L’estime de soi


Souvent, on doute nous-même, on est trop attentif aux commentaires négatifs. Alors, qu’il faut travailler sur soi-même pour ne garder que les côtés positifs
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L’estime de soi

 

 

L’estime de soi est une fleur à arroser chaque jour par un regard sur soi positif et bienveillant.

Inconnu

Ce chat noir russe aux traits humains


L’auteur du billet aime aller dans l’exagération des émotions en voyant ce chat, enfin à mon avis. Bien que le regard du chat et donne l’impression que le regard est humain, mais de là à dire que la ressemblance est angoissante ..
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Ce chat noir russe aux traits humains

 

Crédits : catsvillcounty

Samedi 7 juillet 2018, Mashable a partagé l’histoire d’un chaton russe, âgé de 2 mois et pourtant déjà source de traumatisme pour de nombreux internautes. Après la publication d’une vidéo de Valkyrie, la jeune femelle Maine Coon en question, le réseau s’est en effet enflammé devant la terrifiante ressemblance de l’animal avec un être humain.

Au début de la vidéo, difficile de dire pourquoi la figure de ce chaton leur a inspiré tellement de crainte et de malaise. Mais plus le regard du chaton se fait insistant, plus la ressemblance devient angoissante, suscitant des centaines de réactions sous la publication.

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Le Saviez-Vous ► À lui tout seul, ce chat a exterminé une espèce d’oiseau sur cette île


Je suis contente que ma Fripouille soit une piètre chasseuse. J’aime les chats, mais aussi les oiseaux, je déplore les erreurs que l’humain fait quand il amène une nouvelle espèce dans un lieu. Quand le gardien de phare a amené son chat, il a fait de son animal un redoutable prédateur pour une espèce bien particulière d’une ile en Nouvelle-Zélande.
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À lui tout seul, ce chat a exterminé une espèce d’oiseau sur cette île

 

par  Malaurie Chokoualé

 

En janvier 1894, l’explorateur et médecin britannique David Lyall est devenu le gardien du phare de l’île de Stephens, petit bout de terre balayé par les vents au large de la Nouvelle-Zélande. Pour vaincre l’isolement dans ce lieu en grande partie inexploré, il y avait également amené son chat, Tibbles. Naturaliste amateur, il aimait explorer, observer et protéger la faune et la flore qu’il observait sur l’île. Il ne s’attendait pas à ce que son chat extermine toute la population de xéniques de Stephens (Traversia lyalli) de l’île.

Ce petit oiseau brun était incapable de voler, il pouvait seulement courir ou sauter d’une branche à l’autre. Originaire de Nouvelle-Zélande, des prédateurs comme le rat polynésien ont eu raison de lui. Une colonie a toutefois survécu sur l’île de Stephens. On pense que les oiseaux ont migré vers l’île pendant la dernière glaciation (il y a entre 120 000 et 10 000 ans de cela), alors qu’elle était encore connectée au continent. Quand le niveau des mers s’est élevé à la fin de cette période, l’île est devenue un paradis dépourvu de tout prédateur naturel. Cette quiétude est arrivée à son terme avec l’arrive de David Lyall et de son chat.

David Lyall n’avait jamais vu pareil oiseau. Et pourtant, il les connaissait tous. Mais quand Tibbles lui a amené le premier oiseau, il n’a pas pu le nommer. C’est pourquoi il a envoyé quelques spécimens – tués par Tibbles – à des ornithologues, dont le banquier et zoologiste britannique Walter Rothschild. C’est d’ailleurs ce dernier qui a proposé le nom scientifique Traversia lyalli, en l’honneur de Lyall et du naturaliste qui l’a aidé, Henry Travers. En l’espace d’un an, l’oiseau était devenu presque impossible à trouver cependant.

À partir de février 1895, le xénique de Stephens n’a été vu vivant que deux fois, dans les mois qui ont suivi. Leur extinction a été rapide. Aujourd’hui, une quinzaine de spécimens empaillés par Lyall se trouvent dispersés dans neuf musées différents à travers le monde. Trois ans après la mort de Lyall, en 1898, un nouveau gardien est arrivé sur l’île et il a rapidement organisé une chasse aux chats sauvages de l’île. En 1925, tous les chats de l’île avaient été tués.

Source : All About Birds

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Espèces en péril: jugement historique de la Cour fédérale


Enfin un juge du Québec, utilise la justice pour la protection de l’environnement pour protéger une petite grenouille en péril contre un projet immobilière. Il considère que porter atteinte à la biodiversité c’est un mal social.
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Espèces en péril: jugement historique de la Cour fédérale

 

Une rainette faux-grillon, photographiée à La Prairie.... (Robert Skinner, archives La Presse)

Une rainette faux-grillon, photographiée à La Prairie.

ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

 

ÉRIC-PIERRE CHAMPAGNE
La Presse

Dans un jugement qui risque de faire grand bruit, la Cour fédérale vient de confirmer qu’un décret d’urgence pour protéger une espèce en péril sur des terres privées n’était pas anticonstitutionnel et ne constituait pas une expropriation déguisée.

La décision sera néanmoins contestée par le demandeur, le Groupe Maison Candiac.

Le juge René Leblanc conclut notamment que de porter atteinte à la biodiversité et aux espèces en péril constitue un «mal social» et que le droit de propriété n’est pas absolu.

La décision de 93 pages rendue le 22 juin dernier par le juge Leblanc constitue le dernier acte d’une longue saga judicaire qui dure depuis plusieurs années au sujet d’une minuscule grenouille, la rainette faux-grillon. La saga risque d’ailleurs de se poursuivre jusqu’à la Cour suprême du Canada.

Rappelons qu’en juillet 2016, le gouvernement fédéral avait ordonné un décret d’urgence pour protéger cette espère en péril, dont l’habitat était menacé à La Prairie par un important projet immobilier.

La décision avait provoqué un tollé dans le monde municipal et auprès des promoteurs et développeurs immobilier.

Quelques semaines après son entrée en vigueur, le décret d’urgence a été contesté en Cour fédérale par un promoteur qui possède des terrains situés dans les limites du décret.

Dans sa requête, le Groupe Maison Candidac, propriété de M. Maryo Lamothe, alléguait que le décret d’urgence constituait «une forme d’expropriation sans indemnisation».

Les avocats de M. Lamothe soutenaient aussi que la décision était anticonstitutionnelle et outrepassait les pouvoirs du Parlement fédéral.

Le juge Leblanc a écarté tous les arguments avancés par Groupe Maison Candiac et a conclu que «le Décret d’urgence ne saurait être invalidé par l’un ou l’autre des motifs invoqués par Groupe Candiac, la présente demande de contrôle judiciaire sera rejetée».

Maryo Lamothe, propriétaire de Groupe Maison Candiac, a confirmé à La Presse qu’il allait porter la décision en appel.

«C’est sûr aussi qu’on s’en va en Cour suprême si on perd en Cour d’appel.»

Selon Alain Branchaud, biologiste et directeur général de la Société pour la nature et les parcs, section Québec (SNAP Québec), ce jugement marque une nouvelle ère en matière de protection des espèces en péril. «Le juge Leblanc indique dans son jugement que la protection de la biodiversité a une valeur sociétale fondamentale et que l’application du droit de l’environnement doit évoluer en ce sens.»

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Une mystérieuse pluie rouge sang sur une ville de Sibérie


 

Découvrir en sortant que les rues sont d’un rouge sang après la pluie, on veut des réponses. Les citoyens ont eu leur réponse dans des circonstances qui réunissent une usine, grand ménage, oxyde de fer, vent et pluie
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Une mystérieuse pluie rouge sang sur une ville de Sibérie

Crédits : Facebook

par  Mehdi Karam

Mais que s’est-il passé à Norilsk ? Le 3 juillet, cette ville industrielle s’est transformée en décor de film d’horreur grandeur nature.

En effet, il y est tombé une pluie couleur sang, qui a tout tâché sur son passage et donné aux rues des allures de boucheries à ciel ouvert. Le Siberian Times se questionne alors : s’agit-il de la peste noire ? De l’Apocalypse ? En réalité, il existerait une explication rationnelle à ce phénomène angoissant.

Tout d’abord, cette pluie, qui n’a touché qu’une partie de la ville, n’est pas toxique. Du moins, c’est ce qu’ont assuré les dirigeants de l’usine Nornickel, qui se trouvent en plein milieu du périmètre ayant vécu le bain de sang. De ce fait, tout s’explique. Une source de l’entreprise spécialisée dans la production de nickel a expliqué qu’une opération de nettoyage était en cours autour du complexe industriel. Ce ménage de printemps impliquait de se débarrasser de tout l’oxyde de fer qui recouvre les plans de l’usine.

Alors que ce matériau rougeâtre a été « rassemblé et préparé pour être éjecté » sur le toit de l’usine, un coup de vent l’aurait fait voler jusqu’au parking de l’établissement, où l’oxyde de fer s’est collé aux voitures. La pluie aurait terminé le boulot. Voilà pour l’explication rationnelle. Du moins, Norilsk n’est pas une ville classique. Inaugurée à la fin des années 1920, il s’agit de la ville la plus septentrionale du monde. Elle est couverte de neige jusqu’à 270 jours par an et, de par sa localisation, offrait jadis aux Soviétiques un laboratoire de choix pour mener leurs expérimentations secrètes…

Source : Siberian Times

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La police chinoise utilisera bientôt des lasers capables de détruire une cible à 1km de distance !


Des armes qui ne sont pas supposées tuées qui pourtant peuvent faire beaucoup dégâts et carboniser instantanément la peau et tissus humain. A quoi sert une arme à la police qui peut atteinte une cible à un km de distance ?
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La police chinoise utilisera bientôt des lasers capables de détruire une cible à 1km de distance !

 

Crédits : Handout

par Yohan Demeure

Plusieurs années de recherches en Chine ont permis de concevoir un laser de longue portée capable de faire de sacrés dégâts. Et pourtant, l’arme en question est classée comme étant “non-létale”

La nouvelle a été rapportée dans un article du South China Morning Post du 2 juillet 2018. La publication en question indique que le nouveau laser ZKZM-500 qui équipera bientôt la police locale «peut traverser les fenêtres et provoque la carbonisation instantanée de la peau et des tissus humains».

L’arme serait également capable de carboniser une personne, pour un peu que celle-ci ait des vêtement inflammables. La portée de l’engin fabriqué par le Xi’an Institute of Optics and Precision Mechanics fait également peur, puisque celui-ci peut toucher une cible à un kilomètre de distance !

Bien que le fusil laser ZKZM-500 ait été classé comme étant une arme non-létale, il s’agit pourtant bien d’une arme bien réelle sur le papier. En effet, le fusil est doté d’un calibre de 15mm et fait état d’un poids de 3kg, soit autant qu’un fusil AK-47 ! Sa batterie lithium permet une autonomie d’un milliers de tirs d’une durée de 2 secondes chacun. Par ailleurs, l’arme peut être montée sur différents véhicules.

Crédits : Handout

Alors que d’autres armes ont été mises au point – comme une mitrailleuse laser par la Chengdu Hengan Police Equipment Manufacturing Company -, le fusil ZKZM-500 se prépare à être produit à grande échelle pour équiper la police et les unités anti-terroristes. Il faut tout de même savoir qu’à terme, il est question de fournir l’armée, ce qui est tout de même aberrant pour une telle arme jugée non-létale à l’origine.

Côté applications, le South China Morning Post évoque des opérations militaires secrètes telles que la destruction discrète de réserves de carburant, ou encore de pancartes lors de manifestations. Il est également question de blesser des leaders d’opposition lors de prises de parole publiques.

Sources : CnetLe Parisien

https://sciencepost.fr/

L’anonymat, un fléau qui se répand comme des cloportes


Personnellement, je suis assez chanceuse de ne pas avoir trop de trolls. Il est vrai que c’est une pollution sur le Web pour ceux et celles qui veulent échanger envers d’autres internautes. Ceux qui insultent, qui disent n’importe quoi pour discréditer, humilier, intimider, ne sont que des personnes qui se cachent sous un pseudo et n’ont pas le courage de vraiment s’identifier
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L’anonymat, un fléau qui se répand comme des cloportes

 

PA ARCHIVE/PA IMAGES

Claude Aubin
Policier à la retraite, chroniqueur et auteur

Les anonymes ne combattent pas ouvertement à la loyale, ils insinuent, ils déforment, ils désinforment.

 

Entre le 15e et le 19e siècle, ceux qui se permettaient de médire ou offenser un autre citoyen pouvaient recevoir la visite de deux témoins l’invitant à se rendre au pré, aux aurores. L’offensé donnait souvent le choix des armes par courtoisie.

Certains acceptaient les plates excuses, d’autres arrêtaient à la première goutte de sang, alors que le reste ne demandait pas le merci qu’il n’accorderait pas de toute façon. Il en résultait que si l’on offensait quelqu’un, il y avait là une conséquence pouvant être mortelle.

Certes, nous pouvons aujourd’hui trouver cette pratique barbare, que je considère pour ma part efficace, car nous pouvons toujours croire en une justice civile, bien que déficiente et coûteuse à souhait.

À une certaine époque, les gens y pensaient à deux fois avant d’y aller de petites vacheries ordinaires et l’honneur n’était pas un vain mot.

Quand, au 20e siècle, la radio débuta les lignes dites ouvertes au public, presque immédiatement, des cloportes, sangsues et autres bêtes nuisibles, vinrent déverser leur trop-plein de venin sur les ondes. Qui ne se souvient pas d’avoir entendu des paroles mesquines coupées dans leur élan, par un animateur parfois découragé par tant de méchanceté.

L’anonymat est un fléau qui se répand rapidement.

Maintenant, ces mêmes cloportes que l’on qualifie de «trolls» envahissent le web sans scrupule. Des gens sous un nom fictif, un pseudonyme, un paravent, s’insèrent tels des serpents pour déverser ce trop-plein de fiel qu’ils ont accumulé. Des gens d’une jalousie maladive, croyant pouvoir détruire l’autre en le rabaissant à leur niveau.

L’anonymat est un fléau qui se répand rapidement. Il est une façon malsaine d’exprimer un ressentiment, un malaise profond, un grand dépit de n’être qu’un quidam.

Cet anonymat malsain ressemble en tout point à de l’intimidation. À la différence qu’il vient de peureux et fait plaisir à d’autres peureux. Car, sans conséquence, certains peureux viennent s’agglutiner au premier et renchérissent.

Ces cloportes chérissent le fait que des blogueurs décident de ne plus écrire. Ces blattes ont l’impression d’avoir gagné et s’en félicitent. Le courage n’est pas l’apanage des anonymes, sinon ils donneraient au moins leur nom.

Les réseaux sociaux sont un terreau formidable pour une partie de la population qui, ne pouvant s’élever, se complait à écraser l’autre.

Les anonymes ne combattent pas ouvertement à la loyale, ils insinuent, ils déforment, ils désinforment. Tout cela sans se compromettre, sans se montrer. Ils attaquent toujours de la même façon, réfléchissant aux moyens à prendre pour arriver à leur fin et, s’ils sont exclus, ils repartent sur un autre pseudonyme. Pour cela, ils ont beaucoup d’imagination.

Les réseaux sociaux sont un terreau formidable pour une partie de la population qui, ne pouvant s’élever, se complait à écraser l’autre. Dommage, les réseaux sociaux devraient être un lieu de rencontre et d’échange, un lieu où tout le monde pourrait donner son idée sans se faire ridiculiser ou écraser.

Malheureusement dans plusieurs cas, il n’en est rien. Un peu comme pour le téléphone intelligent, l’appareil est aussi intelligent que celui qui le possède. Ce qui est loin de me rassurer.

Finalement, je plains les anonymes mesquins, ceux qui aiment détruire. Vous faites partie des gens que je ne voudrais jamais avoir pour amis. Hé oui, vous feriez partie de ceux que j’inviterais au pré à l’aube. Un endroit ou l’on séparait les gentilshommes des manants.

En attendant, je ne peux que vous dire: «je vous souhaite ce que vous méritez», une vieille insulte chinoise.

https://quebec.huffingtonpost.ca/