8 CONSEILS POUR UNE BELLE PEAU EN HIVER


Vous avez sans doute remarqué que l’hiver, la peau craque et fissure a certains endroit alors qu’ailleurs on sens qu’elle est sèche et pique. La peau se dessèche d’ou l’importance de s’shydrater
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8 CONSEILS POUR UNE BELLE PEAU EN HIVER

Notre peau réagit aux conditions climatiques et notre visage est le premier exposé, tout comme nos mains. Attention à la déshydratation: le froid contracte les vaisseaux et perturbe la circulation sanguine. Résultat, la production de sébum diminue et la peau se déshydrate plus rapidement. Voici 8 conseils pour une belle peau en hiver.

1) Lutter contre la déshydratation de votre peau

Le vent, le froid, la pluie, la neige contribuent à la déshydratation de la peau, que renforce encore l’air sec provoqué par le chauffage des appartements, des bureaux, des voitures, des transports en commun et des magasins. Il faut donc hydrater son visage matin et soir (doublez la dose de crème le soir)! Ne pas hésiter à recourir à une crème plus riche et plus hydratante que d’habitude.

2) Au sortir de la douche, appliquez sur votre peau un lait hydratant corporel

Les frottements avec les vêtements contribuent aussi à assécher la peau du corps.

Prenez le temps d’appliquer une crème ou un lait hydratant corporel lorsque vous sortez de la douche.
Un
bain aux huiles essentielles est également recommandé pour nourrir et assouplir votre peau.

3) Peau sèche : massez à l’huile végétale les zones sensibles ou abîmées

Les zones fragilisées, rugueuses ou sèches méritent l’application en massage léger de quelques gouttes d’une huile végétale, comme l’huile d’amande douce par exemple. Ainsi nourrie la peau s’assouplit. Profitez-en pour en appliquer sur le contour des yeux et sur vos lèvres.

4) En hiver, une crème pour les mains sèches s’impose

Les mains sont particulièrement sensibles aux gerçures et le lavage fréquent des mains n’arrange rien.

  • Première consigne, changez de savon: au lieu d’un savon antibactérien, utilisez un savon hydratant (glycérine, beurre de karité…).
  • Ensuite, appliquez régulièrement et généreusement une crème pour les mains sèches.
  • Enfin, portez des gants en cuir, qui retiennent un peu l’humidité contrairement aux gants en laine.
5) Appliquez une crème anti-UV, même en hiver!

Dès qu’il y a du soleil, n’hésitez pas à appliquer une crème anti-UV, même en hiver. Idéalement, choisissez une crème de jour hydratante offrant en plus cette protection.

6) N’oubliez pas votre décolleté

Cette zone fragile est souvent exposée, même en hiver. Systématiquement, lorsque vous appliquez une crème sur votre visage, étendez l’application à votre cou et votre décolleté.

7) Enfin, protégez vos lèvres

Ayez toujours en poche un baume à lèvres nourrissant et appliquez-en aussi souvent que nécessaire pour éviter les lèvres qui picotent, sèchent et se gercent.

8) Douche ou bain, pas trop chaud!

Attention, sous la douche ou dans votre bain, n’utilisez pas une eau trop chaude, celle-ci étant moins hydratante pour la peau.

Et au sortir, séchez-vous soigneusement partout (sans frotter, mais en vous tamponnant avec la serviette). Le fait de garder une peau mouillée contribue à son dessèchement

Pour le bain, attention aussi aux produits à utiliser, qui peuvent contribuer à assécher la peau. Privilégiez les produits à base d’huile. D’ailleurs, en hiver, mieux vaut privilégier les douches au détriment des bains.

Enfin, votre alimentation contribue aussi à la santé de votre peau. Mangez beaucoup de fruits et de légumes pour profiter de leurs vitamines antioxydantes qui aident à prévenir le vieillissement cutané.

http://www.e-sante.be

Contrer la dépression saisonnière… grâce aux végétaux


L’hiver les journées sont plus courtes et peut être une des causes de la mauvaise humeur ou du moins d’être maussades … L’idée de mettre un peu  de verdure .. pourrait peut-être aider.. et il y a des plantes qui sont vraiment facile que sans être pouce vert … elle peut survivre
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Contrer la dépression saisonnière… grâce aux végétaux

 

Disposer des plantes d'intérieur dans une pièce de...

 

Disposer des plantes d’intérieur dans une pièce de la maison ou au bureau a un effet positif sur notre santé morale et physique.

 

LARRY HODGSON, collaboration spéciale
Le Soleil

(Québec) À l’automne, on tend à se laisser aller à la dépression, un état appelé par les spécialistes «trouble affectif saisonnier» (TAS) ou SAD (de l’anglais seasonal affective disorder). En langage courant, on dit plutôt dépression saisonnière ou blues hivernal.

Les symptômes sont multiples : diminution d’énergie, perte d’intérêt, isolement, insomnie, etc. La cause de ce problème n’est pas bien comprise, mais on ne pense plus que le facteur le plus important soit la grisaille du temps, comme on le croyait autrefois, mais plutôt la longueur du jour réduite.

Selon cette théorie, l’être humain a évolué sous les tropiques, où les journées durent environ 12 heures toute l’année et il aurait de la difficulté à composer avec des journées de moins de 12 heures. Or, dans nos régions, les journées ont nettement moins de 12 heures cinq mois par année!

Évidemment, loin de moi l’idée de me faire psychologue : si vous souffrez de dépression profonde, bien sûr il faut consulter! Mais si vous ne vous sentez que légèrement déprimé durant les mois d’hiver, il y a plusieurs façons d’y faire face.

Le traitement des experts pour les TAS serait la luminothérapie, soit l’exposition de façon quotidienne à une source artificielle de lumière supérieure à 2000 lux. Il existe à cette fin des lampes spéciales près desquelles vous pouvez vous placer quelques heures par jour; celles qui produisent jusqu’à 10 000 lux ne demandent que 30 minutes d’exposition. Mais il existe aussi une thérapie encore moins coûteuse et, quant à moi, plus plaisante : s’entourer de plantes.

Un intérieur ou un bureau dans lequel on trouve des plantes d’intérieur a un effet positif sur le moral et le physique des gens.

WWW.JARDINIERPARESSEUX.COM

Les bienfaits des végétaux sur la santé

Il existe de nombreuses études (littéralement des centaines!) qui indiquent que la présence des végétaux dans l’environnement des humains a un effet bénéfique sur leur santé, tant mentale que physique. Travailler avec les plantes (les arroser, les rempoter, etc.) a un effet déstressant reconnu, mais même juste les voir apaise l’esprit. Paraît-il que même regarder des photos de jardins est bénéfique pour la psyché! C’est pourquoi les hôpitaux et les maisons de retraite modernes s’efforcent d’ajouter des jardins extérieurs à leurs terrains et d’incorporer des espaces pour des plantes vivantes dans les chambres. Même à l’école, les étudiants apprendraient plus facilement et retiendraient davantage d’information quand la salle de classe contient de la verdure.

Des employeurs n’ont pas hésité à emboîter le pas : les bureaux qui ont une bonne part de plantes vertes profiteraient d’une diminution de l’absentéisme et d’une amélioration du sentiment de bien-être des employés. La productivité augmente passablement… et les profits aussi!

Évidemment, une partie de ces effets est physique : les plantes filtrent l’air de ses impuretés, augmentent (légèrement) le taux d’oxygène, améliorent l’humidité relative et amenuisent les bruits de fond, tous des facteurs qui affectent positivement la santé des humains. Mais l’effet psychologique semblerait encore plus important. Autrement, comment expliquer le fait que les gens qui voient des plantes au loin, sans jamais les approcher, les toucher ni profiter du filtrage d’air qu’elles offrent, se sentent plus heureux et moins anxieux?

Des plantes chez vous

Il ne serait pas nécessaire de remplir sa maison de végétaux pour profiter des effets psychologiques de leur présence : une plante çà et là ou un petit regroupement de végétaux dans le coin du salon, il n’en faudrait pas plus pour réduire le stress. Et si votre employeur ne fournit pas de végétaux d’intérieur, peut-être pourriez-vous obtenir la permission d’en apporter?

Pour être efficaces, cependant, les plantes doivent pouvoir rester en vie : une plante brune et morte n’est d’aucune efficacité. Ainsi il faut considérer les besoins des végétaux avant d’en incorporer dans votre décor intérieur.

Pensez d’abord et avant tout que la lumière est l’unique source d’énergie des plantes. Ce ne sont pas les engrais qui nourrissent les plantes comme bien des gens le pensent, mais le soleil. Donc, nécessairement, l’espace doit recevoir un certain éclairage. Quelques plantes – cactées et la plupart des plantes à fleurs, par exemple – demandent beaucoup de soleil pour bien pousser : il n’est pas évident de les conserver ailleurs que sur le rebord d’une fenêtre ensoleillée. Plusieurs plantes vertes, par contre, peuvent pousser dans des emplacements passablement sombres et sont alors les variétés les plus faciles à cultiver.

Aussi, il faut les arroser. Il n’y a pas de règle fixe quant à la fréquence des arrosages : selon les conditions, la même plante pourrait avoir besoin d’arrosage tous les cinq jours ou toutes les deux semaines! Il faut physiquement vérifier l’état du sol de vos plantes d’intérieur. Pour ce faire, deux fois par semaine, enfoncez une partie de doigt dans le terreau de votre plante : s’il est sec au toucher, arrosez abondamment, assez pour mouiller toute la motte de racines. Si le terreau est encore humide au toucher, n’arrosez pas. C’est aussi simple que cela.

La fertilisation? C’est un détail mineur. Appliquez-en au quart de la dose recommandée pendant les mois d’été et la plupart des plantes d’intérieur pousseront à merveille. Augmenter l’humidité de l’air l’hiver au moyen d’un humidificateur profiterait à presque toutes les plantes vertes, mais certaines, comme la sansevière (Sansevieria trifasciata) et l’aglaonéma (Aglaonema spp.), tolèrent bien l’air sec. Quant à la température, presque tous les végétaux vendus comme plantes d’intérieur sont parfaitement à l’aise avec les températures habituelles de nos intérieurs : c’est donc un souci de moins.

Des plantes pour vous redonner le sourire

Voici quelques plantes d’intérieur réputées pour leur facilité de culture et leur capacité à purifier l’air de nos maisons et de nos bureaux. Les cultiver chez vous pourrait peut-être vous aider à surmonter le blues hivernal!

– Aglaonéma (Aglaonema spp.)

– Dieffenbachia (Dieffenbachia spp.)

– Dracéna (Dracaena spp.)

– Ficus (Ficus spp.)

– Fougère de Boston (Nephrolepis exaltata cultivars)

– Palmier (divers genres)

– Philodendron (Philodendron spp.)

– Plante araignée (Chlorophytum comosum)

– Pothos (Epipremnum aureum)

– Sansevière (Sansevieria trifasciata)

– Syngonium (Syngonium spp.)

http://www.lapresse.ca

Mon beau sapin, roi des forêts depuis des millions d’années


Les conifères telle que nous les connaissons aujourd’hui comme le sapin, épinette  et pin n’ont guère changer depuis des millions d’années ..
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Mon beau sapin, roi des forêts depuis des millions d’années

 

Des sapins 

Photo :  iStockphoto

Le sapin, l’épinette et le pin n’ont connu aucun grand changement sur le plan génétique depuis plus de 100 millions d’années, montre une étude conjointe de l’Université Laval et du Service canadien des forêts.

Le Pr Jean Bousquet et ses collègues affirment que les résultats de leurs travaux confirment en quelque sorte la ressemblance observée entre les conifères actuels et les fossiles qui datent de l’époque des dinosaures.

Pour en arriver à cette constatation, les auteurs de ces travaux publiés dans la revue BMC Biology ont analysé le génome des conifères et l’ont comparé à la macrostructure du génome de 157 familles de gènes présents à la fois chez les conifères et chez les plantes à fleurs. Ces végétaux sont issus du même ancêtre, mais ont divergé il y a quelque 300 millions d’années.

Les analyses montrent que le génome des conifères est demeuré particulièrement stable, alors que celui des plantes à fleurs a connu d’importants bouleversements pendant 100 millions d’années.

« Les conifères semblent avoir atteint très tôt un équilibre avec leur milieu. Aujourd’hui encore, sans artifices, ils connaissent du succès sur une grande partie de la planète, surtout là où il fait froid. À l’opposé, les plantes à fleurs sont engagées dans une course pour la survie et la reproduction qui fait peser sur elles de fortes pressions évolutives. » Pr Jean Bousquet

Le saviez-vous ?

La Terre abrite 600 espèces de conifères et plus de 400 000 espèces de plantes à fleurs.

http://www.radio-canada.ca

Tuerie à Newtown Qui était la mère du tireur?


Un tueur de masse ne devient pas meurtrier du jour au lendemain .. mais des événements, un environnement plus l’élément déclencheur et un problème de socialisation fini par faire un tueur .. Ce n’est pas qu’il avait un problème d’autisme mais vivre dans la peur de catastrophe, d’apprendre a se défendre avec des armes d’assaut  qui sont facile d’accès aux USA .. cela n’a pas aidé
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Tuerie à Newtown

Qui était la mère du tireur?

 

TVA Nouvelles

Trois jours après qu’un homme ait ouvert le feu dans une école primaire de Newtown au Connecticut, tuant 20 enfants et six adultes, certaines informations sur l’entourage du tireur ont été divulguées, notamment sur sa mère, qui est aussi morte sous les balles de son fils vendredi.

Selon la belle-sœur de Nancy Lanza, la mère du présumé tireur, cette dernière était une «survivaliste». Elle croyait que la fin du monde était pour bientôt et qu’il fallait s’y préparer. Elle faisait donc d’importantes réserves de nourriture et d’eau, en plus d’apprendre à se défendre afin de survivre lorsque la société civilisée tomberait.

La femme de 52 ans est devenue obsédée par les armes et s’exerçait au tir régulièrement. Selon plusieurs, il s’agissait d’un passe-temps qu’elle partageait avec son fils, atteint du syndrome d’Arperger, une forme d’autisme.

Selon le psychologue Gilles Vachon, le contexte dans lequel a grandi le tireur a contribué à le rendre susceptible de poser un tel geste.

«Ce n’est pas sain déjà quand vous êtes parfaitement sain comme enfant. Si lui avait des problèmes en plus, c’est sûr qu’on n’est pas dans un environnement favorisant», estime-t-il.

Il souligne toutefois que le fait que le tireur souffrait du syndrome d’Asperger est loin d’être l’unique explication au geste qu’il a posé.

«Il y a quatre ou cinq données qui constituent le cocktail», croit-il.

Parmi ces éléments se trouvent le contexte culturel et l’état mental de la personne en question.

Le psychologue est d’avis que «ce n’est pas pour rien que ça se passe aux États-Unis».

«Si la culture est un petit peu paranoïaque et guerrière, on va délirer de cette façon-là », a-t-il précisé, avant d’ajouter que «l’accès facile aux armes» n’était pas non plus à négliger.

Il tirait avec sa mère

Pour M. Vachon, le fait que le jeune homme et sa mère s’exerçaient régulièrement ensemble au tir fait aussi partie des faits ayant contribué au délire mortel de l’homme.

«Ça, c’est l’aspect un peu troublant. Vous avez un enfant qui a un trouble d’adaptation sociale et son seul contact avec vous, la seule activité sociale, c’est d’aller faire du tir de mitraillette. Je n’ai pas besoin d’en dire beaucoup plus […], ça n’a pas beaucoup de sens», affirme le psychologue.

Nancy Lanza a été l’une des premières victimes de son fils, vendredi matin.

http://tvanouvelles.ca

La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement


Pour ma part, cela ne me ferait pas avoir plus peur d’avoir un chat, c’est la deuxième fois cette année que j’entends parler de ce genre de chose .. Cependant,sachant que la toxoplasmose est quand même une maladie souvent dut aux excréments des chats dans la litière ou le sable .. il faut porter quand même une attention particulière a la propreté de la litière
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La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

 

La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

Photo Fotolia

Bum interactif

Les germes contenus dans la litière de votre chat pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.

 

Tous les amoureux des félins et propriétaires de chats voudront sans doute lire cette nouvelle. Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les germes contenus dans la litière de votre chat, et plus particulièrement ceux contenus dans les « cadeaux » laissés dedans, pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.


Par conséquent, ces effets pourraient bien jouer sur le comportement des maîtres. C’est du moins ce que conclut une étude sur le sujet, publiée dans la plus récente édition du journal PLoS Pathogens.

Ainsi, on apprend que c’est ce processus qui mène à la toxoplasmose, une maladie déclenchée par une exposition massive à ces germes. Si cette maladie est somme toute bien connue, il en va autrement de ses effets sur le cerveau et sur le comportement.

C’est que selon l’étude, de 30 à 50 % des propriétaires de chats seraient déjà infectés par la toxoplasmose, mais le système immunitaire serait en mesure de contrer la maladie dans la grande majorité des cas.

Donc, dans sa forme indétectable commune, la toxoplasmose pourrait mener à de la schizophrénie ou encore à une dépression.

De plus, on a constaté des changements comportementaux chez certains, qui devenaient subitement plus extrovertis qu’à l’habitude, par exemple. De l’agressivité, des envies de prendre des risques et d’autres symptômes du genre sont aussi observables chez certains sujets.

On suggère de bien nettoyer la litière de votre animal et de le faire souvent, en plus de garder la toilette féline dans une zone réservée et recluse du reste de la maison.

La toxoplasmose peut être fatale chez les gens qui ont un système immunitaire déficient.

http://fr.canoe.ca

Les troubles du goût


Le gout, quand nos papilles gustatives s’activent pour dégusté et dédaigné une saveurs … mais imaginez quand les papilles ne font pas leur travail que les saveurs sont faussé voir inexistantes ..
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Les troubles du goût

 

Les troubles du goût sont rares mais très handicapants. Quels sont les différents types de dysgueusie ? Quelles sont leurs causes ? Comment les diagnostique-t-on ? Les réponses du Dr Corinne Eloit-Talmain, ORL à l’hôpital Lariboisière à Paris.

L’interrogatoire et différents examens vont permettre de confirmer le trouble du goût, de trouver la cause et de traiter celle-ci, si cela est possible.

Agueusie, dysgueusie… Les troubles du goût

 

« Il faut bien faire la différence entre troubles du goût et troubles de la perception des saveurs des aliments », indique d’emblée le Dr Corinne Eloit-Talmain.

Et d’expliquer que « c’est la perception rétro-nasale qui est en cause lorsque l’on ne sent pas la saveur des aliments que l’on mastique : les molécules olfactives atteignent l’épithélium olfactif en se détachant des aliments lors de la mastication ».

Avoir des troubles du goût, c’est ne plus reconnaître ces sensations avec les papilles gustatives situées sur la langue : sucré, salé, amer, acide, mais aussi glutamate.

« Il y a autant de goûts sucrés que de molécules édulcorantes », précise l’ORL.

Et contrairement à une idée reçue tenace, il n’y a pas 4 zones sur la langue qui perçoivent chacune un goût ! « Tous les bourgeons gustatifs perçoivent les 4 goûts », insiste le Dr Eloit-Talmain.

  • Si l’on ne perçoit plus du tout les goûts, on parle d’agueusie ;
  • Si on les perçoit moins bien, il s’agit d’une hypogueusie ;
  • Enfin, si les perceptions sont faussées, il s’agit de dysgueusie.

Ces troubles du goût peuvent être unilatéraux ou bilatéraux. Néanmoins, « les véritables troubles du goût sont rares », précise cette spécialiste qui en rencontre une dizaine par an parmi les 500 nouveaux patients qu’elle reçoit.

Troubles du goût : de nombreuses causes

Les troubles du goût, en particulier lorsqu’ils sont bilatéraux, peuvent être dus à des pathologies générales, comme la maladie de Gougerot-Sjögren 

 Mais ils « peuvent aussi être dus à des pathologies locales, comme une mycose« , ajoute l’ORL.

Les médicaments sont également très souvent la cause d’un trouble du goût.

« Tous les médicaments peuvent donner des troubles du goût, en particulier les antihypertenseurs et les antibiotiques .

Il est par ailleurs fréquent que les patients atteints d’un cancer présentent une altération du goût. La faute aux traitements du cancer (chimiothérapie, radiothérapie) qui provoquent une interruption temporaire du renouvellement normal des cellules sensorielles gustatives.

Autre cause possible : une intervention chirurgicale.

Ainsi, une opération de l’oreille moyenne (dans ce cas, il y a le plus souvent une agueusie unilatérale) ou « les extractions dentaires multiples chez les sujets âgés peuvent également entraîner des troubles du goût du fait d’une dégénérescence des neurones gustatifs (bourgeons du goût) », explique le Dr Eloit-Talmain.

« Plus rarement, les troubles du goût sont liés à des traumatismes crâniens ou des tumeurs. Au dernier congrès mondial de la SFORL, il nous a été présenté un cas d’agueusie due à une tumeur intracérébrale située au contact des nerfs gustatifs », rapporte le médecin.

Enfin, il existe un type d’agueusie héréditaire : l’agueusie au glutamate.

Troubles du goût : diagnostic et traitement

 

« Pour diagnostiquer un trouble du goût, nous avons déjà un questionnaire pour les patients », informe le Dr Eloit-Talmain.

Il est aussi possible de faire des tests avec un peu de sucre et de sel afin de voir si la personne perçoit les différents goûts.

« On regarde la langue afin de voir si les papilles linguales sont normales, on fait également un examen ORL complet qui nous permet de voir s’il n’y a pas un problème infectieux ou un reflux gastro-oesophagien (RGO) », explique la spécialiste.

Autre examen pratiqué en cas de troubles du goût, une électrogustométrie.

« On fait aussi un examen neurologique car on sait à quelle paire crânienne correspondent les nerfs gustatifs ».

On arrive, dans un certain nombre de cas, à traiter un trouble du goût. S’il est lié à une maladie de Gougerot-Sjögren, on traite celle-ci ; même chose en cas de RGO. Si le trouble du goût est dû à la prise d’un médicament, le médecin peut remplacer celui-ci. Si les troubles du goût sont associés à une mycose, un traitement antifongique est mis en place après prélèvement.

« Dans certains cas, on est relativement démuni, encore plus que pour les troubles de l’odorat car la corticothérapie ne fonctionne pas », indique le Dr Eloit.

« Si c’est dû à une brûlure, on attend dans ce cas que cela régénère car les bourgeons gustatifs repoussent quand ils sont lésés », informe le Dr Eloit.

Mais certains troubles du goût peuvent être incurables. Des lésions de la langue ou de certains territoires linguaux peuvent par exemple engendrer des dysgueusies permanentes par atteinte des nerfs périphériques.

Anne-Sophie Glover-Bondeau, novembre 2012.

Sources :

– Interview du Dr Corinne Eloit-Talmain,

http://www.doctissimo.fr

Piétons Envoyer des textos est dangereux… en marchant


Texté en marchant est vraiment dangereux, et ce même en marchant lentement .que ce soit dans la rue, dans les corridors ou tout endroit .. La façon le plus sécuritaire pour texté est s’arrêter … donc pas en conduisant ni en marchant
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Piétons

Envoyer des textos est dangereux… en marchant

 

Piétons - Envoyer des textos est dangereux... en marchant

Photo Alex Hinds – Fotolia.com

Le tiers des gens envoient des messages texte alors qu’ils traversent des rues achalandées, ce que dénonce l’Harborview Injury Prevention and Research Center.

Des chercheurs de l’Harborview Injury Prevention and Research Center de l’Université de Washington (Seattle) ont publié une étude concernant le phénomène des messages texte en pleine rue, rapporte www.nlm.nih.gov.

S’il est facile de croire que le fait d’en envoyer en marchant dans les rues soit un phénomène marginal, il est stupéfiant d’apprendre que ce comportement serait observable chez une personne sur trois!

Oui, il appert que le tiers des gens envoient des messages texte alors qu’ils traversent des rues achalandées ou encore lorsqu’ils déambulent dans des quartiers qu’ils ne connaissent pas ou qui sont peu recommandables.

Ce comportement inquiète les chercheurs en tête de l’étude, puisque les accidents en lien avec celui-ci seraient à la hausse. On préfère donc aviser la population que le fait d’envoyer des messages texte en marchant dans la rue peut s’avérer aussi niais et dangereux que de le faire au volant d’une voiture.

Beth Ebel, directrice de l’Harborview Injury Prevention and Research Center, en rajoute: «Il est temps de faire preuve de jugement dans l’utilisation des appareils électroniques. Les texteurs en puissance sont négligents et ne regardent même pas où ils vont… ni avant de traverser une rue ni pendant. Ils marchent plus lentement et n’ont pas conscience de la circulation. C’est très dangereux».

http://fr.canoe.ca