Un parasite chez les chats nuit aux bélugas


Si vous avez un chat, j’espère que vous ne jeter pas ses excréments à la toilette, car ils sont généralement porteurs d’un parasite, la toxoplasmose. Ce parasite semble avoir un impact sur des mammifères marins comme le béluga. Bien que cela ne condamne pas à mort ces baleines, il peut quand même les affaiblir.
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Un parasite chez les chats nuit aux bélugas

 

 

SIDHARTHA BANERJEE
La Presse Canadienne
Montréal

Les bélugas du fleuve Saint-Laurent, qui doivent déjà faire face à de nombreuses menaces dans leur environnement, ont encore un autre problème à affronter, qui serait causé par les chats domestiques, selon des chercheurs.

La toxoplasmose est une maladie de plus en plus répandue qui touche un grand nombre de mammifères marins. Et les seuls hôtes définitifs du parasite sont les félins, sauvages ou domestiques.

Stéphane Lair, professeur à la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, et l’un des auteurs de l’étude, indique que sur 34 carcasses de bélugas examinées de 2009 à 2012, 44 % contenaient le parasite.

Les animaux marins sont depuis longtemps en contact avec le parasite, mais la croissance de la population de chats domestiques semble faire des ravages sur les bélugas en voie de disparition, selon M. Lair.

Les propriétaires de chats pourraient réduire la présence du parasite chez les mammifères marins en s’assurant de ne pas jeter les excréments de leur animal dans les égouts, a signalé M. Lair.

Selon le spécialiste, il serait aussi préférable de garder son chat à l’intérieur, puisque le félin entre en contact avec le parasite en mangeant des rongeurs qu’il chasse à l’extérieur.

Les chercheurs ne croient pas que le parasite soit fatal chez les baleines, mais il pourrait tout de même les affaiblir.

« La présence d’un pourcentage élevé d’animaux avec ce parasite peut nous laisser croire que le parasite a un impact sur la survie des bélugas », a expliqué M. Lair en entrevue avec La Presse canadienne.

« Ça ne veut pas nécessairement dire que les animaux sont morts de cette infection, mais ça veut dire qu’il y avait présence du parasite, au niveau soit de leur coeur ou de leur cerveau. »

En 2012, on ne dénombrait que 900 bélugas dans le fleuve Saint-Laurent.

La toxoplasmose fait des ravages auprès des mammifères marins partout dans le monde. Le phoque moine d’Hawaii, une espèce en voie de disparition, a été particulièrement touché cet été, a souligné M. Lair.

La recherche a été publiée dans le magazine scientifique Diseases of Aquatic Organisms.

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Et si le sens des affaires était lié à un parasite dans l’organisme?


Le parasite le toxoplasma gondii est responsable d’un changement de comportement il a pour effet de  prendre des risques contre son prédateur chez les animaux.(Comme la souris qui n’a plus peur du chat)  Des chercheurs croient aussi que ce protozoaire changerait aussi le comportement humain en plus impulsive, avec des ambitions. Il semble que certaines personnes affectées aient le sens des affaires.
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Et si le sens des affaires était lié à un parasite dans l’organisme?

 

Le protozoaire Toxoplasma gondii est un parasite qui... (Hannah McKay, REUTERS)

Le protozoaire Toxoplasma gondii est un parasite qui se propage surtout par la consommation de viande insuffisamment cuite ou d’eau ayant été en contact avec des sols contaminés par des excréments de chat.

HANNAH MCKAY, REUTERS

Agence France-Presse
Londres

 

La réussite dans les affaires, l’audace et le goût du risque pourraient être liés à la présence dans l’organisme du parasite responsable de la toxoplasmose, suggère une étude publiée mercredi dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.

Le nom du coupable ? Le protozoaire Toxoplasma gondii, un parasite se propageant surtout par la consommation de viande insuffisamment cuite ou d’eau ayant été en contact avec des sols contaminés par des excréments de chat.

Touchant plus de deux milliards de personnes, ce parasite pourrait avoir la faculté, via les changements hormonaux et neurologiques inhérents à sa présence dans l’organisme, d’amplifier « l’impulsivité », « l’ambition » et « la recherche de biens matériels », des « caractéristiques associées à l’activité entrepreneuriale », explique l’étude, réalisée par des chercheurs d’universités anglaise (Leeds), américaine (Boulder), allemande (Francfort), espagnole (Bilbao), norvégienne (Bodo) et de Hong Kong.

Analysant les résultats de tests salivaires menés sur près de 1500 étudiants américains, les chercheurs ont découvert que les porteurs du protozoaire étaient « 1,7 fois » plus enclins à manifester un intérêt pour l’entrepreneuriat et le management.

D’autres tests effectués auprès de professionnels assistant à des rencontres liées au monde de l’entreprise ont montré que les personnes positives au Toxoplasma gondii étaient davantage susceptibles d’avoir monté leur propre affaire.

En synthétisant des données provenant de 42 pays, les chercheurs ont également découvert que la prévalence de l’infection était un indicateur de « l’activité et des intentions entrepreneuriales ». La « peur de l’échec » semble en outre plus faible là où le parasite est le plus présent, disent-ils.

Ces résultats mettent en évidence un « lien entre l’infection parasitaire et des comportements humains complexes, et notamment (…) l’esprit d’entreprise et la productivité économique ».

Les chercheurs soulignent que d’autres études avaient précédemment mis en avant la faculté du parasite à modifier le comportement d’hôtes non humains pour pouvoir se reproduire plus facilement.

Le Toxoplasma gondii infecte en effet de nombreuses espèces, mais ne peut se reproduire que chez les félins et pousserait ainsi ses hôtes à adopter des comportements à risque, en rendant par exemple attirante pour les chimpanzés l’odeur de l’urine du léopard, leur prédateur naturel, une hypothèse explorée en 2016 par des chercheurs du Centre national français de la recherche scientifique (CNRS).

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D’après la science, les chats peuvent transmettre la maladie d’Alzheimer !


Les chats pourraient transmettre l’Alzheimer et la schizophrénie enfin sur des souris. Il est vrai que nos boules de poils peuvent transmettre des maladies causées par toxoplasma gondii. Alors, qu’ils transmettre la maladie d’Alzheimer ou non, il est vraiment important de se laver les mains après avoir nettoyé la litière
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D’après la science, les chats peuvent transmettre la maladie d’Alzheimer !

 

C’est ce qu’affirment depuis peu des scientifiques iraniens : il est possible que les chats favorisent -malgré eux – l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

A cause des risques de toxoplasmose, il était déjà recommandé aux femmes enceintes d’éviter de nettoyer la litière de leur chat. Mais voilà qu’une étude de la Lorestan University of Medical Sciences récemment parue dans le Journal of Parasitology alerte sur le fait que les matous puissent également causer des ennuis de santé à tout à chacun. En effet, ils pourraient involontairement être les facteurs de développement de maladies telles qu’Alzheimer ou la schizophrénie.

La faute au Toxoplasma Gondii, un parasite qui loge dans la matière fécale des félins. Une fois contracté, celui aurait pour rôle d’altérer les transmissions neurologiques dans le cerveau humain.

Des troubles de la mémoire et de l’apprentissage

Comment les scientifiques en sont-ils arrivés à une telle conclusion ? Ils ont observé trois groupes de souris : un sain, un modifié pour développer la maladie d’Alzheimer et le dernier auquel ils avaient inoculé le parasite. Leurs résultats ont été édifiants : les rongeurs infectés par le Toxoplasma Gondii ont présenté des déficiences dans leurs fonctions de mémorisation et d’apprentissage… exactement comme s’ils souffraient déjà d’Alzheimer.

Bien sûr, cette étude ne doit pas vous faire mettre votre chat à la porte pour autant. Oui le risque existe MAIS avec une bonne hygiène, il peut être largement évité. Lavez-vous bien les mains après avoir changé la litière de votre tigre de salon afin d’empêcher l’infection de se déclarer et de bloquer la progression du parasite jusqu’au cerveau.

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Les déjections des chats, une arme contre le cancer ?


C’est encore au stade expérimental, mais les bactéries qu’on demande aux femmes enceintes d’éviter de vider la litière à cause des risques de toxoplasmose pourraient devenir un vaccin pour lutter contre le cancer
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Les déjections des chats, une arme contre le cancer ?

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : zaimoku_woodpile – Flickr

Incroyable, mais peut-être vrai, l’espoir est du moins bien là, les crottes de nos chers et tendres félins pourraient contribuer à lutter contre le cancer. C’est ce que révèle une équipe de chercheurs de la Geisel School of Medicine de Hanovre, en Allemagne.

Cet espoir, il réside dans le fameux parasite Toxoplasma Gondii, contre lequel sont mises en garde les femmes enceintes. Cet organisme unicellulaire se loge dans d’autres cellules, et notamment dans les intestins du chat, la contamination se faisant alors via les déjections des félins. Mais il semblerait que ce parasite ne soit pas si indésirable que cela, du moins pas dans tous les cas.

Des traitements « incroyablement prometteurs »

Il peut provoquer la toxoplasmose, hors un organisme atteint de cette maladie produit des globules blancs baptisés cellules TC, qui détruisent les cellules cancéreuses. Il pourrait bien s’agir du « plus important type de cellule pour éradiquer les cellules tumorales, mais leur génération est stoppée par la tumeur » expliquent David J. Bzik and Barbara Fox, les principaux auteurs de cette étude.

Pour faire simple, le parasite véhiculé par les crottes de chats peut permettre de relancer le système immunitaire attaqué par le cancer s’il est modifié pour être rendu inoffensif.

Les chercheurs travaillent alors à la mise au point d’un vaccin réalisé à partir d’une mutation du parasite T. gondii, baptisée CPS. Il est encore trop tôt pour tester son efficacité sur des humains. Un long travail est encore nécessaire pour s’assurer qu’un tel vaccin serait réellement sans danger. Mais très optimistes, les chercheurs évoquent des traitements « incroyablement prometteurs ». Ils envisagent même l’idée d’une personnalisation de ce vaccin adapté à chaque patient, et la possibilité d’offrir une immunité à vie contre un type de cancer donné.

En bref, les crottes de nos chats pourraient bien un jour sauver des millions de vies !

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Chiens et chats domestiques peuvent nous transmettre leurs vers et protozoaires


Les chats et les chiens sont des animaux qui peuvent nous transmettre des maladies en étant infecté par différents vers. Avec les vermifuges, il est aussi important de se laver les mains souvent au contact de ces animaux et surtout lors du nettoyage de la litière
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Chiens et chats domestiques peuvent nous transmettre leurs vers et protozoaires

 

 

Vermifugez vos chiens et chats régulièrement et n’oubliez pas de vous laver les mains après chaque moment passé avec eux !

En effet, vos petits protégés peuvent notamment vous transmettre des vers et des protozoaires.

Les vers plats

L’ecchinococcus granulosus

C’est un ver qui est transmis au chien par l’ingestion de viande de porc ou de bovin infestés.
Le chien excrète les oeufs dans ses selles, mais n’est pas malade.

Par contre, en cas d’ingestion par l’homme, ce parasite gagne notamment le foie, les poumons, les reins et le cerveau où il produit des kystes !

L’ecchinococcus multilocularis

Il peut nous être transmis par les renards roux mais aussi plus rarement par nos chiens et chats. Les oeufs sont éliminés via les selles.

Ces oeufs provoquent chez l’humain des lésions hépatiques très graves.

Le dipylidium

Il est transmis aux chiens et chats principalement par les puces et provoque des démangeaisons au niveau de l’anus.

L’humain se contamine en ingérant une puce ou les larves du parasite après s’être fait lécher par un chien.

Les vers ronds

Le ver toxara
  • Près de 100% des chiots sont infestés par le ver toxocara canisvia le placenta de leur mère ou par ingestion des oeufs de ce ver.
  • 65% des chatons le sont par toxocara cati via le lait de leur mère.

Si l’homme ingère accidentellement des oeufs de ce ver, via ses mains souillées par des déjections de chien ou plus rarement de chat, il est en général infesté sans aucun symptôme et guéri spontanément. Cependant, les larves issues de ces oeufs peuvent aller se loger dans le foie, la rate, les poumons ou les yeux et faire l’objet d’un traitement médical.

Le dirofilaria

Beaucoup plus rarement, le dirofilaria peut infester l’homme.

Ce parasite est transmis aux chiens par certains moustiques vivant dans le bassin méditerranéen. Il va s’installer dans le coeur via la circulation sanguine et peut causer des troubles cardiaques sévères.

Le toxoplasme

Ce protozoaire se multiplie dans l’intestin du chat et est excrété dans ses selles.

Si le parasite ne provoque en général aucun trouble chez le chat, il en est tout autrement chez la femme enceinte non immunisée.
En effet, lorsqu’il est ingéré à partir de viande ou de légumes contaminés et mal cuits ou suite à la manipulation d’un chat et/ou de ses selles, le toxoplasme peut traverser le placenta et provoquer un avortement ou induire de graves lésions du foetus.

Le giardia

C’est un autre protozoaire qui induit parfois une diarrhée chronique chez le chien et le chat.

L’humain la contracte par la consommation d’aliments souillés par des selles contenant le parasite.
L’infection est généralement asymptomatique, mais peut parfois induire fatigue et
troubles digestifs.

La leishmaniose

C’est une maladie transmise par certains moustiques tropicaux (bassin méditerranéen, Asie et Afrique) et parfois par contact de sang infecté avec une plaie.

La maladie peut provoquer des lésions cutanées et guérir en quelques mois en laissant des cicatrices.
Cependant, une deuxième forme de la maladie est potentiellement mortelle et induit notamment un grossissement du foie, de la rate et des ganglions ainsi qu’un amaigrissement
.

par Marion Garteiser, journaliste santé
Créé initialement par Anne Pensis, vétérinaire

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Un parasite de chat trouvé chez les bélugas


Le réchauffement climatique de l’Arctique a des conséquences beaucoup plus vastes que nous pouvons penser., toutes ces bactéries emprisonnées depuis si longtemps commencent à sentir un vent de liberté et qui pourraient expliquer certaines hécatombes d’animaux marins
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Un parasite de chat trouvé chez les bélugas

 

Un béluga 

Photo :  iStockphoto

Un parasite communément trouvé chez les chats, appelé Toxoplasma gondii, a été découvert chez les bélugas, dont se nourrissent les Inuits. Des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) associent la propagation de parasites à la fonte accélérée des glaces arctiques résultant du réchauffement climatique.

Chez les humains, le parasite Toxoplasma cause la toxoplasmose, une infection qui peut entraîner la cécité et des fausses couches et qui peut tuer des personnes dont le système immunitaire est affaibli, comme les personnes atteintes du sida.

« Parce que ce parasite peut provoquer des maladies graves chez l’homme, nous devons faire attention à son émergence dans le Nord, qui pourrait être une nouvelle menace pour la sécurité alimentaire », a déclaré le professeur de l’UBC, Michael Grigg, dans le cadre de la conférence annuelle de la Société américaine pour le progrès de la science (AAAS) à Chicago.

Ce parasite se propage surtout par la consommation de viande insuffisamment cuite ou de l’eau qui a été en contact avec des sols contaminés par des excréments de chat. Les personnes vulnérables telles que les femmes enceintes devraient être « très vigilantes », estime le parasitologue moléculaire.

Le parasite n’est toutefois pas une « préoccupation majeure » pour les personnes en bonne santé, assurent toutefois les chercheurs.

Auparavant, la toxoplasmose n’était pas retrouvée dans l’Arctique, mais la glace qui l’a gardée isolée du sud commence à fondre.

« La glace est une énorme barrière écologique pour les agents pathogènes, et avec l’augmentation des températures dans l’Arctique, ils peuvent survivre et accéder à de nouveaux hôtes vulnérables qui n’ont pas développé d’immunité contre ces microbes et parasites faute d’y avoir été exposés auparavant », a expliqué Michael Grigg.

Un autre parasite surnommé Sarcocystis pinnipedi, jusqu’alors séquestré dans les glaces arctiques, a aussi récemment émergé et provoqué une mortalité étendue chez des phoques gris et d’autres mammifères menacés de l’Arctique comme des otaries, des morses et des ours polaires, des grizzlis en Alaska, et ce, jusque dans le sud de la Colombie-Britannique.

Il s’agit d’un nouvel agent pathogène qui est endémique dans l’Arctique et qui a tué 406 phoques gris, pourtant en bonne condition physique, au large de l’île du Cap-Breton en 2012.

http://ici.radio-canada.ca/

Un parasite fait perdre aux souris leur peur des chats


Généralement, un chat et une souris, ne sont pas vraiment de très bons voisins. L’un veut manger l’autre, alors que l’autre ne veut pas servir de repas. Mais semble t-il qu’un certains parasites ne voient pas les choses de la même manière du moins pour la souris
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Un parasite fait perdre aux souris leur peur des chats

 

par Martin Koppe

Le parasite à l’origine de la toxoplasmose se trouve dans les plupart des mammifères mais ne peut se reproduire que dans le système digestif des félins. Pour mieux atteindre la bedaine des matous, il arrive à faire « oublier » aux souris le sentiment de danger à proximité de l’urine de chat et de lynx. Un phénomène étonnant!

Au jeu du chat et de la souris, un parasite vient troubler les règles. Le protozoaire toxoplasma gondii, responsable de la toxoplasmose, niche dans toutes sortes de créatures à sang chaud comme les oiseaux et les mammifères. Il ne peut par contre se reproduire qu’à l’intérieur du système digestif des félins. Alors comment passer du corps d’une souris à l’estomac d’un matou ?

« Pour achever le cycle de vie du toxoplasma gondii, un animal infecté doit être mangé par un chat, explique le chercheur Michael Eisen. Cela créé un conflit d’intérêt entre le parasite, qui veut que son hôte soit mangé, et l’hôte en question, qui préfèrerait éviter d’être dévoré par un chat. »

L’infâme protozoaire a fini par trouver la solution : il fait perdre au rongeur sa peur du Gros minet.

Un enclos et un bol d’urine

Une équipe de l’université de Berkeley en Californie s’est penchée sur l’incroyable mécanisme et a mis au point un protocole expérimental. Les chercheurs et les étudiants ont placé au milieu d’un enclos un bol contenant de l’urine de chat, de lynx ou de lapin. Ils y ont ensuite déposé des souris saines ou atteintes d’une des trois formes du parasite.

L’étude de leurs mouvements est sans équivoque : si toutes les souris se promènent librement en présence d’urine de lapin, les souris saines rasent les murs et évitent le centre de l’enclos quand il y a du pipi de félin. Les souris infectées ne font par contre pas la différence et semblent s’en moquer. Mieux encore, même les souris qui ont été les hôtes du parasite, mais qui ont été soignées depuis, ne craignent plus l’urine des prédateurs.

Des effets sur l’homme ?

« Cela semble réfuter, ou du moins rendre moins crédible, les modèles selon lesquelles ces troubles du comportement seraient dues à l’action physique directe des parasites sur une région spécifique du cerveau, conclue Michael Einsen. »

Les chercheurs ne savent hélas toujours pas comment le toxoplasma gondii parvient à leurrer l’instinct des souris.

Comme l’explique Livescience, le toxoplasma gondii parasite aussi les êtres humains. Le site propose, avec humour, de faire le lien entre la toxoplasmose et l’amour que nombre d’entre nous ont pour les chats.

http://www.maxisciences.com

La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement


Pour ma part, cela ne me ferait pas avoir plus peur d’avoir un chat, c’est la deuxième fois cette année que j’entends parler de ce genre de chose .. Cependant,sachant que la toxoplasmose est quand même une maladie souvent dut aux excréments des chats dans la litière ou le sable .. il faut porter quand même une attention particulière a la propreté de la litière
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La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

 

La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

Photo Fotolia

Bum interactif

Les germes contenus dans la litière de votre chat pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.

 

Tous les amoureux des félins et propriétaires de chats voudront sans doute lire cette nouvelle. Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les germes contenus dans la litière de votre chat, et plus particulièrement ceux contenus dans les « cadeaux » laissés dedans, pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.


Par conséquent, ces effets pourraient bien jouer sur le comportement des maîtres. C’est du moins ce que conclut une étude sur le sujet, publiée dans la plus récente édition du journal PLoS Pathogens.

Ainsi, on apprend que c’est ce processus qui mène à la toxoplasmose, une maladie déclenchée par une exposition massive à ces germes. Si cette maladie est somme toute bien connue, il en va autrement de ses effets sur le cerveau et sur le comportement.

C’est que selon l’étude, de 30 à 50 % des propriétaires de chats seraient déjà infectés par la toxoplasmose, mais le système immunitaire serait en mesure de contrer la maladie dans la grande majorité des cas.

Donc, dans sa forme indétectable commune, la toxoplasmose pourrait mener à de la schizophrénie ou encore à une dépression.

De plus, on a constaté des changements comportementaux chez certains, qui devenaient subitement plus extrovertis qu’à l’habitude, par exemple. De l’agressivité, des envies de prendre des risques et d’autres symptômes du genre sont aussi observables chez certains sujets.

On suggère de bien nettoyer la litière de votre animal et de le faire souvent, en plus de garder la toilette féline dans une zone réservée et recluse du reste de la maison.

La toxoplasmose peut être fatale chez les gens qui ont un système immunitaire déficient.

http://fr.canoe.ca

Leucémie et sida: de dangereux rétrovirus pour le chat


Les chats tout comme les être humains ont des maladies qui affecte le système immunitaire .. certaines préventions est souhaitable comme les vaccins et la stérilisation des chats …
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Leucémie et sida: de dangereux rétrovirus pour le chat

 

De trois à quatre millions de chats en Amérique du Nord (soit entre 2 à 3% de... (Photo d'archives)

PHOTO D’ARCHIVES

STÉPHANIE VALLET
La Presse

De trois à quatre millions de chats en Amérique du Nord (soit entre 2 à 3% de la population féline), seraient atteints par la leucémie ou le sida. Il s’agit de deux rétrovirus très graves pour le chat qui perturbent et anéantissent son système immunitaire, permettant à d’autres infections et même à des cancers de l’affecter.

Votre chat peut en être porteur durant des années sans que ces virus soient détectables, et ne jamais présenter de symptômes ou de signes.

«Ce sont deux maladies très courantes. Il existe un vaccin très efficace pour la leucémie qui se donne à 8 et 12 semaines et qui est répété annuellement. Le vaccin pour le sida va, quant à lui, être conseillé pour des chats qui vont dans des refuges où la concentration de chats est plus grande», explique Jean-Marie Bergeron, vétérinaire à domicile.

Transmissible entre chats seulement

Découvert en 1986, le virus de l’immunodéficience féline (FIV) est génétiquement, morphologiquement, fonctionnellement et pathologiquement similaire au HIV, mais ne se transmet que par la salive entre félins, et pas à l’humain. Il est le plus souvent transmis lors des combats entre chats, donc plus susceptible de se répandre chez les chats vivant à l’extérieur.

«Le FIV se transmet par les ennemis. Les chats errants se battent pour garder leur territoire ou leur proie. Ils ont des maladies parodontales fréquentes, surtout s’ils ont le sida. Le virus, qui circule dans le sang, se transmet lors d’une morsure, puisque le chat porteur subit un trauma aux gencives et saigne», précise le Dr Bergeron.

Le virus de la leucose féline se transmet quant à lui par le toilettage mutuel entre félins, le partage de la nourriture et des bols d’eau. C’est donc une maladie plus fréquente dans les ménages multichats.

«La leucose se transmet par les amis. Des personnes au grand coeur mettent de la nourriture sur leur balcon pour les chats errants. Le virus se transmet par la salive, le sang et le lait maternel. Par exemple, les chats déposent le virus par la salive sur le bord de la gamelle et si un chat non vacciné y mange dans les minutes qui suivent, il peut entrer en contact avec le virus de la leucémie», explique Jean-Marie Bergeron.

Il existe un test combiné pour détecter ces deux rétrovirus qu’il est recommandé de faire subir aux chatons dès l’âge de six mois. Le sida félin et la leucémie sont des maladies terminales au taux de mortalité très élevé.

«Quand la maladie se déclare, 50% des chats meurent au bout de deux ans, et 80% après trois ans», précise le Dr Bergeron.

«On conseille aussi aux personnes atteintes de maladies immunosuppressives ou en chimiothérapie d’éviter tout contact avec des félins atteints de leucémie ou du sida parce qu’ils peuvent aussi être atteints de toxoplasmose », ajoute-t-il, une infection parasitaire qui en d’autre temps, est généralement bénigne lorsque transmise à l’humain.

Certains organismes comme Projet Sphinx ou Réseau Secours Animal recueillent les chats atteints de ces maladies qui vivent ensemble en toute tranquillité et peuvent être placés dans des familles attentionnées.

Pas de panique

Bien que la leucémie et le FIV soient des maladies qui se transmettent majoritairement lors de contacts à l’extérieur, cela ne signifie pas qu’il faille confiner son chat à la maison.

«Tout ça fait peur, mais il ne faut pas devenir fou! Du moment que votre chat est stérilisé et vacciné, tout va bien! On connaît les conséquences et l’existence du FIV et de la leucémie, mais tant que la maladie ne s’est pas déclarée, le chat peut continuer à vivre normalement», explique Bruno D’Aigle, porte-parole et bénévole du Réseau Secours Animal (RSA) qui vient en aide aux chats abandonnés.

«On a des salles pour isoler les animaux atteints de ces maladies des autres chats afin que les virus ne se propagent pas. Ils peuvent aussi être placés dans des familles d’accueil», précise M. D’Aigle.

Forcé de déménager très prochainement, le RSA fait actuellement appel aux dons du public sur son site internet (www.reseausecoursanimal.org) pour l’aider à reloger ses 400 pensionnaires.

Des chats fluorescents font avancer

En septembre 2011, Eric Poeschla, virologue moléculaire à la clinique Mayo de Rochester (États-Unis) et ses collègues ont fait une découverte qui pourrait avoir une grande utilité dans la lutte contre le sida chez l’homme tout comme chez le chat.

Une mère de chatons a subi une modification génétique qui lui permet de résister au FIV. Cette «immunité», transmise à ses chatons, a été associée au gène fluorescent (découvert sur une méduse). Cela permet donc aux chercheurs de voir si les chatons continuent de bénéficier ou non de la résistance de leur mère. Lors de cette expérience, rendre les animaux fluorescents n’était pas une fin pour les chercheurs, mais plutôt le moyen de savoir si leur expérimentation a réussi.

Cette technique pourrait aider les chercheurs à mieux comprendre comment les félins luttent contre le sida. Selon les auteurs, qui ont publié leur étude dans la revue scientifique NatureMethod, les gènes transférés expriment leurs protéines dans les organes principaux, où se répliquent les virus, tels que le thymus, les ganglions lymphatiques et la rate. Les scientifiques étudieront leur résistance ou non au FIV au cours de leur vie et espèrent que cette technique sera aussi profitable à la recherche contre le sida humain que félin.

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Embrasser son chien, oui, mais pas sur la bouche !


J’aime les chiens, mais quand je vois des chiens lécher les mains et surtout les visages de quelqu.un … ouf il me semble que cela n’est vraiment pas hygiénique surtout qu’ils ont le museau qui farfouille un peu partout
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Embrasser son chien, oui, mais pas sur la bouche !

 

Difficile de résister à l’envie de câliner son compagnon à 4 pattes. Si caresser son chien, le prendre dans ses bras, ne représente bien heureusement aucun risque pour la santé, l’embrasser est en revanche bien moins recommandé.

Evitez le bouche-à-bouche !

Certains toutous particulièrement affectueux couvrent leurs maîtres bien-aimés de tendres baisers, ou plutôt de tendres léchouilles. Mais si ces démonstrations d’amour sont touchantes, mieux vaut les éviter, surtout les bisous sur la bouche !

De nombreuses études médicales montrent en effet que des maladies peuvent être transmises d’un animal à un humain par ce contact de bouche-à-bouche.

Les risques ne sont certes pas très élevés, mais ils existent bel et bien. C’est pourquoi les médecins déconseillent vivement aux maîtres d’animaux d’embrasser leurs chiens sur la bouche, et de laisser leurs compagnons à 4 pattes leur lécher le visage.

N’oublions pas que les chiens lèchent souvent leurs parties intimes…

Des risques, surtout pour les enfants

Nos toutous peuvent nous transmettre des vers ronds. Or cette catégorie de vers peut entraîner des conséquences très graves, chez les enfants notamment, telles que la cécité.

De nombreuses maladies parasitaires, comme la leptospirose, la toxoplasmose, la giardiase, la cryptosporidiose, ou encore la leishmaniose, sont transmissibles de l’animal à l’homme. Et c’est la raison pour laquelle les propriétaires d’animaux, et surtout les enfants, doivent garder leur bouche et leurs mains loin de la gueule des chiens.

Bien que les risques de maladies graves soient assez faibles, il est important de s’assurer que son chien est propre, sain, et en bonne santé.

Chaque jour, pensez à nettoyer les matières fécales qui peuvent subsister sur votre animal. Faites régulièrement surveiller votre compagnon par votre vétérinaire, et procéder si besoin est à undéparasitage.

Enfin, ne négligez pas l’hygiène, et apprenez à vos enfants à laver soigneusement leurs mains après avoir joué avec le chien !

On pensera aussi à bien fermer la bouche chaque fois que l’on embrasse son compagnon canin !

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