sur son cas. Elle a permis d’avancer certaines connaissances sur la douleur et l’humeur et d’un gène que les scientifiques croient inutile. Grâce a ces nouvelles connaissances, cela pourrait aider a mieux contrôler la douleur.
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Marie-Céline Ray
Journaliste
Cette Écossaise de 71 ans ne ressent quasiment ni douleur, ni peur, ni anxiété. Son cas exceptionnel a permis à des chercheurs britanniques d’identifier une nouvelle mutation génétique, qui ouvre la voie vers des applications médicales pour traiter douleur et anxiété.
C’est l’histoire d’une femme qui a vécu plus de 60 ans sans s’apercevoir qu’elle n’était pas comme tout le monde, comme elle l’a affirmé :
« Il y a quelques années, je ne savais pas qu’il y avait quelque chose d’inhabituel dans le peu de douleur que je ressens. Je pensais que c’était normal. »
Je pensais que c’était normal
Vers l’âge de 65 ans, elle est repérée des médecins à l’hôpital d’Inverness, en Écosse, car elle avait de l’arthrose à la hanche, avec une dégénérescence importante des tissus articulaires. Pourtant, elle n’avait pas mal. Un an plus tard, à 66 ans, elle subit une opération à la main, qui habituellement conduit à des douleurs postopératoires. Mais chez elle, rien de tout cela : elle ne se plaint d’aucune douleur.
La patiente, replongeant dans son passé, a relaté différentes expériences illustrant son cas : par exemple, elle n’avait jamais eu besoin d’analgésiques après des opérations, comme des chirurgies dentaires ; quand elle se coupait, la plaie cicatrisait assez vite ; si elle se brûlait, elle ne ressentait pas de douleur, jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive d’une odeur de chair brûlée… Autre preuve de son insensibilité à la douleur : d’après l’article médical paru dans le British Journal of Anaesthesia,
« Elle a déclaré avoir mangé du piment Scotch-Bonnet sans aucune gêne », avec à la place « un éclat agréable » de courte durée dans la bouche.
Les chercheurs de l’UCL (University College London) et d’Oxford se sont donc intéressés à son cas et ont trouvé deux mutations intéressantes dans son génome. L’une concernait un pseudogène, appelé FAAH-OUT, dont on pensait jusqu’à présent qu’il n’était pas fonctionnel. L’autre était une mutation dans un gène proche, qui contrôle l’enzyme FAAH, mais cette mutation (rs324420) est répandue dans la population. Le gène FAAH (fatty-acid amide hydrolase) est impliqué dans le signal de la douleur, la mémoire et l’humeur. Des souris qui n’ont pas FAAH ressentent moins la douleur et l’anxiété et guérissent plus rapidement de leurs plaies.
Une insensibilité liée au système endocannabinoïde
D’autres tests réalisés en collaboration avec l’université de Calgary au Canada ont révélé qu’elle avait dans son sang des niveaux élevés d’un neurotransmetteur, l’anandamide. Cette molécule se fixe sur des récepteurs du système endocannabinoïde, CB1, des récepteurs connus aussi pour être des cibles des principes actifs du cannabis. L’anandamide est normalement dégradé par l’enzyme FAAH. Pour les chercheurs, cette concentration anormale d’anandamide était le signe d’un signal élevé du système endocannabinoïde et de l’absence de fonctionnement de l’enzyme FAAH.
Les chercheurs ont aussi testé l’humeur de cette patiente hors norme sur une échelle habituellement utilisée pour connaître l’anxiété d’un individu (Generalized Anxiety Disorder-7). Elle a obtenu le score minimal soit 0/21. Cette éternelle optimiste a expliqué qu’elle ne paniquait jamais, même dans des situations dangereuses, comme lors d’un accident de la circulation qu’elle avait vécu récemment. Elle avait cependant des problèmes de mémoire, oubliant des mots au milieu de phrases, des troubles qui pourraient être liés au système endocannabinoïde.
Ces travaux suggèrent que le gène FAAH-OUT, qui est muté chez cette femme, contrôle l’expression du gène FAAH.
James Cox, chercheur à l’UCL, a expliqué dans un communiqué que « Nous avons constaté que cette femme avait un génotype particulier qui réduit l’activité d’un gène [ndlr : FAAH] déjà considéré comme une cible potentielle pour les traitements de la douleur et de l’anxiété. »
Les chercheurs pensent qu’il est possible que d’autres personnes soient dans le même cas, étant donné que cette femme ne s’est pas rendu compte de rien d’anormal avant 60 ans. Ils encouragent les personnes insensibles à la douleur à se faire connaître.
Cette recherche suggère de nouvelles voies pour développer des analgésiques qui cibleraient FAAH-OUT avec de nombreuses applications médicales :
« Nous espérons qu’avec le temps, nos découvertes pourraient contribuer à la recherche clinique sur la douleur et l’anxiété postopératoires, ainsi que sur la douleur potentiellement chronique, le trouble de stress post-traumatique et la cicatrisation des plaies, éventuellement au moyen de techniques de thérapie génique. »
La patiente s’est réjouie que son cas puisse aider un jour à soulager des malades :
« Je serais ravie si des recherches sur ma propre génétique pouvaient aider d’autres personnes qui souffrent. »
CE QU’IL FAUT RETENIR
Quelle lâcheté ! Tuer un ours en hibernation et en plus une maman avec ses oursons. En Alaska, il est interdit de tuer un ours avec ses petits. Malheur à eux, croyant que leur crime ne sera vu de personne, il y avait une caméra caché pour filmer les ours dans cette tanière.
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© Capture d’écran.
Jeanne Poma.
Le torse nu et les mains ensanglantées, un garçon de 17 ans pose pour la photo. Fier, il vient d’abattre, avec son père, une mère ours et ses petits. La scène s’est déroulée en Alaska, en avril dernier. Grâce aux images prises par une caméra cachée, le père vient d’être condamné à trois mois de prison.
Andrew Renner, 41 ans et son fils Owen sont partis à la chasse il y a près d’un an. Deux jours après les faits, le père et le fils sont retournés sur les lieux pour cacher les restes des oursons, ramasser les douilles et détruire le collier qui traçait la mère ours.
« Ils ne pourront jamais remonter jusqu’à nous », déclarait alors l’adolescent, devant les caméras.
Deux semaines plus tard, Andrew Renner présentait la peau de la mère ours au bureau de gestion de la forêt et mentait sur la zone de chasse, omettant également de signaler la présence des oursons. L’État d’Alaska interdit en effet la chasse à l’ours, quand il y a des oursons.
Des mois plus tard, lors du visionnage des images tirées des caméras de surveillance, les deux hommes ont pu être arrêtés.
Les grenouilles ont survécu depuis 370 millions avec tout ce que la Terre a eu comme catastrophe et un champignon a causé le déclin à plus de 500 amphibiens dont 90 espèces sont disparues, et cela, en quelques décennies à travers le monde. Ce champignon vient de l’Asie et s’est propager par les activités humaines comme le commerce international.
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En quelques décennies, le champignon a entraîné l’extinction de quatre-vingt-dix espèces de batraciens. | David Clode via Unsplash
Repéré par Audrey Renault
Repéré sur The Atlantic
Vous n’avez peut-être jamais entendu parler du Batrachochytrium dendrobatidis. Il est pourtant un tueur redoutable. Ce champignon né en Asie est responsable de la mort de milliards de grenouilles, crapauds, salamandres et autres amphibiens.
Le Batrachochytrium dendrobatidis, champignon Bd de son petit nom, tue ses victimes en grignotant leur peau jusqu’à les priver de toute barrière protectrice, entraînant l’arrêt des fonctions vitales ou des attaques cardiaques mortelles.
D’après une récente étude sur le sujet, le champignon a causé le déclin de 501 espèces d’amphibiens, soit environ 6,5% de la population mondiale. Quatre-vingt-dix espèces sont définitivement éteintes et 124 ont perdu plus de 90% de leurs individus, rendant leur survie peu probable.
Des chiffres affolants qui «bouleversent notre compréhension de la manière dont une maladie peut impacter la vie sauvage», fait remarquer Ben Scheele, chercheur australien et directeur de l’étude, qui précise que jamais une pathologie n’avait tué autant d’espèces animales.
La pandémie est d’autant plus terrifiante que, comme le rappelle le journaliste Ed Yong dans The Atlantic, les amphibiens ont survécu à plus d’un cataclysme durant leurs 370 millions d’années de présence sur Terre.
«Imaginez si une nouvelle maladie décimait 6,5% des mammifères en quelques décennies –ce qui équivaut à peu près à tout ce qui a des palmes et des sabots: ce serait la panique totale», écrit-il.
Fléau impossible à enrayer
Dans les années 1970 et 1980, des scientifiques alertaient déjà sur les disparitions mystérieuses d’espèces qui jusqu’ici proliféraient sans encombre. Mais ce n’est qu’en 1998 que le champignon et ses terribles conséquences furent identifiées. En quelques décennies, il avait déjà éradiqué soixante espèces de grenouilles et autres batraciens.
Cette redoutable force de frappe est en partie due à une diffusion facilitée par les activités humaines. Né en Asie au début du XXe siècle, le Batrachochytrium dendrobatidisaurait dû demeurer dans les régions reculées des jungles orientales. C’était sans compter sur le commerce international, alors en plein essor, qui a facilité la propagation de ce fléau sur les cinq continents.
Aujourd’hui, si quelques espèces ont l’air de s’adapter pour lutter contre le champignon, les scientifiques ne semblent pas en mesure de stopper l’épidémie, malgré les différents programmes lancés partout dans le monde pour éradiquer le Batrachochytrium dendrobatidis.
«Il n’y a aucune méthode efficace pour gérer cette crise, ce qui en dit long sur la nature de cette maladie terrifiante, déplore Karen Lips, chercheuse à l’université du Maryland, aux États-Unis. Après des décennies de collaborations entre scientifiques, nous n’avons toujours pas trouvé de solution.»
Cet hiver, beaucoup ont nourri les oiseaux. Il y a les chats qui sont un danger que certains humains vont changer la mangeoire de place pour mieux protéger les oiseaux. Pour nous, entendre et voir les oiseaux ont un effet apaisant. Nourrir les oiseaux a quand même des conséquences sur leur évolution. Il semble en effet qu’une mutation du bec à été influencer par les humains qui les nourrissent. En passant, l’été mieux vaut laisser les oiseaux se débrouiller pour qu’ils puissent être efficaces pour chasser les insectes qu’avoir tout cuit dans leur bec avec des graines dans les mangeoires
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Nathalie Mayer
Journaliste
Durant les mois d’hiver, nous sommes nombreux à nourrir les oiseaux sauvages. Une habitude qui n’est pas sans conséquence sur les oiseaux. Et même sur nous, estime aujourd’hui une étude menée par des chercheurs américains.
Aux États-Unis, pas moins de 4 milliards de dollars sont dépensés chaque année en graines par les personnes qui nourrissent les oiseaux dans leur jardin. Une habitude qui semble banale, mais qui ne l’est pas tant que cela dans un monde où nos interactions avec la nature sont de moins en moins directes.
« Mieux comprendre comment les gens vivent la présence d’une faune sauvage dans leur jardin est très important tant dans une perspective de conservation de la nature que d’entretien du bien-être humain », explique Dana Hawley, chercheur à Virginia Tech (États-Unis).
C’est pourquoi son équipe a voulu savoir comment les personnes qui choisissent de nourrir les oiseaux remarquent les événements naturels qui se produisent alors dans leur jardin et comment ils y réagissent.
65 % des personnes qui nourrissent les oiseaux sauvages déclarent que cela leur permet de se détendre, 61 % remarquent que cela les aide à mieux connaître les oiseaux et 21 % y voient une expérience éducative pour leurs enfants. © Mohayg, Pixabay, CC0 Creative Commons
Protéger les oiseaux que l’on nourrit
Grâce à près de 1.200 volontaires, ils ont pu noter que lorsque les personnes qui nourrissent les oiseaux découvrent un chat dans leur jardin, de colère, ils ont tendance à le faire fuir, à déplacer la mangeoire ou à proposer un abri aux oiseaux. Lorsqu’ils observent que leur mangeoire attire des oiseaux malades, les gens choisissent, sous le coup de la tristesse ou de l’inquiétude, de la nettoyer. Et lorsque les oiseaux ne viennent plus, ils réagissent en leur proposant plus de graines.
D’autre part, lorsqu’il s’agit de décider de la quantité de nourriture à offrir aux oiseaux, les gens s’appuient sur des facteurs météorologiques, bien plus que sur le temps que cela prendra ou l’argent que cela coûtera. Ces résultats suggèrent que les personnes qui nourrissent les oiseaux observent attentivement la nature et réagissent généralement en fonction.
Nourrir les oiseaux aurait un impact sur leur évolution
L’hiver approche et nous allons bientôt être tentés de nourrir les petits oiseaux de nos jardins. Bonne ou mauvaise idée ? Une étude nous apprend aujourd’hui que ce geste en apparence anodin modifierait l’évolution de leur bec.
Lorsqu’elles fréquentent assidûment les mangeoires, les mésanges charbonnières semblent développer, au fil des générations, des becs plus longs que leurs consœurs qui se nourrissent dans la nature. © SJPrice, Pixabay, CC0 Creative Commons
Pour la première fois, une étude publiée dans Science met en évidence des différences génétiques entre des mésanges britanniques et des mésanges hollandaises. Les premières auraient des becs plus longs que les secondes… Et, qui plus est, ces différences semblent s’être creusées depuis quelques années seulement.
L’ADN de quelque 3.000 oiseaux a été passé au crible. Les gènes présentant des mutations se trouvent être proches de ceux qui, chez l’être humain, codent pour la forme du visage. Des similitudes ont également été notées avec ceux identifiés suite à l’étude de Darwin sur la forme du bec des pinsons. De quoi laisser penser que la sélection naturelle est là aussi en marche.
Charles Darwin avait déjà observé des différences notamment de forme de bec entre espèces de pinson, liées à leurs pratiques alimentaires. © wolfgang_vogt, Pixabay, CC0 Creative Commons
La sélection naturelle influencée par l’Homme
Elle a agi sur un intervalle de temps étonnamment court. Entre 1970 et aujourd’hui, la longueur des becs des oiseaux britanniques a clairement augmenté. Ceux dont les becs sont les plus longs sont aussi ceux qui visitent le plus systématiquement les mangeoires posées par les Britanniques amoureux de petits oiseaux. Et ceux qui se reproduisent le plus facilement… sauf lorsqu’ils vivent aux Pays-Bas où ils sont moins nourris.
Un ensemble d’observations qui poussent les chercheurs à imaginer que la longueur des becs pourrait être liée au nourrissage des oiseaux de jardin, une pratique relativement récente et particulièrement populaire au Royaume-Uni. Sur l’île, les dépenses moyennes en graines et aux mangeoires sont le double de celles d’autres pays européens.
Les scientifiques ont émis plusieurs hypothèses pour comprendre pourquoi nous n’avons pas encore communiqué avec une vie intelligente. Parmi eux, il y a ceux qui croient que nous sommes dans une sorte de zoo gérer par les extraterrestres. Oh la la ! Bien qu’il existe probablement une vie intelligente ailleurs et peut-être plus intelligente que nous, je doute vraiment que nous sommes dans une sorte de réserve naturelle … Pourquoi pas être des sujets de laboratoire tant qu’à être. Si la vie est aussi ou plus intelligente que nous, espérons qu’elle ne fasse pas la même chose qu’on fait à nos animaux …
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Crédits : NASA/Ulyces
par Laura Boudoux
De la même manière qu’il existe des animaux en cage dans des zoos, les êtres humains pourraient être captifs de la Terre, au sein de la galaxie
Des scientifiques ont évoqué l’hypothèse du « zoo cosmique » lors d’un congrès organisé le 18 mars dernier à La cité des sciences et de l’Industriede Paris. L’idée générale était d’aborder le Paradoxe de Fermi, et de comprendre pourquoi les humains n’ont toujours pas découvert de vie intelligente dans l’univers, rapporte Forbes.
« Peut-être que les extraterrestres regardent les humains sur Terre, tout comme nous regardons les animaux dans un zoo », envisage Douglas Vakoch, le président du METI (messaging extraterrestrial intelligence). La question reste dès lors pour lui : « Comment faire en sorte que ces gardiens de zoo galactiques se révèlent ? » Il faut d’après le scientifique continuer d’ « envoyer des signaux radio puissants, intentionnels et riches en informations vers les étoiles proches ».
L’hypothèse du zoo est un concept qui remonte aux années 1970, et notamment aux recherches du scientifique du MIT John Ball
« La vie intelligente extraterrestre pourrait être pratiquement omniprésente », écrit-il ainsi en 1973. « L’incapacité apparente d’une telle vie à interagir avec nous peut être expliquée grâce à l’hypothèse selon laquelle [les extraterrestres] nous ont mis de côté, comme dans le cas d’une réserve naturelle ou d’un zoo », estime John Ball à l’époque.
Souriez, on est observé·e·s.
Source : Forbes