Déplacer les montagnes


Mon père disait que si nous voyons toutes les patates qu,on mangerait dans toute une vie, nous serions décourager, alors qu’un repas à la fois, peu à peu on vient a bout de tout problème
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Déplacer les montagnes

 

Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres

Confucius

Le Saviez-Vous ► Que font les hôtels avec les savons et shampoings inutilisés ?


 

Changer le monde peut être aussi simple que des savonnettes et des petits tubes de shampoing qui ont été utilisé dans les hôtels pour donner une meilleure hygiène dans les endroits les plus pauvres de la Terre.
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Que font les hôtels avec les savons et shampoings inutilisés ?

Lorsque nous séjournons dans un hôtel, nous avons à notre service des barres de savon ainsi que des bouteilles de shampoings miniatures. En général, lorsqu’on utilise ces produits, on vide rarement les bouteilles et on ne termine pas la barre de savon non plus. Peut-être avez-vous pensé que les grands hôtels mettaient cela à la poubelle… Mais non !

« Clean the World » est un organisme qui aide à changer le monde en améliorant les conditions d’hygiène des humains à travers le monde. Grâce à un programme novateur de recyclage des savons d’hôtels, « Clean the World » empêche la propagation de maladies dans les pays défavorisés grâce au lavage des mains.

Le savon inutilisé des hôtels est envoyé dans une usine de traitement où ils sont stérilisés, puis transformés. Finalement, le savon est envoyé dans les régions les plus pauvres du monde.

Un beau geste qui aide des milliers de personnes !

https://www.lesmaisons.co

Découverte de deux fossiles de mammifères volants vieux de 160 millions d’années


Des ancêtres des écureuils, peut-être ! Ces deux fossiles vivaient au temps des dinosaures, avec une nature complètement différente à aujourd’hui, heureusement, il était doté pour aller d’arbre en arbre sans être obligé de descendre sur le sol, un net avantage avec tout ce qui grouillaient de dinos en ce temps-là
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Découverte de deux fossiles de mammifères volants vieux de 160 millions d’années

 

Maiopatagium furculiferum

Reconstruction artistique de Maiopatagium furculiferum.

APRIL I. NEANDER/UCHICAGO

Par Joël Ignasse

Leurs restes ont été mis au jour en Chine et ils présentent une mosaïque inhabituelle de caractéristiques hautement spécialisées.

Maiopatagium furculiferum et Vilevolodon diplomylos sont mammifères ancestraux qui vivaient il y a 160 millions d’années, en pleine époque des dinosaures donc, du côté de la Chine actuelle, leurs restes ont été retrouvés dans la formation de Tiaojishan au nord-est de Pékin. Ils ressemblent tous les deux à deux gros écureuils dotés de membres allongés ainsi que de mains et de pieds équipés de doigts et d’orteils également fort longs, comme en atteste les deux publications dans la revue Nature qui font état de cette découverte. Mais leur caractéristique la plus étonnante est la présence d’une sorte de patagium, cette membrane équipant les animaux modernes qui ont adopté le vol plané comme les chauves-souris, l’écureuil volant ou certains lémuriens. Cela signifie que ces deux parents, très éloignés, des mammifères modernes dont la lignée (celle des haramiyidiens) est aujourd’hui disparue avaient adopté ce comportement de vol plané quelques 100 millions d’années avant que cette évolution n’apparaissent chez les mammifères actuels.

Un patagium pour voyager dans les arbres

Si aujourd’hui les écureuils volants se déplacent d’arbres en arbres pour se nourrir de fruits, de graines et même pour certains de fleurs, il y a 160 millions d’années la végétation était totalement différente. Maiopatagium et Vilevolodon vivaient dans des forêts en plein cœur du Jurassique, période où la vie végétale était dominée par des fougères et des arbres sans fleurs, des gymnosperme comme les cycas, les gingkos et les conifères. Ce n’est que des dizaines de millions d’années après que les angiospermes (plantes à fleurs) n’apparaissent et ne diversifient avec succès. Les paléontologues ont pu analyser la structure des dents de Vilevolodon et ont montré qu’elles étaient en forme de double mortier capable de broyer les tissus mous et les graines de ces végétaux. Ils s’étaient donc adaptés à ce milieu et leur patagium leur permettait de voyager d’arbre en arbre sans avoir à toucher le sol. A une époque où les dinosaures grouillaient, cela a du incontestablement constituer un avantage certain !

https://www.sciencesetavenir.fr/

Donald Trump : pétition de 60 000 signatures de « professionnels de la santé » le considérant inapte


Donner un diagnostique psychiatrique à Donald Trump sans avoir été évalué personnellement par les signataires est peut-être interdit, sauf que même en temps profane en psychiatrie, il semble car, que ce président à un sérieux problème de santé mentale
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Donald Trump : pétition de 60 000 signatures de « professionnels de la santé » le considérant inapte

 

Un groupe fondé par John Gartner, professeur de psychiatrie à l’Université Johns Hopkins, appelé « Duty to Warn » Devoir d’avertir »), a recueilli plus de 60 000 signatures dans une pétition sur Change.orgdemandant que le président américain Donald Trump soit démis de sa fonction en raison de « maladie mentale grave » le rendant psychologiquement inapte.

Selon Gartner, rapporte The Washington Diplomat, Trump souffrirait de narcissisme qui, selon sa définition, serait caractérisé par le trouble de personnalité narcissique, la paranoïa, le trouble de personnalité antisociale et le sadisme.

En février 2017, dans une lettre au New York Times, le psychiatre Allen Frances, qui a dirigé la 4e édition du DSM, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l’American Psychiatric Association (APA), expliquait que la plupart des « diagnosticiens amateurs » identifient à tort un trouble de la personnalité narcissique chez le président. Le narcissisme, dont il « ne manque pas de faire preuve », est à distinguer du trouble de la personnalité narcissique.

En août 2016, en réponse, à la prolifération d’avis diagnostiques circulant dans les médias, la présidente de l’APA, Maria A. Oquendo, a rappelé à ses membres la « règle Goldwater » qui leur interdit d’émettre des opinions diagnostiques sur des personnalités publiques qu’ils n’ont pas évaluées personnellement.

http://www.psychomedia.qc.ca

Des éléphants pleurent leurs morts : des images saisissantes


On sait que certains animaux semble vivre un deuil quand un proche décède, comme les chimpanzés, les dauphins. Une spécialiste des pachydermes a vu la même scène lors de la mort d’une matriarche. Ce qui n’est pas anodin, c’est que trois groupes qui ont défilé devant son corps n’appartenaient liés au clan de la matriarche. On n’ose pas dire que c’est une réaction emphatique pour éviter l’anthropomorphisme, alors pourquoi ce comportement ?
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Des éléphants pleurent leurs morts : des images saisissantes

 

Des éléphants viennent sentir et toucher le corps d’une matriarche, morte, de cause naturelle, quelques semaines plus tôt. © National Geographic

 Les éléphants vivent en communauté et ont développé des comportements qui parfois nous interrogent. Ainsi, en septembre 2016, nous avions découvert des images rares prises par une caméra : des éléphants défilant devant le cadavre d’une femelle.

D’après la zoologiste qui a filmé la scène, ce comportement n’est pas habituel et elle ne pouvait pas en donner d’explication précise.

Article de Jean-Luc Goudet paru le 3 septembre 2016

Ils s’approchent du reste du corps qu’ont laissé les charognards et l’explorent de leur trompe, voire de leurs pattes. Un troupeau d’éléphants défile ainsi, chacun s’arrêtant quelques secondes, ou plus. Le cadavre est celui d’une éléphante de 45 ans, une matriarche de la réserve nationale de Samburu, au nord du Kenya, morte deux ou trois semaines plus tôt (en 2013). Shifra Goldenberg, doctorante à la Colorado State University, spécialiste des pachydermes, avait suivi cette femelle, surnommée la reine Victoria.

Retournée sur les lieux, la jeune chercheuse a eu la chance de filmer ces images très rares, montrant trois groupes distincts d’éléphants venir autour de la reine Victoria. Dans le commentaire de la vidéo, publiée par National Geographic, elle explique que l’attitude et le comportement des animaux qui s’attardent près du corps ne sont pas du tout habituels.

Des éléphants en deuil ? En fait, on l’ignore

« Les animaux ont l’air stressé » commente Shifra Goldenberg. Comment interpréter cette scène ? Bien sûr, on pense à une sorte de deuil ou au moins à de la tristesse, mais il y a de l’anthropomorphisme dans cette analyse. La scientifique s’en garde bien, rappelant que l’on ne sait pas ce que les animaux ont dans la tête durant ce moment. Le fait que les trois groupes n’étaient pas liés à celui de la matriarche pose question.

Mais les pachydermes sont connus pour former des groupes très soudés, avec de nombreuses interactions sociales. D’autres mammifères, chimpanzés et dauphins notamment, manifestent de l’empathie pour leurs proches. Jane Goodall, dans les années 1960, fut la première à observer précisément de l’entraide entre des chimpanzés, des animaux valides venant apporter de la nourriture à des malades (la tribu avait subi une épidémie de poliomyélite). Mais leur comportement face à la mort reste mystérieux.

http://www.futura-sciences.com

Cancer : quand de « vieux » médicaments deviennent un traitement d’avenir


Le cancer, une maladie qu’on est pas prêt à trouver le traitement pour qu’il disparaisse à tout jamais, il a trop de visages à combattre. En attendant, les chercheurs cherchent des nouveaux traitements pour les enfants que la chimiothérapie et la radiothérapie n’ont pas fait effet. Sans être certain de la réussite proche, ils croient qu’une thérapie ciblée, des médicaments mieux ajusté sont encourageante
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Cancer : quand de « vieux » médicaments deviennent un traitement d’avenir

 

Des cellules cancéreuses

Des cellules cancéreuses Photo : iStock

 

Alors que la chimiothérapie et la radiothérapie permettent de guérir la majorité des cancers pédiatriques, bien peu d’options existent pour traiter ceux pour qui ces thérapies ont échoué. Au Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine, à Montréal, chercheurs et médecins travaillent sans relâche pour que leurs patients puissent bénéficier de nouvelles méthodes à la fine pointe de la technologie. L’une d’elles est très prometteuse et commence à porter fruit.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné, Les années lumières

À première vue, Laurent est un garçon de 12 ans comme les autres. Rien dans son énergie ne laisse présager qu’il est un survivant. Pourtant, il se bat depuis trois ans contre un cancer du foie très agressif, un cancer qui n’a commencé à régresser qu’après l’application d’une nouvelle forme de thérapie ciblée.

« Laurent nous a toujours dit qu’il espérait que les médecins inventent une pilule pour le guérir, explique sa mère, Hélène Tessier. On n’est pas exactement rendu là, mais c’est très proche et ça a beaucoup aidé. »

Laurent, 12 ans, et sa mère, Hélène Tessier

Laurent, 12 ans, et sa mère, Hélène Tessier Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné?

Bien qu’essentielles aux taux de survie actuels des patients, il arrive que la chimiothérapie et la radiothérapie ne viennent pas à bout de certains cancers. De plus, ces méthodes ne sont pas sans séquelles et peuvent entraîner des effets toxiques non négligeables. Depuis quelques années, les médecins tentent donc de mettre en place des traitements beaucoup plus précis et beaucoup moins pénibles que les thérapies conventionnelles.

Selon le Dr Michel Duval, médecin-pédiatre et chef du département d’hémato-oncologie de l’hôpital Sainte-Justine, ce sont surtout les enfants qui ont le plus à gagner de ces nouvelles méthodes.

Présentement, les patients pédiatriques chez qui la chimiothérapie et la radiothérapie n’ont pas fonctionné sont souvent atteints de cancers pour lesquels il est impossible de développer de nouveaux médicaments dans de grandes études pharmacologiques. Ces patients, trop peu nombreux, ne représentent qu’une petite fraction de l’ensemble des malades atteints du cancer. Par conséquent, beaucoup de médicaments sont d’abord développés pour les adultes.

Pour corriger la situation, la communauté médicale se tourne vers deux nouvelles voies très prometteuses. La plus connue reste l’immunothérapie et utilise les cellules du système immunitaire pour combattre directement le cancer.

Toutefois, une autre méthode suscite beaucoup d’intérêt. Il s’agit de l’oncogénomique, aussi appelée thérapie ciblée. L’objectif de cette technique est de trouver une faille dans le code génétique des cellules cancéreuses et de l’exploiter.

Depuis deux ans, plusieurs familles dont les enfants ne répondent pas aux traitements traditionnels ont été approchées par l’équipe du Centre de cancérologie Charles-Bruneau de l’hôpital Sainte-Justine.

La méthode étant encore expérimentale, les chances qu’elle guérisse ces malades restent faibles.

« Nous sommes au début d’une nouvelle sorte de traitement, explique le Dr Duval. La chimiothérapie a mis plusieurs décennies de perfectionnement pour arriver au taux de réussite actuel. Il faudra le même temps pour la thérapie ciblée, mais les résultats que nous avons obtenus sont très encourageants! »

Tout au long du processus, les médecins restent parfaitement transparents avec les familles en ce qui concerne les chances de réussite. Selon le docteur Henrique Bittencourt, médecin pédiatre impliqué dans ce projet, les proches acceptent de participer non seulement dans l’espoir d’une guérison, mais aussi à cause d’un grand esprit d’entraide entre les patients.

En plus de n’entraîner aucun risque – dans le cas de Laurent, ce dernier n’a eu qu’à se soumettre à une biopsie –, cette méthode fournit de l’information qui sera utile pour le traitement d’autres malades.

Le Dr Michel Duval, médecin-pédiatre au CHU Sainte-JustineLe Dr Michel Duval, médecin-pédiatre au CHU Sainte-Justine Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné?

Talon d’Achille d’une tumeur

Selon Daniel Sinnett, chercheur au Centre de cancérologie Charles-Bruneau de l’hôpital Sainte-Justine, préparer un traitement peut prendre entre neuf et dix semaines.

Des chercheurs vont d’abord analyser le code génétique des cellules cancéreuses afin de comprendre les rouages qui font progresser la maladie.

Des équipes de bio-informaticiens vont cartographier l’ADN tumoral et assembler une liste de mutations fonctionnelles. Ces dernières sont les mutations les plus importantes pour la progression du cancer. Il y en aurait entre cinq et dix par type de cellule cancéreuse.

Une fois les cibles établies, les scientifiques vont parcourir la littérature médicale à la recherche de quelque chose qui, à première vue, peut sembler étonnant : un médicament déjà existant et capable de s’attaquer à ces mutations.

Pour comprendre d’où provient un tel médicament, il faut savoir qu’il existe des millions de molécules thérapeutiques, chacune ayant la capacité de cibler un ou plusieurs mécanismes biologiques. Ces mécanismes peuvent être utiles à plusieurs cellules du corps, y compris les cellules cancéreuses.

Si, par exemple, un médicament a été développé pour bloquer des molécules importantes pour la progression de la maladie d’Alzheimer, et que les cellules cancéreuses d’un patient utilisent justement cette même molécule pour fonctionner, les chercheurs pensent qu’il serait possible d’utiliser ce médicament pour attaquer les cellules cancéreuses.

La version audio de ce reportage est disponible sur la page de l’émission Les années lumière sous le titre L’oncogénomique : Une nouvelle arme contre le cancer

Un parcours difficile

Bien que l’idée derrière la thérapie ciblée semble simple, fournir un tel médicament à un malade est un véritable parcours du combattant pour les médecins traitants.

Selon Daniel Sinnett, plusieurs embûches peuvent interrompre ce processus : il est d’abord possible qu’il n’y ait aucun médicament capable de cibler la mutation, soit parce que rien de tel n’a été découvert, soit parce que le médicament n’est plus fabriqué par la compagnie en possédant les droits, et donc, n’existe plus.

Si un tel médicament est disponible, il est aussi possible que sa posologie soit trop difficile à tolérer par un enfant, qui serait alors affecté par des effets secondaires dangereux. Le dernier problème d’accessibilité en est un de coût.

Étant donné que cette méthode est expérimentale et qu’aucun résultat n’est garanti, il arrive que les assurances publiques ou privées refusent d’en prendre la charge. Dans certains cas, les coûts de la médication peuvent atteindre les dizaines de milliers de dollars par mois, ce qui la rend inaccessible aux familles laissées dans cette situation.

Des résultats prometteurs

Une fois qu’un médicament sécuritaire est entre les mains des médecins, le patient fait face à plusieurs situations possibles.

« Dans certains cas difficiles à expliquer, il est possible que le médicament n’ait simplement aucun effet, explique le Dr Bittencourt. Il peut aussi avoir plusieurs résultats positifs. La tumeur peut se stabiliser, c’est-à- dire que le cancer arrête de progresser, mais sera toujours là. Il est aussi possible que l’on observe un recul temporaire de la maladie. Bien que les patients ne soient pas guéris, ce recul aide beaucoup à leur traitement et peut leur donner un moment de répit avant de reprendre des thérapies difficiles. »

Jusqu’à maintenant, sur les quelques dizaines d’enfants participant au projet, seuls deux ont bénéficié directement de la procédure, dont Laurent. Après deux transplantations d’organes, son cancer a produit des métastases dans ses poumons et ne répondait plus à la chimiothérapie.

Dès lors, sa famille s’est fait offrir la possibilité de lui faire suivre une thérapie ciblée expérimentale. Le médicament identifié a considérablement réduit la taille de ses tumeurs et permis de ralentir la progression de son cancer. Laurent est présentement suivi en radiothérapie pour les dernières phases de son traitement.

« J’ai pu retrouver ma vie d’enfant, nous a-t-il confié. J’ai pu retourner à l’école, voir mes amis et retrouver mon énergie. »

Le début d’une nouvelle ère

Même si le taux de réussite actuel est faible, la méthode n’en est pas moins prometteuse. Plusieurs hôpitaux à travers le Canada, dont l’Hôpital de Montréal pour enfants, l’Hôpital SickKids à Toronto et plusieurs centres à travers la Colombie-Britannique, travaillent sur différents projets pour combiner leurs ressources et perfectionner la thérapie ciblée.

Pour simplifier les tâches des équipes traitantes, ces derniers bâtissent actuellement une banque de données pour savoir quel médicament a été essayé pour quelle mutation et quel a été son effet.

L’hôpital Sainte-Justine a justement reçu, au mois de mai dernier, un don de 22 millions de dollars de la Fondation Charles-Bruneau, dont une partie de ce montant ira au développement des thérapies ciblées.

Selon Daniel Sinnett, « la thérapie ciblée va sûrement prendre son envol quand on va commencer à la jumeler avec des thérapies courantes ou avec l’immunothérapie, ce qui n’est pas fait en ce moment à cause des incertitudes entourant ces combinaisons ».

Dans un projet, les chercheurs voudraient que l’on séquence le génome des tumeurs de tous les enfants malades dès l’apparition du cancer, pour immédiatement préparer un plan B si la chimiothérapie ne fonctionne pas.

On ne trouvera pas de sitôt LE remède contre le cancer. Il s’agit d’un groupe de maladies extrêmement variées, et chaque tumeur est unique à un patient. L’essor de l’immunothérapie et de l’oncogénomique, combinées avec l’expertise des traitements actuels développée après des décennies d’efforts, permet d’espérer un jour guérir ces maladies avec des traitements sur mesure, un patient à la fois.

http://ici.radio-canada.ca/