Le Saviez-Vous ► Comment font les paresseux pour survivre face aux prédateurs alors qu’ils sont si lents ?


Le paresseux est reconnu par sa lenteur. Avec raison, car il se déplace environ à une vitesse de 0,15 km/h. Par contre dans l’eau, il est un peu plus rapide, mais il est plus s’exposer au danger que s’il est dans les arbres.
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Comment font les paresseux pour survivre face aux prédateurs alors qu’ils sont si lents ?


Matthieu Dražić, Etudiant chez Polytech Nantes
Traducteur ·


Serge Elia, Amoureux d’animaux
Auteur original


Cette réponse peut ne pas être une traduction fidèle de la réponse de Serge Elia à Quora en anglais : Being so slow, how do sloths survive predators?

Le paresseux est peut-être le mammifère le plus lent de la planète (environ 0,15 km/h), mais sa lenteur s’avère être l’arme ultime de survie dans une jungle inhospitalière remplie de prédateurs.

Voyez-vous, lorsque des algues et des champignons se développent sur la fourrure d’un paresseux, l’animal devient pratiquement invisible – ainsi, grâce au pouvoir de camouflage des champignons et des algues, il se fond dans le feuillage tropical -, et un chasseur affamé passe sans même l’apercevoir. De plus, les algues et les champignons sont bio-actifs contre les souches de parasites qui peuvent causer le paludisme et d’autres maladies tropicales.

Vous devez aussi savoir que le paresseux est tout sauf paresseux, car il compte sur l’invisibilité et l’indolence pour survivre dans son habitat et échapper à la prédation.

Au besoin, un paresseux peut aller nager dans la rivière – ce faisant, les paresseux sont des nageurs très puissants, capables d’atteindre des vitesses allant jusqu’à 13,5 mètres par minute (plus vite que dans les arbres), tout en restant prudent et chanceux….

C’est ainsi que les paresseux, malgré leur lenteur, survivent dans les environnements les plus hostiles, comme les jungles d’Amérique centrale et du Sud.

https://fr.quora.com/Com

Des plon­geurs découvrent les restes d’un pares­seux géant dans une grotte au Belize


Un paresseux de 10 mètre de long !! C’est vraiment grand à comparer aux paresseux d’aujourd’hui. Suite à sa découverte en 2014, les chercheurs croient qu’il pouvait s’adapter à des conditions difficiles pour se nourrir. Sa disparition ne serait pas du aux changements climatiques, mais plutôt par la chasse. C’était probablement le yéti à l’époque préhistorique 😉
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Des plon­geurs découvrent les restes d’un pares­seux géant dans une grotte au Belize

 

Crédits : Lucero/Valley of Peace Archaeo­logy

par  Laura Boudoux

 

Il y a 27 000 ans, les pares­seux n’étaient pas des petits mammi­fères se déplaçant d’arbre en arbre avec une infi­nie lenteur, mais des animaux géants pouvant mesu­rer jusqu’à six mètres.

Dans une grotte sous-marine, au Belize, des plon­geurs ont retrouvé les restes d’un de ces pares­seux préhis­to­riques, qui était proba­ble­ment plus lourd qu’un éléphant, rapporte Busi­ness Insi­der. C’est à 21 mètres sous la surface de l’eau que les plon­geurs ont décou­vert une dent de 10 centi­mètres, ainsi que des os de bras et de jambe.

Ces restes ont en fait été exca­vés en 2014, mais une nouvelle étude publiée dans Science Advances montre que ces pares­seux possé­daient en plus des facul­tés d’adap­ta­tion impres­sion­nantes. Après l’ana­lyse de la dent, les scien­ti­fiques ont en effet pu conclure que le mammi­fère géant chan­geait son régime alimen­taire en fonc­tion des saisons, ce qui lui a permis de survivre plus faci­le­ment et plus long­temps dans un envi­ron­ne­ment hostile.

Une adap­ta­bi­lité qui pousse les cher­cheurs à penser que l’ex­tinc­tion des pares­seux géants n’a pas été causée par un chan­ge­ment clima­tique brutal, mais par la chasse.

« L’un des facteurs poten­tiels de leur dispa­ri­tion est l’ar­ri­vée des humains, il y a entre 12 000 et 13 000 ans », date ainsi Lisa Lucero, l’au­teure prin­ci­pale de l’étude.

Les scien­ti­fiques devraient plon­ger de nouveau dans cette grotte sous-marine en 2019, pour exca­ver d’autres os et fossiles.

Source : Busi­ness Insi­der

https://www.ulyces.co

Le Saviez-Vous ► Ces animaux qui ne pètent pas


Il y a des livres sur n’importe quel sujet, même sur la flatulence. On sait que comme nous, les animaux pètent, tous ? Non. Il y a ceux qui ont une digestion tellement lente ou encore qu’ils n’ont pas les bactéries nécessaires pour les gaz par exemple.
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Ces animaux qui ne pètent pas

 

Ces animaux qui ne pètent

Même si la plupart des mammifères disposent de la capacité à produire des gaz (et à les évacuer comme les humains), d’autres ne peuvent pas. Tour d’horizon.

  •  

Rédaction, HuffPost France

C’est la question que tout le monde se pose. Alors, la licorne, est-ce qu’elle pète? La réponse est « oui ». C’est ce qu’expliquent Nick Caruso et Dani Rabaiotti dans leur ouvrage Tu pètes ou pas? Le guide ultime de la flatulence animale, paru aux éditions Marabout et disponible en librairie depuis mercredi 16 janvier.

Traditionnellement employé pour désigner un gaz produit par la digestion, au niveau de l’estomac ou de l’intestin, le terme de « pet » existe depuis le 12e siècle.

        • Tous « ne naissent pas égaux, et leur odeur ainsi que la fréquence dépend de l’alimentation, de l’état de santé de la flore intestinale de l’organisme qui les produit », rappellent les auteurs.

Ces derniers ont décidé de dresser un répertoire dense et amusant des animaux qui le font et qui ne le font pas. Même si la production de flatulences de certaines espèces, comme les chats et les chiens, ne nous étonne pas vraiment, c’est plutôt la liste de ceux qui ne pètent pas qui suscite l’étonnement. Le HuffPost vous en présent cinq.

  • Le paresseux:

Ces animaux qui ne pètent

JUAN CARLOS VINDAS VIA GETTY IMAGES

Cet animal « tire son nom de la lenteur de ses déplacements, mais il n’y a pas que dans ce domaine qu’il prend tout son temps », concèdent les deux écrivains.

Non, d’après Nick Caruso et Dani Rabaiotti, l’animal possède un système digestif tout aussi lent. Si bien qu’il lui faut plusieurs jours pour digérer les feuilles qu’il a mangées. Résultat: il ne défèque qu’une fois tous les cinq jours.

Ceci étant dit, leur organisme produit bel et bien du méthane, l’un des composants du pet. Mais au lieu d’être évacué de la manière traditionnelle, celui-ci circule dans le sang, passe par les viscères avant d’être relâché par la respiration.

« Ainsi, le paresseux est sans doute le seul mammifère qui ne pète pas », est-il écrit.

  • La pieuvre:

Ces animaux qui ne pètent

WRANGEL VIA GETTY IMAGES

Connue pour être une espèce animale dotée d’une intelligence très développée, la pieuvre ne sait pas péter. C’est un fait. La faute à quoi? L’absence de flore intestinale capable de produire du gaz. Comme le rappelle l’ouvrage, les pieuvres sont capables d’expulser de l’eau avec force de leur siphon pour échapper à un prédateur. Cela ne doit pas être confondu avec un pet.

  • Le poisson rouge:

Ces animaux qui ne pètent

MANOA VIA GETTY IMAGES

La première trace du type de poisson rouge auquel on est habitué, à l’heure actuelle, « date de l’an 975, signalent nos deux auteurs. On lui attribuait des qualités miraculeuses, si bien que dès 1240 on en élevait à des fins décoratives ».

Sauf que parmi ces atouts, celle de péter n’en a jamais fait pas partie. Une explication toute simple est possible à cela. L’absence de flatulence est sans doute liée à leur incapacité à associer les gaz digestifs à leurs excréments. À la place, ils les évacuent le plus souvent en rotant.

  • L’araignée:

Ces animaux qui ne pètent

DESID VIA GETTY IMAGES

Voilà un argument qui aura au moins la capacité d’amuser ses détracteurs. L’araignée, est-ce qu’elle pète? Eh bien, on l’ignore. Ce qu’on sait, c’est que son système digestif ne tolère que les liquides.

« Il est donc probable qu’au cours de ce processus, elle ingère de l’air, un élément clé pour péter », relève le livre.

 Sauf que personne ne l’a jusqu’ici démontré, faute de moyens de financement.

  • L’oiseau:

Ces animaux qui ne pètent

BILL KILLILLAY VIA GETTY IMAGES

C’est bien là, la plus grande surprise. Aucune des dizaines de milliers d’espèces d’oiseaux ne pète. Cela s’explique tout d’abord par l’absence, dans leurs intestins, des mêmes bactéries que les mammifères responsables de la production de gaz. Mais ce n’est pas tout. Leur digestion très rapide ne le permet tout simplement pas.

Pourtant, ils disposent « de l’anatomie nécessaire, ce qui laisse penser qu’ils pourraient le faire ‘si besoin’. »

Quelle bande de frimeurs.

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

  •  

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Une trentaine de faits insolites


 

On connait la plupart des sujets mais pas nécessairement l’origine ou des faits assez insolites
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Une trentaine de faits insolites

Ces faits insolites – mais authentiques! –vont vous surprendre par leur côté inusité. Vous aurez raison de penser que la réalité dépasse souvent la fiction.

MARISSA LALIBERTE

Fait insolite: Les flamants plient leurs pattes à la cheville.

Les flamants plient leurs pattes à la cheville, pas au genou

Ils se tiennent debout sur leurs extrémités. Leurs genoux sont situés près du corps et sont recouverts de plumes.

Les montagnes russes ont été inventées pour éloigner les Américains de leurs péchés

Dans les années 1880, l’homme d’affaires LaMarcus Thompson en avait marre de voir ses compatriotes américains perdre leur temps dans des endroits de luxure comme les saloons et les bordels. Il a donc décidé de remettre sur pieds l’un des endroits où l’immoralité était reine : Coney Island, à New York.

Il y a construit les premières montagnes russes d’Amérique, afin d’offrir aux New-Yorkais un endroit où avoir du plaisir sain, loin des tentations pécheresses.

Les glaces sur bâtonnet (popsicles) ont été inventées par accident par un gamin de 11 ans

C’est en 1905 qu’un garçon de 11 ans, Frank Epperson, a laissé son verre d’eau rempli de poudre de soda à l’extérieur, incluant le bâton de bois servant à mélanger le tout. Le tout s’est solidifié au cours de la nuit froide, et ainsi est né l’Epsicle.

Il s’est alors mis à vendre son invention aux gens du quartier, et un parc d’attractions local s’est empressé de breveter la recette. Le nom fut changé pour Popsicle quelques années plus tard, étant ainsi appelé par les enfants qui les adoraient.

Le paresseux peut retenir sa respiration plus longtemps que le dauphin

C’est en réduisant son rythme cardiaque que le paresseux peut retenir sa respiration jusqu’à 40 minutes. Le dauphin nécessite une entrée d’air après 10 minutes.

Les pommes de supermarché peuvent avoir été cueillies un an auparavant

Les pommes dites fraîches ne le sont pas toujours. Elles sont habituellement cueillies entre août et novembre, recouvertes de cire, séchées à l’air chaud et entreposées au froid. C’est après une période de 6 à 12 mois qu’elles se retrouvent parfois sur les présentoirs de l’épicerie.

Il est impossible de fredonner en se pinçant le nez

Vous venez d’essayer, n’est-ce pas? Lorsqu’on fredonne, c’est l’air sortant de notre nez qui crée le son, ce qui devient impossible lorsque ce dernier est bloqué.

Les pieuvres possèdent trois cœurs

À l’instar des calmars, les pieuvres ont trois cœurs; un pour pomper le sang dans leur corps, les deux autres pour faire fonctionner les branchies.

La pâte wasabi n’en est habituellement pas

Le wasabi est dispendieux. La plupart des compagnies qui en produisent utilisent donc du raifort. Le véritable wasabi est beaucoup plus doux que ce que vous consommez habituellement avec votre sushi.

Michel-Ange a détesté peindre la chapelle Sixtine, et en a fait un poème

Le poème qu’il a partagé avec ses amis débute ainsi :

«Dans ce labeur, un goitre m’est venu,

Comme l’eau en fournit aux chats de Lombardie

(Ou ailleurs où l’eau stagnante est poison)»

Les bonnets d’âne étaient autrefois signe d’intelligence

Le philosophe du 13e siècle John Duns Scotus croyait qu’un chapeau pointu aiderait celui ou celle qui le porte à partager ses connaissances, devenant une extension du cerveau. Ses disciples le portaient d’ailleurs fièrement. Toutefois, ses idées étant moins populaires au 15e siècle, l’interprétation du bonnet d’âne a complètement changé de cap et la personne qui le porte depuis est source de moqueries.

Adolf Hitler a été nommé pour recevoir un prix Nobel

Ne vous alarmez pas; le politicien suédois qui a envoyé la lettre de nomination en 1939 posait un geste d’ironie et a retiré son invitation. Tout aussi ironique, Hitler avait interdit aux Allemands d’accepter ce prix quatre ans plus tôt.

Les homards goûtent avec leurs pattes

Ce sont de petits poils situés à l’intérieur des pinces des homards qui leur servent d’équivalent à nos papilles gustatives. De plus, leurs dents se trouvent… dans l’un de leurs trois estomacs.

Le créateur de l’Internet regrette la manière d’écrire l’URL

Tim Berners-Lee, l’auteur du programme principal qui se cache derrière le WWW, ne regrette qu’une chose : avoir ajouté les // après « https : » dans l’adresse web.

Ce protocole de programmation n’avait pas de réelle utilité. Il avouait en 2009 qu’avoir abandonné l’idée aurait sauvé du temps et de l’espace. On peut aisément lui pardonner ce fait.

La famille royale britannique tire son nom de Windsor

On pourrait croire que le château de Windsor tire son nom de la Maison de Windsor, mais c’est le contraire! C’est en 1917 que la famille royale, alors nommée Maison de Saxe-Coburg-Gotha, a changé de nom afin de se défaire de la référence allemande. C’est ce qui explique le choix du nom Windsor, associé à une ville anglaise.

L’Empire State Building possède son propre code postal

C’est le 10118.

La guerre la plus courte de l’histoire n’a duré que 38 minutes

En 1896, lorsque le sultan du Zanzibar – pays protégé par l’Empire britannique – a rendu l’âme, son remplaçant s’est installé sur le trône sans l’accord des Anglais.

Les tensions se sont envenimées suite au refus de Khalid bin Barghash d’abdiquer. Après un bombardement du palais de moins de 40 minutes par les forces maritimes britanniques, ce dernier a pris la fuite, mettant de ce fait un terme à la très brève guerre.

La langue de la baleine bleue peut peser autant qu’un éléphant

Par ailleurs, son cœur peut peser jusqu’à près d’une tonne et ne nécessite qu’un battement aux 10 secondes.

Au départ, la tour Eiffel devait être installée à Barcelone

La ville espagnole a refusé la tour, jugeant son design trop laid. Gustave Eiffel s’est alors tourné vers Paris pour l’y installer temporairement, le temps de l’Expo universelle de 1889. À l’instar des Espagnols, les critiques français n’ont pas apprécié l’œuvre.

Anagramme d’Albert Einstein

En anglais, l’anagramme d’Albert Einstein est « ten elite brains », soit « 10 cerveaux d’élite »

La plus large chute au monde se trouve sous l’eau

Eh oui, il existe des chutes en dessous des océans. Dans le détroit du Danemark, l’eau froide de la mer du Nord est plus dense que le courant d’Irminger, qui est chaud. Résultat : l’eau froide se dirige vers le fond de la mer, à quatre kilomètres, à 123 millions de pieds cubes par seconde.

La reine Elizabeth II a une remplaçante pour protéger ses yeux du soleil

Ella Slack possède la même taille et stature que la reine. Avant chaque grand événement officiel, elle se soumet à une ronde de pratique afin d’éviter des désagréments à l’illustre Elizabeth – comme avoir le soleil dans les yeux par exemple.

Elle occupe ce poste depuis maintenant trois décennies, mais n’a toujours pas le droit de prendre place sur le trône. Elle doit donc se pencher au-dessus.

Les ombres sont plus sombres sur la Lune

L’atmosphère terrestre disperse plus de lumière du Soleil, donc les ombres projetées ne sont pas excessivement sombres. Sur la Lune, elles sont si noires que l’astronaute Neil Armstrong affirmait avoir de la difficulté à voir où il mettait le pied.

Les  concombres de mer se battent avec leur ventre

Lorsqu’il se sent menacé, le concombre de mer projette ses organes internes à l’extérieur de son corps. Il faut savoir que ceux-ci sont un véritable poison pour les prédateurs. Il se débarrasse ainsi parfois complètement de son système digestif, qui repoussera.

A l’origine, la Statue de la Liberté était un phare

Un mois après son dévoilement en 1886, la célèbre statue new-yorkaise débutait sa carrière de phare qui allait durer 16 ans. Sa torche était visible à une quarantaine de kilomètres à la ronde.

Les fraises ne sont pas des baies

Les framboises et les mûres non plus, selon les botanistes. Les véritables baies proviennent d’une fleur portant un seul ovaire et ont deux graines ou plus. Les fraises n’en sont donc pas, mais les bananes, les kiwis et les melons d’eau, oui

Le Trésor américain a déjà imprimé des billets de 100 000$

Entre le 18 décembre 1934 et le 9 janvier 1935, des billets de banque à l’effigie de Woodrow Wilson ont été imprimés par la Réserve fédérale, mais n’ont jamais été mis à la disposition du grand public, ce qui est sans doute une bonne chose. Vous imaginez perdre un tel billet?

La NASA utilise le compte à rebours en raison d’un film de science-fiction

C’est le compte à rebours que l’on retrouve dans le film muet Frau im Mond de Fritz Lang, en 1929, qui a inspiré la NASA à y avoir recours pour chacun de ses lancements. Toutefois, ce n’est pas une course contre la montre, et la NASA se laisse la liberté de l’arrêter s’il faut s’assurer qu’aucun ennui technique ne sera rencontré.

Avant l’invention du papier hygiénique, les Américains utilisaient des épis de maïs

…ou bien des périodiques, comme l’Almanach des fermiers par exemple, qui était conçu avec un trou afin d’être suspendu dans les toilettes extérieures. On fait avec ce qu’on a, comme on dit.

La plus minuscule guêpe de la planète est plus petite qu’une amibe

La guêpe Megaphragma mymaripenne possède toutes les parties d’un insecte (cerveau, ailes, yeux, etc.), mais elle est longue d’un cinquième de millimètre, ce qui la rend plus petite d’une amibe, constituée d’une seule cellule.

“OK” est probablement l’acronyme de mots inventés

Dans les années 1830, les gens s’amusaient à mal orthographier les abréviations. L’un des plus célèbres exemples est «All correct» (tout va bien, en anglais), qui est devenu «orl korrekt», puis «OK».

Les historiens croient qu’on doit l’utilisation aujourd’hui répandue du terme à la campagne de réélection de Martin Van Buren, surnommé «Old Kinderhook», dont les supporters de New York référaient à eux-mêmes comme le OK Club.

Les chercheurs ont déjà transformé un chat vivant en téléphone

Les chercheurs Ernest Wever et Charles Bray de Princeton ont retiré du pauvre animal son crâne et la majorité de son cerveau afin de brancher l’animal sur une source électrique. Lorsqu’ils lui parlaient dans l’oreille, le son émis pouvait être entendu via un récepteur téléphonique situé dans une autre pièce.

Cette expérience pour le moins tordue a toutefois pavé la voie au développement des implants cochléaires.

Les distributeurs de bonbons PEZ ont été créés pour aider les fumeurs à arrêter

Le créateur autrichien des distributeurs PEZ a nommé son invention en référence au mot allemand pffefferminz qui signifie «menthe».

Lors de leur création en 1927, ces menthes rondes se présentaient dans une boîte en fer, afin de protéger la réputation et la vie privée des ex-fumeurs.

http://selection.readersdigest.ca

L’humain chassait bel et bien les paresseux géants


Le paresseux géant vivait il y a 12 millions d’années, il était comme ses cousins lointains, les paresseux d’aujourd’hui, des herbivores. Grâce a des empreintes fossilisées, les scientifiques peuvent affirmer que l’homme chassait ces bêtes. On croit aussi qu’à la dernière glaciation, les hommes on participer à la disparition des paresseux géants tout comme les mammouths, les tigres à dents de sabre et lions américains
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L’humain chassait bel et bien les paresseux géants

 

Représentation artistique d'un groupe d'humains chassant un paresseux géant.

Représentation artistique d’un groupe d’humains chassant un paresseux géant.  Photo : Université Bournemouth/Alex McClelland

Scène préhistorique : quelque part, il y a environ 12 000 ans, un paresseux géant d’Amérique du Nord, une bête poilue de la taille d’un éléphant, est suivi par un groupe de chasseurs puis, se sachant traqué, il se redresse sur ses pattes arrière pour, du haut de ses deux mètres, tenter de se défendre avec ses griffes géantes et pointues.

Un texte d’Alain Labelle

Voilà la reconstitution d’un événement de prédation de quelques minutes qui s’est déroulé il y a des milliers d’années près d’un lac du Nouveau-Mexique. Cette reconstitution est rendue possible grâce à la mise au jour d’une série d’empreintes fossilisées appartenant à un paresseux géant et à des humains.

Préservées pendant des millénaires, ces empreintes sont les toutes premières pistes qui placent des chasseurs humains en action contre ces grosses proies.

Les empreintes découvertes au Nouveau-Mexique.

Les empreintes découvertes au Nouveau-Mexique.  Photo : Université Bournemouth/Matthew Bennett

Elles ont été découvertes au parc national White Sands National Monument.

Malgré leur physique imposant, les paresseux géants étaient herbivores. Leurs griffes n’étaient pas adaptées à la prédation, mais plutôt à la préhension nécessaire à la cueillette de fruits et de feuilles d’arbres.

Il n’est pas rare de trouver des empreintes de paresseux géants, mais celles-ci sont particulièrement intéressantes, puisqu’elles sont accompagnées de traces humaines.

Il y en a au moins une dizaine au même endroit.

Dans certains cas, les pas humains se trouvent à l’intérieur même de celles des paresseux (voir photo).

Une empreinte humaine dans une empreinte d'un paresseux géant.

Une empreinte humaine dans une empreinte d’un paresseux géant.  Photo : Université Bournemouth/Matthew Bennett

Un travail de détective

C’est en analysant la scène que le Pr Matthew Bennett de l’Université Bournemouth et ses collègues ont compris ce qui s’était passé à l’époque à cet endroit.

J’ai tranquillement compris ce qui s’était passé ici il y a des milliers d’années.

Matthew Bennett

Cette scène indique en fait, selon lui, l’action d’une poursuite associée à une prédation.

Représentation artistique d'un paresseux géant.

Représentation artistique d’un paresseux géant Photo : iStock

Les chercheurs estiment que si cet animal géant avait suivi des humains, la plus grande empreinte aurait détruit la plus petite, ce qui n’est pas le cas.

Si les chasseurs marchaient dans d’anciennes pistes d’un paresseux, leurs pieds n’auraient pas créé les mêmes motifs dans les sédiments.

Des humains et des disparitions

Cette mise au jour donne également de la crédibilité à la théorie selon laquelle, lors du déclin de la dernière période glaciaire, les humains ont pu jouer un grand rôle dans l’extinction de ces créatures et d’autres mammifères géants comme les mammouths et les mastodontes.

En fait, ils ont tous disparu au moment où les populations humaines s’étendaient en Amérique du Nord.

Quatre espèces de paresseux géants ont vécu en Amérique du Nord et sont aujourd’hui disparues.

Leurs prédateurs devaient inclure les tigres à dents de sabre (smilodon) et les lions américains.

Ils sont des cousins éloignés des paresseux arboricoles qui vivent actuellement dans les forêts de l’Amérique centrale et de l’Amérique du Sud.

Ainsi, toutes les preuves indiquent que les chasseurs suivaient un animal qui se trouvait devant eux.

 

Un paresseux dans une forêt du Costa Rica.

Un paresseux dans une forêt du Costa Rica Photo : iStock

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Science Advances.

https://ici.radio-canada.ca/

Des énormes tunnels creusés par des créatures géantes?


Des énormes tunnels ont été découverts en Amérique du Sud. Ils n’ont pas été creuser par des êtres humains, ni par la nature. Il reste des animaux qui auraient disparu, il y a plus de 8 000 ans. Peut-être par des paresseux terrestres grands de deux mètres de long, ou encore par des tatous géants.
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Des énormes tunnels creusés par des créatures géantes?

 

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L’un des gigantesques tunnels découverts en Amérique du Sud

En Amérique du Sud, des chercheurs ont découvert d’énormes tunnels qui semblent ouvrir des passages à travers la forêt. Des structures qui n’auraient pas été creusées par l’homme mais par une créature géante éteinte depuis des milliers d’années.

En voyant les dimensions de ces tunnels, difficile de croire qu’ils sont restés aussi longtemps inconnus des scientifiques. Pourtant, ils commencent à peine à révéler leurs secrets et quels secrets! Ces gigantesques passages ont été découverts à plusieurs endroits au milieu de la forêt sud-américaine mais ils ne sont le fruit ni d’un processus géologique naturel, ni de l’homme.

C’est du moins ce qu’affirment des scientifiques dans une nouvelle étude publiée dans la revue Ichnos. Après avoir examiné plusieurs de ces tunnels, ils ont conclu que des créatures préhistoriques géantes en seraient à  l’origine. Plus précisément des paresseux terrestres appartenant à un genre aujourd’hui éteint.

DES GROTTES PEU NATURELLES

C’est en 2010 que tout a commencé lorsque Amilcar Adamy, un géologue du Brazilian Geological Survey, a décidé d’enquêter sur des rumeurs entendues au sujet d’une grotte impressionnante dans le sud du Brésil. Après une inspection préliminaire des lieux, le spécialiste a rapidement conclu qu’elle n’avait pas été formée par un processus géologique naturel.

Le passage était très large, de forme ronde et présentait un sol lisse.

«Je n’avais jamais rien vu de tel avant», a expliqué Amilcar Adamy à Discover Magazine. «Cela a vraiment attiré mon attention. Cela n’avait pas l’air naturel».

Quelques années plus tard, c’est un autre géologue, Heinrich Frank, qui a trouvé sa propre grotte étrange à proximité de Novo Hamburgo au Brésil.

En l’examinant, le spécialiste n’a réussi à identifier aucune explication géologique crédible. En revanche, il a découvert des détails intrigants au plafond : des marques de griffes qui l’ont conduit à conclure que ce passage serait en réalité «un paléoterrier». Autrement dit, le terrier creusé par une créature fouisseuse il y a des milliers d’années.

PLUS DE 1 500 «PALÉOTERRIERS»

Après cette découverte, le scientifique a constaté avec ses étudiants de l’Université fédérale du Rio Grande do Sul que ces «paléoterriers» étaient bien plus fréquents qu’il ne pensait. Rien que dans cet état brésilien, ils ont documenté au moins 1 500 de ces tunnels. La plupart serait simplement bouchée par des sédiments, ce qui leur aurait permis de passer inaperçu.

Néanmoins, certains seraient toujours partiellement dégagés. En explorant l’un de ces passages, Frank a constaté qu’il présentait une forme elliptique de plus d’un mètre de large qui s’étendait jusqu’à  20 mètres de long, toujours avec les mêmes marques de griffes. Selon ses calculs, le tunnel original devait afficher une longueur de plus de 75 mètres ainsi que des branches et virages.

«Il n’existe aucun processus géologique au monde qui produit des tunnels longs avec une section circulaire ou elliptique, qui se divise, augmente et diminue, avec des marques de griffes sur les murs», a indiqué Frank. «J’ai vu des douzaines de grottes qui ont des origines inorganiques et dans ces cas-là , il est très clair que des animaux n’ont aucun rôle dans leur création». 

DES PARESSEUX TERRESTRES ÉTEINTS?

Le tunnel examiné en 2010 par Amilcar Adamy s’avère être le premier et l’un des plus grands «paléoterriers» découverts en Amazonie. À l’origine, celui-ci devait faire près de deux mètres de haut, d’un à 1,5 mètre de large et afficher des branches s’étendant au total sur quelque 600 mètres de long. Quel animal pourrait être bien être à l’origine d’une telle construction ?

Les fossiles découverts jusqu’ici en Amérique du Sud suggèrent l’existence passée de plusieurs espèces fouisseuses parmi la mégafaune du Pléistocène. Selon Heinrich Frank et ses collègues, les constructeurs pourraient ainsi être des paresseux terrestres appartenant au genre Lestodon dont la taille pouvait dépasser les quatre mètres pour un poids de plus de 2,5 tonnes.

Mais il est possible que certains tunnels plus petits aient été creusés par des espèces moins imposantes comme des tatous géants. Au vu des dimensions des terriers, les spécialistes suggèrent que les créatures ont probablement passé une bonne partie de leur vie à  les creuser voire que plusieurs générations se sont succédé pour les achever.

DE NOMBREUSES QUESTIONS EN SUSPENS 

L’identité exacte de leurs «architectes» n’est que l’une des nombreuses questions qui entourent ces mystérieux tunnels. Les chercheurs ignorent pour le moment l’âge de ces structures, si ce n’est qu’elles ont été réalisées avant l’extinction des animaux concernés, soit il y a plus de 8 000 ans. Leur objectif reste également une énigme.

«Si un animal actuel de 40 kilogrammes creuse un terrier de 40 à 50 centimètres, pourquoi en creuserait-il un de 1,5 mètre de large et 75 mètres de long?» questionne Frank pour Discover. «Il n’y a pas d’explication – ce n’est pas les prédateurs, ni le climat, ni l’humidité. Je ne sais vraiment pas».

Autre question: ces structures pourraient-elles exister ailleurs qu’en Amérique du Sud et être également passées inaperçues? Cette hypothèse n’est pas exclue mais de nouvelles observations et de plus amples recherches seront nécessaires pour percer le mystère de ces étranges et gigantesque structures.

http://fr.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► L’histoire de l’avocat, ce fruit qui a bien failli disparaître


Que serait le guacamole, sushis ou autre si l’avocat n’avait pu traverser les millénaires ? C’est un fruit qui nous viens de loin qui au temps, des animaux gigantesques, il pue vivre, mais le glas se faisait entendre quand ces animaux ont disparu et pourtant, il est toujours là au service de nos talents culinaires
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L’histoire de l’avocat, ce fruit qui a bien failli disparaître

 

L'histoire de l'avocat, ce fruit qui a bien failli disparaître

L’avocat est un fruit et plus précisément celui de l’avocatier (Persea americana).Capture d’écran Gentside Découverte

En matière de cuisine, l’avocat fait presque l’unanimité. On le retrouve dans beaucoup de plats du monde entier, de la guacamole à la salade en passant par les sushis. Mais avant de devenir un incontournable culinaire, celui-ci a dû traverser les âges. Une remarquable aventure de plusieurs millions d’années qui s’est déroulée non sans difficulté.

Avant de relater les faits, il convient de revenir aux bases. On sait que l’avocat est un fruit et plus précisément celui de l’avocatier (Persea americana). Endémique du Mexique, il a été appelé par les aztèques ahuacatl, un nom nahuatl signifiant «testicule», en référence à sa forme.

UNE RELATION BÉNÉFIQUE AVEC LA MÉGAFAUNE DU PLÉISTOCÈNE

Son origine remonte toutefois bien au-delà  de ce temps. Selon les chercheurs, l’avocatier existait déjà durant le Pléistocène (jusqu’à il y a 2,58 millions d’années) et si son fruit se trouve aujourd’hui dans vos assiettes, c’est avant tout grâce à la mégafaune qui évoluaient dans les forêts tropicales mésoaméricaines.

À l’époque, ces régions étaient notamment peuplées de paresseux géants de trois tonnes et de tatous de la taille d’une voiture. Ces animaux étaient particulièrement friands d’avocats et dotés d’un système digestif spécialisés pour disloquer la peau dure du fruit et en absorber la chair. Le gros pépin central était ensuite rejeté dans les matières fécales.

Ce régime alimentaire s’est avéré tout à fait favorable aux avocatiers qui grâce aux mammifères ont pu largement disperser leurs graines et les faire pousser dans l’engrais fourni naturellement par les excréments. Un véritable coup de pouce dans un milieu aussi hostile que les forêts denses où l’accès à la lumière est très limité.

La compétition est rude au sein des végétaux dont seuls les plus hauts ont une chance de survie. Pour une petite graine, il faut bien plus que de la chance pour espérer grandir. Mais grâce à la mégafaune, les plants d’avocats ont toujours pu bénéficier d’une source abondante d’éléments nutritifs leur permettant de pallier aux difficultés liées à la photosynthèse.

L’INTERVENTION DES HUMAINS

Cette relation bénéfique s’est poursuivi durant longtemps jusqu’à ce que les énormes mammifères finissent par disparaître, il y a une dizaine de milliers d’années. La cause de leur extinction n’est pas claire mais les scientifiques soupçonnent le réchauffement climatique, survenue à la fin de la dernière période glaciaire.

Quoiqu’il en soit, du fait de cette disparition, les avocatiers se sont retrouvés gravement menacés. Sans ces animaux, leurs graines pouvaient tout juste servir de nourriture aux moisissures lorsque les fruits tombaient au sol. Fort heureusement, les humains ont fini par prendre le relais.

Conquis par la chair de l’avocat, ils ont commencé à les cultiver eux-mêmes. C’est grâce à ces efforts continus dans le temps que celui-ci est encore là de nos jours. Certes, il a certainement quelque peu évolué du fait de la sélection artificielle, mais il s’agit bien là d’un spécimen ancestral qu’il faut s’estimer heureux de pouvoir déguster aujourd’hui. 

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Un paresseux est pris au piège


Un paresseux qui s’est mit dans le pétrin en voulant traverser l’autoroute. Heureusement, qu’il a eu de l’aide pour retrouver sa patrie
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Un paresseux est pris au piège

 

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Comision de Transito del Ecuador

La semaine dernière, en Equateur, la police de la route est venue en aide à ce paresseux. L’animal essayé de traverser la route, mais sans succès. Apparemment le paresseux était terrifié, il était agrippé à la glissière de sécurité de l’autoroute.

Alors qu’elle patrouillait, la police de la route a remarqué le paresseux au bord de l’autoroute. Le pauvre animal, apeuré, avait du mal à traverser la voie.

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Comision de Transito del Ecuador

Ils se sont arrêtés pour aider l’animal. Ils ont pris le paresseux et l’ont emmené chez un vétérinaire pour s’assurer qu’il était en bonne santé. Ils l’ont ensuite relâché dans son habitat naturel.

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Comision de Transito del Ecuador

La « Comision de Transito del Ecuador » a partagé des photos de cet événement sur sa page Facebook. Les photos sont rapidement devenues virales, elles ont été partagé plus de 20.000 fois et ont reçu presque 60.000 « likes ».

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Comision de Transito del Ecuador

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Le Saviez-vous ►C’est dans le besoin que le paresseux reconnaît ses amis


Un vrai travail d’équipe, assez époustouflant qu’il aurait été difficile de deviner en voyant la lenteur du paresseux. Un travail d’équipe entre larves, papillons, algues et qui en plus lui donnerais une certaine protection au moment qu’il est le plus vulnérable
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C’est dans le besoin que le paresseux reconnaît ses amis

Paresseux

Photo :  © iStockphoto / vilainecrevette

Pourquoi l’aï, paresseux des forêts d’Amérique latine, quitte-t-il son arbre pour faire ses besoins, au péril de sa vie? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs dans une étude publiée mardi dans la revue Proceedings of the Royal Society B.

Environ une fois par semaine, l’animal aux trois doigts griffus quitte le sommet des arbres – où il passe l’essentiel de sa vie à manger et à dormir – pour déféquer. Il creuse un petit trou et y dépose sa crotte avant de retourner à l’abri en hauteur.

L’opération le rend pourtant vulnérable aux prédateurs, en plus de lui coûter environ 8 % de l’énergie qu’il ingurgite en une journée. Pourquoi ne défèque-t-il pas alors en hauteur?

Les chercheurs de l’Université du Wisconsin-Madison estiment que la réponse réside dans les papillons et les algues qui vivent – et s’accouplent dans le cas des papillons – dans la fourrure de l’animal.

Une fois écloses, les larves de papillons consomment la crotte d’aï. En retour, les papillons sur le pelage de l’aï augmentent sa concentration en azote.

C’est là que les algues entrent en jeu. Grâce à la structure unique des poils de l’aï, dont les fentes recueillent une grande quantité d’eau de pluie, les algues peuvent s’y installer et sont ensuite nourries par l’azote qui leur sert d’engrais.

Le paresseux ingère à son tour ces algues quand il lèche sa fourrure pour se nettoyer. Les algues riches en glucides et en lipides digestes viennent compléter son régime alimentaire de feuilles, peu nourrissantes.

Les auteurs de l’étude estiment que ce phénomène jusqu’ici inconnu explique pourquoi les animaux sont si difficiles à nourrir correctement en captivité.

Les paresseux à deux doigts, les unaus, mangent quant à eux un plus large éventail de produits végétaux, descendent des arbres plus régulièrement et défèquent n’importe où. Ils ne semblent pas avoir besoin de nutrition supplémentaire contrairement à leurs cousins, affirment les chercheurs.

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Le chat et le paresseux : une belle histoire d’amour


Même si je suis contre que des animaux exotiques soient des animaux de compagnie, il faut avouer que ces deux-là semblent bien s’entendre. Tout fait appelle a la tendresse et au calme avec quelques câlins en surplus. Mais, d’un autre côté, ce paresseux serait sûrement très bien avec une compagne de son espèce, mais bon !!
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Le chat et le paresseux : une belle histoire d’amour

 

Les amours impossibles n’existent pas dans le monde des animaux ! La preuve ? En voici une nouvelle,absolument adorable !

Prince est un paresseux, Daisy, un chat. Et alors ? Pourquoi ne pourraient-ils pas couler des jours heureux ?Ces deux-là s’aiment tendrement, et rien ne pourra les séparer !

Regardez-les se câliner ! Comment rester de marbre devant tant de tendresse et de douceur ?

Prince ne se lasse pas de papouiller Daisy, de la serrer dans ses grands bras réconfortants. Et le matou ne s’en plaint pas.

Blottis l’un contre l’autre, ils sont les plus heureux du monde, tout simplement !

 

 

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