La nuit doit être dédié au repos et non à nos tourments, ce qui n’est certes pas évident, mais possible
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Allumez vos rêves
Quand vient la nuit, éteignez vos soucis et allumez vos rêves
Auteur ?
La nuit doit être dédié au repos et non à nos tourments, ce qui n’est certes pas évident, mais possible
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De belles créatures qu’on ne peut voir qu’en explorant les fonds marins. Grâce à des petits robots de belles photos ont été prises dans les fonds marins à Hawaï
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NOAA Office of Ocean Exploration and Research (2017) – Laulima O Ka Moana
Repéré par Robin Panfili
Repéré sur Gizmodo
Vous vous souvenez de la petite pieuvre Casper, de Dumbo, ou encore de la petite méduse découverte dans la fosse des Mariannes? Eh bien ce n’est pas terminé: les chercheurs et scientifiques de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) embarqués à bord du navire d’exploration océanographique Okeanos Explorer ont eu l’occasion de visiter une zone très peu explorée, à 1.500 kilomètres à l’ouest de Hawaï.
Les petits robots envoyés pour scruter les fonds marins ont ainsi ramené de nombreuses images et ont permis de mieux documenter la vie sauvage de cette région océanique où l’on retrouve ainsi de nombreuses espèces inconnues (ou peu) de l’humain:
des araignées de mer géantes, du corail transparent comme du verre et des «créatures étranges que l’on avait pas eu l’occasion de voir depuis un moment», écrit Gizmodo.
Voici un aperçu de leurs récentes découvertes:
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
NOAA Office of Ocean Exploration and Research, 2017 Laulima O Ka Moana
Souvent, on apporte un savon ou un petit truc de la salle de bain, mais des draps, les télécommandes, pouvant aller jusqu’à un ordinateur démontre qu’on fait le vol, ne semble pas être pris au sérieux quand on voyage. Que le vol soit insignifiant ou important, un vol, c’est un vol.
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Vous seriez surpris des choses que les gens peuvent piquer dans les hôtels. Si certains s’en tiennent à une petite bouteille de shampoing, d’autres partent carrément avec la couette.
Plus de 58% des voyageurs canadiens admettent avoir volé un objet dans un hôtel au moins une fois, selon un récent sondage réalisé par le comparateur de vols et d’hôtels Jetcost.
Et ils partent vraiment avec n’importe quoi. Ça part des piles dans la télécommande, à la télécommande elle-même qui ne fonctionne que pour cet unique modèle de télé. Ampoules électriques, Bible, oeuvres d’art, serviettes, sèche-cheveux, miroir, vaisselle, nourriture au buffet déjeuner… Oreillers, et couette sont parfois remplacés par d’autres de moindre qualité. Des clients se servent même dans les chariots de femme de chambre.
MARTIN BARRAUD
Les salles de conférence auraient la cote auprès des cleptos! Ordinateurs, imprimantes, papeterie disparaissent fréquemment.
Le minibar attire aussi leur attention. Certains vont même à remplacer le contenu des bouteilles d’alcool par de l’eau quand il s’agit de vodka ou de thé pour le whiskey ou le rhum.
Et comme le note Jetcost, «le plus curieux, c’est que (NDLR: certains) cleptomanes n’ont aucune conscience qu’il s’agit de vol. Eux, ils se perçoivent comme de simples collectionneurs de souvenirs».
Top 10 des objets les plus volés dans les hôtels par les Canadiens:
Alors que la maladie de Lyme était presque qu’inexistante au Québec, on entend de plus en plus parler des risques d’être piqué par des tiques. Alors qu’est-ce que peut faire les renards et les martres pour diminuer les risques ? Une nouvelle génération de tique, s’accroche aux souris ou autres petits animaux, les prédateurs mangent les petits animaux … Voilà l’importance d’éviter la baisse des populations de renards et de martres
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Un renard roux Photo : iStock
La présence de prédateurs comme le renard ou la martre aide à combattre les infections véhiculées par les tiques, telles que la maladie de Lyme, affirment des scientifiques néerlandais. Pourquoi? Parce qu’ils chassent les souris porteuses des infections sur lesquelles les tiques se fixent.
Explications.
Un texte d’Alain Labelle
C’est au mois d’août qu’une nouvelle génération de larves de tiques Ixodes scapularis, également connue sous les noms de « tique du chevreuil » et de « tique à pattes noires », éclot et apparaît dans les forêts, les boisés et les herbes hautes d’Amérique du Nord. Dès lors, elles sont à la recherche de leurs premiers repas de sang.
Très souvent, dans les régions du continent où les maladies transmises par les tiques sont à la hausse, elles se nourrissent de souris à pattes blanches et de petits mammifères, faciles d’accès puisqu’ils se trouvent près du sol, reconnus pour transmettre des agents pathogènes aux humains comme la bactérie Borrelia burgdorferi, à l’origine de la maladie de Lyme.
De l’importance des prédateurs
Les travaux du chercheur Tim R. Hofmeester et de ses collègues de l’Université Wageningen montrent que la hausse des maladies liées à la tique serait liée à une baisse des prédateurs traditionnels des souris, dont la seule présence les rendait beaucoup plus craintives, mais aussi plus rares.
Moins de souris signifie que les tiques larvaires, qui ne sont toujours pas infectées, pourraient se nourrir à partir d’autres animaux qui ne sont pas porteurs de la bactérie. Une réalité qui permet de diminuer les risques de transmission chez les humains, puisque ceux-ci peuvent uniquement être infectés à partir de tiques qui ont précédemment été nourries par des hôtes infectés.
Encore mieux, les tiques ne pourraient pas trouver cet important premier repas dont elles ont besoin pour survivre et se reproduire. De ce fait, leur nombre diminuerait.
L’étude
Les auteurs de ces travaux publiés dans les Annales de la Royal Society ont vérifié leur théorie en étudiant 20 parcelles forestières d’un hectare aux Pays-Bas présentant des densités de prédateurs différentes. Ils voulaient ainsi mesurer la présence de prédateurs comme les renards et les martres.
Certains de ces terrains étaient des aires protégées, d’autres des espaces où la chasse au renard était permise.
Durant deux ans, les chercheurs ont également trappé des milliers de souris et compté le nombre de tiques qu’elles avaient. Ces tiques ont aussi été testées afin de savoir si elles étaient porteuses de la bactérie de la maladie de Lyme.
Leurs observations confirment leur théorie : plus le nombre de renards (Vulpes vulpes) et de martres (Martes foina) est important, plus le nombre de tiques infectées est faible.
De plus, les chercheurs ont été étonnés de constater que les souris présentes sur les terrains à forte prédation présentaient un nombre moins important de tiques.
La raison? Les rongeurs s’exposent moins au danger, ce qui réduit les possibilités de contamination avec les tiques.
Selon les chercheurs, les changements dans l’abondance des prédateurs ont donc des effets en cascade sur le risque de maladie transmise par les tiques.
On parler beaucoup de corriger un gène défectueux dans un embryon humain qui a eu un succès, notamment dans un gène responsable d’une maladie héréditaire du coeur. L’embryon n’a pas continué sa croissance. Et il semble que cela prenne une dizaine d’années avant de tester sur un embryon à naître, encore, ils ne savent pas l’interaction avec d’autres gènes. Il semble aussi qu’avoir un bébé sur-mesure, serait dès lors beaucoup plus compliqué et demeura, espérons-le, de la science-fiction, car corriger un gène est une chose, mais plusieurs gènes serait impossible, enfin jusqu’à maintenant
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PLUME CREATIVE
Et si on pouvait les choisir comme des poupées…
Si les résultats publiés la semaine dernière sur des embryons humains génétiquement modifiés sont bel et bien le signe d’une percée en génétique, sont-ils pour autant le signe avant-coureur de bébés conçus « sur mesure » ? On ne le saura pas avant au moins une décennie, et encore, on n’est même pas sûr d’avoir fait cette semaine un pas vers ce scénario inquiétant.
Comme l’ont souligné les journalistes spécialisés, trois éléments nouveaux distinguent cette recherche des précédentes : c’est une première aux États-Unis (la même expérience réussie, utilisant la technologie CRISPR, avait eu lieu trois fois en Chine, en 2015 et 2016) ; le nombre d’embryons modifiés dépasse la cinquantaine (contre moins d’une dizaine dans les expériences chinoises) ; et les chercheurs de l’Université des sciences et de la santé de l’Oregon ont limité le nombre d’erreurs transmises lorsque les cellules se divisent. Ce dernier point signifie qu’en théorie, il ne serait pas seulement possible de corriger chez l’embryon un gène responsable d’une maladie (ici, la cardiomyopathie hypertrophique), il serait surtout possible que cette correction s’étende sans faute à toutes les futures cellules du futur bébé.
C’est cette dernière nouveauté qui conduit à évoquer des bébés « sur mesure » — soit des bébés dont on aurait modifié des gènes à la demande des parents. Les embryons utilisés dans ces expériences étaient non viables : ils n’auraient pas pu se développer, même si telle avait été l’intention des chercheurs. Mais qu’arriverait-il si on répétait l’expérience sur de « vrais » embryons ?
Des erreurs génétiques. Tout d’abord, ce ne serait pas pour tout de suite, parce qu’on parle ici d’une diminution des erreurs génétiques transmises d’une cellule à l’autre, pas de leur élimination. Les chercheurs se vantent d’un taux de succès de 72 % sur leurs 54 embryons, ce qui reste largement insuffisant pour imaginer que cette expérience quitte les laboratoires à court terme. Le bioéthicien Hank Greely, dans le Scientific American, évalue une perspective « de 10 à 15 ans ».
Économiquement rentable ? Mais même si ça atteignait un taux de succès de plus de 95 %, il n’est pas sûr que cette technique en vaudrait la peine. Un couple peut d’ores et déjà sélectionner parmi plusieurs embryons celui qui n’est pas porteur d’un gène responsable d’une maladie spécifique ; ça s’appelle le diagnostic génétique préimplantatoire. Dès lors, pourquoi faire l’effort de corriger un gène défectueux ?
Pas un gène, mais plusieurs. Le plus gros obstacle est ailleurs : lorsqu’elle évoque des « bébés sur mesure », la science-fiction imagine des modifications génétiques qui les rendront plus forts, plus intelligents, de futurs coureurs de marathon… Or, au contraire de la maladie cardiaque dont il est question ici, qui résulte d’un seul gène défectueux, tous ces traits sont le résultat de l’interaction de centaines, peut-être même de milliers, de gènes. Et ces interactions demeurent largement mystérieuses pour les généticiens
La nouvelle a d’abord été annoncée le 26 juillet dans un reportage du magazine du Massachusetts Institute of Technology, Technology Review. La recherche est parue le 2 août dans Nature.
Aller faire une petite saucette dans l’eau et ressortir le bas des jambes ensanglantées n’est pas vraiment rafraîchissant. Ce jeune homme aurait dérangé un groupe d’insectes qui attaquent rarement de cette manière
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Un adolescent australien victime d’une attaque mystérieuse en mer /BBC.
Un jeune australien, Sam, a voulu se rafraîchir après un match de foot. Un bref moment de détente et de récupération qui a tourné au cauchemar. A peine sorti des eaux, le jeune homme a les jambes toutes ensanglantées et son père l’a transporté en urgence à l’hôpital.
« Ses jambes étaient marquées comme par une blessure de guerre… on aurait dit qu’il avait été victime d’une grenade… », a confié le père de Sam, perplexe à la vue des blessures de son fils.
Des experts en biologie sollicités
Un temps stoppés, les saignements ont repris dès lors que le garçon âgé de 16 ans a tenté de prendre une douche pour laver les plaies. Placé en observation pendant près de 2 heures, le père de Sam retourne sur les lieux afin de comprendre car les médecins de Melbourne n’ont aucune explication.
Armé d’un filet et d’un bocal, il capture alors des milliers d’étranges petits insectes. L’échantillon est envoyé à des experts, le docteur en biologie Genefor Walker-Smith a dès lors tenté une réponse :
« il s’agit de puces de mer, sa baignade a probablement perturbé un gros groupe en train de se restaurer et les puces se sont rabattues sur lui. Ce genre « d’attaque » est très rare, car les puces ne sont pas comme les pirnahas guettant la moindre opportunité pour attaquer », a avancé le spécialiste.
Des crampes, c’est douloureux, pour éviter d’en avoir, il serait bon de chercher la cause. La déshydratation ? Les médicaments ? Sédentarité, exercices excessifs ?
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Crampes aux jambes : 5 causes possibles et leurs solutions
Se réveiller chaque nuit ou interrompre son jogging quotidien à cause d’une crampe est plus que désagréable. Essayez d’en comprendre la cause exacte pour trouver la solution.
Elles peuvent frapper à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit, que vous soyez allongés, ou en train de courir : il s’agit des crampes aux jambes. Caractérisées par une douleur intense et localisée des muscles, comme une contraction, elles peuvent durer quelques secondes ou de longues minutes. La solution : étirer doucement le muscle douloureux. Mais pour trouver une solution à long terme, il faut en comprendre l’origine exacte.
Déshydratation
La cause « classique » des crampes est un manque d’hydratation. Le mécanisme exact n’est pas encore bien compris par les scientifiques, indique le site Health, mais il se peut que le manque de liquides entraîne une sensibilisation des terminaisons nerveuses, provoquant ainsi des contractions autour du nerf. La chaleur ou l’exercice peuvent aggraver la situation puisque la transpiration augmente la déshydratation de l’organisme.
Carence de minéraux
Mais la transpiration n’est pas composée uniquement d’eau, elle contient aussi des électrolytes, des minéraux essentiels à notre fonctionnement. En cas de carence de sodium, de calcium, de magnésium ou de potassium, ce déséquilibre peut provoquer des crampes. Les boissons adaptées aux sportifs permettent de réduire ce risque, ainsi qu’une alimentation équilibrée. Vous pouvez consommer des bananes, des patates douces, des épinards, des yaourts et des noix, riches en minéraux, avant et après les entraînements.
Exercice excessif
Si vous n’avez pas pratiqué d’activité sportive depuis longtemps et que vous commencez trop fort, vous risquez de déclencher des crampes aux jambes. En cause, les nerfs qui partent du cerveau jusqu’à la moelle épinière, puis vers les muscles, sont trop stimulés. Le repos et l’étirement sont particulièrement importants dans ce genre de situation. Le fait de souffrir de fatigue avant même de commencer augmente les risques.
Position assise ou debout
Les muscles aiment se contracter et se reposer, ils sont faits pour bouger. Alors, si vous passez la journée à piétiner dans une file d’attente, vous risquez de fatiguer les muscles des jambes et ressentir une crampe. Dans ce cas, essayez de vous asseoir pour éviter la fatigue. Rester assis trop longtemps a le même résultat : mal positionné, le muscle n’arrive pas à se détendre et il finit par se contracter en une crampe. En veillant à marcher quelques minutes pour chaque heure que vous passez assis, vous devriez y échapper.
Médicaments
Si aucune raison qui explique vos crampes ne vous vient à l’esprit, jetez un coup d’œil à votre trousse à médicaments. Les diurétiques provoquent une diminution des sels minéraux dans l’organisme, ce qui peut provoquer des crampes. D’autres médicaments comme les statines sont également associés à ce problème. En cas de crampes répétées, parlez-en à votre médecin pour qu’il trouve un traitement alternatif, ainsi que pour éliminer d’autres éventuelles causes sous-jacentes liées à des maladies
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Il y a des adhésifs qui sont utilisés en médecine, ils sont utiles, mais ne peuvent aller dans un corps qui est humide ou liquide qui en plus est toxique pour les cellules. Un nouvel adhésif pourrait maintenant prendre place grâce à une sorte de limace que son mucus a pu être recréé synthétiquement avec des atouts surprenants
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Certaines limaces sécrètent un mucus qui est extrêmement collant. Photo : Reuters/Peter Nicholls
Même si la limace est parfois considérée comme l’un des êtres les moins intéressants du règne animal, elle a inspiré la fabrication d’un nouveau genre d’adhésif médical.
Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné
Réparer des lésions corporelles, qu’elles soient internes ou externes, nécessite souvent des points de suture. Cette technique est parfois difficile à mettre en pratique, principalement si la lésion est de petite taille ou difficile d’accès.
Dans ces moments, utiliser de la colle pour refermer ces plaies serait simple, mais plusieurs problèmes empêchent l’emploi de ce genre d’adhésif. Bien peu de colles sont efficaces en milieu liquide ou humide et celles qui le sont s’avèrent souvent toxiques pour les cellules. Il existe des colles médicales non toxiques, mais elles sont beaucoup moins fortes que leur équivalent chimique et exercent souvent une fonction de soutien.
D’outil défensif à outil médical
Une équipe de chercheurs des universités McGill et Harvard a remarqué que la loche roussâtre (Arion subfuscus), que l’on trouve en Amérique du Nord et en Europe, a la capacité de sécréter une colle spéciale quand elle se sent menacée. Ce mucus lui permet de rester fixée sur la surface où elle se trouve et d’empêcher un prédateur de l’emporter.
En analysant la composition de cette colle lors d’une étude précédente, Jianyu Li, auteur principal et professeur adjoint au Département de génie mécanique de l’Université McGill, a remarqué qu’elle était formée de deux grandes composantes : une matrice flexible, c’est-à-dire un filet biologique capable de supporter de grandes tensions, et des protéines contenant une charge électrique positive.
Ces protéines vont attirer ce qui se trouve autour d’elles de la même façon qu’un ballon se colle au mur par électricité statique après avoir été frotté sur nos cheveux.
La limace peut donc se coller à une surface en exploitant des forces qui relient les atomes les uns aux autres. Ce phénomène a déjà été observé ailleurs dans la nature et permet, entre autres, aux lézards geckos de marcher sur les murs.
Les chercheurs ont recréé lors de cette nouvelle étude cette colle de limace de façon synthétique et ont obtenu un hydrogel en polymère plastique exceptionnellement efficace. Lors d’une démonstration, ils ont collé une extrémité de cet adhésif sur un cœur de porc et l’ont étiré jusqu’à 14 fois sa longueur initiale.
En plus de lui faire maintenir ensemble des tissus comme la peau, le cartilage, des artères ou des organes, les chercheurs s’en sont servis à d’autres fins, comme sceller un trou dans un cœur de porc, qui a ainsi continué à battre, ou arrêter une hémorragie du foie chez des souris. Des tests de longévité ont aussi montré la durabilité de cet adhésif, qui n’avait toujours rien perdu de sa force après deux semaines dans le corps de ces animaux.
Bien qu’il reste beaucoup de travail à faire avant l’arrivée de ce nouveau type d’adhésif dans les blocs opératoires, ce qui a été présenté est, pour l’instant, une substance supérieure à ce qui est déjà utilisé. On peut imaginer qu’un nouveau produit, capable de fixer rapidement des surfaces de tissus les unes aux autres, serait prisé dans le monde médical.