Prendre par la force est toujours par contrainte de violence physique ou psychologique. Seulement la liberté peut venir à bout de cette violence.
Nuage
Violence
La force naît par violence et meurt par liberté.
Léonard De Vinci
Prendre par la force est toujours par contrainte de violence physique ou psychologique. Seulement la liberté peut venir à bout de cette violence.
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Violence
La force naît par violence et meurt par liberté.
Léonard De Vinci
Voici quelques photos de Julian Rad, photographe autrichien de la vie sauvage, montre les images d’animaux, écureuils, hamsters et renards. Il a remporté le fameux prix Comedy Wildlife Photography Award avec son image de hamster en train de courir, intitulé « Heure de pointe ».Il a un immense talent pour capter une scène poétique avec ses animaux.
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Photos amusantes de la faune par un photographe autrichien
Juste … Un Peu … Un Peu … Plus près
Hamster d’Europe
Sentiments d’été ..
« Ohh .. Qui êtes-vous? »
7 heure de pointe
Renard
« Puis-je vous toucher? »
Une poignée de fleurs
L’écureuil terrestre profite de l’été
écureuils de Kung Fu
Prenez le temps de sentir les fleurs
« Hey Mr. Snowman, je peux manger sa tête? »
Les chiens ont un odorat plus puissant que le nôtre. Ils sentent donc, mieux les bonnes et mauvaises odeurs. Certaines sont pires que d’autres quoique parmi eux, il y a certaines odeurs qui peuvent être utilisées comme répulsifs.
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Les 6 odeurs que les chiens détestent le plus au monde
par Clara Zerbib, journaliste animalière
On le sait, les chiens possèdent un odorat 40 fois plus puissant que le nôtre. La preuve, ils sont capables de retrouver des personnes disparues plusieurs jours après leur disparition grâce à leur seul flair. Ils peuvent également détecter une maladie simplement en nous reniflant ou encore sentir l’endroit exact où se situe une victime d’avalanche, enfouie sous des tonnes de neige.
Mais cet incroyable odorat peut parfois s’avérer contraignant. En effet, nos amis canins ont la capacité de sentir une bonne odeur à des centaines de mètres de distance, mais cela signifie également que les mauvaises odeurs, qui sont elles aussi amplifiées, peuvent vite leur devenir insupportables. Mais existe-t-il vraiment des odeurs que les chiens détestent ? La réponse est oui !
1. Les piments
Il existe différentes sortes de piments, mais chacune d’entre elles dégage une odeur on ne peut plus incommodante pour les chiens. En effet, les piments contiennent une substance particulièrement irritante, la capsaïcine. C’est cet ingrédient qui produit la sensation de brûlure dans la bouche lorsque l’on mange un piment.
Si les chiens venaient à renifler un piment, ils se mettraient à éternuer frénétiquement et à sentir des picotements désagréables dans leur nez, signe d’une irritation. Ainsi, il est indispensable de toujours bien se laver les mains après avoir manipulé un piment et avant de toucher son chien !
Crédits : pixel2013/Pixnio
2. Les agrumes
L’odeur de citron ou encore d’orange est souvent utilisée dans les produits nettoyants. En effet, les odeurs d’agrumes sont rafraîchissantes et sentent le propre. Cependant, les chiens ne supportent pas ces odeurs et la journée ménage est pour eux un véritable supplice.
En revanche, les agrumes peuvent faire office de répulsif naturel pour votre chien. Ainsi, si vous voulez empêcher ce dernier de monter sur le canapé ou d’uriner à un endroit bien précis de la maison, pulvérisez une solution à base d’eau et d’écorces d’agrumes.
Crédits : pics_pd/Pixnio
3. L’ammoniaque
L’ammoniaque est couramment utilisée pour nettoyer et désinfecter son intérieur. Mais c’est un produit extrêmement toxique qu’il est nécessaire de manipuler avec précaution. De plus, les chiens y sont très sensibles et le simple fait d’en respirer l’odeur pourrait endommager leurs voies respiratoires.
Par ailleurs, l’urine contient de l’ammoniac. Ainsi, nettoyer votre tapis, par exemple, avec ce produit pourrait donner envie à votre chien de se soulager à cet endroit, croyant qu’un autre chien y aurait uriné pour marquer son territoire.
Crédits : Mimzy/Pixabay
4. Le vinaigre
On ne peut pas dire que l’odeur intense du vinaigre soit très agréable pour nous autres humains… Alors, imaginez pour votre chien ! En revanche, tout comme les agrumes, le vinaigre constitue un excellent répulsif naturel et sans danger qui peut notamment être utilisé dans le jardin pour protéger les plantes des chiens et des chats.
Crédits : iStock
5. La naphtaline
Souvent utilisée comme antimites, la naphtaline se présente la plupart du temps sous la forme de petites boules blanches que l’on place dans nos armoires pour parfumer le linge ou éloigner les mites. Mais la naphtaline est en fait un pesticide dont l’odeur est particulièrement toxique pour l’Homme, et encore plus pour le chien. Pire, s’il venait à en avaler, il pourrait en mourir.
Ainsi, mieux vaut utiliser des produits naturels comme de la lavande, du bois de cèdre, des clous de girofle, du thym ou encore du laurier pour parfumer ses placards !
Crédits : Pxhere
6. Le parfum
Comme vous pouvez vous en douter, les produits avec lesquels vous parfumez votre peau ou vos vêtements émettent une odeur bien trop forte pour les canidés. Et ce peu importe qu’ils sentent bon ou non !
Crédits : pixel2013/Pixabay
Jusqu’où va cette folie de la chirurgie esthétique !! En Chine, la maitresse d’un chat a voulu »améliorer » le regard de son chat qu’elle trouvait trop moche. Le pire est que le vétérinaire à procédé à sa demande. C’est franchement idiot. Pauvre chat, qui a du souffrir à cause de l’égoïsme de sa maitresse et la cupidité du vétérinaire
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Encore une personne qui n’a absolument pas conscience de la douleur qu’elle cause pour des idioties.
C’est en Chine, dans la province du Jiangsu, qu’une femme a décidé d’emmener son chat chez le vétérinaire afin de lui faire subir une opération de chirurgie esthétique. Pourquoi une telle décision ? Tout simplement car elle trouvait son chat « trop moche » et voulait lui offrir une opération des paupières.
Cette opération vise à créer une « double paupière » via un pli au-dessus de l’oeil, notamment pour agrandir le regard et le rendre pour européen. Ces opérations sont assez courantes chez l’Homme dans les pays asiatiques où les gens veulent débrider un peu leur regard.
Une opération inutile et dangereuse
Pour la modique somme de 1200 euros (environ), le vétérinaire a fait deux entailles via un scalpel pour « embellir » le regard de ce pauvre matou qui n’avait rien demandé à personne et n’en avait absolument pas besoin pour sa santé.
Le vétérinaire qui a pratiqué cette opération a expliqué qu’elle était plutôt commune chez les particuliers souhaitant faire participer leurs animaux à des concours. Il a toutefois ajouté que l’anesthésie représente évidemment un risque pour le chien ou le chat concerné.
L’indignation un peu partout dans le monde
Suite à cette opération, beaucoup de vétérinaires chinois et du monde entier se sont indignés dans les médias où tout cela a été jugé inutile et égoïste. Les vétérinaires ont aussi tenu à rappeler que les opérations doivent uniquement être faites si le bien-être réel ou la santé de l’animal est en jeu. Pas pour répondre à des critères totalement subjectifs de beauté ou pour faire plaisir aux maîtres.
D’après Passeportsanté les triglycérides sont important pour l’organisme, c’est le stockage des acides gras, une réserve importante d’énergie. Trop de triglycérides dans le sang expose à des complications dont des risques cardiovasculaires. Le cas exposé ici doit être assez rare.
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Crédits : Annals of Internal Medicine
par Laura Boudoux
En Allemagne, une équipe de médecins a découvert qu’un de leurs patients avait tellement de graisse dans le sang qu’il s’était épaissi et était devenu presque aussi blanc que du lait.
L’homme de 39 ans s’est présenté à l’hôpital nauséeux et atteint de maux de tête, et une « hypertriglycéridémie extrême » a immédiatement été diagnostiquée. Il s’agit d’une maladie dont l’un des symptômes est un taux élevé de triglycérides dans le sang, comme l’expliquent les médecins dans leur cas, publié le 26 février 2019 dans les Annals of Internal Medicine.
À cause de la consistance épaisse et grasse de son sang, l’appareil utilisé pour la plasmaphérèse s’est bloqué à deux reprises, empêchant les docteurs de mener à bien le traitement. Il consiste normalement à extraire le plasma sanguin, afin d’élimer le surplus de triglycérides avant de le réinjecter dans le corps du patient. Face au sang blanc de l’homme, auquel ils faisaient face pour la première fois, les médecins ont donc dû trouver une autre solution.
Ils se sont alors tournés vers un traitement plus radical, mais surtout ancestral : la saignée. Cette technique, inventée au temps des Pharaons, a pour objectif de vider le patient de son sang afin de l’assainir. Les médecins ont donc prélevé deux litres de sang graisseux du patient, le remplaçant avec des mélanges de globules rouges, de plasma frais congelé et de solution saline physiologique. Cinq jours plus tard, le malade était en bien meilleure forme et son sang a commencé à retrouver sa couleur naturelle.
Sources : Annals of Internal Medicine
Une tarentule grande comme une assiette dans la forêt amazonienne s’alimente d’insectes, de lézards et de grenouilles. Jamais, les biologistes n’avaient vu une tarentule attaquer un jeune opossum dans le but de le manger
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Crédits : University of Michigan/YouTube
par Laura Boudoux
Au beau milieu de la forêt amazonienne, une équipe de biologistes s’est intéressée au régime alimentaire des tarentules et en ont surpris une dévorer un opossum entier.
Alors qu’elles se nourrissent habituellement d’insectes, ou encore de lézards et autres grenouilles, celle qu’ont observé les chercheurs de l’université du Michigan a tué un jeune mammifère, plus gros qu’elle, avant de traîner son cadavre jusqu’à sa tanière pour pouvoir le dévorer en paix. Ils précisent qu’elle mesure à peu près la taille d’une « grande assiette », pattes comprises.
Le 28 février 2019, Daniel Robosky a fait part de ses découvertes à grand renfort de photos, et même d’une vidéo mettant en scène la terrible tarentule en train de festoyer.
« Voilà une cause de mortalité sous-estimée chez les vertébrés », assure le chercheur en évoquant la prédatrice, assurant qu’un « nombre surprenant de petits vertébrés d’Amazonie sont probablement morts à cause des arthropodes tels que les grandes araignées et les mille-pattes ».
Il reconnaît que la scène de l’opossum l’a laissé sans voix, lui qui était plutôt habitué à observer les tarentules se nourrir d’amphibiens.
« Nous avons examiné la vidéo, et nous avons vu une grande tarentule, au-dessus d’un opossum, qui se débattait encore faiblement. Après environ 30 secondes, il a cessé de donner des coups de patte », raconte le biologiste Michael Grundler.
« Nous étions mi-extatiques mi-choqués, on n’arrivait pas à croire ce que nous voyions », se souvient-il. « Nous savions que nous assistions à quelque chose de spécial, mais nous ne savions pas que c’était la première observation du genre jamais réalisée », affirme-t-il.
Source : Michigan News (Université du Michigan)
Plus on étudie les hommes du Neandertal, plus on comprend qu’ils n’étaient pas si bêtes, ni si violents que les gens les présumaient. Dernièrement, avec l’étude d’un squelette bien conservé d’un homme Neandertal, viens démontrer qu’il n’a pas vraiment de différence avec un squelette d’un homme moderne. Ils conclurent qu’ils se tenaient droit.
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Des hommes de Néandertal Photo: Université de l’Utah
Alain Labelle
Contrairement aux idées reçues qui les dépeignent souvent dans une posture penchée, les Néandertaliens marchaient en position debout comme les humains actuels, montrent les récentes analyses d’anthropologues suisses.
Des travaux qui mettent encore une fois à mal le fameux portrait peu flatteur apparu dans les années 1950 de cet humain préhistorique souvent présenté comme une créature mi-homme mi-bête qui ne sortait que rarement des cavernes.
Le saviez-vous?
Les Homo neanderthalensis ont disparu de la surface terrestre il y a 30 000 à 40 000 ans. Ils ont toutefois vécu en même temps que nos ancêtres Homo sapiens pendant plusieurs milliers d’années en Eurasie.
Les premiers ossements retrouvés associés à l’espèce ont été découverts en 1856 dans une carrière du vallon de Neander en Allemagne (Neandertal en allemand). Ce n’est que plus tard que d’autres restes fossilisés mis au jour plus tôt lui ont été associés.
Si, dans les dernières décennies, des similitudes sociales et intellectuelles avec l’Homo sapiens sont apparues au gré de l’avancement de nos connaissances, l’analyse de quelques vertèbres isolées tendait il y a quelques années à montrer une grande différence sur le plan de l’anatomie.
Squelettes d’un néandertalien (à gauche) et d’un humain (à droite). Photo : Musée américain d’histoire naturelle/Ian Tattersall
Selon ces investigations, les Néandertaliens ne possédaient pas encore une colonne vertébrale en forme de double S bien développée comme leurs cousins Homo sapiens.
Les présents travaux contredisent cette théorie.
L’expert en médecine évolutionniste Martin Haeusler et ses collègues de l’Université de Zurich ont reconstruit virtuellement le bassin et la colonne vertébrale d’un homme de Néandertal à partir d’un squelette très bien préservé mis au jour en 1908 à La Chapelle-aux-Saints, en France.
Ce modèle anatomique généré par ordinateur montre que l’individu en question présentait une région lombaire et un cou courbés, tout comme les humains d’aujourd’hui.
lL’ancienne reconstitution (à gauche) du bassin et de la colonne vertébrale et la nouvelle. Photo : Université de Zurich
C’est en reconstruisant son bassin que les chercheurs ont découvert que son sacrum était positionné de la même manière que chez l’humain moderne, une réalité qui montre qu’il possédait une courbure bien développée de la région lombaire.
En outre, des marques d’usure proéminentes montrent qu’elles étaient en partie causées par la courbure de la colonne.
Dans l’ensemble, il n’y a pratiquement aucune preuve que les Néandertaliens avaient une anatomie fondamentalement différente. Martin Haeusler, expert en médecine évolutionniste
« Le moment est venu de reconnaître les similitudes fondamentales entre les Néandertaliens et les humains modernes et de mettre l’accent sur les changements biologiques et comportementaux subtils qui se sont produits chez les humains à la fin du Pléistocène », conclut Martin Haeusler.
Agrandir l’imageReconstruction virtuelle du squelette de La Chapelle-aux-Saints, basée sur des imageries 3D haute résolution de la colonne vertébrale et du bassin. Photo : Université de Zurich
En novembre dernier, une étude des crânes de plus de 200 néandertaliens et humains qui vivaient au paléolithique supérieur avait permis d’établir que les deux espèces présentaient des taux similaires de lésions, ce qui laisse à penser que leurs vies n’étaient pas plus violentes que celles de nos ancêtres.
Le détail de ces travaux est publié dans les Annales de l’académie américaine des sciences
Cela sera sûrement pratique dans bien des cas… c’est donc à suivre. Même si cela aiderait à diminuer le piratage, rien n’est infaillible.
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Protection des données sur un téléphone intelligent Photo: Freepik.com
Le Pentagone conçoit actuellement une technologie permettant d’authentifier une personne à partir de sa façon de marcher, de sortir son téléphone de sa poche ou de taper sur l’écran. Ce système serait plus sécuritaire que les méthodes actuelles.
D’après le Washington Post(Nouvelle fenêtre), qui a révélé cette histoire, la technologie pourrait être déployée en 2020. Le département américain de la Défense travaillerait conjointement avec les fabricants d’appareils et de processeurs pour respecter cette échéance.
Le système serait déjà en train d’être testé par le Pentagone sur une cinquantaine de téléphones.
Plus sécuritaire
Cette technologie fonctionne à l’aide d’un système de pointage. Lorsqu’un utilisateur sort son téléphone de sa poche ou de son sac, qu’il se déplace ou qu’il appuie avec ses doigts sur l’écran, les capteurs comparent son comportement à celui déjà enregistré.
Si les comportements sont assez similaires, le téléphone accorde un pointage élevé à l’utilisateur, reflétant sa certitude qu’il s’agit de la bonne personne. Si le pointage est bas, l’utilisateur doit s’identifier d’une autre façon, par exemple en entrant un mot de passe.
Cette technologie serait plus sécuritaire que les systèmes actuels comme la reconnaissance faciale et les empreintes digitales. En effet, les mesures comportementales, notamment la façon dont une personne bouge, sont beaucoup plus difficiles à falsifier que des mesures biométriques.
Cela devrait rendre les appareils volés plus difficiles à déverrouiller et à revendre, et nuire ainsi durement au marché noir.
La nouvelle technologie serait intégrée directement au matériel, et les mesures effectuées ne seraient pas rendues disponibles aux concepteurs de logiciels et d’applications.
Une question de sécurité nationale
Si les consommateurs y trouveront leur compte, le gouvernement américain y voit aussi des avantages. En sécurisant davantage les téléphones de toute la population, les vastes campagnes de piratage seront plus difficiles à réaliser, ce qui devrait améliorer la sécurité nationale.
De plus, si les fabricants de téléphones adoptent cette technologie, le département de la Défense pourra offrir des appareils plus sécuritaires à ses employés. Actuellement, des téléphones dotés d’une protection comparable coûtent plus de 4500 $US. Les autorités doivent donc se contenter d’en fournir seulement aux hauts gradés.
Malgré cette sécurité améliorée, le système ne sera sans doute pas infaillible, puisque le Pentagone ne compte pas offrir de téléphone de ce genre aux employés qui ont accès à des informations classifiées.
Steven Wallace, l’un des scientifiques affectés à ce projet, a indiqué au Washington Post que cette nouvelle technologie sera probablement intégrée à la plupart des téléphones aux États-Unis. Cela laisse sous-entendre que les grands fabricants comme Apple, Samsung et Google feraient partie des partenaires du Pentagone, bien que M. Wallace ait refusé de le confirmer.
La nouvelle technologie ne devrait pas rendre les appareils plus coûteux, puisqu’elle se sert des capteurs déjà présents dans la plupart des téléphones pour authentifier les utilisateurs, tels que l’écran tactile, le gyroscope, etc.
Avec les informations de The Washington Post