Comment aimer les autres, si nous ne commençons pas par nous aimer nous-même ?
Nuage
Remède miracle
« L’amour est le remède miracle. S’aimer soi-même fait des miracles dans nos vie ».
Louise Hay
Comment aimer les autres, si nous ne commençons pas par nous aimer nous-même ?
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Remède miracle
« L’amour est le remède miracle. S’aimer soi-même fait des miracles dans nos vie ».
Louise Hay
Cette vidéo est le début de l’histoire de cette biche qui allait se noyer à la plage à Jefferson Harbour à New York City. Alors que Mark Freeley marchait sur la plage avec son chien, il a sauté dans l’océan pour ramener le faon sur la plage. Le chien faisait des efforts pour ranimer la bête. Le reste de l’histoire … Le maitre est aller chercher de l’aide d’un abri d’animaux non loin. Quand ils sont arrivés, le faon revenu a lui a pris peur et est retourner dans la mer emporter par le courant. C’est le maître du chien qui cette fois-ci est allé le chercher. Il a été pris en charge et reloger dans un endroit plus sécuritaire. Bref, une tragédie qui finit bien, grâce au chien
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Il a vu un cerf en train de se noyer et a sauté pour l’aider
Je n’avais jamais remarqué sur le clavier de l’ordinateur qu’il y avait des tirets sur le F et le J du moins pour le clavier QWERTY. Et dans mon cours de dactylo, je ne me souviens pas que ces lettres étaient une référence pour placer les doigts sur le clavier.
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Beaucoup n’utilisent que deux doigts pour appuyer sur les lettres du clavier, généralement l’indice ou le majeur, mais cette méthode ne serait pas correcte pour une dactylo: en effet, la bonne façon d’écrire est d’appuyer sur les touches avec le doigt correspondant: les cinq doigts doivent être utilisés!
Si vous écrivez beaucoup au pc, apprenez à utiliser cette technique: au début, cela est bien peu naturel d’utiliser les cinq doigts, mais vous en aurez après bien des avantages.
Voici une vidéo où est expliquée la bonne façon de placer vos doigts sur le clavier.
Vous imaginez qu’une simple marque de civisme envers une personne qui a peur d’aller dans un escalator passe aux nouvelles aux États-Unis. Quelques choses insolites qui devrait pourtant être innées en nous, d’aller au-devant des gens en difficultés au lieu de les insultés
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Les gens poussaient la grand-mère qui était sur leur passage
par Audrey Pouyau
Beaucoup d’entre nous ne pensons même pas quand nous sommes sur un escalator. Mais pour certaines personnes, cela peut être très stressant, surtout si vous êtes instable sur vos pieds.
C’est exactement ce qui est arrivé à Carma Greathouse. La grand-mère faisait ses achats avec sa petite-fille, Leah et ses jeunes filles quand quelque chose s’est passé, quelque chose qu’ils n’oublieront jamais.
Leah transportait tous ses sacs de course tout en essayant de garder ses deux filles par la main alors qu’elles se dirigeaient vers l’escalator. Ce n’est que lorsqu’elle s’est retournée qu’elle a vu que Carma ne suivait pas.
« Je ne comprenais pas que Grand-Mère avait peur d’aller sur l’escalator jusqu’à ce que je sois moi-même descendue pour venir voir. Cela m’a fait du mal de la voir essayer à mettre son pied sur l’escalator, puis à s’arrêter, a dit Leah dans une publication sur Facebook.
Mais ce qui lui a encore plus fait mal au cœur était de voir comment les autres personnes qui faisaient leurs courses ont traité sa grand-mère. Au lieu de l’aider parce qu’elle avait peur, ils l’ont repoussée, irrités parce qu’elle était sur leur passage.
En même temps que Leah regardait de manière impuissante comment sa grand-mère essayait de comprendre comment elle allait faire, Alujwyon Williams, 19 ans, a vu comment la grand-mère était stressée.
Au lieu de la pousser, il lui a pris sa main et l’a aidée à monter dans l’escalator.
« Prenez ma main, faites un pas en avant », a-t-il déclaré à Carma quand il a pris sa main.
« Et je l’ai fait, et pendant tout le chemin il m’a aidé, c’était un ange », dit Carma.
Leah a été très émue par la gentillesse d’Alujwyon, alors elle a décidé de prendre une photo de lui quand il accompagnait sa grand-mère. Ensuite, elle a publié la photo sur Facebook avec cette histoire.
Sur la photo sur Facebook, Carma a commenté :
« Je suis la grand-mère que vous avez aidée, jeune homme. J’ai des rhumatismes musculaires et j’ai tellement peur de tomber. Merci de m’avoir aidé. Vous êtes mon héros »
La photo s’est diffusée rapidement et finalement elle a atteint Alujwyon et il lui a répondu :
« Pas de problème, je suis très heureux d’avoir fait une bonne impression auprès de vous et votre famille. Ignorer quelqu’un qui a besoin de mon aide ce n’est pas dans mes habitudes. »
Carma et Alujwyon sont restés en contact sur Facebook et ont l’intention d’aller déjeuner ensemble.
Mais une chose est sûre, Carma n’oubliera jamais ce jeune homme de 19 ans et sa gentillesse ce jour-là.
Comme toutes séries ou film à succès que ce soit pour les enfants ou adultes, il y a des conséquences malheureuses pour les animaux en vedette. Game of Thrones ne semble pas faire exceptions avec les Huskies. Ces chiens demandent une attention particulière, ce sont des chiens nordiques et qui ont besoins d’exercices. Trop pour les personnes qui ont pris ce chien de façon compulsive
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Dans plusieurs pays, les refuges sont submergés de chiens adoptés à la hâte à cause de la fameuse série mais dont les propriétaires ont fini par se lasser.
A chaque épisode et ce, depuis ses débuts, c’est l’hystérie chez les fans de la série Game of Thrones. Le phénomène télévisé a totalement happé une partie de la population mondiale et développé une véritable fascination pour tout son univers. Mais les produits dérivés et les livres de la saga ne sont pas les seuls à avoir reçu la faveur des téléspectateurs suite à son lancement en 2011. Les fameux loups adoptés par la famille Stark ont initié une vague d’adoptions des chiens leur ressemblant le plus, notamment les Huskies. Sauf que l’intérêt pour ces créatures est visiblement vite passé et les propriétaires sont nombreux à les abandonner dans des refuges.
Des refuges débordés
Ainsi, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, les associations ont enregistré des hausses de près de 100% d’accueil de cette race dont les maîtres ont fini par se lasser. Deux associations de San Francisco explique à SFGate que depuis 3 ans, elles sont débordées par l’arrivée de toutous dont les noms (Lady, Ghost, Nymeria, Summer, Grey Wind) sont indubitablement des références à la célèbre saga. De 20 habituellement, le Bay Area Siberian Husky Club est passé à 45 Huskies et doit faire appel à des familles d’accueil pour couvrir cet afflux. En 2014, un refuge Britannique notait de son côté une augmentation de 700% d’abandon de cette race.
« C’est vraiment devenu un énorme problème. Ces gens regardent les séries et pensent que c’est cool d’avoir ces chiens. Mais ils ne peuvent même pas faire la différence entre un husky et un loup. Ils ne font que suivre la tendance de ce qu’ils pensent être mignon », explique Angelique Miller de Northern California Sled Dog Rescue.
Une fois grand, ces chiens demandent une attention et des moyens que les propriétaires n’ont pas anticipés. Une triste tendance qui rappelle qu’une adoption ne doit jamais se faire à la légère. Il s’agit d’un acte responsable qui vous engage sur des années qui doit répondre à votre envie et non pas à une mode. En tout cas, heureusement que les dragons n’existent pas…
Par Laure Gautherin
Crédits photo : HBO
Changer les mots « changement climatique » et « gaz à effet de serre » pour d’autres mots par Donald Trump est grotesque. Censurer les termes que les scientifiques utilisent pour donner l’état de l’environnement ne fait que mettre la brouille dans le cerveau des gens, alors qu’il faut être vraiment aveugle pour ne pas voir ces changements autant par la météorologie, que la faune et la flore qu’elle soit terrestre ou marine
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Le Président américain Donald Trump à la Maison-Blanche, le 17 juillet 2017, à Washington. Olivier Douliery / AFP
Repéré par Juliette Mitoyen
Repéré sur The Guardian
Les employés d’une agence du département de l’Agriculture ont pour consigne de parler désormais d’«extrême météorologique».
Finalement, Donald Trump a une solution au changement climatique: ne pas en parler. Une série d’e-mails publiés le 7 août 2017 par le Guardianrévèle que le nouveau président souhaite empêcher les employés du service de conservation des ressources naturelles (NRCS), une agence fédérale du département de l’Agriculture, de parler de «changement climatique», une notion qu’il abhorre.
Bianca Moebius-Clune, en charge de la santé des sols au NRCS, présente dans un e-mail daté du 16 février 2017 la liste des expressions interdites et les termes à leur substituer. D’après les indications, le «changement climatique» doit être remplacé par des «extrêmes météorologiques» et au lieu de parler de «réduction des gaz à effet de serre» –principale cause du réchauffement climatique–, les employés du NRCS doivent préférer «la création de matière organique provenant du sol».
Moebius-Clune affirme que «la modélisation ne change pas, juste la manière de parler» et insiste sur la nécessité d’être discret quand aux changements de ces règles sémantiques.
Une «censure sur la science»
Rapidement, les employés du NRCS sont perturbés par ces nouvelles consignes. L’un d’entre eux, dans un e-mail également daté du 16 février, fait part de sa confusion à Jimmy Bramblett, chef de programme au NRCS:
«J’aimerais savoir quels sont les termes corrects dont je dois me servir à la place du changement climatique et du carbone… Je veux m’assurer d’utiliser la terminologie exacte approuvée par l’Agence.»
Certains membres de l’agence n’étaient pas d’accord avec l’idée de censurer ces termes et l’un d’entre eux a affirmé, le 5 juillet 2017, qu’il «garderait le langage tel quel» pour «maintenir l’intégrité scientifique du travail».
«Ces documents révèlent la censure qu’exerce Trump sur la science», a déploré Meg Townsend, juriste gouvernementale au Centre de la Diversité Biologique.
«Le fait qu’une agence fédérale censée informer sur l’air, l’eau et les sols sur lesquels reposent la santé de la nation, doive se conformer à la rhétorique anti-science de l’administration Trump est dangereux pour les États-Unis.»
Le combat perpétuel de Trump
Donald Trump a remis en question la véracité du changement climatique à de multiples reprises. En novembre 2012, il affirmait qu’il s’agissait d’une blague des Chinois visant à rendre l’industrie américaine moins compétitive. Il s’est également prononcé en faveur de nouvelles exploitations énergies fossiles et a annoncé le retrait des États-Unis de l’accord de Paris.
Des folies face auxquelles les scientifiques américains –que Trump a allègrement critiqué à de multiples reprises– ne veulent pas rester les bras croisés. Le 7 août, une copie d’un rapport scientifique réalisé par 13 agences fédérales et dont la publication dépendait de l’accord de Trump a fuité et été publié sur le site du New York Times. Le Rapport spécial sur la science du climat avait toutes les chances d’être censuré par le président puisqu’il démontre que l’activité humaine est la cause principale du réchauffement climatique.
Franchement, déjà que marcher avec des talons hauts n’est pas très bon pour les pieds et le dos, alors qu’en plus, il est monté sur des roulettes, semblable aux patins à roulettes, il est clair que cette chaussure risque de faire des accidents et blessures plus graves. Payer plus de 2 000 dollars, pour ce genre de chaussures est à mon avis un pur gaspillage
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SAINT-LAURENT
Comme si marcher en talons hauts n’était pas un défi assez colossal, un designer de Saint-Laurent a décidé d’ajouter des roulettes à ce type de chaussures.
La paire de ces talons plutôt originaux se nomme «Anya 100 Patch Pump Roller». En espérant que vous n’êtes pas trop serré financièrement au moment d’acheter ces derniers puisqu’ils valent 2 622 dollars…
Malheureusement, le site de Saint Laurent ne donne pas de description à son nouveau produit. Pour les intéressés, notez que ces talons hauts munis de roulettes sont uniquement disponibles en magasin.
Des commerçants à Toronto et à Ottawa ne veulent plus d’argent comptant, seulement avec une carte de débit, de crédit, et même avec le téléphone, et cela va augmenter de plus en plus Personnellement, c’est quelque chose que je n’aime pas vraiment …
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Les services de paiements électroniques sont de plus en plus nombreux. Android Pay, de Google, a été lancé au Canada à la fin mai, et Apple Pay est déjà opérationnel depuis plus d’un an.
PHOTO CHRIS RATCLIFFE, BLOOMBERG
ALEKSANDRA SAGAN
La Presse Canadienne
Vancouver
Dans les 18 prochains mois, Alan Bekerman a l’intention de procéder à une expansion qui verra le nombre d’établissements de sa chaîne torontoise de restaurants iQ Food passer de cinq à onze, et aucun d’eux n’acceptera les paiements en argent comptant.
«Cela nous faisait une chose de moins à organiser, ce qui est un énorme avantage», se rappelle M. Bekerman, qui avait mis cette idée à l’épreuve dans ses deux premiers restaurants, lors de leur ouverture en février 2016.
Lorsqu’il a ouvert trois autres établissements plus tôt cette année, il a pris la même décision.
M. Bekerman fait partie d’une nouvelle vague de détaillants qui jugent que l’abandon des paiements en argent sonnant accélère le service et libère le personnel – lequel peut alors se concentrer sur des tâches moins ennuyantes.
Certains observateurs de l’industrie estiment que ce choix devrait être de plus en plus courant, avec l’avènement des cartes de type «tapez et payez» et des portefeuilles numériques en remplacement des billets et de la monnaie. Ces nouvelles options permettent aux marchands et aux consommateurs de gagner du temps lors du règlement d’un achat.
Le cofondateur des Thés DavidsTea, David Segal, mise là-dessus pour sa nouvelle entreprise de restauration Mad Radish. Ses deux établissements, situés à Ottawa, ont une politique excluant les paiements en espèces.
«On sent que les avantages sont énormes, alors pourquoi ne pas l’essayer»? fait valoir M. Segal, qui calcule qu’un service plus rapide se traduit par une meilleure expérience pour les consommateurs.
Il ajoute qu’il est encore trop tôt pour préciser jusqu’à quel point le service sera plus rapide, mais il croit que les méthodes de type «tapez et payez» seront toujours plus efficaces que les échanges d’argent sonnant.
Selon M. Bekerman, la transition aux transactions sans espèces a libéré ses gérants de restaurants de la tâche de compter l’argent et leur a permis de se consacrer davantage à des tâches plus productives, comme la formation du personnel.
«Les gens les mieux payés dans les restaurants peuvent finalement utiliser leur temps pour faire des choses que nous jugeons plus importantes», explique-t-il.
Tant pour Mad Radish que pour iQ, l’accueil réservé aux systèmes de paiements sans espèces a été généralement positif.
Certains pourraient s’attendre à ce que les clients les plus âgés soient plus réticents à s’ajuster à ce changement. Mais M. Segal note qu’en fait, les adolescents sont plus susceptibles d’être incommodés. Certains d’entre eux n’ont pas encore de comptes bancaires et lorsque leur seule source d’argent est de l’argent de poche obtenu auprès de leurs parents, cela peut représenter un défi. Mad Radish tente de trouver une solution à ce problème, notamment avec des cartes cadeaux rechargeables.
M. Bekerman dit ne s’être heurté à des problèmes semblables qu’à quelques reprises. Une des complaintes était celle d’un adjoint de direction à qui son patron avait remis de l’argent comptant pour régler son dîner. D’autres clients n’utilisent que de l’argent comptant ou des Bitcoins pour protéger leur vie privée.
Mais les clients, en partie, alimentent la tendance vers les paiements numériques.
«L’argent comptant est significativement en perte de popularité en tant qu’instrument préféré pour régler un paiement», explique Angela Brown, chef de la direction de Moneris Solutions.
Au deuxième trimestre de 2017, 39,5% des transactions étaient réglées à l’aide de méthode «tapez et payez», selon les données fournies par les entreprises de solutions de paiement par cartes de débit ou de crédit. Cela représente une hausse de 30,86% par rapport à l’année précédente.
Moneris s’attend à ce que cette croissance atteigne 50% d’ici la fin de l’année.
Les portefeuilles numériques sont de plus en plus courants sur les téléphones intelligents. Le service Android Pay, de Google, a été lancé au Canada à la fin mai, et Apple Pay est déjà opérationnel depuis plus d’un an.
L’an dernier, Moneris a prédit que les paiements en espèces ne représenteraient plus qu’un dixième de toutes les transactions au Canada d’ici 2030, et Mme Brown affirme que sa firme ne modifie pas sa prévision. La croissance de popularité des cartes «tapez et payez» et des portefeuilles numériques «cannibalise absolument les transactions en espèces», assure-t-elle.