Évènement malheureux


C’est encore une fois, la façon qu’on voit les choses, a un impact sur notre vie en générale.
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Évènement malheureux

 

Lorsqu’un évènement malheureux survient, nous avons trois choix :
Le laisser définir notre vie
Le laisser nous détruire
Ou s’en servir pour devenir plus fort !

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Malaise vagal : définition, symptômes, traitement


Un malaise vagal ou choc vagal n’est pas très intéressant à vivre. Les symptômes avant ce malaise sont quand même assez faciles à reconnaître. Il y a des choses à faire si jamais nous en sommes témoin. Généralement, le malaise vagal n’est pas dangereux, mais cela arrive souvent mieux vaut en parler à son médecin.
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Malaise vagal : définition, symptômes, traitement

 

Malaise vagal

Victime d’un malaise, une femme est aidée par des passants qui lui relèvent les jambes pour favoriser la circulation du sang.

©GOGO LOBATO / AFP

Par Lise Loumé

S’il peut inquiéter, le malaise vagal n’est généralement pas grave. Il est surtout très fréquent puisqu’il concerne près de deux tiers des pertes de conscience brève. Mais à quoi est-il dû et quels sont les gestes à adopter ?

Qu’est-ce qu’un malaise vagal ?

Un malaise vagal désigne le fait de perdre connaissance à la suite d’une chute brutale de la tension artérielle. Il se produit lors d’une stimulation excessive du nerf vague, un nerf très long puisqu’il parcourt l’estomac et arrive jusqu’au cerveau, en passant par le cœur (voir schéma ci-dessous).

Le nerf vague est le plus important du système nerveux parasympathique. Ce système, avec son antagoniste appelé système nerveux sympathique (ou orthosympathique), constitue le système nerveux autonome, responsable des fonctions automatiques de l’organisme (sans dépendre d’un ordre particulier du cerveau). Le système nerveux autonome commande toutes les fonctions vitales : la respiration, les battements du cœur mais aussi tous les organes de la digestion.

Le système nerveux parasympathique est chargé de ralentir les fonctions de l’organisme : par exemple, il abaisse le rythme cardiaque et la tension artérielle. A l’inverse, le système nerveux sympathique augmente le rythme cardiaque et la tension artérielle. Ces deux systèmes sont donc essentiels pour que notre cœur ne batte ni trop vite, ni trop lentement, en fonction de l’activité du corps.

Quelles sont les causes du malaise vagal ?

Certains facteurs physiques (douleur violente, chaleur incommodante, effort intense, station debout prolongé) et/ou psychologiques (stress important, émotion forte) vont perturber cet équilibre : la fréquence cardiaque diminue, la tension artérielle chute. Le transport du sang et de l’oxygène au cerveau et aux autres organes vitaux s’en trouvent perturbés, entrainant potentiellement des nausées, des vertiges, des sueurs, une pâleur, une perte de tonus et, dans certains cas, l’évanouissement (très souvent bref). En cas de perte de connaissance plus longue, on ne parle plus de malaise vagal mais de « syncope ».

Comment réagir ?

Une personne qui fait un malaise vagal voit son visage devenir rapidement pâle (il n’est plus assez irrigué) et sa vue se trouble (voile noir devant les yeux). En cas de malaise vagal, il est important – en plus d’appeler les secours – d’inciter la personne à s’allonger et à surélever les jambes pendant au moins dix minutes, afin de faire remonter le sang et d’éviter la perte de connaissance. Si vous assistez à un malaise avec perte de connaissance, appelez immédiatement les secours. Même s’il est impressionnant, le malaise vagal n’est pas dangereux pour la santé. En revanche, si les malaises deviennent fréquents (plus d’une fois par mois), mieux vaut consulter un médecin.

https://www.sciencesetavenir.fr

Ces deux momies incas ont été enterrées vêtues de robes empoisonnées


Deux momies au Chili qui date d’environs 500 à 600 ans. Deux jeunes filles incas, qui auraient été sacrifiées. Les archéologues avaient remarqué une poudre, qui fut plus tard identifier comme un poison mortel. Elle provient d’une espèce de piment qui contient du mercure, ce qui est plutôt rare d’utiliser du poison pour un sacrifice.
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Ces deux momies incas ont été enterrées vêtues de robes empoisonnées

 

Crédits : Museo Regional de Iquique

par  Mehdi Karam

 

En 1976, sur la montagne Cerro Esmeralda au Chili, les sépultures de deux jeunes filles âgées de 9 et 18 ans ont été retrouvées. Celles-ci avaient, il y a supposément entre 500 et 600 ans, fait l’objet d’un capacocha, rite sacrificiel inca qui impliquait des enfants.

Au sein de leur sarcophage se trouvaient de précieux biens funéraires, tandis que les deux jeunes filles portaient une robe d’un rouge profond. Toutefois, un élément a intrigué les scientifiques pendant près de 40 ans : un saupoudrage, d’apparence toxique, recouvrant l’intégralité des corps. Le 25 mai dans la revue Archaometry, les chercheurs de l’université de Tarapacá affirment avoir trouvé la nature de cette poudre : il s’agirait de cinabre, pigment rouge sang composé de sulfure de mercure, redoutable poison qui n’a rien à envier à l’arsenic.

C’est la première fois qu’une sépulture retrouvée dans la région contient un tel minéral. Si nous sommes au fait de la signification exacte du capacocha, pratiqué pour commémorer les événements importants de la vie de l’empereur inca, mettre fin à la sécheresse ou encore implorer les dieux, rien ne justifie la présence de cinabre.

Surtout que, comme l’écrivent les chercheurs, l’hématite est une espèce minérale plus courante au Chili, tandis que « le cinabre est une offrande funéraire spéciale et d’origine étrangère ».

Selon les chercheurs, la présence du minéral varie en fonction d’une question : les Incas étaient-ils au fait de sa toxicité ?

Si oui, il se pourrait qu’il ait été saupoudré comme « dissuasion ou punition pour des pilleurs de tombe ». 

Car le cinabre, c’est du sérieux. À peine inhalée, sa poussière provoque l’empoisonnement au mercure. Quoi qu’il en soit, en attendant de déterminer l’histoire exacte derrière l’utilisation du cinabre, cela permet d’alerter les archéologues opérant dans la région : toujours prendre ses précautions avant d’ouvrir un sarcophage inca.

Source : Archaometry

http://www.ulyces.co/

La Suède éteint ses feux de forêt… à l’aides de bombes !


Je ne sais pas trop, enfin si cela permet de faire moins de dégâts qu’un incendie de forêt, cela montre un aspect positif de l’utilisation des bombes
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La Suède éteint ses feux de forêt… à l’aides de bombes !

 

Capture vidéo : Youtube

par Yohan Demeure

En proie à une vague de chaleur intense, la Suède est actuellement impactée par de nombreux incendies de forêt dont une partie des foyers se trouvent dans des lieux plutôt difficiles d’accès. La Suède, peu habituée à ce genre de catastrophe et manquant d’équipements a finalement eu recours à la bombe à guidage laser.

Depuis maintenant plus de deux semaines, le feu ravage la forêt en Suède sur plus de 30.000 hectares et l’on compte près d’une quarantaine de foyers. Il y a quelques jours, certains pays européens ont proposé leur aide, dont la France qui a envoyé des pompiers en renfort. Alors que le nombre de foyers commence à réduire grâce aux efforts effectués, il faut savoir que la Suède a tout de même utilisé un moyen peu orthodoxe pour éteindre certains feux : la bombe.

Dans la région d’Alvdalen (centre de la Suède), certains de ces foyers se trouvaient près d’un champ de tir de l’armée, une zone interdite en raison des exercices qui y sont menés et de la présence de munitions non explosées. L’usage d’obus et de bombes larguées par hélicoptère avait pour but de prévenir le déploiement des pompiers et assurer leur progression.

Bien que ce moyen de lutte a permis dans un premier temps de contenir le feu, de nombreux foyers étaient encore hors de contrôle et l’armée de l’air suédoise a tenté une nouvelle technique. Ainsi, deux chasseurs suédois Saab JAS 39 Gripense sont envolés à 3000 mètres d’altitude et l’un d’entre eux a largué une bombe à guidage laser de type GBU-49 directement sur un des foyers d’incendie qui se trouvait sur le champ de tir.

Bombe GBU-49

L’armée de l’air a utilisé une bombe GBU-49 dotée d’un kit de guidage Enhanced Paveway II
Crédits : bredow-web.de

Selon les responsables de l’opération qui a été menée avec succès, le souffle de l’explosion a permis d’éteindre le feu sur une centaine de mètres autour de la zone d’impact de la bombe.

 

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Un skieur français disparu en 1954 identifié grâce aux réseaux sociaux


Une identification qui n’aurait probablement pas été possible avant Internet et ses réseaux sociaux. Des ossements ont été retrouvés en Italie et grâce aux réseaux sociaux, c’est du côté de la France que l’identification a été possible et ce même si les évènements sont passé en 1954
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Un skieur français disparu en 1954 identifié grâce aux réseaux sociaux

 

Le 24 juillet, Henri Joseph Leonce Le Masne a... (Photo tirée de lefigaro.fr)

 

Le 24 juillet, Henri Joseph Leonce Le Masne a été formellement identifié.

PHOTO TIRÉE DE LEFIGARO.FR

 

Agence France-Presse
Rome

La police italienne a pu retrouver 64 ans après sa disparition, avec l’aide des médias et des réseaux sociaux, l’identité d’un skieur français mort en 1954 à 3100 mètres d’altitude.

Des restes humains et des accessoires avaient été retrouvés le 22 juillet 2005 dans le Val d’Aoste (nord-ouest de l’Italie), aux Cimes blanches dans le Valtournenche, a expliqué dimanche dans un communiqué la police italienne.

Fin juin, la police avait lancé un appel sur les réseaux sociaux pour tenter d’identifier la victime, un homme d’une trentaine d’années selon les analyses effectuées.

Les analyses avaient permis de conclure qu’il s’agissait d’une personne aisée, au regard de la très bonne marque de ses skis en bois comportant un numéro de série, a précisé Marinella Laporta, de la police scientifique de Turin.

Sur la base de leur longueur, les enquêteurs ont conclu que le skieur mesurait 1m75, une mensuration confirmée par un médecin.

Son blouson de ski léger permettait de penser que le décès avait eu lieu au printemps. Des clichés des enquêteurs montrent en outre ses lunettes, une montre, ainsi que des morceaux de chemise avec des initiales brodées.

Ces découvertes ont été partagées fin juin sur les réseaux sociaux, les policiers estimant que l’homme n’était probablement pas Italien ce qui expliquait que les recherches en Italie n’aient donné aucun résultat.

Rapidement, une Française, Emma Nassem, a répondu après avoir entendu l’information sur une radio française et évoqué son oncle, Henri Le Masne, né en 1919 à Alençon (ouest de la France) et « décédé avec ses skis sur le Cervin en 1954, un jour de grosse tempête », selon le communiqué.

Roger Le Masne, 94 ans, le petit frère du disparu, s’est également manifesté, très ému.

« Je suis le frère d’Henri Le Masne, qui est probablement le skieur disparu voici 64 ans », a-t-il écrit dans un courriel. « Mon frère Henri, célibataire, était un personnage plutôt indépendant. Il travaillait dans l’administration civile du ministère des Finances à Paris ».

À l’époque de la disparition, Roger s’était rendu dans l’hôtel de montagne où son frère avait réservé une chambre durant quinze jours, y laissant des effets personnels ainsi que 35 000 lires et 5000 francs français. Il n’était jamais revenu d’une sortie à ski le 26 mars 1954.

Sur une photographie fournie par la famille, la police d’Aoste a identifié les mêmes lunettes retrouvées à 3100 mètres d’altitude.

Mais pour évacuer tous les doutes, Roger s’est prêté à un test ADN où apparait notamment le chromosome Y commun à plusieurs générations de membres masculins de la famille. Le 24 juillet, Henri Joseph Leonce Le Masne a ainsi été formellement identifié

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Les Hommes faisaient-ils du sport durant la Préhistoire ?


Du sport pendant la préhistoire ? Peut-être pas tout à fait comme on l’entend, mais ils devaient être très en forme en tout cas pour la chasse. Eux au moins quand ils tuaient un animal, c’était pour se nourrir, vêtir et se défendre. Ils devaient user de stratégie et utiliser avec le temps des outils qui demandaient une force de lancer pour viser la proie. Ils s’adonnaient aussi à la nage, la marche, sûrement la course et plus tard a pagayer.
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Les Hommes faisaient-ils du sport durant la Préhistoire ?

 

chasse préhistoire

Crédits : Flickr

par Yohan Demeure

Les Homo erectus, Homo sapiens ou encore Néandertal étaient loin de pratiquer les sports des Jeux olympiques mais il s’agissait tout de même de grands sportifs dans la mesure ou ceux-ci devaient être en forme pour survivre.

Homo erectus, qui aurait vécu en Asie entre 1 million d’années et 140 000 ans avant J.C. organisait des expéditions de chasse comme les archéologues l’affirment via les découvertes de restes d’animaux près de fossiles humains.

Par ailleurs, le caillassage était alors une pratique très rependue et des boules 1 kilo ou de 500 grammes pouvaient provoquer des fractures chez certains animaux de taille moyenne comme les impalas. Ainsi, étant donné que la chasse est actuellement considérée comme une sorte de sport, nous pouvons conclure qu’avec les moyens de l’époque, cette pratique devait être bien plus physique !

En réalité, la chasse était l’activité principale de l’Homme préhistorique. L’Homme de Néandertal avec son physique imposant n’hésitait pas à chasser le petit gibier à l’arme de jet et préparait des attaques contre des animaux plus imposants tels que le rhinocéros et le mammouth.

Plus proche de nous, l’Homo sapiens, il y a plus de 15 000 ans, s’imposait un apprentissage drastique pour manier le propulseur, une arme qui s’apparente au tir à l’arc. Ainsi, l’Homme va pouvoir se tenir à bonne distance de sa proie tout en gardant une force de projection et une précision comparable à celles obtenues auparavant, ce qui représente une révolution. De plus, il faut savoir que la vitesse du projectile est multipliée par trois par rapport à un lancer à la main et que la distance de tir pouvait atteindre jusqu’à 100 mètres.

Par ailleurs, la chasse n’était pas seule preuve d’activité physique puisque 8 000 avant J.C., Homo sapiens pagayait à bord d’une pirogue alors que ses contemporains nageaient.

Voici une démonstration de tir au propulseur préhistorique par un amateur passionné :

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Et si le sens des affaires était lié à un parasite dans l’organisme?


Le parasite le toxoplasma gondii est responsable d’un changement de comportement il a pour effet de  prendre des risques contre son prédateur chez les animaux.(Comme la souris qui n’a plus peur du chat)  Des chercheurs croient aussi que ce protozoaire changerait aussi le comportement humain en plus impulsive, avec des ambitions. Il semble que certaines personnes affectées aient le sens des affaires.
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Et si le sens des affaires était lié à un parasite dans l’organisme?

 

Le protozoaire Toxoplasma gondii est un parasite qui... (Hannah McKay, REUTERS)

Le protozoaire Toxoplasma gondii est un parasite qui se propage surtout par la consommation de viande insuffisamment cuite ou d’eau ayant été en contact avec des sols contaminés par des excréments de chat.

HANNAH MCKAY, REUTERS

Agence France-Presse
Londres

 

La réussite dans les affaires, l’audace et le goût du risque pourraient être liés à la présence dans l’organisme du parasite responsable de la toxoplasmose, suggère une étude publiée mercredi dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.

Le nom du coupable ? Le protozoaire Toxoplasma gondii, un parasite se propageant surtout par la consommation de viande insuffisamment cuite ou d’eau ayant été en contact avec des sols contaminés par des excréments de chat.

Touchant plus de deux milliards de personnes, ce parasite pourrait avoir la faculté, via les changements hormonaux et neurologiques inhérents à sa présence dans l’organisme, d’amplifier « l’impulsivité », « l’ambition » et « la recherche de biens matériels », des « caractéristiques associées à l’activité entrepreneuriale », explique l’étude, réalisée par des chercheurs d’universités anglaise (Leeds), américaine (Boulder), allemande (Francfort), espagnole (Bilbao), norvégienne (Bodo) et de Hong Kong.

Analysant les résultats de tests salivaires menés sur près de 1500 étudiants américains, les chercheurs ont découvert que les porteurs du protozoaire étaient « 1,7 fois » plus enclins à manifester un intérêt pour l’entrepreneuriat et le management.

D’autres tests effectués auprès de professionnels assistant à des rencontres liées au monde de l’entreprise ont montré que les personnes positives au Toxoplasma gondii étaient davantage susceptibles d’avoir monté leur propre affaire.

En synthétisant des données provenant de 42 pays, les chercheurs ont également découvert que la prévalence de l’infection était un indicateur de « l’activité et des intentions entrepreneuriales ». La « peur de l’échec » semble en outre plus faible là où le parasite est le plus présent, disent-ils.

Ces résultats mettent en évidence un « lien entre l’infection parasitaire et des comportements humains complexes, et notamment (…) l’esprit d’entreprise et la productivité économique ».

Les chercheurs soulignent que d’autres études avaient précédemment mis en avant la faculté du parasite à modifier le comportement d’hôtes non humains pour pouvoir se reproduire plus facilement.

Le Toxoplasma gondii infecte en effet de nombreuses espèces, mais ne peut se reproduire que chez les félins et pousserait ainsi ses hôtes à adopter des comportements à risque, en rendant par exemple attirante pour les chimpanzés l’odeur de l’urine du léopard, leur prédateur naturel, une hypothèse explorée en 2016 par des chercheurs du Centre national français de la recherche scientifique (CNRS).

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