Le Saviez-Vous ► Top 10 des serpents les plus dangereux de la planète


Beaucoup de personnes ont peur des serpents même s’ils en ont jamais vu. C’est inné ! Quoi que ce n’est pas tout les serpents qui sont dangereux. Par contre d’autres, il faut se méfier de certains qui sont très dangereux et donc à éviter.
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Top 10 des serpents les plus dangereux de la planète

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Il existe plus de 600 espèces de serpents venimeux dans le monde. Mais seules 200 d’entre elles peuvent être dangereuses pour l’Homme.

Petit tour d’horizon des serpents les plus meurtriers !

1. Le mamba noir

Considéré comme le serpent le plus rapide du monde, le mamba noir (Dendroaspis polylepis) peut se déplacer jusqu’à 23 km/h. Il peut mesurer jusqu’à 4 mètres de long et tire son nom de la coloration noire de l’intérieur de sa bouche.

Il s’agit d’un reptile très dangereux. Et pour cause, sa morsure peut tuer un être humain en moins de 2 heures… Heureusement, il ne se rencontre que dans certaines parties de l’Afrique.

mamba noir

Crédits : iStock

2. Le Taïpan du désert

Le venin du Taïpan du désert (Oxyuranus microlepidotus) est 25 fois plus toxique que celui du cobra. Une seule morsure pourrait ainsi tuer pas moins de 100 personnes.

En effet, son venin a pour effet de paralyser les muscles, ralentir la respiration et provoquer des hémorragies dans les vaisseaux sanguins. Cette espèce n’est toutefois visible à l’état sauvage qu’en Australie.

taïpan du désertCrédits : XLerate/Wikimedia Commons

3. La vipère heurtante

Avec ses 2 mètres de long, la vipère heurtante n’est pas le plus grand serpent qui soit. Mais il a une autre particularité : c’est le serpent à l’attaque la plus rapide au monde. Toutefois, il prend toujours la peine de prévenir de son attaque en émettant des sifflements bien reconnaissables.

Toujours est-il que sa morsure peut occasionner des hémorragies internes ainsi que des nécroses. Mais si vous ne vivez pas en Afrique ou en Arabie, vous n’avez aucune chance de le rencontrer.

vipère heurtanteCrédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

4. Le Fer de lance commun

Le Fer de lance commun (Bothrops atrox) vit dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, et notamment en Guyane. Mesurant environ 2 mètres, il est aussi à l’aise dans les arbres que sur terre ou même dans l’eau.

Ce qui rend ce serpent dangereux, c’est sa morsure extrêmement venimeuse mais également sa capacité à se camoufler, notamment dans les plantations de café et de banane

fer de lanceCrédits : Bernard DUPONT/Flickr

5. Le cobra indien

Aussi appelé serpent à lunettes, le cobra indien (Naja naja) se rencontre principalement en Asie du Sud, et notamment en Inde.

Mesurant environ 2 mètres, il possède l’un des venins les plus puissants au monde pour la simple et bonne raison qu’il peut en injecter beaucoup en une seule morsure. L’effet paralysant est alors immédiat, entraînant la mort par arrêt cardiaque ou par arrêt respiratoire.

cobra indienCrédits : Gopal Venkatesan/Wikimedia Commons

6. L’anaconda géant

L’anaconda géant n’est pas venimeux. En revanche, il a pour caractéristique d’être constricteur, c’est-à-dire qu’il s’enroule autour de ses proies pour les étouffer.

Avec ses 5 à 9 mètres de long et ses 130 kilos, l’anaconda peut faire peur. Mais en réalité, ses attaques sur l’être humain sont rares. D’autant plus qu’il vit la plupart du temps dans l’eau, plus particulièrement dans le bassin amazonien.

serpent anacondaCrédits : Jeff Kubina/Flickr

7. L’Échide carénée

L’Échide carénée (Echis carinatus) est un tout petit serpent vivant en Asie. Difficilement détectable de par sa petite taille, il a la réputation d’être très rapide. Et sa morsure est particulièrement venimeuse, son taux de mortalité pouvant atteindre les 90%.

Lors d’une morsure, la personne atteinte a tendance à saigner des oreilles, du nez ou encore des yeux et à déclencher des complications rénales. Sympathique, non ?

serpent echis carinatusCrédits : Dr. Raju Kasambe/Wikimedia Commons

8. Le Bongare indien

Le Bongare indien (Bungarus caeruleus) est considéré comme le serpent le plus dangereux d’Inde. Et pour cause, son puissant venin paralysant a tendance à attaque le système nerveux. Et le problème, c’est que les anti venins sont inefficaces…

Heureusement, sa morsure est indolore. C’est déjà ça !

bongare indienCrédits : Jayendra Chiplunkar/Wikimedia Commons

9. La vipère de Russel

La vipère de Russell (Daboia russelii) se rencontre en Asie du Sud et est réputée pour son tempérament quelque peu agressif. En effet, ce serpent d’environ 1,20 mètre a tendance à mordre tout ce qui passe. Or, sa morsure est particulièrement dangereuse et très douloureuse.

Ce serpent tuerait pas moins de 25 000 personnes par an. Autant dire qu’il vaut mieux s’en méfier…

vipère de russellCrédits : AChawla/Wikimedia Commons

10. Le cobra royal

Le cobra royal (Ophiophagus hannah) est considéré comme le plus long serpent venimeux du monde. En effet, il peut mesurer jusqu’à 5,5 mètres de long, pour un poids d’environ 10 kilos.

Présent en Asie du Sud, ce serpent est capable d’injecter une quantité impressionnante de venin à chaque morsure, ce qui le rend particulièrement dangereux. La mort intervient rapidement, le plus souvent par asphyxie.

cobra royalCrédits : antriksh/Pixabay

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https://animalaxy.

Le Saviez-Vous ► Comment font les paresseux pour survivre face aux prédateurs alors qu’ils sont si lents ?


Le paresseux est reconnu par sa lenteur. Avec raison, car il se déplace environ à une vitesse de 0,15 km/h. Par contre dans l’eau, il est un peu plus rapide, mais il est plus s’exposer au danger que s’il est dans les arbres.
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Comment font les paresseux pour survivre face aux prédateurs alors qu’ils sont si lents ?


Matthieu Dražić, Etudiant chez Polytech Nantes
Traducteur ·


Serge Elia, Amoureux d’animaux
Auteur original


Cette réponse peut ne pas être une traduction fidèle de la réponse de Serge Elia à Quora en anglais : Being so slow, how do sloths survive predators?

Le paresseux est peut-être le mammifère le plus lent de la planète (environ 0,15 km/h), mais sa lenteur s’avère être l’arme ultime de survie dans une jungle inhospitalière remplie de prédateurs.

Voyez-vous, lorsque des algues et des champignons se développent sur la fourrure d’un paresseux, l’animal devient pratiquement invisible – ainsi, grâce au pouvoir de camouflage des champignons et des algues, il se fond dans le feuillage tropical -, et un chasseur affamé passe sans même l’apercevoir. De plus, les algues et les champignons sont bio-actifs contre les souches de parasites qui peuvent causer le paludisme et d’autres maladies tropicales.

Vous devez aussi savoir que le paresseux est tout sauf paresseux, car il compte sur l’invisibilité et l’indolence pour survivre dans son habitat et échapper à la prédation.

Au besoin, un paresseux peut aller nager dans la rivière – ce faisant, les paresseux sont des nageurs très puissants, capables d’atteindre des vitesses allant jusqu’à 13,5 mètres par minute (plus vite que dans les arbres), tout en restant prudent et chanceux….

C’est ainsi que les paresseux, malgré leur lenteur, survivent dans les environnements les plus hostiles, comme les jungles d’Amérique centrale et du Sud.

https://fr.quora.com/Com

Les tigres à dents de sabre pouvaient perforer le crâne de leurs congénères (et le vôtre)


En Argentine, les scientifiques ont trouvé des crânes de tigre à dents de sabre. Ce tigre avait des grandes dents aussi tranchant qu’un poignard. En examinant les crânes, ils ont voulu savoir si les dents étaient capables de transpercer un crâne d’un congénère. Donc, aucun animal avait intérêt de ne pas croiser cette bête
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Les tigres à dents de sabre pouvaient perforer le crâne de leurs congénères (et le vôtre)

 

Smilodon Populator.

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

La découverte de fossiles en Argentine suggère que les tigres à dents de sabre étaient capables de perforer le crâne de leurs congénères avec leurs énormes crocs. Contrairement à ce que l’on pensait auparavant.

Smilodon populator était une espèce de fauve à dents de sabre qui évoluait en Amérique du Sud à l’époque du Pléistocène supérieur, il y a entre 126 000 et 11 000 ans. L’animal était imposant : entre 220 et 400 kg, 1,20 mètre de long et des canines supérieures de près de 25 centimètres. Ces dents, qui caractérisent l’espèce, se présentaient comme de véritables poignards. Et devaient être redoutablement efficaces pour abattre les proies ou pour déchiqueter la viande (c’était également un charognard). Mais étaient-elles assez puissantes pour venir à bout de spécimens de la même espèce ?

Crânes perforés

Les chercheurs ont toujours pensé que ces canines – et la force de la mâchoire qui les accompagne – n’étaient pas assez “fortes” pour percer le crâne d’autres Smilodons. Une récente étude, publiée dans les Comptes Rendus Palevol, a récemment permis de tester cette idée. Deux fossiles de crânes récemment découverts en Argentine présentaient en effet un gros trou au-dessus des deux yeux, en plein centre de la boîte crânienne. Le but de cette étude était donc de savoir quelle espèce aurait pu en être à l’origine. Pour le savoir, les chercheurs ont donc mené leur petite enquête.

Le principe était simple : faire entrer dans le trou les dents de plusieurs animaux évoluant à l’époque dans la même région, et observer celles qui correspondaient. Après plusieurs tentatives, il est ressorti que seules les canines de Smilodons’intégraient parfaitement dans les deux trous. Au même titre que les félins modernes, les tigres à dents de sabre se disputaient parfois pour des territoires, des femelles ou pour des proies. Et comme félins modernes, ces fauves étaient a priori tout à fait capables de perforer le crâne de leurs congénères. En témoignent ces deux fossiles.

dents de sabre

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Fossiles de tigres à dents de sabre perforés. Crédits : Comptes Rendus Palevol (2019). DOI : 10,101 6/j.crpv.2019.02.006

On rappelle également qu’il y a quelques mois, une étude s’était penchée sur la capacité de ces anciens animaux à rugir. Nous savons en effet que certains félins modernes rugissent de manière impressionnante grâce à une configuration particulière de petits os de la gorge et de ligaments, présents dans le larynx. D’autres, comme les chats, en sont incapables. La découverte de petits os appartenant au Smilodon suggère que, lui, était physiquement taillé pour.Rugissait-il pour autant ? Pas sûr. Les léopards des neiges par exemple, présentent aujourd’hui le même type de larynx, mais ne rugissent pas.

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https://sciencepost.fr/

Le Saviez-Vous ► 20 des pires tueurs en série depuis 100 ans


C’est vraiment glauque. Alors que des personnes ont été maltraitées et on vécu une enfance difficile, beaucoup garderont des séquelles, mais parmi eux, il y aura des tueurs en séries. Parmi ces 20 personnes, la plupart sont des Américains, ces tueurs ont été médecin, ingénieur, instruit ou non, ils ont décidé de devenir des meurtriers.souvent sadique quelque fois même cannibale
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20 des pires tueurs en série depuis 100 ans

Ted Bunty, tueur en série

Les tueurs en série ont parfois une tête de tueurs en série, ils ont parfois l’air de bons pères de famille, ils ont même parfois des gueules d’ange. Ils ont cependant tous en commun d’avoir eu une fois le désir de tuer un être humain, d’avoir assouvi ce désir et d’avoir recommencé. Encore et encore.

Voici le portrait de 20 des plus horribles tueurs en série qui ont sévi depuis 100 ans.

Daniel Camargo Barbosa, l’assassin assassiné

Daniel Camargo Barbosa

Photo : pouted.com

Barbosa est né en 1930, en Colombie. On estime qu’il a violé et tué plus de 150 jeunes filles en Colombie et en Équateur entre 1974 et 1986. Emprisonné en Colombie, il a réussi à s’échapper et à faire 71 autres victimes en Équateur. Quand il a été repris, il a indiqué aux autorités les endroits où se trouvaient les corps des victimes qui n’avaient pas encore été retrouvés et qu’il avait tous démembrés à coup de machette.

Il a expliqué qu’il ne violait que des jeunes filles vierges parce qu’elles pleuraient et criaient et qu’il tuait pour se venger de l’infidélité de LA femme.

Il a été condamné en 1989 à 16 ans de prison, la peine maximale permise en Équateur. Ce qui signifie qu’il serait aujourd’hui un homme libre s’il n’avait été assassiné en prison, en novembre 1994, par le cousin de l’une de ses victimes. Il avait 64 ans.

Joachim Kroll, le cannibale de la Ruhr

Joachim Kroll

Photo : highlife.sk

L’Allemand Joachim Kroll, né en 1933, a été arrêté en 1976, pour l’enlèvement d’une fillette de 4 ans. Quand les policiers sont arrivés à son domicile, ils y ont trouvé le corps découpé de l’enfant. Des morceaux se trouvaient dans le frigo, une main cuisait dans une casserole et les intestins étaient coincés dans le vide-ordure.

Kroll a admis avoir tué la fillette et a fourni tous les détails concernant 14 autres meurtres s’échelonnant de février 1955 au 3 juillet 1976. Treize des victimes étaient des femmes. Elles ont été violées, puis étranglées, poignardées ou noyées. Des tranches de chair ont été découpées des fesses et des cuisses de certaines d’entre elles.

Après un procès qui aura duré 151 jours, Kroll a été reconnu coupable de huit meurtres et d’une tentative de meurtre.

Il a été condamné à neuf peines d’emprisonnement à perpétuité. Il est mort en prison en 1991, d’une crise cardiaque, à l’âge de 58 ans.

3. Andreï Chikatilo, le boucher de Roslov

Andreï Chikatilo

Photo : AFP

Chikatilo, né en Ukraine en 1936, a fait des études de langues, de littérature et de génie mécanique avant de devenir instituteur.

Ce père de deux enfants a été le meurtrier d’au moins 52 femmes et enfants entre 1978 et 1990. Il torturait et assassinait ses victimes avant de les mutiler et d’en consommer la chair, en particulier les seins et les organes sexuels.

Il a tué 21 garçons de 8 à 16 ans, 14 fillettes du même groupe d’âge et 17 femmes.

Il a été condamné à mort en octobre 1992 et exécuté d’une balle dans la nuque en février 1994. Les parents des victimes s’étaient réunis pour réclamer que les autorités le libèrent pour qu’ils puissent le tuer eux-mêmes.

L’instituteur aurait expliqué ses crimes en disant :

« Quand j’utilise mon couteau, ça me procure un soulagement psychologique. Je sais que je dois être détruit. Je suis une erreur de la nature. »

Patrick Wayne Kearney, l’ingénieur tueur

Patrick Wayne Kearney

Photo : fanpop.com

Patrick Kearney, né en 1939, a tué 43 victimes. Son premier meurtre aurait eu lieu en 1965, alors qu’il avait 26 ans, mais c’est à partir de 1974 qu’il a commis tous les autres, presque un par mois.

Kearney ramassait ses victimes, tous des homosexuels, sur le bord de l’autoroute ou dans des bars gais. Il les tuait d’une balle à la tempe dans sa voiture ou son pick-up puis se rendait dans un endroit isolé pour les violer.

Patrick Wayne Kearney était un ingénieur en électronique de Los Angeles qui ne ressemblait en rien au tueur en série typique, avec ses lunettes, sa petite taille et son aspect inoffensif.

Il s’est lui-même rendu à la police et a plaidé coupable d’avoir tué trois hommes. Il a été condamné à la prison à vie.

Les autorités, sachant qu’il en avait tué plus, lui ont fait une offre. On lui a promis qu’il ne recevrait pas de peine de mort s’il donnait la liste complète de ses victimes. Kearney a alors confessé avoir tué 18 autres personnes et indiqué où trouver les cadavres. Il a par la suite admis en avoir tué 11 de plus, mais ne fut jamais accusé de ces meurtres.

Il est incarcéré à la prison d’État de la Californie.

John Wayne Gacy, le clown tueur

John Wayne Gacy

Photo : Des Plaines Police Department, Tim Boyle/Getty Images

John Wayne Gacy, né à Chicago en 1942, était un respectable homme d’affaires, marié deux fois, qui faisait beaucoup de bénévolat. Il jouait entre autres le rôle de Pogo le clown lorsqu’il allait visiter des enfants malades à l’hôpital.

C’était aussi un homme qui aimait avoir des relations homosexuelles avec des hommes plus jeunes que lui qu’il recrutait dans son entourage pour leur proposer des petits boulots, souvent à son domicile.

C’est ainsi que la police est venue lui rendre visite en 1978 lors d’une enquête au sujet des disparitions de jeunes gens ayant travaillé pour lui. Au total, 26 cadavres ont été retrouvés enterrés dans le vide sanitaire sous sa demeure de Des Plaines, trois dans sa propriété et quatre autres dans la rivière voisine.

Gacy a été accusé d’avoir tué 33 jeunes hommes entre 1972 et 1978. Il les menottait et les violait, puis se débarrassait des corps.

Il a tenté de plaider la folie lors de son procès, sans succès, et a été condamné à la peine capitale. Il a été exécuté en mai 1994 par injection létale.

En 1998, quatre cadavres supplémentaires ont été trouvés dans un bâtiment où avait déjà habité la mère de Gacy et où il avait déjà fait des travaux de construction. Ses autoportraits de clown sont aujourd’hui des articles de collection…


Paul Knowles, le Casanova meurtrier

Paul Knowles

Photo : asesinos-en-serie.com

En quatre mois seulement, Paul Knowles a tué 18 personnes, et peut-être plus. Les victimes de Knowles, né en 1946 en Floride, étaient des hommes, des femmes et des enfants de plusieurs états américains.

L’homme, que l’on disait aussi charmant que manipulateur, avait vécu sa jeunesse en famille d’accueil et en maison de correction et avait fait de la prison une première fois à 19 ans et plusieurs fois par la suite (mais pas pour meurtre. Pas encore).

En 1974, il a eu droit à une libération conditionnelle grâce aux efforts d’une femme avec qui il avait entretenu une correspondance alors qu’il était en prison. Tous deux devaient se marier, mais elle changea d’avis après avoir consulté une voyante.

C’est alors que Knowles s’est transformé en tueur en série. Il a été arrêté en Géorgie quatre mois plus tard.

Il est mort peu après, tué par trois balles dans la poitrine tirées par un agent du FBI alors qu’il tentait de s’échapper.

Ted Bundy, le tueur charismatique

Ted Bunty, le tueur charismatique

Photo : cbsnews.com

Ted Bundy est né en 1946, dans le Vermont. C’est l’un des plus célèbres tueurs en série américains. Il a violé et tué au moins 36 femmes entre 1974 et 1977, dans sept états différents. Certains croient qu’il en aurait tué une centaine et plus. Son charme et son intelligence ont fait de lui une célébrité lors de son procès et son cas a inspiré bien des romans et des films sur les tueurs en série.

Cet étudiant en droit d’apparence soignée et sans dossier criminel a été arrêté une première fois en 1977, mais a réussi à deux reprises à s’évader de façon spectaculaire. Le 10 janvier 1978, il a été placé sur la liste des dix criminels les plus recherchés par le FBI.

Le 15 février, il a été arrêté, définitivement. Il a assuré lui-même sa défense et a été reconnu coupable de plusieurs meurtres et viols. Sa technique pour attirer ses victimes était toujours la même : il faisait semblant d’être blessé, en portant un bras en écharpe par exemple, et demandait à la jeune femme de l’aider à apporter un paquet dans sa voiture. Il a décapité au moins 12 de ses victimes et a conservé les têtes dans son appartement, comme autant de trophées. Il a été exécuté sur la chaise électrique en 1989. Il avait 43 ans. L’histoire de cet homme qui avait tout pour réussir a troublé toute l’Amérique.

Harold Fredrick Shipman — Le médecin tueur

Harold Fredrick Shipman, le médecin tueur

Photo : sonypozo1.blogspot.ca

en 1946 en Angleterre, Shipman était un médecin généraliste et l’auteur de plus de 250 meurtres. Il était très respecté dans sa communauté, mais ses collègues ont néanmoins commencé à avoir des soupçons en 1998 devant le haut taux de mortalité dans sa région et le nombre de certificats d’incinération chez ses patientes plus âgées.

Il a été par la suite prouvé que Shipman injectait des doses mortelles de diamorphine à ses patients pour les tuer. Il forgeait ensuite de faux testaments pour hériter de grosses sommes d’argent et incinérait les corps pour détruire toutes preuves. Il a été reconnu coupable en janvier 2000 de 15 assassinats et condamné à 15 peines d’emprisonnement à vie, sans possibilité de libération conditionnelle.

En 2002, un rapport basé sur 2500 témoignages et l’analyse de plus de 270 000 documents a conclu qu’il avait probablement tué plus de 250 personnes, surtout des personnes âgées. Il s’est pendu dans sa cellule en janvier 2004. Il avait 58 ans.

Pedro Alonso Lopez — Le monstre des Andes

Pedro Alonso Lopez, le monstre des Andes

Photo : editinternational.com

Pedro Lopez est né en 1948, en Colombie. Il a violé et tué plus de 300 filles à travers l’Amérique du Sud. Il ne tuait jamais la nuit parce que, disait-il, tout le plaisir résidait dans le fait de regarder sa victime dans les yeux pendant qu’il la tuait. Il a été arrêté en 1974 en Équateur après une tentative d’enlèvement ratée et condamné à 20 ans de prison en cellule d’isolement. Il a été libéré le 31 août 1994, pour être arrêté de nouveau une heure plus tard en tant qu’immigrant illégal par les autorités colombiennes qui l’ont ensuite accusé du meurtre d’une fillette de 8 ans.

Déclaré irresponsable de ses actes lors de son procès, il a été envoyé dans un institut psychiatrique de Bogota. En 1998, il a été déclaré guéri et a été relâché après le paiement d’une caution de 50 $. En 2002, Interpol a lancé un mandat d’arrêt contre lui pour un nouveau meurtre. Depuis sa libération, nul ne sait où se trouve le monstre des Andes qui a un jour avoué à un journaliste qu’il « serait content de pouvoir encore tuer. C’est ma mission ». C’était avant d’être libéré…

Gary Leon Ridgway — Le tueur de Green River

Gary Leon Ridgway, le tueur de Green River

Photo : murdermedia.org

Gary Ridgway est né en 1949 dans l’Utah. C’était un routier et un vétéran de la guerre du Vietnam qui a été accusé en 2001 d’avoir tué 49 femmes durant les années 1980 et 1990 dans l’état de Washington. La plupart de ses victimes étaient des fugueuses ou des prostituées. Ils violaient les femmes, les tuait, les cachait dans la forêt, puis revenait plus tard pour avoir d’autres « relations sexuelles ». Comme il l’a ensuite expliqué lors de son procès, ce faisant, il n’avait pas à payer pour le sexe…

Ridgway a évité la peine de mort en indiquant aux policiers les lieux où il avait laissé ses victimes. Comme cinq d’entre elles avaient été jetées dans la rivière Green, la presse l’a vite surnommé le tueur de Green River. Il est emprisonné à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Son cas a été lié à celui du tueur en série canadien Robert Pickton qui a été reconnu coupable en 2007 d’avoir tué six prostituées dans la région de Vancouver.

Richard Trenton Chase — Le vampire de Sacramento

Richard Trenton Chase, le vampire de Sacramento

Photo : hauntedamericatours.com

Cet Américain, né en 1950, a marqué les esprits, non pas tant par le nombre de ses victimes, six en tout, mais parce qu’il buvait leur sang et se livrait à des actes de cannibalisme. À l’âge de 25 ans, Chase a été placé, contre son gré, dans un institut psychiatrique après s’être injecté du sang de lapin dans les veines. Il a été relâché un an plus tard, après un traitement aux psychotropes, et confié à sa mère. Celle-ci a décidé qu’il n’avait plus besoin de médicaments.

Un an plus tard, le 29 décembre 1977 Chase a tué sa première victime. Il ne fut arrêté qu’un mois plus tard, après en avoir tué cinq autres. Il a déclaré qu’il devait boire leur sang pour éviter que les nazis transforment le sien en poudre, grâce à un poison qu’ils auraient placé sous son porte-savon. Il s’est suicidé dans sa cellule quelques mois après son arrestation. Il avait 28 ans.

Pedro Rodrigues Filho — Petit Pierre le tueur

Pedro Rodrigues Filho, petit Pierre le tueur

Photo : popdust.com

Filho est né en 1954, dans une petite ferme brésilienne, le crâne déjà fracassé suite aux coups assenés par son père alors qu’il était encore dans le ventre de sa mère. À 14 ans, il a tué un homme qui venait de licencier son père accusé de vol. Il a ensuite commencé une carrière de vols et de meurtres en tant que revendeur de drogue. Sa femme est alors tuée et pour la venger, Pedro torture et tue plusieurs personnes pour trouver son assassin.

Il n’a pas encore 18 ans, et déjà derrière lui une dizaine de cadavres. Parce que son père a ensuite tué sa mère avec une machette, il s’est rendu à la prison municipale pour le tuer, découper un morceau de son coeur et le manger. En 1973, Pedro Filho a été arrêté et condamné à la prison où il a tué au moins 47 autres prisonniers. En 2003, il a été condamné à 126 ans de prison, même si la loi brésilienne ne permet pas que quiconque passe plus de 30 ans en prison.

À cause des crimes que Pedriho Matador (Petit Pierre le tueur) a commis en prison, sa peine a été changée pour 400 ans d’emprisonnement. Il devait tout de même être libéré en 2017, mais après avoir passé 34 ans en prison, il a été libéré en avril 2007. Le 15 septembre 2011, il a été de nouveau arrêté, pour émeutes et emprisonnement illégal.

Javed Iqbal Mughal — Le tueur à l’acide

Javed Iqbal Mughal, le tueur à l’acide

Photo : true-crime-101.tumblr.com

Iqbal a tué 100 enfants en seulement 18 mois. En décembre 1999, l’homme, né en 1956, a envoyé une lettre à la police et à l’éditeur d’un journal de Lahore, au Pakistan dans laquelle il admettait avoir tué 100 garçons âgés de 6 à 16 ans, tous des fugueurs ou des orphelins vivant dans les rues de Lahore. Il écrivait les avoir étranglés et démembrés avant de les placer dans des cuves d’acide et de jeter leurs restes dans une rivière locale.

À son domicile, les policiers ont trouvé des taches de sang sur les murs et sur le sol, la chaîne avec laquelle Iqbal déclarait avoir tué ses victimes ainsi que les photos de plusieurs d’entre elles dans des sacs en plastique. Deux cuves d’acide contenant des restes humains à moitié dissous se trouvaient sur place avec une note stipulant que les corps n’avaient pas été jetés pour que les policiers puissent les trouver. Dans sa lettre, Iqbal expliquait qu’il allait se noyer dans la rivière. Comme on n’y trouva pas son corps, une chasse à l’homme a été lancée, sans succès.

On arrêta quatre complices, des adolescents qui vivaient chez Iqbal, et un mois plus tard, Iqbal s’est livré à la police. Même si ses journaux intimes contenaient des descriptions détaillées des meurtres, il a déclaré en cour qu’il était innocent et que toute l’affaire n’était qu’un canular pour éveiller l’attention sur le sort des fugueurs issus de familles pauvres.

Plus d’une centaine de personnes ont témoigné contre lui et il a été condamné à être pendu.

Le juge a déclaré : « Vous serez étranglé jusqu’à ce que mort s’ensuive devant les parents des enfants que vous avez tués. Votre corps sera ensuite découpé en 100 morceaux et placé dans l’acide, comme vous l’avez fait avec ces enfants ».

Plutôt que de subir ce jugement, Iqbal et l’un de ses complices se sont suicidés en prison, en octobre 2001.

Luis Garavito — La bête

Luis Garavito, la bête

Photo : Archivo/VANGUARDIA LIBERAL

Garavito, né en 1957 en Colombie, est un violeur et un tueur en série qui a admis avoir tué 147 garçons. Seulement 139 ont été prouvés et l’on croit même que le nombre de ses victimes pourrait dépasser 300. Il aurait lui-même été abusé physiquement et psychologiquement par son père et a commencé très jeune à reproduire ces sévices sur de jeunes garçons.

Il se déguisait en moine ou en vendeur ambulant pour s’approcher de ses victimes, qu’il violait avant de les égorger et de les démembrer. Il a été arrêté en avril 1999. Même si la peine maximum pour meurtre en Colombie multipliée par 139 (le nombre de cas prouvés) égale 1 853 ans et 9 jours, les lois colombiennes limitent le temps d’emprisonnement à 30 ans.

Et parce qu’il a aidé la police à retrouver certains corps et qu’il a confessé ses crimes, Garavito a vu sa peine réduite à 22 ans. Ce qui signifie que la Bête pourrait être bientôt libérée…

Charles Edmund Cullen — L’ange de la mort

Charles Edmund Cullen, ’ange de la mort

Photo : criminalminds.wikia.com

Cullen, un Américain né en 1960, a travaillé dans plusieurs hôpitaux du New Jersey en tant qu’infirmier. Il a confessé avoir tué 40 patients, pour la plupart âgés, entre 1984 et 2003, mais comme c’est le cas de bien des tueurs en série, on croit qu’il en a tué beaucoup plus, jusqu’à 400, ce qui en ferait le plus meurtrier de tous les tueurs en série américains.

Cullen empoisonnait ses patients avec des médicaments non prescrits ou en omettant de leur donner les médicaments prescrits. Il changeait d’hôpital dès que des soupçons apparaissaient. Il a déclaré avoir voulu soulager les souffrances de ses patients, mais plusieurs de ses victimes n’étaient pas du tout en phase terminale.

Il a été condamné à la prison à vie, sans possibilité de libération conditionnelle. Il est présentement détenu à la prison d’État du New Jersey. Fait à noter, en 2006, il a donné l’un de ses reins au frère d’une ancienne petite amie.

Jeffrey Dahmer — Le tueur cannibale

Jeffrey Dahmer, le tueur cannibale

Photo : EUGENE GARCIA/AFP/Getty Images

Dahmer est né en 1960 dans le Wisconsin. Il a violé, tué et démembré 18 hommes et garçons dans la région de Milwaukee entre 1978 et 1991. Il invitait les jeunes hommes, souvent trouvés dans des clubs gais, à son appartement où il les torturait pour tenter d’en faire des zombies.

Il perçait des trous dans leurs crânes, alors qu’ils étaient encore vivants, puis leur injectait de l’acide chlorhydrique ou de l’eau bouillante dans le lobe frontal. Lors de son arrestation, on a trouvé dans son appartement quatre têtes humaines, des photographies de ses crimes, des mains et des pénis, des corps dans des bidons d’acide, des ossements humains et un coeur conservé au congélateur.

En 1992, Dahmer a été accusé de 15 meurtres et condamné à 15 peines de prison à vie, soit 957 ans. Deux ans après son incarcération, il a été battu à mort en prison par un autre prisonnier. Il avait 34 ans. *Sur la photo, Jeffrey Dahmer à son entrée en cour pour son procès, le 6 août 1991.

Ricardo Ramirez — Le traqueur nocturne

Ricardo Ramirez, le traqueur nocturne

Photo : Michael Ochs Archives/Getty Images

Ricardo Ramirez est né au Texas en 1960. Son père le battait et son cousin, un vétéran du Vietnam, a tué sa femme devant lui alors que Ricardo n’avait que 13 ans. De 1984 à 1985, cet adorateur de Satan a terrorisé les villes de Los Angeles et de San Francisco.

Il s’introduisait de nuit dans les maisons de ses victimes, tuaient les hommes d’une balle dans la tête, puis frappait, violait et mutilait ses victimes, dont l’âge allait de 9 à 60 ans. Il signait ses meurtres en dessinant des pentagrammes sur les murs des scènes de crime.

Il a été arrêté en 1985 et condamné à la peine de mort pour avoir commis 11 viols et 14 meurtres. En octobre 1996, Ramirez a épousé en prison Doreen Lioy, une journaliste indépendante. Le 7 août 2006, son appel a été rejeté par la Cour suprême de Californie. Il est mort à l’hôpital le 7 juin 2013, âgé de 53 ans, de causes naturelles, dit-on. * Sur la photo, Ramirez, en 1984.

Robert Wagner et John Bunting — Les tueurs de pédophiles

Robert Wagner et John Bunting, les tueurs de pédophiles

Photo : murderpedia.org

John Bunting, un Australien né en 1966, faisait partie avec Robert Wagner d’une clique de meurtriers qui ont fait 12 victimes entre 1992 et 1999, quand huit corps ont été découverts dans des tonneaux planqués dans une banque désaffectée, à Snowdon, une petite ville pauvre près d’Adélaïde, en Australie.

L’enquête a démontré que Bunting et ses complices avaient torturé leurs victimes en utilisant sur eux différents couteaux, une scie, et un outil de métallurgiste qui servait à leur infliger des décharges électriques aux parties génitales. Bunting, un ancien militant néonazi, a commencé sa série de meurtres en tuant un homme soupçonné de pédophilie et c’est ce que le groupe a continué de faire.

Au procès en 2003, la cour a décidé que Bunting était le leader du groupe et l’a condamné à 11 peines consécutives d’emprisonnement à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Robert Wagner a été condamné à 10 peines consécutives sous les mêmes conditions. En recevant sa sentence, il a déclaré :

« Les pédophiles faisaient des choses horribles aux enfants. Les autorités ne faisaient rien. J’ai décidé d’agir. J’ai agi. Merci. »

Yang Xinhai — Le tueur sans regrets

Yang Xinhai, le tueur sans regrets

Photo : executedtoday.com

Yang est né en 1968, dans la province de Henan, en Chine, d’une famille très pauvre. À 17 ans, il s’est mis à parcourir diverses provinces chinoises en travaillant comme journalier. Par deux fois, il a été accusé de vol, puis pour tentative de viol, ce qui lui a valu cinq ans de prison. Ce n’est qu’après sa libération, en 1999, qu’il s’est mis à tuer. Il entrait la nuit dans la maison de ses victimes et tuait tous les occupants — des fermiers, en général — avec des haches, des marteaux et des pelles. On s’est mis à le soupçonner à cause de son comportement bizarre lors d’une enquête policière de routine en 2003.

Après enquête, les policiers se sont aperçus qu’il était recherché pour meurtre dans quatre autres provinces. Après son arrestation, Yang a admis avoir tué 65 personnes, en avoir violé 23 et sérieusement blessé cinq autres. En février 2004, il a été déclaré coupable de 67 meurtres et de 23 viols et condamné à mort. Il a été exécuté deux semaines plus tard. L’homme n’a jamais exprimé de regrets.

« Quand je tuais des gens, a-t-il déclaré, j’avais du désir. Ça m’inspirait à en tuer plus. Je m’en fous s’ils ont le droit de vivre ou pas. Ce n’est pas de mes affaires. Je n’ai aucun désir de faire partie de la société. La société ne m’intéresse pas. »

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Les ânes menacés par la médecine chinoise


Pauvres animaux ! Il y a des médecines traditionnelles que je respecte, car ils sont basés sur des plantes. Mais quand c’est des animaux comme la médecine traditionnelle chinoise, cela devient grotesque. Cette médecine affirme de guérir nombres de maladies et qui pourtant aucune preuve ne peut appuyer leurs dires.
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Les ânes menacés par la médecine chinoise


© getty.

Un abattage massif qui préoccupe de nombreuses associations…

La gélatine de peau d’âne, ou « ejiao », est abondament utilisée dans la médecine traditionnelle chinoise. Bien que son efficacité ne soit pas scientifiquement prouvée, elle est prescrite pour soigner les problèmes d’anémie, l’insomnie ou encore l’infertilité. Elle s’obtient en faisant bouillir la peau de l’animal.

Or, la Chine ne possède pas un cheptel suffisamment large pour contenter la demande nationale. Le pays importe donc en masse des ânes d’Afrique et d’Amérique du Sud, au grand dam des défenseurs des animaux, relate NPR, relayé par Slate

Ainsi, en Afrique, ils commencent à manquer dans le travail de la terre:

« Le taux de déclin auquel nous assistons dans les populations d’ânes de certains pays africains est dramatique et insoutenable », dénonce Geoffrey Dennis, directeur général de SPANA, une organisation caritative qui cherche à améliorer le bien-être des animaux de travail dans les communautés pauvres. 

En effet, dans certains pays comme le Burkina Faso, le Mali, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Botswana, la population de ces équidés a chuté de 39%. La demande chinoise entraîne également une augmentation des vols d’animaux ensuite vendus à des abattoirs clandestins. 

La résistance s’installe désormais. Face au risque de pénurie, le Niger, en 2016, le Botswana et la Tanzanie, en 2017, ont décidé d’interdire les exportations. eBay a ensuite interdit la vente de l’ejiao sur sa plateforme.

Conséquence cocasse de la demande chinoise, la contrefaçon explose: selon un rapport de l’agence de presse Xinhua, 40% des produits labellisés « ejiao » sont en réalité conçu sans gélatine de peau d’âne. Les principaux concernés ne risquent pas de s’en plaindre…

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne


En forêt amazonienne cache toutes sortes d’animaux, certains sont très dangereux, ils peuvent être gros, mais aussi très petits. Bref, ce n’est pas des animaux qu’on aimerait se retrouver nez à nez avec eux. Cependant, il est malheureux que certaines espèces sont en voie de disparition.
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Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

 

Les animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Avec sa superficie de 2,12 millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande forêt tropicale du monde. Elle abrite une flore et une faune exceptionnelle, avec des milliers d’espèces animales différentes, sans compter les millions d’insectes. Mais parmi tous ces animaux (dont la plupart sont en voie de disparition) se trouvent des créatures pour le moins dangereuses que vous n’aimeriez certainement pas rencontrer au détour d’un chemin…

1. L’anaconda géant

Aussi appelée anaconda vert, l’anaconda géant est le plus grand serpent du monde. Et pour cause, il peut mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 250 kg. Il vit exclusivement en Amérique du Sud, notamment dans les marais, les ruisseaux et les rivières de la forêt amazonienne. Non venimeux, ce serpent tue sa proie par constriction (en l’étouffant) puis l’avale entièrement. Ainsi, il se nourrit principalement de cerfs, de caïmans, de tortues et même de jaguars.

serpent anaconda

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Crédits : Jeff Kubina/Flickr

2. La grenouille venimeuse

Cette grenouille aux couleurs vives est considérée comme l’un des animaux les plus dangereux au monde. La raison ? Une seule dose de son venin secrété par sa peau pourrait tuer 10 humains adultes en quelques minutes !

grenouille poison

Crédits : GrrlScientist/Flickr

3. Le caïman noir

Avec une taille qui peut aller jusqu’à 6 mètres de long, le caïman noir a de quoi impressionner. Il est même considéré comme l’un des crocodiles les plus grands du monde. Avec sa mâchoire puissante, il attrape sa proie et la noie puis l’avale en entier.

caiman noir

Crédits : Bernard DUPONT/Flickr

4. Le jaguar

Le jaguar est le félin à la morsure la plus puissante du monde. En effet, cette dernière est bien plus efficace pour tuer les proies que celle du tigre ou même du lion. Et même s’il ressemble au léopard, le jaguar est plus grand et plus lourd.

jaguar

Crédits : iStock

5. L’anguille électrique

L’anguille électrique n’est pas vraiment une anguille mais plutôt un poisson qui ressemble à une anguille. Que ce soit pour chasser ou pour se défendre, cet animal a une technique imparable : libérer de l’électricité pour paralyser sa proie. Ensuite, il ne lui suffit plus qu’à attendre qu’elle se noie pour la dévorer

anguille électrique

Crédits : Doug Letterman/Flickr

6. Le piranha

Réputé pour son agressivité, le piranha n’est en fait pas aussi dangereux qu’il n’y paraît pour l’être humain. En effet, même s’il est capable de tuer de petits animaux sans aucun problème, les humains sont des proies bien trop grosses pour lui. Cependant, il est tout de même capable de leur infliger des blessures profondes grâce à ses dents tranchantes et à sa mâchoire particulièrement puissante.

piranha

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Crédits : Lilla Frerichs/Public Domain Pictures

7. Le requin-taureau

Le requin-taureau, qui dépasse rarement les 3 mètres de long, est l’un des requins les plus agressifs qui soient. Il vit dans les eaux boueuses et peu profondes de la rivière Amazone et n’hésite pas à s’attaquer aux humains. Et chose rare : il est capable de passer de l’eau salée à l’eau douce et inversement !

requin taureau

Crédits : Jeff Kubina/Wikipédia

8. La fourmi balle de fusil

La fourmi balle de fusil fait partie des insectes à la piqûre la plus douloureuse au monde. En effet, sa piqûre serait aussi douloureuse qu’un coup de fusil. De plus, l’effet de son venin peut agir pendant plus de 24 heures. Ainsi, cette fourmi de grande taille est tout à fait capable de tuer de petits animaux, comme un écureuil par exemple.

fourmi balle

Crédits : emills1/Flickr

9. L’araignée-banane

L’araignée-banane doit son nom à son habitude de se cacher dans les régimes de bananes. Mais elle se retrouve également dans les habitations, donnant lieu à de nombreux cas de morsures chaque année. En effet, dotée d’un puissant venin, cette araignée peut provoquer une paralysie et, plus rarement, la mort

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araignée banane

Crédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

10. Le mille-pattes géant à pattes jaunes

Considéré comme la plus grande scolopendre au monde, ce mille-pattes carnivore peut mesurer jusqu’à 40 centimètres de long. Animal très agressif et venimeux, sa morsure n’est cependant pas mortelle pour l’être humain, hormis chez les petits enfants, même si elle est très douloureuse. Il se nourrit de petits animaux, notamment d’araignées, de lézards, de rongeurs, de petits serpents et même de petits oiseaux.

mille pattes

Crédits : Tod Baker/Flickr

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Le Saviez-Vous ► Top 5 des insectes les plus mignons du monde


4 insectes et un arachnide les plus mignons. Je craque sur le hanneton, il est vraiment spécial.
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Top 5 des insectes les plus mignons du monde

 

libellule

Crédits : iStock

 

On ne peut pas dire que les insectes soient les animaux les plus appréciés de la planète… Pourtant, ils peuvent parfois s’avérer être (presque) aussi mignons qu’un chaton. La preuve avec ces insectes que l’on pourrait confondre avec de petites peluches !

1. L’anisote de l’érable

Ce petit papillon de nuit qui ne mesure pas plus de 5 centimètres et dont le nom scientifique est Dryocampa rubicunda, a la particularité d’être très coloré. En effet, les jolies couleurs roses, jaunes et blanches qui parsèment son corps le font ressembler à un « gâteau ». Il possède en plus un duvet de poils bien fourni et qui semble tout doux. C’est l’un des rares insectes que l’on a envie de caresser !

Si vous souhaitez en rencontrer, il faudra vous promener dans les forêts d’érable sou de chênes d’Amérique du Nord.

papillon anisote de l'érable

Crédits : Andy Reago & Chrissy McClarren/Wikipédia

2. La libellule

Alors certes, lorsque l’on regarde le corps de la libellule (Platycnemis pennipes), il y a peu de chances pour qu’on la trouve mignonne. On peut se dire tout au plus qu’elle est plutôt jolie et qu’elle a de belles couleurs. Mais lorsque l’on regarde sa tête, il est impossible de ne pas craquer ! Avec ses gros yeux globuleux et ses expressions presque humaines, cette libellule est tout simplement adorable.

Présente en Europe, elle se rencontre facilement autour des rivières ou des étangs.

libellule

Crédits : iStock

3. La fourmi-panda

Elle a les couleurs du panda et la morphologie d’une fourmi, mais il s’agit bel et bien d’une guêpe ! La femelle fourmi-panda (Euspinolia militaris) ne possède pas d’ailes, à l’instar des fourmis, ce qui explique son nom. Très poilue, son apparence donnerait presque envie de s’en approcher pour l’observer de plus près. Pourtant, elle est réputée pour sa piqûre particulièrement douloureuse…

Si vous souhaitez la voir de vos propres yeux, sachez que la fourmi-panda vit uniquement au Chili et que, au vu de sa rareté, il n’est pas facile de la rencontrer.

fourmi panda

Crédits : RenataPUG/Wikipédia

4. Le hanneton

Le hanneton (Melolontha melolontha) est un gros insecte qui appartient à la famille des scarabées. Il se nourrit exclusivement de plantes, ce qui lui a valu le titre de « nuisible » ravageur de cultures. Malgré son corps peu élégant, il possède une tête particulièrement mignonne, notamment grâce à la présence de deux antennes plutôt atypiques et qui font penser à des cils maquillés au mascara.

Présent en Europe, il se rencontre partout, même si, comme de nombreux autres insectes, sa population est en chute libre.

hanneton

Crédits : iStock

5. La

Originaire d’Amérique du Sud, cette toute petite araignée ne mesure que quelques millimètres. Alors certes, les araignées ne sont pas des insectes mais des arachnides. Mais étant donné sa petite bouille si mignonne, nous ne pouvions pas écarter la cylistella de ce classement !

araignée cylistella

Crédits : Wayne Maddison/Wikimedia Commons

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Une nouvelle espèce de rainette découverte dans les Andes équatoriennes


Une nouvelle rainette en Amérique du Sud à été identifiée, elle est particulière par sa couleur et une sorte de griffe à la base du pouce. Malheureusement, à cause de la déforestation, elle est en danger.
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Une nouvelle espèce de rainette découverte dans les Andes équatoriennes

 

rainette grenouille

Un spécimen de l’espèce Hyloscirtus hillisi, récemment découverte. Crédits : Gustavo Pazmiño, BIOWEB Équateur

Une équipe de biologistes annonce la découverte d’une toute nouvelle espèce de rainette sur les pentes d’une montagne isolée à l’est des Andes. Une région riche en biodiversité, mais encore largement méconnue.

Les détails de l’étude sont publiés dans la revue ZooKeys.

La peau brune et mouchetée de petits points orange : cette nouvelle espèce de rainette attire l’œil. Découverte il y a quelques jours dans la Cordillera del Cóndor, une zone difficile d’accès à l’est des Andes, l’amphibien se distingue par une structure inhabituelle en forme de griffe dépassant de la base de son pouce. La fonction de cette “griffe” reste encore inconnue, mais il pourrait s’agir d’un moyen de se défendre contre les prédateurs, ou contre d’éventuels concurrents dans une course à la reproduction.

Six spécimens analysés

« Pour atteindre le plateau, nous avons marché deux jours sur un terrain escarpé. Puis, entre sueur et épuisement, nous sommes arrivés au plateau où nous avons trouvé une petite forêt. Il y avait des petites rivières et les grenouilles étaient assises tout le long sur des branches », explique Alex Achig, l’un des biologistes à l’origine de la découverte.

Après analyses génétiques de plusieurs spécimens (une femelle, trois mâles et deux juvéniles), les chercheurs de l’Université catholique d’Équateur ont alors conclu qu’il s’agissait finalement d’une espèce de rainette encore jamais décrite. Ils l’ont baptisé Hyloscirtus hillisi, en hommage au biologiste David Hillis pour sa contribution dans les années 80 à la connaissance des amphibiens et des reptiles dans la région.

 

Déjà menacées

Mais à peine découverte, il est à noter que l’espèce – étroitement apparentée à H. tapichalaca – est d’ores et déjà considérée comme en danger d’extinction. Non loin de là, dans la province de Zamora Chinchipe, se trouve en effet une importante exploitation minière chinoise qui menace la biodiversité locale(déforestation et donc perte de l’habitat naturel). Des expéditions supplémentaires dans la Cordillera del Cóndor pourraient néanmoins permettre de mieux appréhender ses occupants, dans le but de les protéger.

On note par ailleurs qu’il s’agit ici de la 601e espèce de grenouille identifiée en Équateur, sur la côte ouest de l’Amérique du Sud. En septembre de l’année dernière, l’espèce tsáchila (ou Scinax tsáchila) avait fait de cette nation l’un des quatre seuls pays au monde à comptabiliser 600 espèces d’amphibiens. Sur ces 601 espèces, 256 sont également endémiques, c’est-à-dire que vous ne les retrouverez que sur ce territoire.

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Le cacao était apparemment utilisé il y a 5400 ans


Des archéologues ont trouvés des preuves que le cacao était utilisé il y a 4 500 ans en Équateur. Les espagnols ont témoignés que le cacao était utilisé comme boisson et s’il était sucré, c’était du miel.
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Le cacao était apparemment utilisé il y a 5400 ans

 

L’ancienne civilisation sud-américaine n’utilisait probablement pas de cacao pour fabriquer du chocolat, car il n’y a pas d’histoire établie des populations autochtones de la région l’utilisant de cette manière, indiquent les chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique.

PHOTO THIERRY GOUEGNON, ARCHIVES REUTERS

CANDICE CHOI
Associated Press
New York

 

Une étude menée par une université canadienne semble démontrer que le cacao était utilisé il y a 5400 ans en Amérique du Sud, soulignant la transformation radicale qu’a subie cette fève pour donner naissance aux friandises chocolatées que l’on connaît aujourd’hui.

Les chercheurs ont détecté des traces de cacao sur des artefacts provenant d’un site archéologique en Équateur, affirme l’étude publiée lundi, menée par des chercheurs dirigés par l’Université de la Colombie-Britannique. Cette découverte laisse penser que la domestication du cacao a eu lieu dans cette région environ 1500 ans plus tôt qu’en Amérique centrale.

« C’est le site le plus ancien qui contient actuellement du cacao domestiqué », souligne Cameron McNeil du Collège Lehman à New York, qui n’a pas participé à la recherche.

L’ancienne civilisation sud-américaine n’utilisait probablement pas de cacao pour fabriquer du chocolat, car il n’y a pas d’histoire établie des populations autochtones de la région l’utilisant de cette manière, indiquent les chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique.

Mais leurs recherches montrent que cette civilisation en Équateur a utilisé la graine de cacao, et pas seulement la pulpe. Les graines sont la partie de la gousse de cacao utilisée pour faire du chocolat.

Les populations autochtones de la haute Amazonie utilisent aujourd’hui le cacao pour leurs boissons et jus fermentés, et c’est probablement ainsi qu’il a été utilisé il y a des milliers d’années, estiment les chercheurs.

Les scientifiques s’accordent généralement pour dire que le cacao a d’abord été domestiqué en Amérique du Sud plutôt qu’en Amérique centrale, comme on le croyait auparavant. L’étude publiée par le journal scientifique « Nature Ecology & Evolution » en fournit de nouvelles preuves.

Trois types de tests ont été réalisés avec des artefacts du site de Santa Ana-La Florida, en Équateur. L’un d’eux a testé la présence de théobromine, un composé clé du cacao ; un autre a mesuré la présence de particules préservées qui aident les archéologues à identifier l’utilisation de plantes anciennes ; un troisième a utilisé des tests ADN pour identifier le cacao.

Les trois méthodes ont détecté du cacao sur un artefact de céramique vieux de 5310 à 5440 ans. Du cacao a aussi été décelé sur d’autres artefacts, mais qui n’étaient pas aussi vieux.

D’abord une boisson

On ne sait pas exactement comment l’utilisation du cacao s’est propagée entre l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale. Mais lorsque les explorateurs espagnols sont arrivés en Amérique centrale à la fin des années 1400, ils ont découvert que des gens l’utilisaient pour faire des boissons au chocolat chaudes et froides avec des épices, souvent avec une couronne de mousse.

« Pendant la majeure partie de la période moderne, c’était une boisson », affirme Marcy Norton, historienne à l’Université de Pennsylvanie et auteure de « Sacred Gifts, Profane Pleasures : A History of Tobacco and Chocolate in the Atlantic World ».

Les boissons au chocolat en Amérique centrale contenaient souvent du maïs et différaient du chocolat chaud vendu aux États-Unis. Elles ne contenaient pas de lait, souligne Mme Norton, et lorsqu’elles étaient sucrées, c’était au miel.

Dans les années 1580, le cacao était régulièrement importé en Espagne et se répandait dans d’autres pays européens avec l’ajout de lait en cours de route. Aux États-Unis, les progrès de la fabrication ont transformé le chocolat en un produit solide, ajoute Mme Norton.

Michael Laiskonis, qui donne des cours consacrés au chocolat à l’Institute of Culinary Education, a constaté un intérêt croissant pour les arômes de cacao, indiquant un retour à l’époque où le chocolat n’était pas seulement un ingrédient ajouté aux friandises.

Il a précisé qu’il tentait d’intégrer l’histoire du chocolat à ses cours, notamment une recette de 1644 associant des versions mayas et aztèques de boissons à des influences européennes.

Le cacao « est une chose qui ne cesse de se transformer », a-t-il souligné.

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Pérou: découverte de vingt statuettes pré-colombiennes


Un couloir avait été découvert dans un palais au Pérou durant l’été. 20 statuettes ont ressurgi du passé en septembre. Elles sont très bien conserver.
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Pérou: découverte de vingt statuettes pré-colombiennes

 

 

Le couloir où elles ont été repérées n’a été découvert qu’en juin dans le palais du Grand Chimu, un des dix palais fortifiés de la ville, visitée chaque année par des milliers de touristes du monde entier.

PHOTO MARTIN MEJIA, AP

Vingt statues en bois vieilles de 800 ans ont été découvertes dans la cité antique de Chan Chan, le plus grand site pré-colombien d’Amérique, ont annoncé lundi des archéologues et la ministre péruvienne de la Culture, Patricia Balbuena.

Ces statuettes de 70 cm, toutes en bon état de conservation sauf une, ont été mises au jour dans l’ancienne capitale de l’empire Chimu, situé près de la ville moderne de Trujillo, à 570 km au nord de Lima. 

Les sculptures étaient alignées dans des niches creusées dans le mur d’un couloir décoré de bas-reliefs de terre, dans un édifice datant d’un millier d’années.

Le couloir où elles ont été repérées n’a été découvert qu’en juin dans le palais du Grand Chimu, un des dix palais fortifiés de la ville, visitée chaque année par des milliers de touristes du monde entier. 

« C’est une découverte importante en raison de son ancienneté et de la qualité de la décoration », s’est félicitée la ministre de la culture, en visite sur place. 

Les statues, découvertes en septembre, sont noires avec un masque de couleur beige

Elle « seraient les plus vieilles sculptures connues à ce jour à Chan Chan », a précisé l’archéologue Arturo Paredes, qui dirige les fouilles.

Les statues, découvertes en septembre, sont noires avec un masque de couleur beige.

PHOTO MARTIN MEJIA, AP

L’empire Chimu a connu son apogée entre 900 et 1450 sur la côte nord du Pérou. A l’époque, Chan Chan, qui signifie « soleil resplendissant », comptait 3000 habitants. 

La cité comptait alors dix citadelles, ou palais fortifiés, dans son centre de six kilomètres carrés. Au total, la ville s’étendait sur 20 kilomètres carrés.

La cité de Chan Chan a été inscrite au Patrimoine de l’humanité en 1986 par l’UNESCO. Plus de 500 personnes, dont 50 archéologues, travaillent sur le site dans divers projets de recherches.

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