Faut croire que certaines personnes n’ont rien à craindre sur leur survie 🙂
Nuage
Sans cerveau
Le fait que les méduses aient survécu à 650 millions d’années sans cerveau, donne de l’espoir à beaucoup de personne
Inconnu
Faut croire que certaines personnes n’ont rien à craindre sur leur survie 🙂
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Sans cerveau
Le fait que les méduses aient survécu à 650 millions d’années sans cerveau, donne de l’espoir à beaucoup de personne
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Les humains et les animaux ont du sang rouge, sinon, il y aurait lieu de s’inquiété pour sa santé. Mais certains invertébrés, ils ont du sang d’une autre couleur. Il en a qui ont du sang de la même couleur que M. Spock, mais ils ne viennent pas de Vulcan, ils habitent bien sur terre. D’autre par contre, ont du sang rose, violet, bleu, et même incolore
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par Clara Zerbib, journaliste animalière
Chez la plupart des vertébrés, y compris l’Homme, le sang est de couleur rouge. La raison ? L’hémoglobine, une protéine qui permet au sang de transporter l’oxygène et qui contient un atome de fer. Or, ce fer absorbe toutes les longueurs d’onde de la lumière, excepté le rouge
Chez les invertébrés, c’est un atome de cuivre qui transporte l’oxygène, colorant ainsi leur sang en bleu ou en vert. Voici quelques-unes de ces étranges créatures.
1. La pieuvre
La pieuvre, aussi appelée poulpe, est un invertébré au sang bleu puisqu’elle utilise l’hémocyanine au lieu de l’hémoglobine pour transporter l’oxygène dans ses veines. Étant donné que la pieuvre peut évoluer dans des eaux profondes pauvres en oxygène, cette protéine chargée en cuivre est plus adaptée à sa survie. Même si le moindre changement d’acidité de l’eau la rend plus vulnérable.
Cet animal particulièrement étrange possède également trois cœurs qui lui permettent de pomper son sang. Et il a la formidable capacité à régénérer l’un de ses tentacules s’il est sectionné !
Crédits : iStock
2. Le brachiopode
Les brachiopodes sont des animaux marins qui ressemblent aux coquillages tels que les palourdes. Mais en réalité, ce ne sont pas des mollusques. D’autant plus que leur sang possède une teinte pour le moins originale : rose.
En effet, les brachiopodes transportent l’oxygène dans leur sang grâce à l’hémérythrine, une autre protéine pigmentée qui contient aussi des atomes de fer. Cependant, elle donne au sang une couleur rose ou violette lorsque ce dernier commence à absorber de l’oxygène. Le reste du temps, il est incolore.
Crédits : Didier Descouens/Wikipédia
3. Le scinque de Prasinohaema
C’est en Nouvelle-Guinée que l’on retrouve six espèces de lézards au sang vert. Fait étonnant, puisque les lézards sont des vertébrés et qu’ils ont normalement le sang rouge. Cette couleur verte est due à une forte concentration de biliverdine, un pigment contenu dans la bile résultant de la dégradation de l’hémoglobine. Ce pigment est également présent dans le sang humain, mais en toute petite quantité. Il est responsable de la teinte verdâtre autour des contusions.
Une accumulation de biliverdine provoque la jaunisse chez l’Homme, voire la mort. Cette substance est donc toxique pour l’Homme mais ne semble avoir aucun impact sur les lézards à sang vert. En effet, la quantité de biliverdine dans leur sang représente jusqu’à quarante fois la dose létale pour un humain ! Les scientifiques doivent donc encore découvrir pourquoi le sang de ces lézards est vert et en quoi il est bénéfique pour eux…
Crédits : AsenaS/Pixabay
4. Le crabe fer à cheval
Aussi appelé limule, ce crabe a une forme qui fait penser à celle d’un fer à cheval, d’où son nom. Mais ce crabe porte encore un autre nom : crabe au sang bleu. En effet, cet animal qui peut mesurer jusqu’à 50 centimètres et vivre jusqu’à 30 ans a la particularité d’avoir le sang bleu.
Ses cellules sont si incroyables qu’elles produisent une protéine particulière permettant de transformer son sang en gel capable de bloquer les infections bactériennes. Ainsi, lorsque ses cellules rencontrent une bactérie, elles sécrètent ce gel qui enveloppe rapidement cette dernière, l’empêchant de se propager.
Crédits : Didier Descouens/Wikipédia
5. Le poisson-antarctique
Le poisson-antarctique, de son nom scientifique Notothenioidei, a l’étrange particularité de ne pas avoir de globules rouges, ni d’hémoglobine. Ainsi, il absorbe directement l’oxygène, naturellement plus présent dans les eaux froides. Ce poisson vit dans les eaux glacées de l’Antarctique, dans des conditions extrêmes que peu d’êtres vivants sont capables d’endurer. En effet, il peut s’adapter à des températures qui peuvent descendre jusqu’à — 30 °C !
Étant donné qu’il évolue dans des eaux gelées, le poisson-antarctique a développé une étonnante capacité : il possède de l’antigel dans son sang. Ce dernier se présente d’ailleurs sous la forme d’un liquide incolore, ce qui est plutôt surprenant.
Crédits : Marrabbio2/Wikimedia Commins
Les bactéries sont vraiment plus futées que l’on croit. Elles ont plusieurs méthodes pour assuré la survie, due moins pour quelques-unes. Parmi les ruses des bactéries, certaines vont être en dormance quand elles sont en situation difficile, tout en étant active au ralenti … Et devenir plus résistantes
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Bacillus subtilis Photo: iStock / Eraxion
Renaud Manuguerra-Gagné
Des bactéries qui font face à des environnements hostiles peuvent ralentir leur métabolisme aux limites de ce qui serait considéré comme vivant. Cette technique de survie jusqu’ici inconnue pourrait nous aider à mieux comprendre le développement de certaines résistances aux antibiotiques.
La lutte contre les bactéries multirésistantes passe par la création de nouveaux antibiotiques, mais aussi par une meilleure compréhension des mécanismes de survie que peuvent adopter ces microbes.
Cette résistance apparaît souvent à la suite de mutations aléatoires qui donnent à une bactérie et à sa descendance la capacité de survivre à un antibiotique. Ces dernières deviennent ensuite de plus en plus nombreuses à mesure que les bactéries qui sont toujours sensibles à l’antibiotique, elles, meurent.
Or, il existe d’autres mécanismes par lesquels ces microbes peuvent échapper à une situation difficile. Des chercheurs de l’Université d’Amsterdam ont découvert une nouvelle méthode(Nouvelle fenêtre) par laquelle les bactéries diminuent leur activité métabolique sans toutefois l’arrêter, et ce, à des niveaux jamais observés jusqu’à maintenant.
Surnommé « état zombie » par certains, ce ralentissement permet aux bactéries d’assurer leur survie tout en conservant un niveau d’activité leur laissant la possibilité de revenir rapidement à la charge une fois la menace passée.
Spécialistes en survie
Les bactéries ne répondent pas toutes de la même manière lorsque les ressources alimentaires viennent à manquer ou que les conditions de vie deviennent trop difficiles.
Certaines espèces vont rester actives en produisant des biofilms, des murailles qui englobent les colonies bactériennes et leur permettent de vivre sans être affectées par des menaces extérieures, comme des antibiotiques.
D’autres bactéries peuvent entrer en dormance et vont soit arrêter leur croissance entièrement, soit former ce qu’on appelle des spores, des capsules extrêmement résistantes dans lesquelles des bactéries déshydratées pourront rester en dormance pendant des centaines, voire des milliers d’années.
Bien que très efficaces, seules certaines espèces de bactéries maîtrisent cette technique de survie. De plus, ce processus demande beaucoup d’énergie pour être mis en place, et certaines bactéries ne sont pas capables d’émerger de cet état lorsque des conditions plus favorables sont rétablies.
Une troisième voie
Les chercheurs se sont intéressés à une espèce bactérienne inoffensive très commune dans le sol, nommée Bacillus subtilis. Cette bactérie crée normalement des spores pour assurer sa survie, mais des chercheurs ont remarqué qu’une forme mutante incapable de produire des spores survivait quand même pendant des mois dans de l’eau presque pure, avec un accès infime à des éléments nutritifs.
Or, les chercheurs ont réalisé que la bactérie n’était pas en dormance et que, même si le stress lui avait fait prendre une forme sphérique inhabituelle, plusieurs processus biologiques continuaient d’avoir lieu à l’intérieur.
La bactérie pouvait même continuer de se diviser, même si elle ne le faisait qu’une fois tous les quatre jours, soit des centaines de fois plus lentement que sa normale d’une fois toutes les 40 minutes.
Cette activité ralentie à l’extrême venait toutefois avec un avantage : la bactérie était maintenant beaucoup plus résistante aux stress oxydatifs et aux antibiotiques.
Les chercheurs ont nommé ce processus « croissance oligotrophique », c’est-à-dire une croissance qui a lieu dans un milieu extrêmement pauvre en éléments nutritifs. Si des espèces autres que B. subtilis maîtrisent cette technique de survie, cela pourrait mettre en évidence la méthode employée pour survivre aux antibiotiques et offrir une nouvelle cible aux chercheurs qui travaillent à résoudre ce problème
C’est Taco Bell qui va être content ! C’est une belle publicité pour eux. Lors d’une tempête de neige en Oregon aux États-Unis, un homme et son chien ont vécu 5 jours dans l’auto trop enterrée dans la neige. Il a survécu avec de la sauce piquante du restaurant Taco Bell.
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Une voiture enneigée | MoneyforCoffee via Pixabay License by
Repéré sur The Guardian
Repéré par Christophe-Cécil Garnier
C’étaient des sauces de la marque Taco Bell.
Jeremy Taylor partait tranquillement faire le plein d’essence du côté de Sunriver, dans l’état américain de l’Oregon, quand il se retrouva coincé dans une tempête de neige sur la route. Accompagné de son chien, Ally, il s’endormit dans sa voiture, en espérant que la neige allait passer. Sauf que lors de son réveil, plus de neige était tombée encore, raconte le Guardian.
Il a alors tenté de sortir de sa voiture mais la quantité de neige était trop importante. Il a ensuite pris la décision de retourner dans sa voiture avec son chien. Il a survécu dedans pendant cinq jours, du 24 au 29 février, en mangeant des paquets de sauce piquante de chez Taco Bell, une chaîne de restauration américaine, et en allumant le moteur de sa voiture pour se chauffer. Il a ensuite été retrouvé par une motoneige. Les autorités ont ensuite déblayé la voiture grâce à un tracteur.
«Merci à tout le monde, a déclaré Jeremy Taylor sur Facebook. J’ai vraiment apprécié l’aide que vous m’avez apportée. J’ai eu de la chance, mais je ne le ferai plus jamais».
À un commentaire qui lui demandait comment il avait mangé trois paquets de sauce piquante Taco Bell durant cette épreuve, il a répondu en plaisantant: «La fire sauce de Taco Bell sauve des vies!».
L’homme de 36 ans et son chien ont été trouvés en bonne santé par les autorités mais «étaient affamés» indique le quotidien anglais.
Les hommes préhistoriques vivaient avec les chiens jusqu’à la mort. Des preuves démontrent sur des sites des ossements humains avec des ossements de chiens. En fait, ce sont surtout des ossements de chiots, qui laissent à penser qu’ils étaient sacrifiés à la mort d’une personne. Et il semble heureusement, que les chiens ne faisaient pas partie du régime alimentaire humain.
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Les chiens de taille moyenne (50 cm de haut pour 15 kilos) décrits dans l’étude ressemblent « aux chiens de berger des Pyrénées actuelles » © getty.
Il y a quelque 6.000 ans, des communautés néolithiques vivant près de ce qui est aujourd’hui Barcelone aimaient déjà beaucoup leurs chiens, jusque dans la tombe
Des preuves archéologiques mises au jour sur au moins quatre sites montrent que ces hommes préhistoriques et leur compagnons à quatre pattes vivaient ensemble, travaillaient ensemble, et partageaient le même régime alimentaire de graines et de légumes, selon une étude publiée récemment dans la revue Journal of Archaeological Science: Reports.
© afp
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© afp.
« Ces animaux étaient totalement intégrés dans ces communautés néolithiques », explique à l’AFP Silvia Albizuri, de l’Université de Barcelone.
Et ce statut spécial accordé aux canidés les suivait dans la tombe. Des squelettes partiels ou complets de chiens ont ainsi été retrouvés dans plus d’une vingtaine de tombes, placés avec soin aux côtés d’hommes, de femmes ou d’enfants.
Sacrifiés à la mort de leur maître
Mais les animaux choisis pour passer l’éternité avec leurs maîtres en payaient le prix: ils étaient sacrifiés au moment des funérailles, selon l’étude. Les restes retrouvés appartenaient à des chiens âgés de 1 à 6 ans, dont un quart entre 12 et 18 mois.
« La sélection de chiots et d’animaux d’un an suggère un sacrifice », précise Silvia Albizuri.
La préférence de ces communautés pour les jeunes chiens pourrait aussi être liée à une réticence à perdre les animaux plus âgés déjà dressés notamment pour garder les troupeaux.
Des chiens pas mangés
L’absence d’entailles sur les os des chiens laisse également penser que leur chair n’était pas découpée ou mangée avant l’inhumation. Des chiens et des hommes enterrés côte à côte ont déjà été retrouvés sur d’autres sites du Néolithique dans le nord de l’Italie et le sud de la France, mais la tombe de Bobila Madurell, juste au nord de Barcelone, contenait plus de chiens que les autres, note l’étude.
Processus de domestication
Selon les scientifiques, les chiens ont probablement d’abord été utilisés par les hommes pour chasser. Puis quand les hommes se sont sédentarisés et ont commencé à cultiver la terre il y a 10.000 ans, ces canidés domestiques sont devenus des protecteurs contre les intrus ou les animaux sauvages, en particulier leur cousin sauvage, le loup. Ces populations ont également domestiqué d’autres animaux comme les moutons ou les chèvres.
Economie du Néolithique
« Les chiens jouaient un rôle important dans l’économie des populations du Néolithique, en prenant soin des troupeaux et des lieux de vie », notent les chercheurs.
Les chiens de taille moyenne (50 cm de haut pour 15 kilos) décrits dans l’étude ressemblent « aux chiens de berger des Pyrénées actuelles », note Silvia Albizuri.
Les os de bétail retrouvés dans les sites des sépultures en Espagne étaient éparpillés de façon hétéroclite, une autre preuve de la place spéciale réservée aux canidés néolithiques.
Vestiges de fermes
Environ 5.000 ans avant notre ère, quelques communautés importantes vivaient dans le sud de l’Europe, où existaient aussi quelques plus petits villages dans les plaines ou sur les collines. Les archéologues ont également retrouvé des vestiges de fermes, d’abris temporaires et de silos pour stocker le grain.
La prison d’Alcatraz n’a pas toujours été un lieu de détention avant c’était un fort militaire. Les archéologues ont trouvé un tunnel qui était à l’époque de ce fort. Cette prison est maintenant un lieu touristique, mais il s’est rendu célèbre avec l’invasion de trois détenus, dont un ne sait s’ils ont pu traverser sans se noyer jusqu’à la terre ferme.
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La prison d’Alcatraz © belga.
Jeanne Poma.
source: KVDS
Un tunnel datant du XIXème siècle vient d’être découvert sous la tristement célèbre prison d’Alcatraz, qui a abrité des criminels comme Al Capone. C’est grâce à des balayages au laser et à des radars que le couloir a pu être trouvé.
L’archéologue Timothy de Smet et ses collègues de l’Université Binghamton à New York sont à l’origine de cette découverte. Le tunnel part d’Est en Ouest, sous la cour de la prison. Composé de briques, il est équipé de conduits de ventilation.
Un miracle
« Cette découverte est surprenante », a déclaré l’archéologue. « Le tunnel a été parfaitement conservé alors qu’il ne se trouvait qu’à quelques mètres de la surface. Le sol en béton de la cour de la prison est vraiment mince ».
Ce tunnel daterait de 1860, quand le bâtiment servait encore de fort militaire. Ce n’est qu’au début du XXème siècle qu’il est devenu une prison. Les scientifiques ont utilisé une technique qui permettait de préserver le site, sans savoir pour autant à quoi s’attendre.
Un lieu protégé
Timothy de Smet souhaite poursuivre ses recherches au large de San Francisco. La prison est un site protégé depuis 1972 et constitue une attraction touristique majeure.
Tentatives d’évasion
La prison est connue pour ses détenus célèbres, mais aussi pour les nombreuses tentatives d’évasion. Officiellement, cependant, personne n’aurait jamais réussi à s’en sortir vivant.
Jusqu’à ce jour, on ignore comment ont survécu les trois prisonniers qui ont tenté de s’échapper dans la nuit du 11 au 12 juin 1962. Frank Morris et les frères John et Clarence Anglin, emprisonnés pour une série de vols à main armée, se sont échappés par une bouche d’aération sous le lavabo de leur cellule. Ils ont disparu la nuit, avec un radeau improvisé. L’enquête qui a suivi n’a jamais permis de les retrouver. Officiellement, ils se seraient noyés dans les eaux glacées de la baie de San Francisco.
C’est peut-être drôle, mais sur le coup, cela à du être assez éprouvant pour la grand-maman. Elle a quand même été chanceuse qu’un homme en voyage aussi en Islande avait une formation de sauvetage pour ramener la dame sur les côtes.
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Elle posait sur un iceberg en Islande, une touriste est emportée par les flots
par Malaurie Chokoualé
Professeure d’anglais de 24 ans en Corée du Sud, Catherine Streng dit s’être littéralement étranglée de rire en recevant les messages de son père.
Photos à l’appui, celui-ci lui a conté la mésaventure de sa propre mère, tous deux en voyage en Islande. Pendant qu’elle était assise sur un iceberg pour prendre la pose, la grand-mère de Catherine s’est éloignée dans la grande lagune glaciaire de Jökulsárlón. Elle a été emportée par les vagues si rapidement sur son trône de glace qu’elle a dû être secourue in extremis. Le 28 février, BuzzFeed News partageait sa compassion et (surtout) son hilarité pour la pauvre dame.
Catherine raconte à BuzzFeed News que sa grand-mère a tout d’abord été surprise par ce bloc de glace en forme de trône. Elle n’a pas pu résister à l’idée de se faire prendre en photo, assise fièrement dessus. Alors qu’elle fixait l’objectif, le bloc de glace s’est soudain détaché à cause d’une puissante vague, l’emportant avec lui pour une promenade impromptue sur les eaux glaciales.
Crédits : Catherine Streng
Par chance, Randy Lacount, un homme originaire de Floride ayant suivi une formation de sauveteur, a assisté à toute la scène et s’est porté à son secours.
« Il s’est donc plongé dans les eaux tumultueuses et l’a tirée de l’iceberg alors qu’il dérivait vers la mer, la soutenant jusqu’à ce qu’ils atteignent la côte », a déclaré le père de Catherine Streng, que la situation a beaucoup amusé.
Source : BuzzFeed News