Celui qui …


Il y a des moments qu’il faut sortir des sentiers battus, se dégager de la routine, des gens pour arriver à d’autres expériences.
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Celui qui …

 

 

Celui qui suit la foule n’ira jamais plus loin que la foule qu’il suit. Celui qui marche seul peut parfois atteindre des lieux que personne n’a jamais atteints

Albert Einstein

Le Saviez-Vous ► Pourquoi nos cerveaux ont-ils des plis ?


Notre cerveau est ratatiné mais cela lui permet de contenir plus de neurones ce qui permet à des  »cerveaux plus avancés avec des capacités cognitives accrues » Ce pliage du cerveau commence dans l’utérus pour se finaliser vers 1 an et demi.
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Pourquoi nos cerveaux ont-ils des plis ?

 

 

 

Crédits : iStock

par Brice Louvet

La plupart d’entre nous ont depuis longtemps accepté que nos cerveaux ressemblent à des noix ratatinées. Mais pourquoi nos cerveaux ont-ils ces rides révélatrices ?

Le cortex, ou la surface externe du cerveau – ce qu’on appelle familièrement la “matière grise” – se développe et se plie ensuite « lorsque notre cerveau se développe dans l’utérus », explique Lisa Ronan, du Département de psychiatrie de l’Université de Cambridge, en Angleterre.

En substance, « cette expansion provoque une augmentation de la pression dans cette surface extérieure, qui est ensuite atténuée par le pliage ».

Imaginez deux plaques tectoniques s’écrasant l’une sur l’autre : la pression au cours de la collision devient finalement si grande que ces plaques connaîtront un pli géologique.

Ces circonvolutions seraient donc le résultat d’une simple compression mécanique. Celles-ci permettraient ensuite aux humains d’emmagasiner plus de neurones, ce qui, à son tour, est synonyme de cerveaux plus avancés avec des capacités cognitives accrues. Cependant, les cerveaux pliés ne sont pas la norme. Le cortex des souris et des rats par exemple, ne s’agrandit pas suffisamment au cours du développement pour conduire à ce “pliage” : leurs cerveaux présentent ainsi des surfaces complètement lisses.

Pour observer le phénomène de manière non invasive (pour des questions éthiques), Tuomas Tallinen, de l’Université de Jyvaskyla (Finlande), et ses collègues de l’Université de Harvard (États-Unis) ont construit en 2016 une maquette en suivant l’imagerie à résonance magnétique (IRM) d’un cerveau de fœtus humain. Ils ont alors découvert que le “pliage” du cerveau se produit à partir de la 20e semaine de gestation du fœtus, et se poursuit jusqu’à la première année et demie de l’enfant. Selon les chercheurs, si on “dépliait” un cerveau, il couvrirait alors une surface entre 1 à 2 mètres carrés, alors que le volume de notre crâne est de 1 100 à 1 700 cm³.

Ces “plis” de notre cerveau ont donc une utilité, et non des moindres : accroître notre puissance cérébrale dans une même quantité d’espace de crâne.

Source

https://sciencepost.fr/

Encadrer le tatouage de votre proche décédé avec la peau, c’est possible


Glauque vous-dites ? Je suis du même avis.
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Encadrer le tatouage de votre proche décédé avec la peau, c’est possible

 

MICROGEN VIA GETTY IMAGES

On hésite entre être attendri ou dégoûté…

Les tatouages sont souvent précieux pour ceux qui les portent, et même pour leurs proches. C’est pourquoi une entreprise a eu l’idée (un peu glauque, avouons-le) de permettre aux gens de conserver une partie de la peau tatouée de leur être cher décédé… dans un cadre hermétique.

La compagnie américaine Save My Ink Forever croit fermement que l’art corporel doit être aussi conservé après la mort, comme un héritage. Elle propose donc de préserver le ou les bouts de peau qui ont une valeur sentimentale puis de les encadrer dans un tableau empêchant son vieillissement ou sa putréfaction. Vous pouvez ainsi les accrocher au mur comme une oeuvre d’art.

La compagnie refuse d’en dire plus sur son processus de préservation de la peau qu’elle qualifie d’«unique», mais révèle que les tatous sont entreposés derrière une vitre offrant une protection contre les rayons UV.

Save My Ink Forever, fondée par des directeurs des pompes funèbres, dit collaborer directement avec les centres funéraires et crématorium. Ces derniers n’auraient que 48 à 72 heures après la mort de la personne pour la contacter, ce à quoi elle répondrait par l’envoi d’un ensemble de préservation au centre pour que la peau reste intacte. Le tatouage encadré – avec peau d’origine – serait ensuite retourné aux proches du défunt dans les trois mois qui suivent.

Les prix varient selon la grosseur du tatou. Ça commence à 1599$ US, soit l’équivalent de 2100 $ canadiens, pour une pièce de 5 pouces par 5 pouces, incluant l’extraction, l’expédition, la préservation, l’encadrement et le verre protecteur UV, a révélé la compagnie au HuffPost Québec.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Ces 7 endroits du monde ont battu tous les records de chaleur cette semaine


On peut dire qu’on a eu chaud pendant plusieurs jours. Aujourd’hui, c’est frais, et cela fait du bien. Et ce n’est pas juste au Québec que la canicule a été insupportable. Ailleurs dans le monde, dont 7 records de chaleur ont été relevés. Le réchauffement climatique va devenir le réchauffement global. Et dire qu’il y a encore des gens qui en doute
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Ces 7 endroits du monde ont battu tous les records de chaleur cette semaine

Crédits : Climate Reanalyzer de l’Université du Maine

par  Malaurie Chokoualé

Signe d’un réchauffement global en marche, la dernière semaine de juin a été un doux brasier pour le monde entier, tous hémisphères confondus.

À travers la planète, certaines zones ont enregistré des températures anormalement hautes, mettant parfois en péril la vie d’habitants. Le 5 juillet, le Washington Post relayait les données enregistrées par différents organismes météorologiques nationaux et internationaux, et partageait également la carte rougeoyante de l’université du Maine, Climate Reanalyzer (voir photo ci-dessus).

Voici quelques records mondiaux des températures :

 

  • Denver a égalé son record historique, avec 40,5°C le 28 juin.
  • Montréal a enregistré le 2 juillet sa température la plus élevée jamais enregistrée depuis 147 ans, soit 36,6°C. Dans le sud du Québec, la chaleur a également été meurtrière ; au moins 33 personnes sont décédées suite à ces températures records  (aux dernières nouvelles c’était 50 personnes (nuage) )
  • En Sibérie septentrionale, terre arctique de froid et de glace, les températures sont pourtant grimpées jusqu’à 32°C le 5 juillet dernier, soit 22°C de plus qu’en temps normal.
  • La ville écossaise de Motherwell, non loin de Glasgow, a observé le 28 juin la température la plus haute que le pays ait jamais enregistrée : 33,2°C.
  • En Irlande, un autre record national : la ville de Shannon ont passé la journée du 28 juin sous une chaleur de 32°C.
  • La capitale géorgienne, Tbilissi, cherchait également de la fraîcheur le 4 juillet dernier, avec 40,5°C, son record national.
  • La ville de Quriyat à Oman, a affiché la température minimale la plus chaude jamais enregistrée sur Terre : 42,6°C.

 

En France, point de record mais des températures élevées à travers tout le pays. Dans le Rhône, il a fait jusqu’à 36°C le weekend du 1er juillet, obligeant Météo France à placer à placer le département en alerte canicule pendant trois jours. Ces chiffres inquiétants, évidemment, sont une nouvelle preuve de la gravité du réchauffement climatique. Et l’été ne fait que commencer…

Sources : The Washington Post/University of Maine Climate Reanalyzer

http://www.ulyces.co/

Les néandertaliens, des chasseurs de précision


Il y a 120 000 ans, les hommes de Néandertal chassaient en groupe en élaborant des plans d’attaques. De la façon qu’ils utilisaient leur lance, semble prouver qu’ils étaient assez proches de leur gibier
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Les néandertaliens, des chasseurs de précision

 

Les hommes de Néandertal chassaient à courte distance il y a 120 000 ans, montre l’analyse des plus anciennes blessures de chasse documentées de l’histoire du genre Homo.

Un texte d’Alain Labelle


Les marques ont été trouvées sur les squelettes de deux gros daims d’une espèce aujourd’hui éteinte tués par des néandertaliens sur les rives d’un petit lac situé près de l’actuelle ville de Halle-sur-Saale, en Allemagne.

Représentation de l'endroit de la hanche où la lance a frappé le daim.

Estimation de l’angle d’impact de la lance sur le cervidé.  Photo : RGZM/Eduard Pop

Les travaux de l’anthropologue Sabine Gaudzinski-Windheuser et de ses collègues de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence constituent une percée importante dans notre compréhension de la niche écologique des néandertaliens.

Le saviez-vous?

Les Homo neanderthalensis ont disparu de la surface terrestre il y a 30 000 à 40 000 ans. Ils ont toutefois vécu en même temps que nos ancêtres Homo sapiens pendant plusieurs milliers d’années en Eurasie.

Des habiletés méconnues

Les aptitudes de chasse des hommes de Néandertal restent méconnues, mais la présente étude tend à montrer qu’ils n’étaient pas des chasseurs du dimanche, loin de là.

En ayant recours à une installation balistique expérimentale comprenant une technologie novatrice de détection du mouvement, les chercheurs ont été en mesure de reproduire la forme détaillée de l’une des lésions infligées aux cerfs préhistoriques.

Un examen d'imagerie montrant un objet pointu qui perfore un os.

Un examen d’imagerie a permis de reconstituer la lésion au pelvis, et la forme de l’objet pointu qui l’a perforé.  Photo : RGZM/Eduard Pop

Cette reconstitution montre qu’une lance de bois a atteint l’animal à faible vitesse.

Cela laisse à penser que ces hommes s’approchaient des cervidés et poussaient leurs lances vers eux avec précision plutôt que de les projeter avec vigueur.

Vue de face et de dos d'une lésion de chasse dans le bassin d'un daim tué par des Néandertaliens il y a 120 000 ans .

Vue de face et de dos d’une lésion de chasse dans le bassin d’un daim tué par des Néandertaliens il y a 120 000 ans.  Photo : RGZM/Eduard Pop

Une telle technique de chasse exigeait, selon les chercheurs, une grande planification, une capacité de camouflage, de même qu’une coopération étroite entre les chasseurs.

À l’époque, la zone du lac où se serait déroulée la chasse était entourée d’une étroite bande de forêt, un environnement jugé difficile pour les chasseurs-cueilleurs, même pour les humains modernes.

En outre, les fouilles menées dans cette région allemande ont permis de mettre au jour des dizaines de milliers d’os de grands mammifères, notamment des cerfs rouges, des chevaux et des bovins, ainsi que des milliers d’artefacts attestant de la capacité de survie de néandertaliens dans les environnements forestiers.

Certains, dont les présents ossements, dataient de la période interglaciaire, il y a 120 000 ans.

« Bien que les hominines aient probablement commencé à chasser avec des armes il y a plus de 500 000 ans, les preuves de l’utilisation d’objets en bois ressemblant à des lances étaient absentes avant l’identification des présentes lésions de chasse », explique Sabine Gaudzinski-Windheuser

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Nature Ecology and Evolution.

https://ici.radio-canada.ca/

L’administration Trump utilise des tests ADN pour réunir les familles de migrants


J’ai l’impression que la séparation des enfants et des parents migrants et l’obligation de réunir les familles coûtera encore plus cher que prévues. Comment il se fait qu’il n’y a pas eu de document sur les enfants et de suivi ? Les tests ADN, les heures supplémentaires pour respecté l’ordre de la cour, … Donald Trump prend beaucoup de mauvaises décisions. De plus, que feront-ils avec tout ces tests ? Vont-ils les garder pour mieux suivre ces enfants ? Ils seront fichés ?
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L’administration Trump utilise des tests ADN pour réunir les familles de migrants

 

LEAH MILLIS / REUTERS

L’utilisation de tests ADN a créé une nouvelle polémique aux États-Unis.

  • Agence France-Presse

L’administration Trump a admis jeudi que ses services utilisaient des tests ADN pour réunir les « moins de 3 000 » mineurs migrants, dont une centaine ont moins de cinq ans, avec leurs parents interpellés pour être entrés illégalement aux Etats-Unis.

« Nous conduisons des tests ADN pour confirmer les liens de parenté rapidement et rigoureusement », a déclaré le ministre américain de la Santé Alex Azar, lors d’une conférence téléphonique.

Ses services sont engagés dans un contre-la-montre pour rendre les « environ 100 enfants de moins de cinq ans » à leurs parents d’ici mardi, conformément à une décision de justice, a-t-il précisé.

Les autres mineurs doivent retrouver leurs parents d’ici le 26 juillet.

Les familles pourront être rassemblées en centre de rétention si les parents n’ont pas été relâchés, a précisé le ministre.

Ses services connaissent « l’identité et la localisation de chaque enfants laissés aux soins de nos sous-traitants », a-t-il martelé, alors que ces séparations et les larmes d’enfants éplorés ont provoqué un tollé aux Etats-Unis, et au-delà.

« Le ministère de la Santé continue de travailler sans compter les heures pour mettre en contact les mineurs avec leurs parents identifiés dans le cadre des contraintes imposées par le tribunal », a poursuivi Alex Azar.

« Afin de respecter la date butoir du tribunal, le ministère de la Santé a dû réduire (ses procédures habituelles) à un processus plus expéditif », a-t-il toutefois déploré.

L’utilisation de tests ADN a créé une nouvelle polémique aux Etats-Unis, où des associations de défense des migrants accusent la Maison-Blanche de relever ainsi des données ultra-sensibles qui pourraient permettre de « surveiller ces enfants pendant le reste de leur vie », selon l’organisation Raices.

D’après les précédents chiffres officiels, plus de 2 300 mineurs ont été retirés à leurs parents sans-papiers en quelques semaines après que Donald Trump a décidé d’appliquer, début mai, une politique de « tolérance zéro » en matière d’immigration clandestine.

Le président américain a fait machine arrière le 20 juin en signant un décret interdisant ces séparations, mais les retrouvailles tardent à se concrétiser.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Arctique: le transport accru, risqué pour les mammifères marins


Le passage du Nord-Ouest au Détroit de Lancaster n’a pas vraiment de problème avec le transport maritime pour le moment, mais les choses pourraient changer avec les changements climatiques. Ce qui serait néfaste pour les animaux marins comme l’ours polaire, la baleine, le narval, et bien d’autres. Comme l’espace est étroit, il risquerait d’avoir des collisions et les victimes seront les animaux surtout pendant les migrations. Malheureusement pour eux, c’est la politique qui vont prendre les décisions pour eux.
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Arctique: le transport accru, risqué pour les mammifères marins

 

Les ours polaires et les phoques courent peu... (photo National Oceanic and Atmospheric Administration, Kristin Laidre, via PC et AP)

Les ours polaires et les phoques courent peu de risques, selon l’étude, mais les baleines – particulièrement les narvals – seraient les plus vulnérables.

PHOTO NATIONAL OCEANIC AND ATMOSPHERIC ADMINISTRATION, KRISTIN LAIDRE, VIA PC ET AP

 

BOB WEBER
La Presse Canadienne

Une accentuation du transport de marchandises pourrait ranger certaines portions du passage du Nord-Ouest parmi les endroits plus dangereux dans l’Arctique pour les baleines et d’autres mammifères qui y vivent, laisse croire une nouvelle étude.

Dans une étude publiée lundi, Donna Hauser, de l’Université de l’Alaska, prévient que le détroit de Lancaster, à la frontière est du passage, pourrait devenir un goulot d’étranglement pour les navires et les mammifères marins.

Mme Hauser a souligné le potentiel élevé de « conflit » étant donné qu’il s’agit d’un passage obligé tant pour les navires entrant et sortant de la voie du Nord-Ouest que pour les mammifères marins en migration.

Mme Hauser et les coauteurs de l’étude se sont penchés sur 80 diverses populations de narvals, de bélugas, de baleines boréales, de phoques, de morses et d’ours polaires dans le Nord et ont tenté d’évaluer leur vulnérabilité face aux grands navires.

Les traversées du passage du Nord-Ouest, de même que de la route maritime du Nord russe, sont appelées à augmenter en raison de la fonte des glaces attribuée aux changements climatiques.

L’étude examine les croisements des habitats des animaux avec les routes maritimes probables au mois de septembre, lorsque la glace est à son plus bas niveau et que le transport serait le plus courant. Elle évalue ensuite quels seraient les répercussions d’une accentuation du transport sur les mammifères.

L’étude a conclu qu’un peu plus de la moitié des populations seraient exposées au transport par bateau. Elle a aussi déterminé que les animaux dans le détroit de Lancaster, de même que dans une portion de la côte centrale arctique de la Russie, étaient les plus vulnérables.

Des espèces plus vulnérables

Les ours polaires et les phoques courent peu de risques, selon l’étude, mais les baleines – particulièrement les narvals – seraient les plus vulnérables.

Mme Hauser a souligné que le trafic de bateaux pourrait perturber le comportement de baleines et nuire à leurs communications. Il pourrait aussi y avoir des collisions avec des navires.

« Il y a eu beaucoup de recherches suggérant que les navires pourraient avoir des répercussions sur les mammifères marins », a-t-elle affirmé.

Des dizaines de milliers de baleines boréales, de bélugas et de narvals migrent dans le secteur et y trouvent leurs sources d’alimentation. Toutes les espèces étudiées représentent également des sources importantes de nourriture pour les Inuits qui chassent régulièrement dans la région.

Le transport dans le passage du Nord-Ouest est encore relativement rare. Mais, étant donné que l’étendue des glaces de la mer diminue d’environ 13 % chaque 10 ans, le portrait devrait changer.

Selon Mme Hauser, l’étude laisse croire que le temps est venu de réfléchir sérieusement à ces enjeux.

« Il y aura beaucoup de travail politique pour déterminer quels sont les risques et les avantages de certains itinéraires », a-t-elle souligné.

Des techniques développées dans les eaux du Sud pour minimiser les conflits pourraient être adaptées dans le Nord, soutient l’étude. Le tracé avec soin de voies de transport, le contrôle du bruit provenant des navires et le choix de périodes de transport pour éviter les pointes de migration pourraient contribuer à réduire les risques pour plusieurs espèces.

http://www.lapresse.ca/