Règle d’or


Nous sommes de milieux différents, une éducation différentes, des croyances différentes, des opinions pensant que nous sommes totalement dans la vérité et nous devons vivre ensemble. Cela implique le respect, la patience, la tolérance et la communication.
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Règle d’or

 

 

La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents.
 
Gandhi

Il voit un chien tomber du 8e étage d’un immeubl


Cela se passe au Brésil. Joao Augusto voit un chien tombé du 8 ème étage. Il tend les bras et essaie de se positionner pour attraper le chien. Bien qu’il le manque de peu, il a amorti la chute du chien qui s’en sort indemne et prend vite la fuite. Alors Joao, lui a tombé par le poids de la bête et heureusement, lui non plus n’a pas été blessé
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Il voit un chien tomber du 8e étage d’un immeuble

 

Le Saviez-Vous ► Pourquoi il faut laver vos vêtements neufs avant de les porter


J’ai toujours aimé mieux lavé mes vêtements neufs avant de les porter, sans pourtant savoir vraiment pourquoi c’était mieux pour la santé. Je trouve que les explications sont très convaincantes.
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Pourquoi il faut laver vos vêtements neufs avant de les porter

MASKOT VIA GETTY IMAGES

Question de bon sens, ne le faites pas forcément s’ils sont en soie.

Lorsque vous achetez un vêtement neuf, vous pensez sûrement que ce n’est pas grave de le porter directement, sans le laver, parce que seules quelques autres personnes l’ont essayé. Détrompez-vous.

D’après Philip Tierno, professeur de microbiologie et de pathologie à l’Université de New York, le nombre de gens qui ont essayé le chemisier ou la robe que vous avez décidé d’acheter serait bien supérieur à ce que vous imaginez.

« On ne parle pas seulement de quatre, cinq ou six personnes, mais de dizaines et même plus, si ce vêtement est resté en magasin pendant plusieurs semaines, voire un mois », explique-t-il.

Bien évidemment, ce chiffre dépend de divers facteurs, tels que la taille du magasin ou la vitesse à laquelle les vêtements se vendent. Mais est-ce que vous voulez vraiment porter un vêtement essayé par ne serait-ce qu’un seul inconnu?

Philip Tierno a mené des recherches au cours desquelles il a fait des examens sur des vêtements (hauts, pantalons, robes, maillots de bain, sous-vêtements, etc.) de grandes chaînes de prêt-à-porter et de boutiques de luxe pour y rechercher des bactéries et autres germes laissés par des clients qui les ont essayés sans les acheter. Sur certains, il a trouvé des norovirus, des bactéries telles que des streptocoques et des staphylocoques, et même des matières fécales.

Un risque d’infection

Tous ces germes sont déposés principalement de trois manières: par la peau, le système respiratoire (le nez et la bouche) et l’anus. Si vous touchez des vêtements contaminés par ces germes puis votre bouche, vos yeux ou votre nez, vous courez un risque.

Rassurez-vous, le risque de développer une infection sérieuse reste « très faible », ajoute-t-il.

Mais la possibilité existe, en particulier si vous avez des éraflures ou des coupures.

Germes mis à part, de nombreux vêtements sont aussi traités avec des agents chimiques et des colorants qui peuvent provoquer des irritations, ce qui vous donne une autre raison de passer vos vêtements neufs à la machine avant de les porter.

Le docteur Meghan Feely, une dermatologue qui travaille dans le New Jersey et à Manhattan, connaît bien les substances chimiques que l’on trouve sur les vêtements. Elle traite souvent des patients victimes de dermites de contact et les aide à déterminer l’origine de leurs rougeurs et autres irritations, y compris lorsqu’il s’agit de réactions allergiques.

Comment réduire les dangers

Elle confie au HuffPost que ces irritations peuvent apparaître dans les heures ou les jours qui suivent le contact avec les vêtements « lavés avec certaines lessives ou traités avec certains agents chimiques, colorants, résines ou agents tannants »

Par exemple, elle a traité des victimes d’allergies au formaldéhyde, substance utilisée pour créer des vêtements infroissables.

D’après elle, si la réaction est allergique, laver le vêtement peut aider, mais la meilleure solution est de ne plus le porter. Pour les autres réactions, certains produits chimiques seraient à éviter complètement ou bien nécessiteraient plusieurs lavages ou des lavages avec des produits spéciaux. C’est pourquoi il faut se renseigner sur les produits utilisés par les différentes marques.

Elle recommande également d’utiliser des lessives et assouplissants sans parfum ni colorant.

« Faites un cycle de rinçage supplémentaire pour bien rincer la lessive », conseille-t-elle.

Pour Philip Tierno, c’est en effet une bonne idée de passer les vêtements neufs à la machine ou de les faire laver à sec, en fonction leur nature:

« Bien évidemment, on ne vous dit pas de passer un vêtement de soie à la machine. Il faut faire preuve de bon sens. »

Le docteur Krista Lauer, directrice médicale nationale de Larada Sciences et des Lice Clinics of America (cliniques antipoux), partage ce point de vue, et ajoute que l’essayage de chapeaux et bonnets comporte également des risques: les poux, qui peuvent également se transmettre lorsqu’on essaye un chapeau porté par quelqu’un qui en avait.

Encore une fois, le risque de développer une infection sérieuse en essayant des vêtements n’est pas très élevé, mais il est facile de le minimiser. Lavez-vous les mains après un essayage, en particulier avant de manger, boire ou vous toucher le visage.

Vous porterez votre nouvelle tenue bien assez tôt. Et ce sera encore mieux sans une irritation pour l’accompagner.

Cet article, publié à l’origine sur le HuffPost américain, a été traduit par Léa Chalumeau pour Fast For Word.

https://www.huffingtonpost.fr/

Il tente de prendre l’avion avec un python en le cachant dans un disque dur externe


Comment peut-on avoir un animal de compagnie tel qu’un python. Je peux comprendre que certaines personnes ont une fascination aux serpents, moi-même, je les trouve géniaux, mais pas de là en avoir un à la maison. (heureusement pour Fripouille) Enfin, que le serpent soit dangereux ou non, il peut provoquer des sérieuses réactions encore plus dans un espace confiné comme un avion
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Il tente de prendre l’avion avec un python en le cachant dans un disque dur externe

 

Crédits : Transportation Security Administration

par  Clara Lalanne

Comme le rapportait le Miami Herald le 9 juillet 2018, un passager du vol Miami-La Barbade a tenté de faire passer clandestinement son python à bord, en le cachant à l’intérieur d’un boîtier de disque dur externe.

« Ce serpent, qui n’a pas pris l’avion grâce à la surveillance de nos agents, avait été habilement dissimulé à l’intérieur d’un disque dur et placé dans un sac à main pour un vol vers La Barbade », a expliqué Sari Koshetz, porte-parole de l’Administration de la Sécurité des Transports.

Les agents des douanes qui ont inspecté les bagages avant le décollage, en effet, ont distingué une étrange forme massive, cachée dans les entrailles du disque dur. L’appareil a donc été examiné en urgence par un officier de l’administration, qui y a découvert le reptile vivant avant qu’il ne monte dans l’appareil.

Le serpent a été récupéré puis confié au Service de la pêche, de la faune et de la flore des États-Unis, tandis que le propriétaire du serpent a reçu une contravention et une interdiction de vol. Sari Koshetz a souhaité relativiser le danger représenté par l’animal, expliquant qu’il ne représentait pas une menace pour les voyageurs. Si toutefois ce dernier, comme elle l’ajoute, avait pu s’échapper de sa prison électronique, il aurait pu réellement semer le trouble à bord du vol vers La Barbade. Le python royal est aujourd’hui un animal de compagnie relativement inoffensif et répandu, mais il reste un serpent constricteur, et aurait pu créer un mouvement de panique parmi les passagers.

Sources : Miami Herald/Motherboard

http://www.ulyces.co/

Nous ne sommes pas les premiers à dérégler le climat de la Terre


Bien sûr que la Terre à déjà vécu d’autres changements climatiques. Quand les végétaux et animaux sont apparus, les choses ont commencé à changer, même de tout petits vers marins et terrestres on participer ce changement qui a pris des millions d’années. Aujourd’hui, nous sommes face à un nouveau changement climatique, à la différence que nous avons accéléré les causes et il sera difficile en peu de temps, de limiter les dégâts.
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Nous ne sommes pas les premiers à dérégler le climat de la Terre

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Vers marins

Certains fonds océaniques sont toujours remués et perturbés par des vers marins.

FILIP MEYSMAN

L’homme est en grande partie responsable du réchauffement climatique actuel et de la 6ème extinction massive d’espèces qui en résulte. Néanmoins, ce n’est pas la première fois dans son histoire que la Terre y est confrontée.

Publiée dans Nature, une étude réalisée par l’université de Bruxelles et de Leeds vient de mettre en avant les causes d’un réchauffement climatique apparu lors de l’ère géologique du Cambrien (-541 à -485,4 millions d’années).

« Cet ancien réchauffement a un mécanisme similaire à celui d’aujourd’hui. Ils sont tous les deux provoqués par une augmentation de la combustion de la matière organique «  témoigne Sebastiaan Van De Velde, auteur principal de l’étude.

Les végétaux, puis les animaux

Les cyanobactéries, premières algues apparues sur Terre, ont contribué à la grande oxygénation de la planète. Elles produisent de l’oxygène qui remplace petit à petit le dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère. Pour un changement radical des différentes formes de vie terrestre.

Grâce à la présence d’oxygène,  nombre d’animaux apparaissent sur la planète bleue au début de l’ère du Cambrien (541 millions d’années). C’est l’explosion cambrienne : une époque de grande diversification et d’apparition soudaine de nombreuses espèces animales et végétales, qui se déroule sur plusieurs millions d’années. Les petits vers marins seraient apparus à ce moment là.

« Il y a plusieurs discussions, mais nous pensons qu’à la fin de l’explosion cambrienne (520-525 millions d’années), ces petits vers étaient omniprésents sur l’ensemble des fonds marins du globe… bien que des recherches soient nécessaires pour en être sûr » avance prudemment le chercheur.

L’impact dévastateur de minuscules mouvements

« Avant l’introduction de ces animaux, il n’y avait aucun animal dans le sol marin » explique Sebastiaan Van De Velde.

La matière organique s’est déposée au fond des océans et s’est accumulée. Sans qu’aucun mouvement ne vienne perturber leur dépôt.

“À la suite de l’explosion cambrienne, ces animaux ont remué toutes ces couches organiques.”

Ensuite, le processus est le même que les vers de nos jardins. Ils fragmentent et décomposent la matière organique présente dans le sol. Ce mécanisme consomme de l’oxygène… tout en relâchant du CO2. Au Cambrien, les océans et l’atmosphère se sont appauvris en oxygène et enrichis en dioxyde de carbone. À l’échelle planétaire, l’ensemble de ces petits mouvements a augmenté l’effet de serre et provoqué un réchauffement climatique. Des événements d’extinction liés à un épuisement de l’oxygène dans l’océan ont ensuite été récurrents dans l’ère du Cambrien moyen (environ 510 millions d’années).

 

« Pour le moment, il y a beaucoup d’incertitude sur ces animaux » expose le scientifique. 

Effectivement, il n’est pas facile de retrouver des fossiles d’espèces invertébrés. Néanmoins, certains ont laissé des traces de leur passages : d’anciens tunnels dans les sous-sols témoignent de leur présence.

“Globalement, ils devaient être comparables aux vers et mollusques que nous avons aujourd’hui. Ils bougeaient seulement de 1 à 3 cm dans le plancher océanique, donc leur taille devait être de l’ordre du millimètre ».

Des différences avec le réchauffement climatique actuel

L’espèce humaine n’est pas la première responsable d’un changement climatique majeur sur notre planète, même si des différences sont notables.

“Pour le réchauffement climatique du Cambrien, nos modèles mathématiques suggèrent qu’il y ait eu une augmentation de la concentration en CO2 de 1000 ppm (1000 particules de CO2 pour un million de particules atmosphériques), ce qui correspond à environ 5°C de réchauffement climatique, mais étalés sur des millions d’années” analyse Sebastiaan Van De Velde.

“Aujourd’hui, on essaye de limiter le réchauffement en dessous de 2°C, mais sur un temps beaucoup plus court de quelques siècles. Le système terrestre a donc beaucoup moins de temps pour s’adapter.”

Le réchauffement climatique du Cambrien a eu des conséquences durant plusieurs millions d’années. Pourtant malgré son impact majeur, il n’était pas aussi intense et rapide que celui que nous vivons actuellement.

 

https://www.sciencesetavenir.fr/

 

Le chien le plus cloné du monde a 49 copies de lui-même


Milly est un chihuahua qui est dans le record Guinness par sa petite taille. En effet, elle peut s’installer dans une tasse ce qui fait de ce minuscule petit chien, un animal unique. Enfin, plus maintenant, car elle a été cloner plusieurs fois pour comprendre sa génétique. Personnellement, je n’aurais jamais fait cloner mon animal de compagnie si unique soit-il
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Le chien le plus cloné du monde a 49 copies de lui-même

Crédits : World Record Academy

par  Mehdi Karam

Miracle Milly est unique. Enfin, façon de parler. Car comme l’écrivait le Telegraph le 8 juillet, ce chihuahua de Porto Rico est le plus petit chien au monde – elle peut carrément tenir debout dans un mug. Un record enregistré en 2012 par le Livre Guinness des records.

Cependant, Milly possède 49 copies d’elles-mêmes. Car, intrigués par ce mystère génétique, des scientifiques de la firme sud-coréenne Sooam Biotech ont décidé d’en créer des clones, génétiquement identiques, avec l’accord de Vanessa Semler, sa propriétaire.

Crédits : World Records Academy

La technologie utilisée pour cloner Milly est la même qui avait été utilisée pour copier le mouton Dolly, en 1996. Il s’agit du transfert nucléaire, passage du noyau d’une cellule à une autre cellule, préalablement vidée du sien. La première portée des nouvelles Milly est née en août 2017. Elle contenait 12 petits cabots, nommés Molly, Mally, Melly, Molly, Mumu, Mila, Marie, Mimi, Moni, Mini, Mela et Mulan. Selon Vanessa Semler, ces clones ont exactement la même personnalité et l’apparence de Milly. Inspirés par cette réussite, les chercheurs ont par la suite créé 37 de plus.

« Initialement, l’idée était de créer 10 clones. 9 pour la recherche scientifique, et un pour moi. Mais ils ont décidé d’en faire plus », explique Semler.

Avec 48 spécimens en leur possession, puisque l’un d’entre eux a été remis à la propriétaire, les chercheurs de Sooam prévoient maintenant de faire équipe avec des spécialistes du Beijing Genomics Institute pour comprendre les facteurs génétiques qui caractérisent Milly – et ses clones.

Crédits : World Record Academy

Source : Telegraph

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Les Américains ont tranché, ils préfèrent Obama à Trump


Je crois pour beaucoup de pays, si nous aurions aussi participé au vote, M. Barack Obama serait en premier et Donald Trump en derniers dans les préférences.
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Les Américains ont tranché, ils préfèrent Obama à Trump

 

Obama, out.  | Capture d'écran via Youtube CC License by

Obama, out. | Capture d’écran via Youtube CC License by

Repéré par Nina Pareja

Repéré sur Time

L’actuel président ne va pas être content…

 

Déjà que Donald Trump n’aime que peu les sondages –surtout en sa défaveur– il ne réagira sûrement pas joyeusement à celui-là. Son compte Twitter est en tout cas vide de commentaires sur ce sujet pour l’instant.

Le Pew Research Center a publié un sondage révélant les présidents préférés des Américains et Américaines. 44% des personnes interrogées ont désigné Barack Obama comme étant leur premier ou deuxième président préféré. Après le 44ème président arrivent Bill Clinton et Ronald Reagan avec respectivement 33% et 32% des voix.

Pour réaliser cette enquête, environ 2.000 personnes représentatives de la population américaine se sont pliées au jeu en répondant à cette question:

 «Quel président a fait le meilleur travail durant votre vie?»

Elles devaient ensuite donner un premier et un deuxième choix.

Le classement des premiers choix met à l’honneur Obama (avec 31%), puis Reagan (21%), Clinton (13%), Trump (10%) et enfin, Kennedy (7%). Pour les seconds choix, l’ordre est légèrement bousculé: Clinton (19%), Obama (13%), Reagan (10%), W. Bush (11%), Trump (9%).

Que Donald Trump se rassure, il totalise tout de même 19% des sélections, premier et deuxième choix confondus, ce qui est assez similaire aux scores d’Obamaen 2011.

Alors que Bush père et fils sont assez bas placés dans la liste, ce n’est rien comparé à Carter, Ford, Nixon, Johnson, Eisenhower, Truman et Roosevelt qui sont à peine mentionnés. Mais c’est finalement plutôt normal puisque les sondés et sondées sélectionnent les présidents préférés de leur vivant.

Conflit de génération

 

Les divergences d’opinion suivent la courbe des âges: les millenials ont mentionné Obama 62% du temps, un chiffre plus haut que n’importe quelle autre génération. Reagan, lui, est plutôt plébiscité par les baby-boomers ou la génération précédente.

Seulement 10% des adultes interrogés ont mentionné Kennedy, mais ce taux atteint 25% chez celles et ceux qui étaient vivants au moment de sa présidence.

Les résultats de l’enquête sont assez comparables à ceux de 2011. Plus de la moitié des millennials estimaient que Clinton avait fait le meilleur travail à la tête du pays, alors que les baby-boomers et les personnes ayant vécu dans les années 1920 et 1930 choississaient Reagan, bien que talonné par Clinton. Les plus jeunes Américains et Américaines ont donc basculé de Clinton à Obama, favorisant toujours les Démocrates.

Fracture entre les Démocrates et les Républicains

Le sondage note aussi la diversité des opinions en fonction des couleurs politiques. Trump reconquiert du terrain au sein des sympathisantes et sympathisants Républicains (22% des premiers choix et 19% des deuxièmes choix), même si Reagan reste leur chouchou, avec respectivement 41% et 16% des votes.

Même phénomène pour Obama, il est largement plébiscité dans le camp des Démocrates qui le placent à 51% en premier choix et à 20% en deuxième.

Si les Démocrates qui mentionnent Trump sont quasi inexistants, les Républicains sont plus prompts (13%) à qualifier Obama de meilleur président.

http://www.slate.fr

Elle s’offre en sacrifice à son mari: on la retrouve enterrée vivante à côté de lui


Il y a 3 000 ans, une femme qui aurait probablement pris un poison pour être enterré auprès de son bien-aimé pour l’éternité. Selon les légistes, il aurait été impossible de mettre la femme coucher sur le flanc de l’homme tout en l’enlaçant.
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Elle s’offre en sacrifice à son mari: on la retrouve enterrée vivante à côté de lui

 

Source: Daily Mail

Les archéologues ont fait une découverte émouvante dans un petit village en Ukraine. Dans une tombe datant d’il y a environ 3.000 ans, les scientifiques ont retrouvé une femme et un homme enlacés. Les scientifiques déduisent de leurs positions respectives que la femme s’est fait enterrer vivante avec l’être aimé pour rester auprès de lui pour l’éternité.

La façon dont le couple qui a dû vivre à l’âge du bronze était allongé est très significative. Le corps de la femme repose sur celui de l’homme et ses bras et ses jambes l’enlacent tendrement. Un signe qui témoigne de l’amour qui unissait les deux êtres préhistoriques.

Poison?

On aurait pu imaginer que des congénères aient eux-mêmes disposé de la sorte le corps de la femme sur le flanc de son époux mais les légistes excluent cette hypothèse. Selon eux, il est impossible de manipuler le corps d’un mort de manière à lui donner une position aussi tendre.

« Il apparaît que la femme a d’elle-même décidé de mourir en se faisant enterrer vivante tout contre son mari », explique le professeur Mykola Bandrivsky.

Vu l’absence de signe de panique, la veuve éplorée a probablement bu du poison avant de rentrer dans la tombe et de se blottir contre son mari décédé. Le couple incarne l’amour éternel, s’émeuvent les chercheurs.

« Elle ne voulait sans doute pas devoir partager la vie d’un autre homme et recommencer sa vie. Donc elle a choisi de le rejoindre dans la mort et de rester son épouse pour toujours ». 

Amour éternel, croyance d’une époque

Si une telle découverte est toujours une émotion pour les archéologues, cette pratique n’est pas inédite pour l’époque en Europe.

« Les couples de la culture de Wysocko (du nom d’une localité où ont été découvertes 200 tombes et monuments datant de l’âge du fer) croyaient en l’âme et l’amour éternels, donc aussi après la mort », explique le professeur.

Ce don de soi pour l’éternité n’était pas à sens unique. Les hommes mouraient aussi par amour pour leur épouse. Dans d’autres tombes attribuées à cette culture spécifique (vers 800 avant JC), les archéologues ont en effet découvert un homme qui tenait les mains d’une femme et un autre dont les lèvres et le front touchaient la tête d’une femme. Dans une autre tombe, les amoureux étaient enlacés.

Leur amour était destiné à traverser des millénaires et aura réussi à faire battre le coeur de la génération qui les aura découverts, 3.000 ans plus tard.

https://www.7sur7.be/