Le Saviez-Vous ► Cet arbre au Monténégro se trans­forme en fontaine quand il pleut


À Monténégro, un vieil arbre se change en fontaine lors des fortes pluies. Le murier est entourer de sources qui avec les pluies débordent et avec le temps ont creusé un passage dans l’arbre
Nuage

 

Cet arbre au Monténégro se trans­forme en fontaine quand il pleut

 

par  Nicolas Prouillac

Dans le petit village de Dinoša, au Monte­ne­gro, un vieux murier se trans­forme en fontaine à chaque fois que des pluies s’abattent sur la région.

Ce phéno­mène étrange a une expli­ca­tion raison­nable : les sols de la prai­rie sur laquelle a poussé le mûrier sont truf­fés de sources qui débordent lorsqu’il pleut trop fort. L’eau remonte ainsi le long des racines du vieil arbre et jaillit à travers son tronc creux.

Cette curio­sité dure depuis 20 ou 25 ans, d’après un habi­tant du coin inter­rogé par Radio Liberty.

« L’arbre doit avoir 100 ou 150 ans », raconte Emir Hakra­maj. « Une cavité s’est créée en son centre et avec le temps, la source souter­raine a réussi à la percer pour créer ce beau spec­tacle. »

Le rare phéno­mène est aussi natu­rel que fasci­nant.

Source : YouTube/RadioF­reeEu­rope

https://www.ulyces.co/

On ne devient adulte qu’à partir de 30 ans


A 18 ans ou 21 ans, dépendant du pays, on passe à l’âge adulte avec tout ce que cela comporte. En réalité, ce passage ne se fait pas tout d’un coup. Chaque personne évolue à son rythme. Bien que cela soit la norme, il semblerait que les mutations du cerveau prennent environ 30 ans pour arriver à maturité, c’est-à-dire être considéré comme adulte.
Nuage

 

On ne devient adulte qu’à partir de 30 ans

 

Les résultats des recherches d'une équipe de neurologues concordent avec le sentiment grandissant parmi les jeunes générations d'un âge adulte inatteignable. | Jens Johnsson via Unsplash

Les résultats des recherches d’une équipe de neurologues concordent avec le sentiment grandissant parmi les jeunes générations d’un âge adulte inatteignable. | Jens Johnsson via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Selon une étude britannique, à 18 ans le cerveau est encore en développement et loin de sa maturité.

À 18 ans –21 ans dans certains pays–, vous êtes en âge de voter, de boire de l’alcool, d’aller en prison si vous commettez un crime, et de souscrire des prêts. Pourtant, si selon l’État vous êtes alors considéré comme adulte, la réalité est tout autre. Selon les recherches d’une équipe de neurologues de l’université de Cambridge, l’âge adulte diffère pour chacun et chacune.

«Donner une définition précise du passage entre l’enfance et l’âge adulte paraît de plus en plus absurde, explique Peter Jones, coauteur de l’étude. Il s’agit d’une transition bien plus nuancée qui s’effectue sur près de trois décennies.»

D’après les résultats de l’enquête, le cerveau de la plupart d’entre nous atteint sa maturité aux alentours de nos 30 ans. Avant cela, notre cortex traverse plusieurs phases de mutation qui peuvent entraîner des modifications du comportement ou de la personnalité, voire le développement de troubles mentaux.

Enfant/adulte, des catégories obsolètes

Ces résultats concordent avec le sentiment grandissant parmi les jeunes générations d’un âge adulte inatteignable.

 Le «I feel like a child syndrome» est un dérivé du syndrome de l’imposteur très répandu chez les millennials, empêtrés dans les dettes étudiantes, le chômage et un marché immobilier sinistré, et qui ne parviennent pas à cocher les étapes supposées obligatoires du passage à l’âge adulte comme trouver un job, quitter le nid familial, fonder une famille. Pas étonnant alors de constater un pic de déprime chez les jeunes de la génération Y, pour beaucoup en pleine crise du quart de siècle, cette dépression qui toucherait les deux tiers des 25-33 ans.

Pour Peter Jones, cette catégorisation enfant/adulte est une pure invention:

«Ça arrange l’éducation nationale, la justice ou le système de santé d’avoir des paliers tranchés», affirme celui qui pense tout de même que dans le cadre de la justice, un juge expérimenté n’appliquera pas la même peine à une personne de 19 ans qu’à un ou une coupable de 30 ans.

«Le système s’adapte lentement à ce qui est évident, déclare Peter Jones, il n’existe pas d’un côté l’enfance, de l’autre l’âge adulte. Les gens suivent une trajectoire. Personne n’aime l’idée d’une chenille qui se transforme instantanément en papillon.»

http://www.slate.fr/

Mathématiques: le prix Abel attribué à une femme pour la première fois


Le prix Abel est un prix pour les mathématiques étant donné que cette science est absente du prix Nobel. Pour la première fois, c’est une femme qui a reçu le prix pour ses travaux.
Nuage

 

Mathématiques: le prix Abel attribué à une femme pour la première fois

 

Agence France-Presse
Oslo

Le prix Abel de mathématiques a récompensé pour la première fois mardi une femme, l’Américaine Karen Uhlenbeck, spécialiste des équations aux dérivées partielles, a annoncé l’Académie norvégienne des Sciences et Lettres.

« Karen Uhlenbeck reçoit le prix Abel 2019 pour son travail fondamental dans l’analyse géométrique et la théorie de jauge qui a radicalement modifié le paysage mathématique », a déclaré le président du comité Abel, Hans Munthe-Kaas.

« Ses théories ont révolutionné notre compréhension des surfaces minimales, telles que celles formées par des bulles de savon, et des problèmes de minimisation plus généraux en dimension supérieure », a-t-il fait valoir dans un communiqué.

Âgée de 76 ans, Karen Uhlenbeck est maître de recherche universitaire invitée à l’Université de Princeton ainsi que professeure associée à l’Institute for Advanced Study (IAS), aux États-Unis.

Cette native de Cleveland « a élaboré des outils et des méthodes d’analyse globale » qui font dorénavant partie de la boîte à outils de tout géomètre et analyste, a souligné l’Académie norvégienne des Sciences et Lettres.

Elle est également une figure de proue de l’égalité des sexes en sciences et en mathématiques.

Il s’agit de la première femme à recevoir le prix Abel, créé en 2003 par le gouvernement norvégien avec l’objectif de combler l’absence de prix Nobel de mathématiques. Il porte le nom d’un mathématicien norvégien, Niels Henrik Abel (1802-1829).

Doté de 6 millions de couronnes (620 000 euros), c’est l’une des plus prestigieuses distinctions au monde dans le domaine des mathématiques avec la médaille Fields, attribuée tous les quatre ans.

https://www.lapresse.ca/

Il y a 5000 ans, on parcourait des centaines de kilomètres pour assister aux banquets de Stonehenge


Stonehenge en Angleterre dévoile peu à peu ses secrets. Aujourd’hui, les scientifiques ont découvert que cet endroit était un lieu de rassemblement pour festoyer, il y a plus 5 000 ans. On n’hésitait pas a faire plusieurs centaines de kilomètres pour l’évènement en hiver Comment les scientifiques ont pu conclure cela ? Grâce a des ossements de cochons qui ne sont pas natifs de la région bien en Écosse près du Pays de Gales. Il y avait aussi du boeuf au menu qui venait aussi de loin.
Nuage

Il y a 5000 ans, on parcourait des centaines de kilomètres pour assister aux banquets de Stonehenge

image

par Brice Louvet

Les récentes analyses de restes de cochons retrouvés près de Stonehenge, en Angleterre, suggèrent que d’immenses banquets se déroulaient il y a près de 5 000 ans dans la région. Et l’on venait de loin pour y assister.

Il est aujourd’hui coutumier de se rassembler dans le cadre d’événements (ou non d’ailleurs), pour festoyer. Mais la pratique n’est pas propre à notre époque. Il y a près de 5 000 ans, certains n’hésitaient pas à parcourir des centaines de kilomètres pour assister à des banquets gigantesques autour de Stonehenge et d’Avebury, en Angleterre. Nous savons même que du cochon rôti était servi. C’est en effet ce que suggère une étude, publiée dans Science Advances et menée par des chercheurs de l’Université de Cardiff.

Des cochons venus des 4 coins de l’île

Ces scientifiques menés par le docteur Richard Madgwick ont récemment analysé la composition chimique de 131 restes de cochons découverts sur quatre sites archéologiques du sud de l’Angleterre – tous à proximité des célèbres mégalithes (Durrington, Marden, Mount Pleasant et West Kennet Palisade Enclosures). Il ressort de ces échantillons que tous les animaux avaient été élevés soit en Écosse, soit au nord-est de l’Angleterre, soit à l’ouest du Pays de Galles. Autrement dit, les animaux venaient de loin. Et ils étaient encore vivants en arrivant.

Ces nouveaux résultats confirment des observations plus anciennes.

« On avait analysé des restes de bœufs et des céramiques qui, eux aussi, venaient d’assez loin, explique en effet Cyril Marcigny, co-auteur de l’étude. Et cette fois-ci, les analyses nous donnent une information supplémentaire, car on sait désormais que ces rassemblements avaient lieu en hiver ».

 On imagine alors ces éleveurs, venus de loin, proposer leurs animaux au menu. Aujourd’hui les choses n’ont guère changé. Lorsque vous êtes invités à manger, il vous arrive parfois d’apporter une contribution, n’est-ce pas ?

Des rassemblements préparés avec soin et très festifs

« La découverte la plus surprenante est de voir l’effort fourni par les participants pour qu’ils acceptent de fournir des bêtes qu’ils ont eux-mêmes élevées., relève Richard Madgwick. Il aurait été relativement facile de les acheter à proximité des lieux de fête. Les porcs ne sont pas aussi aptes à se déplacer sur la distance que les bovins et les transporter sur des centaines de kilomètres devait nécessiter un effort monumental ».

Pour le chercheur, cela suggère qu’il était probablement spécifiquement demandé que les porcs offerts devaient être élevés par les participants au festin, et non achetés sur place.

« Ces rassemblements pourraient être considérés comme les premiers événements culturels communs de toute l’île, poursuit Madgwick. Des habitants de tous les coins de la Grande-Bretagne descendaient dans les environs de Stonehenge pour partager des repas ».

Ces rassemblements étaient sans doute également très festifs.

« On sait que Stonehenge est doté d’une acoustique particulière, ajoute Cyril Marcigny. Probablement que les Hommes y jouaient de la musique en plus de manger les cochons qu’ils avaient amenés avec eux ».

Des découvertes qui confirment une fois de plus la place très singulière de ces sites dans les sociétés néolithiques.

Source

https://sciencepost.fr

40 kg de plastique retrouvés dans l’estomac d’une baleine morte


Ce n’est pas la première fois que des autopsie révèlent une triste réalité sur la mort des animaux marins dus aux déchets de plastiques. Aux Philippines, une baleine de plus de 4 mètres s’est échouée, les autorités ont pourtant essayé de la remettre en mer, mais peine perdue. Elle est morte de faim et pourtant son estomac était plein d’une quarantaine de kg de plastique divers tels que des sacs de courses et des emballages de riz.
Nuage

 

40 kg de plastique retrouvés dans l’estomac d’une baleine morte

 

– VIA GETTY IMAGES

Le mammifère a agonisé pendant deux jours, malgré les efforts des autorités locales, aidés par des pêcheurs, pour la renflouer.

Une baleine est morte de faim avec 40 kilogrammes de déchets en plastique dans l’estomac après s’être échouée aux Philippines, ont annoncé lundi les autorités, les écologistes dénonçant l’un des pires cas du genre survenu ces dernières années.

Les défenseurs de l’environnement accusent l’archipel d’être l’un des plus grands pollueurs des mers en raison de l’usage généralisé de produits en plastique jetables.

Ce type de pollution, également prégnante dans d’autres pays du Sud-Est asiatique, est responsable de la mort régulière de baleines, tortues et autres espèces sauvages.

Dans le dernier cas en date, une baleine à bec de Cuvier est morte samedi dans la province méridionale du Val de Compostelle où elle s’était échouée le jour précédent, selon le bureau régional des pêches et des ressources aquatiques.

Le bureau des pêches, ainsi qu’un musée, le D’Bone Collector Museum, ont autopsié l’animal et découvert dans son estomac une quarantaine de kg de plastiques divers, dont des sacs de courses et des emballages de riz.

La baleine est morte de faim faute de pouvoir s’alimenter, son estomac étant rempli, a déclaré Darrell Blatchley, directeur du musée.

« C’est dégoûtant, cela brise le coeur », a-t-il déclaré à l’AFP. « Nous avons mené des autopsies sur 61 dauphins et baleines ces dix dernières années et c’est l’une des masses les plus importantes (de plastique) qu’on ait trouvées ».

Le cétacé de 4,7 mètres s’est échoué vendredi dans la localité de Mabini. Les autorités locales aidées de pêcheurs ont tenté de la renflouer mais la baleine est revenue sur le rivage.

« Elle était incapable de nager toute seule. Elle était émaciée et faible », a déclaré à l’AFP Fatma Idris, directrice du bureau régional des pêches. « L’animal était déshydraté. Le second jour, elle luttait et vomissait du sang ».

Voici quelques semaines, la Global Alliance for Incinerator Alternative, un regroupement d’associations et d’ONG qui combattent l’incinération des déchets, a publié un rapport sur les quantités « choquantes » d’objets en plastique à usage unique aux Philippines, dont près de 60 millions de sacs par an.

La législation sur les déchets est stricte aux Philippines mais les écologistes disent qu’elle n’est guère appliquée.

Fin 2018, un cachalot a été retrouvé mort en Indonésie avec près de six kg de déchets en plastique dans l’estomac, dont 115 verres.

La même année, une baleine est morte en Thaïlande après avoir avalé plus de 80 sacs en plastique. Quelques jours après, une grosse tortue verte subissait le même sort.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Cannabis comestible: attention aux enfants, rappelle un hôpital


Je le savais ! Surtout quand les produits ce cannabis comestible qui ressemble a ce que les enfants mangent, j’en avais parlé de ma crainte d’intoxication chez les enfants. Étant donné qu’il légale maintenant de prendre de la marijuana, on devrait vraiment éviter que cela ressemble a des collations pour éviter la confusion chez les jeunes, car il faut croire que les consommateurs ne sont pas assez prudent avec ces substances.
Nuage

 

Cannabis comestible: attention aux enfants, rappelle un hôpital

 

La vente légale du cannabis comestible, des extraits... (PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE)

La vente légale du cannabis comestible, des extraits de cannabis et du cannabis pour usage topique sera autorisée par le gouvernement fédéral en octobre prochain.

PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

 

La Presse Canadienne
Halifax

Le plus grand hôpital pour enfants du Canada atlantique prévient les parents des risques que représente le cannabis comestible pour les enfants.

Le Centre de santé IWK, de Halifax, a reçu l’an dernier à son centre d’appels antipoison trois fois plus d’appels qu’en 2015 liés au cannabis.

L’hôpital soutient que les centres antipoison du pays ont signalé une exposition accrue au cannabis, en particulier chez les enfants de 12 ans et moins, depuis la légalisation de la marijuana en octobre dernier.

Ces signalements concernaient notamment des produits à base de marijuana concentrée ou des aliments infusés au cannabis.

Le Centre de santé IWK rappelle que ces aliments ressemblent souvent à des collations, sauf que les enfants ne peuvent pas faire la différence entre un brownie normal et un brownie au cannabis.

La vente légale du cannabis comestible, des extraits de cannabis et du cannabis pour usage topique sera autorisée par le gouvernement fédéral en octobre prochain.

« Il est essentiel d’entreposer tous les produits à base de cannabis dans un espace ou un récipient verrouillé, hors de la portée des enfants », rappelle Julie Harrington, du programme de sécurité des enfants à l’hôpital.

L’IWK indique que les expositions à la nicotine liquide ont également augmenté et il recommande des mesures similaires de prévention et de sécurité.

https://www.lapresse.ca/