En Bretagne, des offres d’em­ploi pour dealers affi­chées sur les arrêts de bus


L’histoire ne dit pas si cette offre d’emploi a eu des candidats ou que la police s’est présenter comme espère cette petite communauté de riverain.
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En Bretagne, des offres d’em­ploi pour dealers affi­chées sur les arrêts de bus


Crédits : Ouest France

par  Adrien Gingold

Des offres d’em­ploi ont été placar­dées sur des arrêts de bus de Vannes, propo­sant des jobs de dealers et de guet­teurs. 

« Dans le cadre du déve­lop­pe­ment du trafic de drogues au bois de Kermesquel, nous recher­chons rapi­de­ment DEALER / GUETTEUR ».

Les affiches inter­pellent. Elles n’ont pas été rédi­gées par des vendeurs de drogue mais par des rive­rains excé­dés par le trafic dans le quar­tier, selon Ouest France.

Elles sont la solu­tion qu’ils ont trou­vée pour atti­rer l’at­ten­tion des forces de l’ordre sur ce point de vente où le trafic perdu­re­rait.

« Prin­ci­pales missions : aver­tir le plus rapi­de­ment possible de l’ar­ri­vée de la police, accueillir les clients, inti­mi­der les rive­rains, dété­rio­rer l’es­pace natu­rel », peut-on y lire.

Par cette offre pleine de sarcasme, les habi­tants du quar­tier disent vouloir chas­ser le trafic du bois. On ne sait pas s’ils ont reçu des candi­da­tures.

Source : Ouest France

https://www.ulyces.co

Ce magasin de vêtements veut payer des voleurs 56 € de l’heure pour le voler


 

Une offre d’emploi assez inusité, mais la demande parait assez logique. Pour éviter le vol dans un magasin, mieux vaut faire appelle à des professionnels. Ici, ce sont des voleurs ! Il faudrait probablement que ce soit incognito, pour ne pas mettre la puce à l’oreille de la police.
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Ce magasin de vêtements veut payer des voleurs 56 € de l’heure pour le voler

 

Crédits : Prudence Earl

par  Dylan Kuperblum

Pour empêcher les vols dans son magasin de vêtements au Royaume-Uni, la propriétaire, qui souhaite rester anonyme, a décidé d’adopter une approche très peu conventionnelle.

Elle veut embaucher des criminels professionnels pour voler dans sa boutique, avant de lui expliquer comment ils ont fait pour qu’elle puisse empêcher que cela se reproduise. rapportait Mirror le 29 novembre dernier.

L’offre d’emploi a été postée sur le site de petites annonces britannique Bark.com. La propriétaire dit être disposée à payer des voleurs 56 €/h pour tenter de voler dans son magasin, avec en prime la possibilité de conserver trois des objets qu’ils auront réussis à voler. Les candidats doivent se rendre dans la boutique régulièrement sur une durée de plusieurs semaines, puis rédiger un rapport sur toutes les choses qu’ils y ont volé et comment ils s’y sont pris. Consciente que son offre peut paraître étrange, la commerçante explique qu’elle adopte simplement une approche différente de la prévention au vol après des années de pertes considérables pendant la période des fêtes.

« Depuis que j’ai ouvert mon magasin en 2013, chaque année à l’arrivée de Noël, nous subissons des vols considérables », écrit-elle.

La propriétaire espère donc que cette expérience lui permettra de mieux comprendre le fonctionnement des voleurs et l’aidera à améliorer la sécurité de son magasin. Elle souhaite en particulier savoir si la configuration du magasin doit être modifiée, si les caméras de vidéosurveillance sont correctement positionnées et comment son personnel interagit avec les voleurs. Contacté par Mirror, le fondateur du site Bark.com, Kai Feller, s’est déclaré surpris par la demande de la femme, « mais espère qu’elle trouvera une personne adaptée à ses besoins ».

Source : Mirror

https://www.ulyces.co/

À 9 ans, il postule pour être «Gardien de la Galaxie», et la Nasa lui répond


Pour un enfant écrire à la NASA, cela doit être quelque chose de très important et plus quand la NASA prend le temps de répondre à un enfant de 9 ans. La NASA cherche des gens qui serait capable de protéger la terre, contre des contaminations de d’autres planètes et vise vers ça. Bref, comme les hommes en noirs des films de science-fiction avec Will Smith et Tommy Lee Jones
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À 9 ans, il postule pour être «Gardien de la Galaxie», et la Nasa lui répond

 

Peut-être que Jack deviendra vraiment un «Gardien de la Galaxie» d’ici une dizaine d’années… (illustration)./ Pexels

Jack, un petit garçon de neuf ans, passionné par l’univers et les extra-terrestres,  a décidé de postuler à une offre d’emploi de la Nasa, qui chercherait un «Gardien de la Galaxie» pour protéger la Terre. Touchée par la lettre de Jack, la Nasa lui a répondu…

Il y en a qui rêvent d’être soldats, astronautes, archéologues ou chasseurs de monstres, mais peu de petits garçons font tout pour aller au bout de leur rêve. Toutefois, ce n’est pas le cas de Jack, neuf ans, qui a décidé de postuler à une offre d’emploi de la Nasa. Le petit garçon en classe de CM1 a vu cette offre qui, selon lui, correspondait parfaitement à ses compétences : la Nasa cherche quelqu’un afin de protéger la Terre d’une possible contamination extraterrestre. Et ça tombe bien, Jack serait un «Gardien de la Galaxie». En effet, même s’il n’a que neuf ans, il a des arguments en poche : il connaît tous les films d’aliens et c’est un pro des jeux vidéo.

La NASA accepte sa candidature… à une condition

Inutile de préciser que cette candidature a dû surprendre la Nasa. Mais la réponse de l’agence ne s’est pas fait attendre pour autant. En effet, le directeur du Département des Sciences Planétaires lui a répondu en personne.

Voici sa réponse :

«Cher Jack,

J’ai entendu que tu étais un « Gardien de la Galaxie » et que tu souhaitais devenir un officier de protection planétaire. C’est génial ! Notre poste d’officier de protection planétaire est vraiment cool et constitue un travail très important. Il s’agit de protéger la Terre des minuscules microbes quand nous ramenons des échantillons de la Lune, des astéroïdes ou de Mars. Il s’agit également de protéger les autres planètes et lunes de nos germes pour explorer le système solaire de manière responsable.

Nous sommes toujours à la recherche de futurs brillants scientifiques et ingénieurs pour nous aider, donc j’espère que tu vas beaucoup étudier et être bon à l’école. Nous espérons te voir ici, à la Nasa, un de ces jours !

Cordialement,

James L. Green, directeur du Département des Sciences Planétaires»

Si Jack travaille bien à l’école il pourrait donc devenir un véritable «Gardien de la Galaxie» d’ici quelques années. En tout cas, la recommandation de la Nasa a dû enchanter les parents de Jack.

http://www.ladepeche.fr/

Des cambrioleurs au secours de la science…


Comment étudier les techniques et comportements des cambrioleurs pour de meilleures méthodes de préventions. ? Une petite annonce pour trouver des candidats avec expérience ? Pas évident ! En qui voudrait prêter sa maison même en assurant que rien ne sera vraiment dérobé ? Pas toujours facile le domaine de la science !!
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Des cambrioleurs au secours de la science…

 

 

Pierre Barthélémy

Imaginez la petite annonce : « Scientifiques cherchent cambrioleurs expérimentés pour travail sans risque. Discrétion assurée. Pas sérieux s’abstenir. »

Dans une œuvre de fiction, on verrait déjà des blouses blanches demander à des monte-en-l’air d’entrer par effraction dans le laboratoire de concurrents pour leur dérober on ne sait quelle formule secrète… Mais nous ne sommes pas dans un film ou un roman : dans la réalité qui est la nôtre, si des chercheurs britanniques ont eu recours à des cambrioleurs, c’était pour… étudier leurs techniques.

Comme ces psychologues le soulignent dans la présentation de leur étude, publiée le 17 décembre par la revue Psychology, Crime & Law, il est essentiel, pour prévenir les délits, de mieux comprendre les processus cognitifs mis en œuvre par les cambrioleurs : comment ils gèrent le temps très court dont ils disposent, comment ils prennent leurs décisions en situation de stress, comment ils exploitent les indices présents dans les domiciles visités pour aller directement aux endroits les plus lucratifs, etc. Autant de stratégies qu’il est difficile de percer à jour lors des interviews qui sont menées en prison auprès des voleurs arrêtés.

 Comme le souligne Claire Nee (université de Portsmouth), premier auteur de l’étude, quel que soit leur domaine « les experts ont du mal à expliquer avec des mots ce qu’ils font étant donné que leurs actions sont automatiques. C’est bien mieux de les regarder faire mais ceci est compliqué dans la science criminelle. »

En effet, ainsi que le précise l’article non sans une pointe d’humour, « il est difficile, sur le plan de la logistique et de l’éthique, d’observer des délinquants en action »… D’où l’idée d’embaucher des professionnels pour un « cambriolage » sous contrôle.

Les choses n’ont pas été sans mal et l’étude comporte d’ailleurs une section « Défis » d’ordinaire absente des articles scientifiques. Ainsi, les chercheurs ont fait chou blanc lorsqu’ils ont employé la technique des petites annonces pour recruter leurs « experts ». Ils sont arrivés à leurs fins avec l’aide d’associations s’occupant du reclassement de marginaux. Six soi-disant ex-cambrioleurs ont ainsi été dénichés, six hommes ayant tous au moins cinq ans d’expérience, ce qui implique plusieurs centaines de cambriolages par an à l’actif de chacun…

Comme il fallait un groupe témoin pour comparer les comportements, six étudiants sans activité criminelle au compteur se sont improvisés cambrioleurs débutants.

Le second défi a consisté à trouver une maison avec un étage où tester les talents des deux groupes. Les auteurs de l’étude ont eu beau expliquer le but de l’expérience, dire que c’était pour la science et jurer leurs grands dieux que rien ne disparaîtrait, les propriétaires de maisons contactés n’ont guère eu envie de participer au progrès des connaissances en laissant une demi-douzaine de voleurs professionnels baguenauder chez eux.

La solution est venue… de la police qui a accepté de mettre à la disposition des chercheurs une maison dotés d’un studio d’enregistrement, qu’elle utilise pour mener des entretiens. L’équipe de psychologues a aménagé les autres pièces pour faire ressembler le tout à un domicile normal, répartissant les objets de valeur comme dans un foyer lambda.

Ils ont également créé un double numérique de cette maison car un de leurs objectifs était de voir si un cambriolage « virtuel » se ferait suivant les mêmes règles que dans la réalité. La moitié des « malfaiteurs » commençait par visiter la maison réelle puis enchaînait avec la version sur ordinateur, naviguant dans les pièces à l’aide de la souris et cliquant sur les objets à emporter, tandis que l’autre moitié suivait le cheminement inverse. Lorsqu’ils entraient dans la véritable maison, les voleurs – qu’ils fussent patentés ou en herbe – portaient une caméra sur la tête permettant d’enregistrer leur parcours et notamment le temps passé dans chaque pièce et la manière de la fouiller.

Les résultats sont édifiants : grâce à leur expérience, les « pros » identifient rapidement les zones les plus rentables (en général les chambres à l’étage alors qu’ils délaissent les salles de bain) et passent plus de temps à les explorer à fond tandis que les cambrioleurs débutants répartissent leurs temps de manière équitable entre toutes les pièces. Les premiers sélectionnent en général moins d’objets mais ceux qu’ils prennent ont plus de valeur. Ainsi, au cours du test, le montant du butin emporté par les « maîtres » s’élevait en moyenne à 4 875 livres contre 3 945 livres pour les étudiants. Ces derniers ont négligé les sacs à main de marque et les blousons en cuir qui n’ont pas échappé à l’œil aguerri des vrais cambrioleurs. Ceux-ci ont d’ailleurs confirmé les hypothèses des chercheurs sur les automatismes des experts en empruntant tous exactement le même chemin pour entrer dans la maison (par derrière) et pour la fouiller, tandis que leurs alter egos se promenaient un peu au hasard dans la maison.

Les auteurs de l’étude ont constaté peu de différences entre les comportements suivant qu’on se trouvait dans la maison réelle ou dans sa reconstitution numérique. Le résultat est intéressant car ces psychologues pourront élargir leur expérience à un échantillon plus important en proposant à des malfaiteurs emprisonnés de « jouer » aux cambrioleurs virtuels.

Surtout, Claire Nee espère que ces travaux permettront de mettre en place « diverses techniques de prévention qui stopperont le délinquant dans sa progression et l’obligeront à sortir de ses habitudes bien rodées. Cela augmentera son anxiété et la probabilité qu’il abandonne le cambriolage en cours. » 

En attendant, vu le peu d’attirance des professionnels pour les salles de bain, vous pouvez aussi cacher les bijoux entre les brosses à dents et les tubes de dentifrice.

 

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/

La reine cherche un «décolleur de gommes»


Une offre d’emploi pas ordinaire. Pourquoi pas ceux déjà engagés, mais bon ! Par contre, que ce soit un lieu historique ou non, sur des objets chers ou non, et même sur les trottoirs, je trouve que c’est un manque de savoir-vivre de jeter sa gomme à mâcher autre que dans les poubelles
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La reine cherche un «décolleur de gommes»

 

Britain's Queen Elizabeth leaves the annual Braemar Highland Gathering in Braemar, Scotland

Photo Russell Cheyne / Reuters

La reine Elizabeth II.

LONDRES – L’offre d’emploi sur le site officiel du palais de Buckingham trahit une réalité choquante: le candidat – homme ou femme – appelé(e) à faire le ménage à la résidence écossaise d’Élisabeth II aura notamment pour mission de décoller les chewing-gums abandonnés par des visiteurs indélicats.

La description du job royal rémunéré à hauteur de 15 912 livres (27 616 dollars) par an pour 20 heures de travail hebdomadaire à l’adresse http://www.royal.gov.uk passe au crible les tâches de nettoyage au palais de Holyrood.

Le palais situé à Édimbourg est à la fois la résidence officielle de la reine dans ses terres septentrionales, et la première attraction touristique en Écosse, avec une moyenne annuelle de 250 000 visiteurs.

Premier à avoir détecté l’annonce, le tabloïd the Sun a recueilli cette confidence outrée d’une source royale ayant requis l’anonymat:

«Vous ne vous attendriez pas à ce que les gens mâchonnent un chewing-gums en cours de visite, et encore moins qu’ils les collent sur des antiquités hors de prix ou sur les parquets».

Un porte-parole du palais de Buckingham a relativisé l’ampleur du phénomène en précisant qu’un tel comportement était limité à «une petite minorité d’individus».

«En effectuant votre travail avec fierté, et en prêtant une grande attention aux détails, vous fournirez un service irréprochable en toutes occasions» précise la petite annonce.

«Le retrait des chewing-gums dans les appartements royaux historiques» figure au nombre des 14 «obligations principales» du nettoyeur de jour qui opérera au sein d’une équipe.

Les autres tâches consistent à nettoyer les appartements et toilettes ainsi que les escaliers (une fois par semaine), à astiquer les vases, l’argenterie et le mobilier, à faire les lits et à couvrir d’un drap protecteur les meubles pendant les périodes de fermeture.

Il est enfin demandé aux candidats «une souplesse en matière d’horaire» à l’occasion des séjours de la reine ou de membres de la famille royale ou en cas de réception officielle. 

http://www.journaldequebec.com/

Offre d’emploi insolite Payés pour se déguiser en hibou en la regardant dormir


Pour tout l’or du monde je ne voudrais pas d’un emploi de ce genre .. quoi de plus endormant que de regarder quelqu’un dormir, puis je ne trouverais pas plus rassurant de voir une personne étrangère dans sa chambre
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Offre d’emploi insolite

Payés pour se déguiser en hibou en la regardant dormir

 

Payés pour se déguiser en hibou en la regardant dormir

Crédit photo : archives

TVA Nouvelles

Le sommeil, ça n’a pas de prix, nous confirme une Australienne qui a décidé de recourir aux petites annonces pour chasser ses soucis.

Cette habitante de la ville de Melbourne, une insomniaque, propose près de 40$ de l’heure à ceux qui seraient prêts à veiller sur elle, pendant son sommeil, rapporte le site web belge 7 sur 7.

Les personnes qui souhaitent postuler doivent cependant prendre note qu’ils seront invités à porter un costume de petit hibou avant de s’assoir dans sa chambre pour la regarder dormir.

Pourquoi?

«J’ai toujours trouvé rassurant le fait que les hiboux veillent tout naturellement sur notre monde», explique celle qui se prénomme Susan. Ceux qui choisiront de ne pas se déguiser peuvent tout de même espérer être sélectionnés… mais ils risquent de gagner moins cher de l’heure, «peut-être 35$».

Ce n’est pas une blague, assure d’entrée de jeu la demandeuse sur le site Gumtree.com, avertissant ceux qui souhaiteraient lui faire perdre son temps de s’abstenir.

Tentés? Sachez d’abord que les moments pour aller aux toilettes doivent être choisis avec soin, «pour s’assurer [qu’elle ne se] réveille pas dans une chambre vide». Un bar à muesli mis à la disposition des travailleurs aux prises avec une petite fringale pourrait toutefois compenser ce léger inconfort.

http://tvanouvelles.ca

L’employeur était en fait un tueur


C’est le comble, maintenant on offre des emploies pour des éventuels victimes de meurtre, probablement pour les voler … Faut avoir un certain culot de procéder de cette façon encore plus si un des meurtrier est un pasteur …
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L’employeur était en fait un tueur

L'employeur était en fait un tueur

L’offre d’emploi d’exploitant agricole dans une ferme dans l’Ohio sur le site d’échange Craigslist.com était en fait un piège.

Flickr/ Cara Photography


Aux Etats-Unis, deux faux recruteurs auraient tué plusieurs candidats à l’embauche en attirant leurs victimes via une offre d’emploi, publiée sur le site d’annonces Craiglist.

Une offre d’emploi d’ouvrier agricole publiée sur Internet, voilà une bonne façon d’attirer des proies dans un lieu isolé, à l’abri des regards et des suspicions. Pour une promesse de 300 dollars par semaine et une exploitation de 280 hectares dans l’Ohio, à l’est des Etats-Unis, des faux employeurs ont ainsi pu trier sur le volet leurs potentielles victimes. L’offre avait été diffusée sur Craigslist.com, très populaire site d’échanges en tout genre.

Le 6 novembre, un homme s’est présenté à la police couvert de sang, après s’être caché sept heures dans la forêt: il a raconté aux enquêteurs avoir été blessé par balle par deux hommes rencontrés après avoir répondu à une offre d’emploi sur Internet. Une fois l’entretien d’embauche terminé, ils auraient tenté de le tuer dans un endroit isolé, prétendant l’emmener visiter le domaine agricole.

Une personne retrouvée morte

En retournant sur les lieux, la police a alors découvert un corps: celui de David Pauley, 51 ans, lui aussi à la recherche d’un emploi. Sa soeur jumelle avait signalé sa disparition.

Il pourrait ne pas être la seule victime de ces faux employeurs, puisque un autre candidat est toujours porté disparu. Selon Ron Sanson, 58 ans, qui a lui aussi rencontré les faux recruteurs, ces derniers lui auraient confié avoir reçu pas moins de cent candidatures, raconte le quotidien local Beacon Journal.

Deux suspects, un pasteur de 52 ans et un jeune homme de 16 ans, ont été arrêtés. Le mobile pourrait être le vol, l’annonce demandant aux candidats d’apporter avec eux leurs effets personnels, pour emménager immédiatement sur place.

http://www.lexpress.fr