L’inaction


C’est une bonne définition de l’inaction. Le remède est bien de bouger, voir des gens, s’investir dans des projets même s’ils sont petits
Nuage

 

 

L’inaction

 

 

Le fer se rouille, faute de s’en servir, l’eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l’inaction sape la vigueur de l’esprit.

Léonard De Vinci

Le Saviez-Vous ► Combien d’exercice un chien a-t-il besoin de faire chaque jour ?


On choisit surtout un animal par coup de coeur, cependant on oubli que chaque chien ont des particularités qu’il faut tenir compte. Avoir un chien qui a de l’énergie doit se dépenser pour être heureux. Il faut donc réfléchir sur nos propres activités, notre disponibilité avant de choisir un chien.
Nuage

 

Combien d’exercice un chien a-t-il besoin de faire chaque jour ?

 

chien court content

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Il n’est pas rare que par temps de pluie, le soir en rentrant du travail ou même tôt le matin, vous fassiez au plus vite pour sortir votre chien. Après tout, il aura l’occasion de se dépenser le week-end. Pourtant, d’après les vétérinaires, chaque chien a besoin d’une dose quotidienne d’exercice physique qu’il est absolument nécessaire de respecter.

Pourquoi ? Pour éviter d’éventuels dégâts à la maison, rendre votre toutou heureux, bien dans sa peau et surtout le maintenir en bonne santé. Mais de quelle quantité d’exercice a-t-il besoin ? En réalité, plusieurs facteurs sont à prendre en compte !

Bien que les besoins en matière d’exercice dépendent, comme vous allez le voir, de l’âge, de l’état de santé, de la race et de la taille de votre chien, celui-ci devrait normalement consacrer 30 minutes à 2 heures à une activité physique quotidienne. Au fil du temps, vous serez en mesure de déterminer la quantité d’exercice qui convient à votre chien en fonction de son niveau d’énergie lors des activités sportives et de son comportement durant le reste de la journée.

1. L’âge de votre chien

Dans la plupart des cas, les jeunes chiens ont plus besoin de se dépenser que les chiens plus âgés. En effet, ces derniers nécessitent généralement moins d’exercice, d’autant plus s’ils ont des problèmes de santé.

Une bonne technique pour quantifier la durée d’exercice quotidienne pour un chiot de moins d’un an est d’ajouter 5 minutes à chaque mois sa vie. Par exemple, si votre chiot a 6 mois, il aura besoin de 35 minutes de défoulement quotidien. Et même deux fois par jour s’il est en demande. Mais pas plus ! En effet, trop d’exercice physique pourrait impacter sa croissance.

À noter qu’un chien est considéré comme étant âgé à partir de l’âge de 7 ans. Ou 10 ans pour les petites races.

2. L’état de santé de votre chien

Si l’état de santé de votre chien ne permet pas de l’emmener faire de longues promenades ou de pratiquer des séances de jeux intensives avec lui, n’hésitez pas à mettre le paquet sur la stimulation mentale à la maison ou en extérieur. Pour cela, achetez-lui ou fabriquez-lui des jeux intelligents. Cela lui permettra de faire travailler son flair, son cerveau ou sa vue.

Si votre chien a un problème médical (dysplasie de la hanche, maladie cardiaque ou respiratoire…), il est plus prudent de discuter avec un vétérinaire afin de connaître la routine d’exercice qui l’aidera à rester en bonne santé sans lui causer de gêne. Par ailleurs, pour les chiens qui ont des problèmes d’articulations, la natation peut être une excellente alternative à l’exercice physique.

Attention toutefois, si vous prévoyez de faire reprendre une activité physique à votre chien, notamment pour lui faire perdre du poids, parlez-en toujours au préalable avec un vétérinaire. De plus, veillez à ce que l’effort soit toujours progressif !

3. La taille et la race de votre chien

En règle générale, les chiens qui nécessitent le moins d’activité physique à l’âge adulte sont les races les plus petites (Chihuahua, Yorkshire Terrier…) et les races géantes (Grand Danois, Saint-Bernard…). Ainsi, les plus petits chiens auront généralement besoin de 20 à 40 minutes d’exercice par jour. Contre 40 à 60 minutes pour les plus grands. Il existe cependant quelques exceptions, comme le Jack Russell par exemple, qui déborde bien souvent d’énergie.

Par ailleurs, les races brachycéphales, c’est-à-dire avec le nez écrasé (Carlin, Bouledogue…), exigent également moins d’activité physique à cause des difficultés respiratoires dont ils sont souvent victimes.

Enfin, il existe des races de chiens particulièrement sportives et qui ont un gros besoin d’exercice. C’est notamment le cas du Border Collie, du Husky Sibérien, du Berger Belge Malinois ou encore du Labrador Retriever. Pour rester en bonne santé, ces chiens devraient normalement se dépenser 80 à 120 minutes par jour.

Source

https://animalaxy.fr/

Un gang de 6000 poules tuent un renard qui tentait de s’in­tro­duire dans leur poulailler


L’union fait la force, 6 000 poules contre un jeune renard sans expérience, le petit n’avait aucune chance. Le résultat, serait-il le même avec un renard adulte ? Peut-être, mais sûrement qu’il y aurait des victimes parmi les poules ..
Nuage

 

Un gang de 6000 poules tuent un renard qui tentait de s’in­tro­duire dans leur poulailler

 

Crédits : Mai Moes­lund

par  Malaurie Chokoualé

 

Le petit renard n’a rien pu faire face aux galli­na­cés déchaî­nés. Au matin du 7 mars, son corps a été retrouvé, criblé de coups de bec, dans la cage de l’éle­vage du lycée du Gros-Chêne à Pontivy en Bretagne, rapporte Ouest France.

« Le renard a dû rentrer au cours de la nuit, par un des portillons d’ac­cès de l’éle­vage de poules pondeuses qui donne sur 2,4 ha de pâture qui leur sont réser­vés », explique Pascal Daniel, direc­teur de la ferme.

L’ani­mal — âgé d’en­vi­ron cinq mois — ne s’at­ten­dait sûre­ment pas à se retrou­ver face à 6 000 poules, armées jusqu’au bec et prêtes à défendre leurs nids. Le jeune renard inex­pé­ri­menté a payé chère­ment le prix de sa curio­sité.

Pascal Daniel ne déplore la perte d’au­cune de ses poules dans cette histoire.

Source : Ouest France

https://www.ulyces.co/

En Espagne, des scien­ti­fiques vont envoyer des décharges élec­triques dans le cerveau de déte­nus


Même si cette expérience de décharge électrique dans le cerveau est sans douleur, les prisonniers sont-ils volontaires ? Le but serait de diminuer les comportements violents. Cela me fait penser aux électrochocs qu’ils donnaient a des malades, il y a plusieurs dizaines d’années au Canada sans que ces personnes ne soient consentantes. Et ils sont restés avec des séquelles ..
Nuage

 

En Espagne, des scien­ti­fiques vont envoyer des décharges élec­triques dans le cerveau de déte­nus

 

Crédits : New Scien­tist

Par  Malaurie Chokoualé 

Des cher­cheurs de l’uni­ver­sité de Huelva en Espagne sont sur le point de débu­ter une nouvelle expé­rience sur des déte­nus, dans le courant du mois de mars.

À New Scien­tist, ils ont expliqué vouloir envoyer des décharges élec­triques dans certaines parties de leur cerveau pour déter­mi­ner si elles peuvent calmer leurs pulsions violentes.

Durant quelques jours, une douzaine de prison­niers répu­tés violents auront des élec­trodes posées sur le crâne. À la fin de leur expé­rience, ils donne­ront un peu de leur salive. Celle-ci servira à évaluer leur taux de corti­sol, et savoir si l’hor­mone du stress peut aider à comprendre l’agres­si­vité du détenu.

Ce procédé s’ap­pelle la « stimu­la­tion trans­crâ­nienne en courant continu » (TDCS), une tech­nique médi­cale basée sur le prin­cipe de stimu­la­tion élec­trique du cerveau. New Scien­tist précise que les chocs élec­triques tiennent plus du massage crânien que de l’éclair foudroyant. En effet, vu le faible niveau d’élec­tri­cité utilisé (un à deux milli­am­pères d’am­pli­tude pendant une tren­taine de minutes), ils consistent à envoyer des stimu­la­tions sans douleur.

Cette étude est loin d’être la première du genre. En 2018 par exemple, l’uni­ver­sité de Penn­syl­va­nie avait mené une étude simi­laire sur des prison­niers et avait conclu à une possible dimi­nu­tion des tendances violentes chez des déte­nus « stimu­lés ». La pratique est néan­moins légi­ti­me­ment contro­ver­sée.

Source : New Scien­tist

https://www.ulyces.co/

Ses violeurs présumés sont acquittés car elle est trop "laide" et "masculine"


Après le viol, le médecin confirme la version de la victime qu’elle avait été droguée violée. Les deux hommes sont libres à cause de l’aspect physique de la femme. Comment des hommes qui sont là pour faire régner la justice peuvent faire émettre de tels propos sur le physique de la plaignante et laisser aller des violeurs ? C’est écoeurant.
Nuage

 

Ses violeurs présumés sont acquittés car elle est trop « laide » et « masculine »

 

Image d’illustration © getty.

Deux hommes ont été acquittés en Italie pour le viol d’une femme. Le motif? La victime a été jugée « trop laide » et « masculine » pour qu’ils puissent avoir été attirés par elle.

Une Péruvienne a affirmé en 2015 avoir été violée par deux hommes qui auraient mis de la drogue dans son verre. Des médecins avaient confirmé la version de la victime: les blessures correspondaient bien à celles d’un viol, et des traces de drogue avaient été retrouvées dans son sang. Mais les deux agresseurs présumés ont été acquittés en 2017 pour des raisons dévoilées seulement maintenant.

Selon les magistrats, les hommes « n’appréciaient pas la jeune femme et avaient même gardé son numéro de téléphone sous le surnom de Viking, une allusion non pas à une figure féminine mais à une figure masculine ».

La victime était « trop laide » et « masculine » pour qu’ils aient pu être attirés par elle. « La photographie de son dossier semble confirmer cela », avaient-ils ajouté.

Depuis la révélation de ces détails, l’affaire a provoqué la colère des associations de défense des droits des femmes. Elles manifestent devant la cour d’appel d’Ancône en Italie. L’affaire sera rejugée à une date ultérieure.  https://www.7sur7.be/

Ces scien­ti­fiques japo­nais ont injecté des cellules de mammouth dans des souris


L’idée de faire revivre les mammouths est toujours d’actualité chez certains scientifiques. Au Japon, ils ont utilisé une souris, ils ont injecté plusieurs types de cellules, heureusement la division cellulaire ne s’est pas fait. Il y a des animaux qui risquent de disparaitre présentement, c’est eux qui ont besoin d’aide pour survivre.
Nuage

 

Ces scien­ti­fiques japo­nais ont injecté des cellules de mammouth dans des souris

 

par  Malaurie Chokoualé

 

Le dernier essai en date pour faire reve­nir à la vie le mammouth laineux – disparu il y a plus de 4 000 ans – est aussi incon­gru qu’im­pres­sion­nant. Une équipe de cher­cheurs japo­nais a extrait des cellules d’une carcasse de mammouth conge­lée décou­verte en Sibé­rie et les a injec­tées dans des souris, rapportent-ils dans la revue scien­ti­fique Nature.

Ils expliquaient le 11 mars avoir ainsi réussi à acti­ver des cellules de mammouth.

Ce sont les cellules de Yuka qui ont servi au test. Il s’agit des restes momi­fiés d’un mammouth laineux retrouvé en 2010 dans le pergé­li­sol sibé­rien. Vieux de 28 000 ans, il s’agit d’un des mammouths les mieux conser­vés.

À partir d’un échan­tillon muscu­laire, ils ont commencé à isoler envi­ron 88 types de cellules, avant de les injec­ter dans des ovocytes de souris. Les résul­tats ne se sont pas faits attendre :

« Ils indiquent qu’une partie des noyaux de mammouth possède un poten­tiel de recons­ti­tu­tion nucléaire», ont-ils déclaré.

Si cela prouve qu’une acti­vité cellu­laire est encore possible après des milliers d’an­nées, ils n’ont pas observé de divi­sion cellu­laire, ce qui est essen­tiel pour créer un œuf viable…

C’est toute­fois un « pas impor­tant vers la réha­bi­li­ta­tion des mammouths », acquiesce le cher­cheur Kei Miya­moto. 

C’est donc encore loin d’être gagné. À ceux qui espèrent ardem­ment leur retour, ce ne sera malheu­reu­se­ment pas sous la forme de « souri­mouths ».

Source : Nature

https://www.ulyces.co/

Hiver enneigé, printemps inondé? Pas forcément


Avec l’hiver que nous avons eu, le froid qui ne démordait pas et la neige qu’on ne savait plus ou la mettre, les trottoirs impraticables, le déneigement des rues difficiles, semble être enfin derrière nous. Il reste maintenant a fondre toute cette neige et cette glace. Allons-nous connaitre des inondations un peu partout au Québec ? Tout dépend de la quantité de pluie et la température. Si cela fond trop vite, … Sortez vos bateaux ? Pour le moment, cela semble aller tranquillement et on ne prévoit pas de grandes inondations, mais cela est quand même à surveiller.
Nuage

 

Hiver enneigé, printemps inondé? Pas forcément

 

La rivière Sainte-Anne photographiée en hiver. On aperçoit un pont surplombant la rivière. Cette dernière est entièrement recouverte de neige.

La rivière Sainte-Anne, à Saint-Raymond, fait l’objet d’une étroite surveillance. Photo: Radio-Canada / Samuel Pouliot

Louis Gagné

L’importante quantité de neige qui est tombée sur le Québec depuis le début de l’hiver n’entraînera pas nécessairement plus d’inondations lors de la fonte printanière.

Le directeur des opérations d’Hydro-Météo, Pierre Corbin, mentionne que d’autres facteurs que la quantité de neige peuvent influencer l’intensité des crues, tels que les précipitations de pluie et la température.

« C’est vraiment ça qui va faire qu’on aura des problèmes, d’une part, avec les glaces, et, d’autre part, sans les glaces, après les débâcles pour certains cours d’eau », explique M. Corbin en entrevue à Radio-Canada.

Le directeur des opérations ajoute qu’il est difficile de prévoir si la fonte des neiges sera accompagnée de pluie ou d’épisodes de redoux prolongés. Si c’est le cas, la quantité élevée de neige au sol pourrait effectivement provoquer des inondations.

« Plus il y a de la neige au sol, plus la crue va être significative, longue, dépendamment de la vitesse de fonte », indique-t-il.

S’il y avait des précipitations […] pendant la période de fonte, ou si la fonte était tout simplement plus rapide avec des températures de 15, 20 degrés Celsius, aucune région ne pourrait échapper aux problématiques. Pierre Corbin, directeur des opérations, Hydro-Météo

Le centre-ville de Sainte-Marie photographié lors d’une inondation au printemps 2018.

Le printemps dernier, le centre-ville de Sainte-Marie, en Beauce, avait été inondé à la suite du débordement de la rivière Chaudière. Photo : Radio-Canada / Marc-Antoine Lavoie

Pas de problème, à court terme

Pour l’instant, ce scénario ne semble pas se dessiner, du moins à court terme. Les températures douces annoncées pour les journées de jeudi, vendredi et samedi vont faire fondre une partie de la neige, mais ne devraient pas provoquer d’importantes inondations.

« On ne devrait pas avoir d’inondation. Par contre, il faudra surveiller les plus petits cours d’eau comme les ruisseaux, qui pourraient être problématiques, mais sinon, les grosses rivières ne devraient pas bouger, en fin de semaine à tout le moins », indique Éric Drolet, directeur de la sécurité civile pour la région Capitale-Nationale-Chaudières-Appalaches-Nunavik.

Le maire de Sainte-Marie, en Beauce, abonde dans le même sens. Gaétan Vachon estime que sa municipalité devrait « s’en tirer à bon compte » au cours des prochains jours.

Il précise qu’en cas de pluie, la neige qui recouvre la glace sur la rivière Chaudière permettra d’éponger une partie des précipitations.

Une voiture circule sur une rue inondée au centre-ville de Sainte-Marie, en Beauce. La photographie a été prise de soir.

De nombreuses municipalités du Québec ont vécu des inondations au printemps 2018. Photo : Radio-Canada / Daniel Coulombe

Une « bonne nouvelle »

Le maire ajoute que la composition du couvert de glace et la présence de fissures pourraient contribuer à empêcher des inondations comme celles que Sainte-Marie a connues au cours des dernières années.

« La glace a 16 pouces d’épaisseur, mais ce n’est pas une glace pure, c’est une glace avec une couche de neige, du frasil, donc la glace comme telle n’est pas dangereuse comme certaines années, ça, c’est une bonne nouvelle », se réjouit Gaétan Vachon.

Selon les experts, on aura une meilleure idée de l’ampleur des crues printanières d’ici la fin du mois de mars et le début du mois d’avril.

« C’est à ce moment-là qu’on va voir si le dégel est plus agressif, mais pour l’instant, à court terme, on ne voit rien d’extraordinaire au niveau du dégel rapide et des précipitations », mentionne Pierre Corbin.

Avec la collaboration d’Alexandra Duval

https://ici.radio-canada.ca/