Mauvaise période


Les mauvais moments ne sont pas une définition définitive de notre vie, en fait, ils font partie de nos expériences tout comme les belles périodes de notre vécu
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Mauvaise période

 

 

Ne laisse jamais une mauvaise période te faire croire que tu as une mauvaise vie

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Le Saviez-Vous ► Les premières images d’une éclipse totale en 1854


Photographier une éclipse solaire en  1854 avec les moyens vraiment rudimentaire est assez exceptionnel. Cela est très loin de ce que l’on peut admirer aujourd’hui, mais pour un premier essaie cela devait être extraordinaire à l’époque
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Les premières images d’une éclipse totale en 1854

 

Les frères William et Frederick Langenheim étaient originaires d’Allemagne et on commencé leur carrière en tant que journalistes après avoir émigré aux États-Unis dans les années 1830. Vers 1842 ils ont ouvert un studio de photographie à Philadelphie.

Stereopticon

Un appareil de leur invention appelé Stereopticon permettait de visualiser ce qu’ils appelaient des Hyalotypes. L’appareil projetait sur les murs les photographies et les détails ainsi très aggrandis pouvaient être facilement admirés du public.

Ce Stereopticon avait une autre fonction : un système à deux lentilles permettait de fondre l’image suivante avec la précédente. En mettant les clichés sous forme de séquence chronologique avec une progression, ils ont ouvert la voie à la découverte de l’image animée. Les gens se pressaient pour voir ça, au prix d’une dime la visite.

Le 26 mai 1854, le parfait sujet pour cette machine se présenta dans le ciel de l’Amérique du Nord sous la forme d’une éclipse totale de soleil, la première aux états unis depuis que Louis Daguerre avait annoncé son procédé de fixation d’images en 1839.

Les frères Langenheim ont pris huit daguerréotypes de l’éclipse durant son déroulement, seulement sept d’entre eux sont parvenus jusqu’à nous. Ils sont conservés dans les collections permanentes du Metropolitan Museum of Arts.

Dans l’hémisphère nord, la lune obscurcit toujours le soleil de droite à gauche, mais cette technique inverse les images comme dans un miroir. C’est pourquoi le soleil semble être masqué progressivement dans l’autre sens.

Ces images sont particulièrement petites car les Langenheims ont été forcés de se procurer les plus petits appareils disponibles qui nécessitaient donc moins de lumière. Il est probable que la huitième image manquante était parmi les moins grandes et ne montrait rien du tout, au moment de la totalité de l’éclipse.


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Quand un garçon de 10 ans aide sa mère à accoucher


Pour un enfant de 10 ans, c’est une expérience d’une vie qui sans doute aura une attention particulière pour son petit frère. Surtout, que l’accouchement à 34 semaines s’annonçait plutôt mal autant pour le bébé que pour la mère
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Quand un garçon de 10 ans aide sa mère à accoucher

 

L’aventure de Jayden Fontenot, qui a sauvé la vie de sa mère et de son petit frère, a remué les médias américains. 

Le jeune Jayden Fontenot, un Américain âgé de 10 ans, ne pensait pas devenir un héros le matin du vendredi 11 août. Son beau-père venait de quitter le domicile familial, dans la ville de Sulphur en Louisiane, pour aller travailler. Jayden était en compagnie de sa mère, Ashly Moreau, enceinte de 34 semaines, et de sa petite sœur de 11 mois. Mais voilà que, après un passage aux toilettes, Ashley s’aperçoit qu’elle vient de perdre les eaux, et que l’accouchement a déjà commencé, raconte-t-elle à la chaîne KPLC.

La situation s’annonce mal : le bébé n’est pas dans la bonne position et ses pieds sont déjà en train de sortir. Paniquée, elle demande l’aide de son fils. Jayden court prévenir sa grand-mère dans la maison d’à côté, qui appelle les secours, mais qui ne peut pas se déplacer à cause d’une opération récente. De retour dans les toilettes, il regarde sa mère. Le sol est couvert de sang. Il respire profondément, et lui demande ce qu’il peut faire pour l’aider.

« C’était la situation la plus effrayante à laquelle j’ai jamais été confrontée », reconnaît Ashly.

Elle était consciente à ce moment que le bébé à moitié dans son ventre ne respirait plus.

Une aide cruciale

 

Elle pousse, Jayden tire doucement. Mère et fils arrivent à mettre au monde le petit en quelques minutes. Mais aucun cri ne sort de sa bouche, et les saignements continuent. Jayden avoue avoir eu très peur de perdre à la fois son petit frère et sa mère. Mais le jeune garçon garde son calme et court dans la cuisine pour prendre l’aspirateur nasal dans le but de libérer les voies respiratoires du nouveau-né. Miracle : le tout-petit respire.

C’est à ce moment que les ambulanciers sont arrivés et ont emmené toute la famille se faire soigner à l’hôpital. Les docteurs estiment que sans l’aide de Jayden, le bébé n’aurait pas réussi à respirer tout seul, et la mère aurait souffert d’une hémorragie très grave. Il leur a sauvé la vie. Toute la famille est très fière de son sang froid et de son courage. Quand au petit Daxx, il est sorti de l’hôpital, en bonne santé.

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Les incendies du Groenland peuvent-ils faire augmenter le niveau de la mer ?


C’est bien le dernier endroit que j’aurais pensé que le feu puisse autant nuire à l’environnement que le Groenland. Déjà, que ce coin du monde souffre des changements climatiques, le feu qui a duré environs 3 semaines peut faire fondre les glaciers plus vite. Des solutions sont à envisagé
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Les incendies du Groenland peuvent-ils faire augmenter le niveau de la mer ?

 

Glaciers au Groenland

La couleur d’un glacier a une incidence sur sa vitesse de fonte. Ceux plus sombres fondent plus vite.

PHILIPPE ROY / AURIMAGES / AFP

Par Valentin Thévenot

De violents incendies ont ravagé le Groenland entre le 31 juillet et le 21 août 2017. Mais au delà de la végétation brûlée, le phénomène pourrait également accélérer l’élévation du niveau de la mer.

Explications. 

D’importants incendies ont frappé la côte ouest du Groenland entre le 31 juillet et le 21 août 2017, créant d’importantes colonnes de fumées dans l’atmosphère. Après trois semaines de feux ininterrompus, les intempéries ont finalement eu raison des brasiers mais une question demeure : que se passe-t-il dans l’éventualité où des cendres se seraient déposées sur les glaciers environnant ? Dans un précédent article, le glaciologue Jean Jouzel, ancien vice-président du groupe scientifique du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) expliquait que le phénomène aurait pour effet de baisser l’albédo des glaciers et donc de les faire fondre plus vite. Mais comment fonctionne concrètement ce phénomène ?

Explications.

Les surfaces claires réfléchissent mieux la lumière

Chaque surface réfléchit plus ou moins la lumière qu’elle reçoit. Pour catégoriser ce phénomène, il existe une grandeur physique nommée l’Albédo qui s’exprime soit en pourcentages de rayonnements réfléchis, soit par un chiffre allant de 0 à 1. Le 0 équivalant à une surface qui ne renverrait aucun rayonnement et le 1 correspond à un miroir. A titre indicatif, la glace a un albédo d’environ 60% et la neige fraîche de 90%.

Il est par ailleurs possible de déterminer approximativement l’albédo d’une surface à la couleur dont on la perçoit. Par défaut la lumière visible est blanche mais se compose en réalité d’une multitudes de longueur d’ondes colorées. Il est notamment possible de les observer en les séparant à l’aide d’un prisme. 

Lorsque la lumière du soleil atteint la neige, elle est presque totalement réfléchie. La lumière qui parvient à notre œil est donc blanche. De même, les plantes nous apparaissent vertes car c’est la longueur d’onde qu’elles réfléchissent, par opposition aux autres longueurs d’ondes qu’elles absorbent. Une surface qui nous apparaît noire est donc une surface qui absorbe la quasi totalité des longueurs d’ondes.

Le Vantablack, un noir fabriqué depuis 2014 est ainsi célèbre pour ne réfléchir que 0,04% de la lumière qu’il reçoit.

Une étude publiée en 2014 dans la revue Nature Geoscience met également en évidence la forte diminution de l’albédo du Groenland lors de la dernière décennie. En cause : la présence d’impuretés qui assombrissent la neige. Mais les suies ne seraient pas les seules responsables ! Au printemps, les vents contribueraient également à ramener des poussières depuis les zones fondues. 

Une surface sombre est plus chaude qu’une surface claire

Cependant, la couleur d’une surface n’est pas qu’une affaire esthétique mais aussi…de température. Les longueurs d’ondes présentent en effet différents niveaux d’énergie. Lorsqu’elles sont absorbées par un corps, il y a alors passage de cette énergie lumineuse dans celui-ci. Cette transition se manifeste par une excitation des particules au niveau microscopique et donc par une élévation de la chaleur de ce corps. Par conséquent, plus un corps nous apparaît sombre et plus il aura tendance à émettre de la chaleur.

Autrement dit pour le Groenland, de la suie grise ou noire aura tendance à échauffer la glace située en dessous et donc à la faire fondre plus vite. Et en bout de chaîne cela contribuera indirectement à l’augmentation du niveau de la mer.

Peindre en blanc pour augmenter l’albédo

Dès lors, comment abaisser l’albédo d’un glacier pour éviter qu’il ne fonde trop vite ? En 2010, Eduardo Gold, fondateur de l’ONG « Glaciers du Pérou«  avait ainsi entrepris de repeindre le sommet de Chalon Sombrero..en blanc ! Conçue à partir de chaux et de blanc d’œuf dissous dans de l’eau, le péruvien avait pour objectif de refroidir le sol des sommets. Au total, ce ne sont pas moins de 700 hectares qui avaient ainsi été couverts.

Plus récemment, la ville de Los Angeles a également décidé de repeindre certaines de ses rues en blanc. Grâce à un revêtement spécial étalé sur l’asphalte, la municipalité espère ainsi contribuer à abaisser la chaleur de ses routes.

Mais si repeindre le Groenland de peinture blanche semble difficilement envisageable, recouvrir ses glaciers de neige fraîche pourrait bien ralentir leur fonte. Aux deux Alpes, où la technique est expérimentée depuis plusieurs années, cela semble en tout cas fonctionner. Visiblement satisfaite, la station de ski locale prévoit ainsi d’ajouter 6 canons à neige à son dispositif. Inspirant. 

https://www.sciencesetavenir.fr/

Seconde vie: une initiative d’ici pour lutter contre le gaspillage des fruits et légumes


Des jeunes entrepreneurs ont décidé de prendre en main le gaspillage alimentaire des produits de la terre, autant les fruits et légumes bio que non-bio. C’est une belle initiative qui permet d’éviter de trop nourrir les poubelles
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Seconde vie: une initiative d’ici pour lutter contre le gaspillage des fruits et légumes

 

ANNE STEPHNESON / EYEEM

Ou comment donner une seconde chance aux fruits et légumes

Heureusement, il existe maintenant plusieurs façons de réduire le gaspillage alimentaire. En plus du compost et de la commercialisation des fruits et légumes moches dans les supermarchés, voilà qu’il est maintenant possible de commander notre panier de fruits et légumes à peine moins beaux que ceux vendus à plein prix en épicerie.

L’entreprise Seconde Vie permet une fois de plus de réduire le gaspillage alimentaire. Fondée par les jeunes entrepreneurs, Thibaut Martelain et Quentin Dumoulin, l’idée leur est venue à la suite d’une visite à la ferme, où ils ont constaté le gaspillage immense au cours de la production maraîchère. Au lieu de voir les fruits et légumes légèrement défraîchis se retrouver à la poubelle, ils ont décidé de leur donner une deuxième chance.

Le concept est simple

Il suffit de commander notre panier en ligne en précisant la fréquence à laquelle nous aimerions les recevoir, chaque semaine ou aux deux semaines. Il faut ensuite choisir le point de cueillette qui nous convient le mieux. Il en existe actuellement une quarantaine principalement sur l’île de Montréal, en plus de trois endroits sur la Rive-Sud.

« Le contenu des paniers varie chaque semaine et nous essayons de nous adapter au maximum aux produits de saison. La composition des paniers est diffusée chaque samedi sur notre site internet » ajoute, Laetitia Penn, responsable marketing chez Seconde Vie.

À titre d’exemple, un panier bio (en surplus, mais pas vraiment difformes ou sur le point de moisir) pour une personne comprenant des fruits et des légumes coûte 22$. Alors que le panier pour une personne de produits locaux (non bio), difformes ou en surplus coûte 9,25$. Dans tous les cas, la quantité est souvent suffisante pour une semaine, à moins d’avoir des envies ou besoins précis de certains produits. Qui plus est, il n’y a aucune obligation d’achat, puisque la facturation se fait à chaque commande. Si on souhaite annuler notre commande ou changer la fréquence de livraison, on a qu’à leur faire savoir.

D’autres façons d’agir

En plus de cette nouvelle initiative pour éviter le plus possible le gaspillage alimentaire, il y a plusieurs autres gestes concrets que nous pouvons poser pour réduire les pertes d’aliments comestibles et ainsi minimiser notre empreinte écologique au passage.

En voici quelques-uns :

Conservez vos retailles de légumes (vert de poireau, pelure de pomme de terre, bout de carotte et de céleri) au congélateur et ajoutez-les à vos bouillons maison.

Planifiez vos achats en faisant un inventaire de ce que vous avez déjà dans votre garde-manger, réfrigérateur et congélateur.

Évitez d’acheter de grandes quantités d’aliments frais si vous n’avez pas prévu de les cuisiner.

Indiquez la date d’entreposage sur les aliments pour garder le fil de leur durée de conservation au congélateur et placez ceux ayant la date la plus éloignée à l’avant du congélateur.

Même chose dans le frigo, mettez les aliments à consommer rapidement à la portée de la main

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http://quebec.huffingtonpost.ca

Un « œil bionique » implanté pour la première fois au Québec


De grands espoirs pour ceux qui ont une perte de vision importante pouvant aller à la cécité. Un « oeil bionique » La première personne qui a eu l’implant d’une puce, n’a peut-être pas une vision parfaite, mais elle a peut continuer sa vie presque comme avant, mais surtout voir ses enfants et son dernier-né.
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Un « œil bionique » implanté pour la première fois au Québec

 

 

Infographie ci-dessus : Gaëlle Lussiaà-Berdou, de l’émission Découverte, explique le fonctionnement de l’oeil Argus sur une infographie de Patricia Dallaire.

Une femme atteinte d’une maladie dégénérative de la rétine est devenue la première Québécoise à se faire implanter un « œil bionique », une prothèse qui lui permet aujourd’hui de recouvrer une partie de sa vision et de voir, pour la première fois, son petit garçon.

Un texte de Valérie Boisclair

Sandra Cassell fait partie des quelque 3000 Québécois à être atteints d’une rétinite pigmentaire, une forme fréquente de la dystrophie rétinienne. Chez certains patients, la vision se dégrade de plus en plus avant d’arriver à la cécité totale.

Mme Cassel a reçu son diagnostic en 2001, à l’âge de 26 ans. De retour aux études, cette mère de trois enfants – qui allait accueillir par la suite un autre petit garçon – a vu son état se détériorer progressivement au cours des cinq années suivantes.

À l’époque, aucune possibilité de traitement ne s’offrait à elle.

« J’étais prête à faire tout ce qu’il faut », a confié Mme Cassell lors d’une conférence de presse, jeudi.

Ses recherches l’ont menée à découvrir l’entreprise américaine Second Sight, qui en était à développer sa prothèse rétinienne Argus II.

« Certains la surnomment l’œil bionique, explique la docteure Cynthia Qian, ophtalmologiste spécialiste en chirurgie vitréo-rétinienne. Cette prothèse peut offrir la chance d’avoir à nouveau une vision fonctionnelle. »

Sans redonner une vue parfaite, l’« œil bionique » permet aux patients de distinguer les contours et de reconnaître les formes. L’implant redonne ainsi à une personne non voyante la possibilité de mener ses activités quotidiennes, indique le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal.

« Je suis maintenant capable de voir mes enfants, ou encore le piéton dans la rue. Capable de trier mes vêtements, de déterminer la hauteur des choses », se réjouit Mme Cassell, qui pensait ne « jamais être capable de voir à nouveau ».

Sans mon Argus, je ne vois rien. Avec lui, je vois, oui, d’une façon différente. Mais ça me donne beaucoup d’espoir. Sandra Cassell

Une puce dans l’œil

Développée depuis le début des années 2000, l’Argus II est faite spécifiquement pour traiter les cas de rétinite pigmentaire, comme celui de Mme Cassell, indique la Dre Qian.

Cette prothèse consiste en une caméra, fixée sur des lunettes, qui est connectée à une puce greffée sur la rétine de l’œil.

Les images captées par la caméra sont converties en une série de pulsations électriques qui sont transmises à la puce.

« Le but de ces pulsations est de stimuler les cellules encore vivantes dans la rétine et de contourner celles qui sont mortes », ajoute la Dre Qian.

Cette opération de près de quatre heures est réservée « aux patients qui ont une perte sévère de la vision pour l’instant, mais le but est d’aider davantage de patients à l’avenir », note le docteur Flavio Rezende, ophtalmologiste chirurgien rétinologue à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, qui a réalisé l’implantation.

À la lumière de cette expérience, le Dr Rezende et son équipe du Centre universitaire d’ophtalmologie de l’Université de Montréal (CUO) tentent désormais de pousser encore plus loin cette technologie. Une « deuxième génération » devrait voir le jour, en collaboration avec l’Université de Melbourne.

Une opération difficile

Avant d’être réalisée avec succès sur Sandra Cassell, cette opération a connu des complications, raconte le Dr Rezende.

« La première chirurgie avait mal fonctionné. Dans ces conditions, c’était difficile de convaincre quelqu’un d’aller de l’avant avec cette opération », soutient celui qui a consacré près de trois ans et demi de sa carrière à tenter d’amener cette technologie dans la province.

Le Dr Rezende s’est dit extrêmement fier du travail accompli par Mme Cassell.

C’est grâce à [cet œil bionique] que Mme Cassell a pu voir son petit garçon pour la première fois. Dr Flavio Rezende

Après avoir subi l’opération, en mai dernier, Sandra Cassell a dû consacrer plusieurs heures à la réhabilitation.

« C’est un long processus qui dépend beaucoup de la motivation de la personne. […] Chaque petite amélioration représente une grande victoire », soutient Geneviève Lizé, spécialiste en activité clinique à l’Institut Nazareth et Louis-Braille, où Mme Cassell s’est rendue durant cinq mois afin de réapprendre à voir.

L’Hôpital Maisonneuve-Rosemont est le premier centre du Québec et le deuxième du Canada à réaliser cette opération délicate, selon le CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal.

http://ici.radio-canada.ca/