Vivre


La plupart des gens espèrent de vivre longtemps, pourtant, il est aussi important de se donner une qualité de vie
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“Nous cherchons plus à durer que nous n’essayons de vivre.”

Andy Warhol

Un homme s’entaille le bras lors d’une plongée pour démonter les clichés sur les requins


Pour prouver que l’idée que le requin réagit à une simple goutte de sang est fausse, un homme se coupe un poignet au milieu des requins. Les septiques demandent d’essayer sur des requins tigres et taureaux, il est prêt a le faire s’il a des fonds pour voyager vers ces requins, c’est bien beau, mais il serait quand même important d’avoir un minimum de sécurité au cas …
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Un homme s’entaille le bras lors d’une plongée pour démonter les clichés sur les requins

 

Un requin est capable de détecter une goutte de sang dans une zone aussi grande qu’une piscine olympique.

C’est pour démonter ce genre de clichés sur « le seigneur des océans » que Skyler Thomas a décidé de s’entailler le poignet lors d’une plongée. Au beau milieu des requins, encerclé, il se munit de son couteau et se fait deux grosses coupures. Le sang a beau sortir des plaies, les requins ne semblent pas pour autant perturbés ni attirés.

Faire de même avec les requins blancs

« Cette vidéo démontre bien que toutes les choses stupides autour des requins sont infondées, et comme je sais que toutes ces légendes sont fausses je l’ai démontré aux gens à travers la vidéo », explique avec conviction cet amoureux des squales.

Cependant sa tentative ne semble pas convaincre les internautes qui ont visionné sa vidéo, beaucoup de commentaires lui demandent de faire de même face à des requins blancs, tigres ou taureaux. En réponse, Skyler invite les sceptiques à lever les fonds nécessaires pour l’aider à réaliser le voyage qui devrait lui permettre de démontrer, une fois de plus, que sa théorie est la bonne.

http://www.ladepeche.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les oignons font-ils pleurer ?


Si vous êtes comme moi, couper un oignon ça peut aller, mais plusieurs, qu’on apporte les mouchoirs. L’oignon se protège-t-il contre nous et la lame de couteau ?
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Pourquoi les oignons font-ils pleurer ?

 

Lorsque l'on épluche un oignon, le couteau déchire les cellules : ces molécules entrent alors en contact avec des enzymes de l'oignon appelées "alliinases".

Lorsque l’on épluche un oignon, le couteau déchire les cellules : ces molécules entrent alors en contact avec des enzymes de l’oignon appelées « alliinases ».

© MANUEL SULZER / CULTURA CREATIVE / AFP

Par Lise Loumé

A chaque fois que vous épluchez un oignon, c’est plus fort que vous, vous vous mettez à pleurer. Pour quelle raison ? La réponse se situe dans les cellules du condiment.

QUESTION. Vous n’êtes pas hypersensible, et pourtant, il vous est impossible d’émincer des oignons sans subir rougissement des yeux et larmes. Pourquoi l’oignon provoque t-il cette réaction inattendue ?

L‘Ecole polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse (EPFL) a posé cette même question au grand public sur son site web : la majorité des participants (60 %) ont considéré la réponse « parce qu’ils diffusent de la capsaïcine » correcte, 39 % ont répondu « parce qu’ils contiennent un précurseur de l’acide sulfurique », et 1 % seulement ont choisi « parce qu’ils stimulent l’hormone de la tristesse ». Et la bonne réponse était… « parce qu’ils contiennent un précurseur de l’acide sulfurique ».

Le coupable : un gaz irritant et volatil

SOUFRE. En effet, les oignons ont la particularité de capter le soufre contenu dans le sol et de le stocker à l’intérieur des cellules, sous la forme d’une molécule appelée « 1-propényl-L-cysteine sulfoxyde ». Or lorsque l’on épluche un oignon, le couteau déchire les cellules : ces molécules entrent alors en contact avec des enzymes de l’oignon appelées « alliinases ». Une réaction chimique se déclenche alors, aboutissant à la synthèse d’acide sulfénique, lui-même transformé (par l’action d’une enzyme) en oxyde de propanethial, un gaz irritant et volatil. C’est ce gaz qui se dégage de l’oignon et atteint les yeux. Au contact du liquide lacrymal, il se transforme en acide sulfurique. Et l’effet de l’acide sulfurique ne se fait pas attendre : rougissement des yeux et pleurs.

Alors, comment faire pour éplucher un oignon sans subir ces effets ?

« Couper l’oignon sous un filet d’eau ou encore faire pousser ses oignons dans un sol enrichi en potassium de façon à ce que la plante absorbe moins de soufre »,

conseille l’EPFL.

https://www.sciencesetavenir.fr/

"Les gens sur internet ne sont pas toujours ceux qu’ils prétendent être"


Malheureusement, le chantage est fréquent sur Internet et ce n’est pas juste en Europe que ce problème existe. Les jeunes sont particulièrement ciblés, mais cela arrive aussi sur d’autres groupes d’âge. La meilleure manière d’éviter le sextorsion est de ne pas se dévêtir a la demande d’une personne qu’on ne connait probablement pas sauf via Internet, et même avec des personnes que l’on connait. Mais si cela arrive faites une plainte, même si la situation est très humiliante
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« Les gens sur internet ne sont pas toujours ceux qu’ils prétendent être »

 

 

L’agence de police criminelle Europol a lancé une campagne de sensibilisation contre le chantage en ligne à caractère sexuel des jeunes. Le SPF Justice soutient cette action, baptisée « Say no! », annonce-t-il mardi.

Ce type d’extorsion à caractère sexuel, ou « sextorsion », voit le maître-chanteur réclamer de l’argent à la victime sous la menace de diffusion de photos intimes. De plus en plus de jeunes font les frais de cette pratique, révèle une enquête internationale des services de police.

La campagne d’Europol vise à avertir les jeunes des dangers propres à ce type de chantage. Elle souhaite également proposer de l’aide aux victimes.

En Belgique, le SPF Justice s’associe à cette action et appelle à « briser le silence » dans lequel s’enferment souvent les victimes. Le service public rappelle ainsi que des collaborations avec plusieurs organisations, comme Child Focus, ont été mises sur pied dans ce cadre.

Sur YouTube, la police a diffusé plusieurs cas réels de « sextorsion ».

« Toute ta vie est en ligne. Protège-la. Les gens sur internet ne sont pas toujours ceux qu’ils prétendent être. Assure-toi de garder le contrôle. Ne vous exposez pas », conseille-t-elle.

En cas d’extorsion, les autorités conseillent aux victimes de rompre la communication et de conserver les messages et captures d’écran afin d’aider la police à appréhender les auteurs.

http://www.7sur7.be

100 millions de trous noirs près de chez vous!


Il y a les trous noirs supermassifs qui leur création demeure encore un mystère et les trous noirs stellaires que les scientifiques commencent à comprendre de plus en plus, lors  de l’effondrement d’étoiles qui explosent en supernova. Ils ont pu estimer comment il pourrait y avoir de ces trous noirs
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100 millions de trous noirs près de chez vous!

 

Représentation artistique d'un trou noir

Représentation artistique d’un trou noir   Photo : ESO

Notre voisinage galactique contiendrait des dizaines de millions de trous noirs stellaires, montre un recensement cosmique réalisé par des astrophysiciens américains.

Un texte d’Alain Labelle

Les trous noirs stellaires se forment lors de l’effondrement gravitationnel d’étoiles massives qui explosent en supernovae. Ils sont différents des trous noirs supermassifs qui, eux, se forment au cœur de certaines galaxies, comme notre Voie lactée, dont le mode de création reste mystérieux.

Le chercheur James Bullock et ses collègues de l’Université de la Californie à Irvine ont ainsi dressé l’inventaire des trous noirs stellaires pour s’apercevoir qu’ils étaient beaucoup plus nombreux que ce que l’on estimait à ce jour.

Nous pensons qu’il pourrait y avoir pas moins de 100 millions de trous noirs uniquement dans notre galaxie.James Bullock

M. Bullock et son équipe ont commencé leur recensement il y a un an et demi, après l’annonce, par des collègues, de la détection d’ondes gravitationnelles nées pendant la dernière fraction de seconde avant la fusion de deux trous noirs.

« Fondamentalement, la détection de ces ondes fut une énorme percée; elle confirmait une prédiction majeure de la théorie de la relativité générale d’Albert Einstein », explique M. Bullock.

Lorsque nous regardons le phénomène astrophysique derrière ces résultats, c’est fascinant : la fusion de deux trous noirs représentant chacun 30 fois la masse du Soleil. James Bullock

Les scientifiques se sont alors demandé si des trous noirs de cette grosseur étaient communs et si leur fusion était un phénomène rare.

Représentation artistique montrant la fusion de deux trous noirs produisant des ondes gravitationnelles.

Représentation artistique montrant la fusion de deux trous noirs produisant des ondes gravitationnelles.   Photo : LIGO

L’équipe californienne s’est donc penchée sur leur nombre à partir des données recueillies lors de la détection d’ondes gravitationnelles.

En se basant sur ce que l’on sait de la formation d’étoiles dans les galaxies de différents types, on peut déduire quand et combien de trous noirs se sont formés dans chaque galaxie. Oliver Elbert

« Les grandes galaxies abritent des étoiles plus anciennes, et elles hébergent aussi des trous noirs plus anciens », explique Oliver Elbert

Ainsi, les scientifiques estiment que le nombre de trous noirs d’une masse donnée dans une galaxie dépend de sa taille.

La raison est simple. C’est que ces grandes galaxies contiennent de nombreuses étoiles riches en métaux, et que les plus petites galaxies sont dominées par de grandes étoiles possédant moins de métaux.

Les étoiles qui contiennent beaucoup d’éléments plus lourds, comme notre Soleil, les brûlent au cours de leur existence.

Ainsi, quand arrive la dernière étape de leur vie, l’explosion en supernova, il y a moins de matière, ce qui entraîne un trou noir de masse inférieure.

De leur côté, les grandes étoiles avec une faible teneur en métaux ne perdent pas autant de leur masse durant leur vie, alors, lorsque l’une d’entre elles meurt, la quasi-totalité de sa masse se retrouve dans le trou noir.

Nous avons une très bonne compréhension de l’ensemble des populations d’étoiles dans l’Univers et de leur masse lorsqu’elles naissent, de sorte que nous pouvons estimer combien de trous noirs peuvent s’être formés avec 100 masses solaires ou 10 masses solaires par exemple. James Bullock

C’est ainsi que l’équipe de recherche a pu établir le nombre approximatif de trous noirs dans la Voie lactée.

Elle a aussi été en mesure d’estimer le pourcentage de fusion du type des trous noirs observés lors de la détection d’ondes gravitationnelles. Entre 0,1 % et 1 % des trous noirs doivent fusionner pour permettre l’observation de ce type d’ondes.

Le détail de ces travaux est publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

http://ici.radio-canada.ca

D’un régime à l’autre


Les régimes miracles se vendent mieux, mais n’ont pas l’effet escompter, du moins à long terme. Il est vrai que certains aliments ont inutiles et l’abus ne fait qu’emmagasiner la graisse. Cependant, préférer des aliments et soustraire d’autres ne sont guère mieux. Il n’y a donc pas de miracle, l’exercice et une bonne alimentation (même avec des petits plaisirs aux papilles de temps à autre) sont les seuls moyens pour arriver à perdre du poids. Il y a quand même de l’aide pour ceux en difficultés, un peu comme les AA, les OA (Outremangeurs Anonymes) pourrait des outils précieux
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D’un régime à l’autre

 

STOCKVISUAL VIA GETTY IMAGES

Accuser tel aliment ou tel autre d’être responsable de l’obésité ou encore faire croire qu’il existe des diètes miracles relève de l’illusionnisme.

Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour perdre quelques kilos ? Des diètes de toutes sortes apparaissent et disparaissent pour être remplacées par d’autres, souvent, encore plus farfelues que les précédentes… En 2000, j’ai eu le plaisir de collaborer à l’écriture d’un livre qui s’intitulait : Question de maigrir. Ce qu’il faut savoir pour contrôler son poids avec le Dr Dominique Garrel. Le Dr Garrel, un médecin et endocrinologue, a suivi une formation en recherche sur la nutrition à l’Université Berkeley en Californie et est professeur titulaire et directeur du Département de nutrition de la Faculté de médecine à l’Université de Montréal. Il ne s’agissait donc pas d’un livre qui donnait des recettes miracles, mais qui renseignait objectivement sur les routes à suivre si on voulait contrôler son poids. J’avais pensé que le livre, compte tenu de la crédibilité à toute épreuve de son auteur et des besoins de la population, se vendrait à plusieurs milliers, voire à des dizaines de milliers d’exemplaires. Tel ne fut malheureusement pas le cas. Il semble que dans ce domaine, il aurait fallu une recette miracle, une pilule quelconque ou une approche sensationnaliste pour attirer l’immense population de ceux qui désirent perdre quelques kilos.

D’ailleurs, il n’est pas étonnant que bien souvent, les succès de librairie relèvent d’au moins une des trois approches ci-haut citées. Mais il faut bien comprendre ici que le succès en est un financier pour celui qui sort la nouvelle méthode et non un succès en matière de perte de poids à long terme pour celui qui y adhère. La liste des diètes qui ont connu leurs heures de gloire et qui ressuscitent à l’occasion est longue : le régime Atkins, le régime de Berverly Hill, le régime hollywoodien, le régime basé sur les groupes sanguins, l’alimentation macrobiotique, l’alimentation vivante, le régime de Montignac, et je pourrais en ajouter d’autres.

« Par-delà le risque pour la santé plus ou moins important qu’apportent ces techniques, elles présentent un autre inconvénient majeur : Pendant que les personnes s’y adonnent, elles n’apprennent rien ou pire des faussetés en ce qui concerne la perte et le maintien du poids. Quand on tente de vous faire avaler qu’il existe de bons ou de mauvais glucides, on vous berne », mentionne le Dr Garrel dans son ouvrage..

D’autres diètes miracles supposément appuyées par des dictats scientifiques continueront d’alimenter nos fantasmes. Une des dernières en lice est celle de boire beaucoup plus d’eau que nécessaire. Ainsi, Heidi Powell, une étoile montante dans le domaine de la perte de poids et de l’entraînement suggère de boire, tenez-vous bien, 5 litres d’eau par jour, ce qui augmenterait le métabolisme de 30% et entraînerait une perte de poids. Peut-on parler ici de pseudoscience ? Sur le site de l’agence Science Presse, on relate un discours opposé d’une docteure écossaise :

« Selon Margaret McCartney, boire beaucoup d’eau peut perturber le sommeil et causer des dommages aux reins, entraînant une incontinence urinaire, surtout chez la femme. Une consommation excessive d’eau pourrait aussi déclencher une « hyponatrémie », une affection pouvant mener à une hypertension intracrânienne potentiellement mortelle. Selon elle, aucune preuve scientifique n’appuie les recommandations émises depuis plusieurs années par les nutritionnistes qui incitent à consommer autant d’eau. »

Pour ma part en ce qui concerne ma santé et mon alimentation, je préfère me référer souvent à cette faculté que l’on nomme le gros bon sens ou encore à un médecin spécialiste. Depuis l’aube de l’humanité, s’il y avait existé un truc miracle pour perdre du poids, cela se serait su ! Accuser tel aliment ou tel autre d’être responsable de l’obésité ou encore faire croire qu’il existe des diètes miracles relève de l’illusionnisme. La physiologie humaine est faite en sorte que lorsqu’on ingère plus d’énergie qu’on en a besoin, celle-ci sera mise en réserve sous forme de graisse pour pallier à l’éventualité d’une famine, phénomène qui se répétait très souvent anciennement. En effet pendant des centaines de milliers d’années, des périodes de famine se faisaient fréquemment sentir et décimaient des populations entières. Qu’elles soient dues à de mauvaises conditions météorologiques (eh oui, même lorsqu’il n’y avait pas d’automobiles et de pollution chimique, la météo pouvait connaître des écarts catastrophiques pour la cueillette des fruits et légumes), à des chasses infructueuses ou encore à des guerres, souvent les famines frappaient. Ceux qui avaient une bonne réserve de graisse survivaient, les autres non. C’est pourquoi, pendant longtemps, afficher un certain embonpoint était à la mode, c’était non seulement un signe d’opulence, mais aussi un espoir de survie en cas de disette.

Peu d’exercices et beaucoup de nourriture, voilà la diète parfaite pour l’obésité.

    Dans les pays industrialisés, les famines ont disparu et au lieu de travailler la terre, semer et récolter ses légumes ou au lieu d’avoir à courir de longues heures en forêt à la recherche de gibier, le seul exercice que l’on a à faire est de se rendre au supermarché du coin et marcher entre les allées pour aller chercher notre pitance. Peu d’exercices et beaucoup de nourriture, voilà la diète parfaite pour l’obésité.

    Et le retour au poids santé n’est pas une mince affaire. Des habitudes ont été prises sinon ancrées, des émotions ont été impliquées, des réflexes ont été acquis et ainsi reprendre le contrôle de son poids devient pour plusieurs un pénible travail au quotidien. Il faut s’astreindre à accepter d’y aller un jour à la fois tout comme pour toute autre dépendance. Mais dans ces autres dépendances, il est possible d’éliminer totalement l’agent en cause, que ce soit la cigarette, l’alcool ou les autres drogues. Ce n’est pas facile, mais c’est possible. Dans le cas où l’agent addictif est la nourriture, il est impossible d’y renoncer totalement. Le défi n’en est que plus difficile à relever. Tout comme il existe les AA (Alcooliques anonymes), il y a aussi les OA (Outremangeurs anonymes). On peut y trouver sur leur site web :

    « Chez OUTREMANGEURS ANONYMES, l’abstinence est l’action de s’abstenir de manger compulsivement. Nombreux d’entre nous ont constaté qu’ils ne pouvaient s’abstenir de manger compulsivement sans l’utilisation des (9) outils de rétablissement proposés par notre mode de vie.

    Ces neuf outils sont :

  • Le plan alimentaire

  • Le parrainage et le marrainage

  • Les réunions

  • Les appels téléphoniques

  • L’écriture

  • Les publications OA et AA

  • Le plan d’action

  • L’anonymat

  • Le service

Pour plus d’informations sur cet aspect de notre mode de vie, nous vous invitons à lire le dépliant « Outils de rétablissement » qui est disponible dans les réunions OA. »

(http://outremangeurs.org/) ou il est possible de les joindre au téléphone au : 514-490-1939 ou encore sans frais au 1-877-509-1939.

Nul n’est besoin de se rendre malade avec la panoplie de diètes proposées pour perdre du poids.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Du saumon transgénique vendu au Canada inquiète des écologistes


Je crois qu’il faut laisser le choix aux consommateurs de savoir ce qu’il mange en affichant clairement si les produits transformés génétiquement. On nous impose des produits sans que l’on sache vraiment ce qui est dans notre assiette, ce qui pourtant est un droit qu’on devrait reconnaître en tant que consommateurs
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Du saumon transgénique vendu au Canada inquiète des écologistes

 

« AquaBounty n'a pas révélé où ces filets de... (Archives La Presse)

« AquaBounty n’a pas révélé où ces filets de saumon OGM ont été vendus et nous sommes choqués de découvrir qu’ils sont arrivés actuellement sur le marché », a déploré Lucy Sharrat du Réseau canadien d’action sur les biotechnologies (RCAB).

 

Agence France-Presse
MONTRÉAL

Avec l’arrivée au Canada des premiers saumons génétiquement modifiés dans les assiettes des consommateurs, les écologistes ont dénoncé lundi l’absence d’un étiquetage obligatoire en demandant aux supermarchés de les retirer de la vente.

« Le premier animal génétiquement modifié arrive sur le marché et les consommateurs canadiens deviendront, à leur insu, les premiers cobayes », a souligné lundi Thibault Rehn de l’organisation Vigilance OGM.

Vendredi, la société américaine AquaBounty Technologies avait annoncé la vente « d’environ cinq tonnes de filets de saumon » transgénique sur le marché canadien, après avoir obtenu en mai le feu vert des autorités sanitaires.

Le ministère de la Santé et l’Agence canadienne des aliments (ACIA) avaient au printemps estimé que ce saumon « est aussi sain et nutritif pour les humains et le bétail que le saumon classique ».

« AquaBounty n’a pas révélé où ces filets de saumon OGM ont été vendus et nous sommes choqués de découvrir qu’ils sont arrivés actuellement sur le marché », a déploré Lucy Sharrat du Réseau canadien d’action sur les biotechnologies (RCAB).

Ces saumons transgéniques sont élevés au Panama et la société AquaBounty cherche à en produire directement depuis l’Île-du-Prince-Édouard, à l’est du Canada.

L’organisation environnementale Ecology Action Centre (EAC) avait fin juillet dénoncé l’accord donné par le gouvernement provincial à la construction d’une ferme aquacole alors que le ministère fédéral de la Santé n’avait pas donné son feu vert.

Le saumon transgénique conçu par la société américaine AquaBounty contient un gène d’hormone de croissance qui lui permet de grossir plus rapidement que les autres saumons.

Il peut atteindre sa taille adulte au bout de 16 à 18 mois, au lieu de 30 mois pour un saumon de l’Atlantique, dont il est issu et auquel a été greffé un gène de l’hormone de croissance du saumon quinnat du Pacifique (chinook).

Les organisations de consommateurs et écologistes tentent de persuader les grands distributeurs de refuser la commercialisation du saumon transgénique. Le géant américain de la distribution Cotsco avait indiqué fin 2016 qu’il ne proposerait pas ce produit dans ses supermarchés.

http://www.lapresse.ca

À 9 ans, il postule pour être «Gardien de la Galaxie», et la Nasa lui répond


Pour un enfant écrire à la NASA, cela doit être quelque chose de très important et plus quand la NASA prend le temps de répondre à un enfant de 9 ans. La NASA cherche des gens qui serait capable de protéger la terre, contre des contaminations de d’autres planètes et vise vers ça. Bref, comme les hommes en noirs des films de science-fiction avec Will Smith et Tommy Lee Jones
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À 9 ans, il postule pour être «Gardien de la Galaxie», et la Nasa lui répond

 

Peut-être que Jack deviendra vraiment un «Gardien de la Galaxie» d’ici une dizaine d’années… (illustration)./ Pexels

Jack, un petit garçon de neuf ans, passionné par l’univers et les extra-terrestres,  a décidé de postuler à une offre d’emploi de la Nasa, qui chercherait un «Gardien de la Galaxie» pour protéger la Terre. Touchée par la lettre de Jack, la Nasa lui a répondu…

Il y en a qui rêvent d’être soldats, astronautes, archéologues ou chasseurs de monstres, mais peu de petits garçons font tout pour aller au bout de leur rêve. Toutefois, ce n’est pas le cas de Jack, neuf ans, qui a décidé de postuler à une offre d’emploi de la Nasa. Le petit garçon en classe de CM1 a vu cette offre qui, selon lui, correspondait parfaitement à ses compétences : la Nasa cherche quelqu’un afin de protéger la Terre d’une possible contamination extraterrestre. Et ça tombe bien, Jack serait un «Gardien de la Galaxie». En effet, même s’il n’a que neuf ans, il a des arguments en poche : il connaît tous les films d’aliens et c’est un pro des jeux vidéo.

La NASA accepte sa candidature… à une condition

Inutile de préciser que cette candidature a dû surprendre la Nasa. Mais la réponse de l’agence ne s’est pas fait attendre pour autant. En effet, le directeur du Département des Sciences Planétaires lui a répondu en personne.

Voici sa réponse :

«Cher Jack,

J’ai entendu que tu étais un « Gardien de la Galaxie » et que tu souhaitais devenir un officier de protection planétaire. C’est génial ! Notre poste d’officier de protection planétaire est vraiment cool et constitue un travail très important. Il s’agit de protéger la Terre des minuscules microbes quand nous ramenons des échantillons de la Lune, des astéroïdes ou de Mars. Il s’agit également de protéger les autres planètes et lunes de nos germes pour explorer le système solaire de manière responsable.

Nous sommes toujours à la recherche de futurs brillants scientifiques et ingénieurs pour nous aider, donc j’espère que tu vas beaucoup étudier et être bon à l’école. Nous espérons te voir ici, à la Nasa, un de ces jours !

Cordialement,

James L. Green, directeur du Département des Sciences Planétaires»

Si Jack travaille bien à l’école il pourrait donc devenir un véritable «Gardien de la Galaxie» d’ici quelques années. En tout cas, la recommandation de la Nasa a dû enchanter les parents de Jack.

http://www.ladepeche.fr/