Un homme à la mer


Une réalité qui est malheureusement vraie. Non pas qu’une personne meurt noyé est mieux, mais le fait que les rivières, mers et océans soient si pollué est dramatique pour la faune et la flore des animaux marins
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Un homme à la mer

 

Autrefois, un homme tombé à la mer risquait de mourir noyé, aujourd’hui étouffé par les détritus.

Denis Langlois

Le Saviez-Vous ► Noir, lait ou blanc : il y a chocolat et… chocolat !


Quelle différence entre le chocolat blanc, au lait et noir ? Ils ont tous des propriétés intéressantes, mais un seul se démarque.
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Noir, lait ou blanc : il y a chocolat et… chocolat !

 

Le chocolat blanc et le chocolat au lait contiennent plus du double de sucres simples que le chocolat noir.

Le chocolat blanc et le chocolat au lait contiennent plus du double de sucres simples que le chocolat noir. © LUKA / CULTURA CREATIVE / AFP

L’un possède des atouts nutritionnels indéniables. Les autres devraient être réservés aux plaisirs occasionnels.

Chocolat noir, lait ou blanc, quelles différences ?

A chaque type de chocolat une composition nutritionnelle différente, et donc un impact potentiel sur la santé différent.

A chaque chocolat sa définition

C’est grâce aux différentes définitions du Codex Alimentarius qu’apparaissent les nuances entre tous les chocolats existants. Les exigences de composition varient selon le nom donné au produit commercialisé.

• Le chocolat blanc ne contient pas de cacao, mais est fabriqué exclusivement à partir de beurre de cacao. Il comprend par ailleurs du lait, du sucre et parfois des arômes.

• Le chocolat au lait doit contenir sur la matière sèche (c’est-à-dire sur ce qu’il reste une fois l’eau évaporée par chauffage) au moins 25% de composants secs de cacao. Il est moins gras que le chocolat noir mais plus sucré.

• Le chocolat noir, également nommé chocolat amer sucré ou chocolat demi-sucré, doit contenir au moins 35% de composants secs de cacao et au moins 18% de beurre de cacao et 14% de composants secs dégraissés de cacao.

Des caractéristiques nutritionnelles différentes

Le chocolat blanc et le chocolat au lait contiennent plus du double de sucres simples que le chocolat noir.

Source : Ciqual 2013

Quant à elles, les teneurs en protéines des trois types de chocolat varient légèrement, de 8 g (chocolat blanc et chocolat au lait) à 9,3 g (chocolat noir). Enfin, le chocolat noir est le seul des trois types de chocolat à être considéré comme riche en fibres. Il apporte 12,7 g de fibres pou 100 g, soit pour 1,3 g de fibres pour 10 g consommés.

Source : Ciqual 2013

La valeur calorique pour 100 g de chocolat,
qu’il soit blanc, au lait ou noir s’approche en moyenne de 550 kcal, soit 55 kcal pour 1 carré de 10 g.

POLYPHÉNOLS. Composés présents naturellement dans le cacao, les polyphénols ont des propriétés antioxydantes qui permettent de lutter contre le stress oxydatif des cellules de l’organisme et, à terme, contribuent à limiter le développement de maladies cardiovasculaires et de cancers. On en trouve dans d’autres aliments tels que le thé vert, la grenade ou encore le vin rouge.

Les protéines du lait contenues dans le chocolat au lait piègeraient une partie des polyphénols du cacao. L’action de prévention des maladies cardio-vasculaires serait ainsi moindre. En revanche le chocolat noir est très intéressant : plus un chocolat noir est riche en pâte de cacao plus il contient de polyphénols.

MAGNÉSIUM. Le chocolat noir est riche en magnésium, un oligo-élément essentiel à l’organisme car il joue un rôle d’intermédiaire métabolique et participe à la réplication et à la réparation de l’ADN. La valeur nutritionnelle de référence (VNR) du magnésium s’élève à 375 mg/jour. Un carré de chocolat noir de 10 g couvre ainsi 5,5% des VNR en magnésium.

https://www.sciencesetavenir.fr/

États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors


Un invité très inusité, c’est installer sur le sofa dans le salon d’une maison. Un puma ! La dame l’a laissé tranquille et s’est mit en retrait. Lors d’un de ses moments de demi-réveil de l’animal, elle est restée près du chat sauvage en clignant des yeux, pour le calmer. À mon avis, elle a pris des risques .. Enfin tout s’est quand même bien passé. Le puma a bien dormi et les gens ont pu reprendre possession de la maison.
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États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Une habitante de l’Oregon, aux États-Unis, a reçu une drôle de visite, dimanche 15 juillet. Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste. L’Américaine, qui ne voulait pas le déranger, a dû attendre pas moins de six heures dans son jardin, le temps que l’animal se réveille.

Dimanche 15 juillet, Lauren Taylor, une habitante de l’Oregon (États-Unis) a découvert sur son canapé un drôle de visiteur. Alors qu’elle entrait dans son salon, l’Américaine a remarqué deux yeux qui brillaient derrière son canapé. Lauren Taylor s’est alors rendue compte qu’il s’agissait d’un puma.

L’animal s’était immiscé par la porte arrière de sa maison, laissée ouverte. Le puma, trouvant sans doute le canapé confortable, en a profité pour faire une longue sieste, rapporte Mashable.

Elle est restée très calme et en retrait

Sur Facebook, la jeune femme se présente comme une connaisseuse des « énergies » et se dit être une habituée des animaux sauvages. Elle explique être restée très calme tout en se contentant de rester en retrait dans son salon, sans que l’animal n’en sorte.

« Mais après qu’une personne présente également dans la maison a claqué une porte, la lionne a commencé à s’agiter et a tenté de sortir par une fenêtre fermée. Au bout de quelques minutes, elle s’est à nouveau calmée », raconte-t-elle.

Lauren Taylor explique qu’elle est ensuite sortie dans son jardin pour observer l’animal endormi depuis une fenêtre.

 « Je voulais voir ce qu’elle faisait et elle était en train de dormir ! Quand j’ai fait un peu de bruit, elle s’est réveillée et avait l’air surprise, alors je l’ai regardée chaleureusement dans les yeux, et j’ai utilisé le système des clignements d’yeux des félins pour l’apaiser. C’était incroyable de réaliser que ça avait marché. Et puis elle s’est rendormie », détaille l’Américaine.

Une sieste de six heures

La jeune femme a alors patienté six longues heures. Lauren pense que ce sont les récents feux de forêt dans la région qui ont poussé l’animal sauvage à se rapprocher des habitations.

« Nous avons compris qu’il ne restait que quelques heures avant que le soleil ne se lève. Nous devions l’inviter à partir sans trop l’inquiéter au point qu’elle panique », explique l’Américaine.

Tout doucement, ses colocataires et elle-même ont alors ouvert des portes de la maison et ont commencé à frapper sur des objets pour faire fuir le puma. Sa sieste terminée, l’animal s’est paisiblement dirigé vers l’extérieur puis a disparu dans un champ proche de la maison.

ladepeche.fr

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Découverte d’un atelier de poterie vieux de 4500 ans en Égypte


Une autre découverte différente faite en Égypte, sous l’Ancien empire. Un ancien atelier de poterie qui daterait de plus de 4 500 ans. Cela donne une fenêtre ouverte sur la vie quotidienne de ce temps-là.
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Découverte d’un atelier de poterie vieux de 4500 ans en Égypte

 

 

Un atelier de poterie vieux de 4000 ans a été découvert récemment en Égypte près du Nil à hauteur d'Assouan.

Un atelier de poterie vieux de 4000 ans a été découvert récemment en Égypte. Photo : The Associated Press

Des archéologues égyptiens ont découvert près d’Assouan, dans le sud de l’Égypte, un atelier de poterie remontant à l’époque de l’Ancien empire et vieux de plus de 4500 ans, a annoncé jeudi le ministère des Antiquités.

AGENCE FRANCE-PRESSE

La découverte a été effectuée lors de travaux autour du temple de Kom Ombo, sur les rives du Nil, à 40 km au nord d’Assouan, selon un communiqué du ministère.

Mustafa Waziri, secrétaire général du Conseil suprême des Antiquités égyptiennes, a expliqué dans le communiqué que l’atelier datait de la IVe dynastie (entre 2613 et 2494 avant J.-C.), soit la période à laquelle les pyramides du plateau de Guizeh, près du Caire, ont été construites.

Parmi les vestiges mis au jour, la mission archéologique a découvert un tour à poterie en pierre.

C’est l’une des rares découvertes qui mettent en lumière la vie quotidienne, les activités industrielles et le développement de l’art dans l’Égypte ancienne. Mustafa Waziri, secrétaire général du Conseil suprême des Antiquités égyptiennes

Selon lui, la découverte montre aussi « l’amélioration et l’adaptation des outils de l’industrie pour répondre aux exigences de la vie quotidienne ».

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L’administration Trump s’attaque à la loi protégeant les espèces menacées


Donald Trump veut laisser sa marque partout ou cela peut plaire à l’industrie. Tout ce qui allait bien ou mieux, il met son grain de sel pour que ce soit pire sur les espèces menacées
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L’administration Trump s’attaque à la loi protégeant les espèces menacées

 

L’Endangered Species Act fait figure de référence sur le plan mondial en matière de protection de l’environnement.

PHOTO ANDEW HARNIK, ASSOCIATED PRESS

 

Agence France-Presse
Washington

L’administration Trump a proposé jeudi une série de modifications substantielles à l’Endangered Species Act, une loi fédérale qui protège depuis 1973 de nombreuses espèces menacées sur le sol américain, provoquant l’inquiétude des défenseurs de l’environnement.

L’Endangered Species Act fait figure de référence, sur le plan mondial, en matière de protection de l’environnement. Adoptée il y a 45 ans sous la présidence de Richard Nixon, cette loi a contribué depuis à sauver des dizaines d’espèces menacées d’extinction, comme le pygargue à tête blanche — le fameux «bald eagle», emblème des États-Unis –, le lamantin, la baleine à bosse ou l’alligator américain.

Parmi les modifications proposées jeudi par les départements de l’Intérieur (DOI) et du Commerce: la suppression d’une phrase visant à ce que les décisions prises pour la protection des animaux soient dissociées de leurs répercussions économiques.

Une autre retouche potentielle supprimerait une clause accordant automatiquement la même protection aux espèces dites «menacées» –amenées à être en danger d’extinction dans un futur proche– qu’aux espèces «en danger d’extinction» immédiat.

«Ce changement ne concernera pas la protection dont bénéficient les espèces actuellement classées comme menacées, mais permettra que les espèces qui le seront à l’avenir jouissent d’une protection sur-mesure», a expliqué dans un communiqué l’Office fédéral de préservation de la nature (Fish and Wildlife Service).

Ces propositions feront désormais l’objet d’une consultation publique pendant 60 jours. Elles pourraient être adoptées d’ici la fin de l’année.

Les associations de défense de l’environnement sont fermement opposées à ces modifications, qui marquent selon elles une tentative de détricoter une loi ayant prouvé son efficacité depuis plus de quatre décennies.

Pour John Calvelli, vice-président de la Wildlife Conservation Society, les changements proposés jeudi trahissent «une volonté évidente d’affaiblir l’Endangered Species Act» en ajoutant des «obstacles» et une «paperasserie inutile» qui, «au final», feront planer «un danger plus grand sur des espèces menacées».

Le sénateur démocrate Tom Carper y voit de son côté «un exemple supplémentaire de la priorité donnée par l’administration Trump à l’industrie plutôt qu’aux intérêts du peuple américain».

«L’Endangered Species Act est une des lois de protection de l’environnement les plus populaires et efficaces de notre pays», a-t-il ajouté.

Selon une étudie publiée mercredi dans la revue Conservation Letters, seul un Américain sur dix dit être opposé à la loi de 1973, pourtant régulièrement attaquée.

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Une start-up proposera des «étoiles filantes à la demande»


Des étoiles filantes sur demande avec un éclat que même Tokyo verrait cette intense lumière malgré la pollution. Ils ont une recette chimique qu’ils gardent secret pour envoyer des balles qui finiront désintégrées au-dessus de la Terre à l’aide de microsatellites. Ces produits chimiques vont t’ils polluer un peu plus ? Est-ce vraiment nécessaire de faire ce genre de chose ?
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Une start-up proposera des «étoiles filantes à la demande»

 

Sur cette photo, une vraie étoile filante, aperçue... (CESAR MANSO, AFP)

Sur cette photo, une vraie étoile filante, aperçue dans le nord de l’Espagne.

CESAR MANSO, AFP

Agence France-Presse

 

Une start-up japonaise se prépare à organiser une spectaculaire pluie de météores au-dessus de la ville de Hiroshima au printemps 2020, en espérant séduire ensuite des clients du monde entier avec ce premier service « d’étoiles filantes à la demande ».

La société ALE, basée à Tokyo, met les dernières touches au développement de deux microsatellites qui, une fois placés en orbite, seront capables d’éjecter de petites balles. Ces projectiles se désintégreront en pénétrant dans la couche atmosphérique, dégageant alors une très forte luminosité au contact des molécules de l’air.

Les satellites, qui pourront être utilisés séparément ou en tandem, seront lancés l’an prochain, l’un par une fusée de l’Agence nippone d’exploration spatiale (Jaxa), l’autre par une fusée du secteur privé.

À bord de chaque engin, 400 balles à la composition chimique gardée secrète et dont la couleur pourra varier en fonction des ingrédients employés. De quoi illuminer 20 à 30 événements, selon la compagnie.

C’est Hiroshima, dans l’ouest du Japon, qui aura la primeur de ce feu d’artifice céleste, pour sa météo clémente, sa géographie et ses atouts culturels. Si le ciel est limpide, la pluie de météores pourra être admirée par des millions de personnes, assure ALE.

Mais les ambitions d’ALE et de sa présidente, l’astronome Lena Okajima, vont bien au-delà du Japon.

« Nous ciblons le monde entier, puisque notre réserve d’étoiles filantes se trouvera dans l’espace et pourra être distribuée partout », a-t-elle expliqué à la presse cette semaine.

Chacune des étoiles ne devrait briller que quelques secondes, puis disparaître intégralement bien au-dessus de la surface terrestre, écartant ainsi tout danger, selon la société.

Mais leur éclat serait si puissant qu’un tel spectacle pourrait être envisagé sur la mégapole de Tokyo malgré l’intense pollution lumineuse.

ALE, qui travaille en collaboration avec des scientifiques et ingénieurs d’universités japonaises, les autorités et des entreprises, n’a pas souhaité donner le prix de ce divertissement de luxe.

La compagnie évalue à quelque 20 millions de dollars le coût de développement, du lancement et du fonctionnement des deux satellites.

À plus long terme, ALE étudie la possibilité d’utiliser des satellites déjà dans l’espace, qui ne seraient plus opérationnels, pour créer des étoiles filantes « géantes » en les précipitant dans l’atmosphère.

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Le plus vieux bébé serpent découvert dans de l’ambre


L’ambre permet de préserver des fossiles du passé pour les présenter aujourd’hui. Cette fois-ci, c’est un bébé serpent. Bien qu’il lui manque sa tête, il est très bien conserver après avoir été engloutie par cette substance collante il y a des centaines de millions d’années.
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Le plus vieux bébé serpent découvert dans de l’ambre

 

On distingue une sorte de ver vertébré de couleur un peu plus foncée dans une roche de couleur dorée.

Le fossile a été trouvé dans de l’ambre datant d’une centaine de millions d’années.   Photo : Ming Bai/ Académie chinoise de sciences

Un fossile dans de l’ambre. La découverte n’est pas sans rappeler le film Parc Jurassique et, pour les paléontologues qui l’ont faite, elle est toute aussi exceptionnelle que l’imagination démontrée dans le film.

Il s’agit d’un bébé serpent datant d’une centaine de millions d’années, ce qui en fait le plus vieux spécimen jamais découvert.

C’est spectaculaire d’avoir un bébé dans notre registre de fossiles parce que ceux-ci étaient très délicats, s’enthousiasme le professeur de biologie à l’Université de l’Alberta Michael Caldwell, qui a participé à l’étude du spécimen.

Le fossile est d’une longueur de 46 à 47 mm, soit moins grand qu’un pouce adulte. La tête n’est pas présente, mais le reste du corps est exceptionnellement bien préservé. Au scanner, les paléontologues ont pu observer le détail de chaque vertèbre.

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