Le New York Times publie une tribune anonyme explosive visant Trump


Le New York Times a t’il eu raison de dévoilé un texte anonyme dont il connait qui est l’auteur ? De toute manière n’importe qui peut voir que Donald Trump n’est pas l’homme a gouverner un pays. Aussi, s’il le nom est dévoilé, il sera mis dehors du gouvernement. Et il en faut des gens pour empêcher les caprices du président.
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Le New York Times publie une tribune anonyme explosive visant Trump

 

The Associated PressDonald Trump

Le New York Times a publié mercredi la tribune anonyme d’un haut responsable de l’administration Trump qui explique pourquoi et comment il s’efforce, avec d’autres, de lutter de l’intérieur contre les “pires penchants” du président américain.

Dans un tweet lapidaire composé d’un seul mot écrit en majuscules, le locataire de la Maison Blanche s’est demandé s’il s’agissait d’une “TRAHISON”.

Il avait auparavant dénoncé un texte “lâche”, stigmatisant avec virulence l’attitude “très malhonnête” du quotidien new-yorkais.

La publication de ce témoignage intervient au lendemain de la diffusion de larges extraits d’un livre explosif du journaliste d’investigation Bob Woodward, qui dresse le portrait d’un président colérique et paranoïaque que ses collaborateurs s’efforcent de contrôler, voire de contourner, pour éviter de dangereux dérapages.

L’auteur de ce texte, intitulé “Je fais partie de la résistance au sein de l’administration Trump”, souligne clairement qu’il ne s’agit pas pour lui de soutenir la démarche de la gauche américaine mais de protéger son pays contre le comportement de son 45e président.

“Nous pensons que nous avons d’abord un devoir envers notre pays, et que le président continue à agir d’une façon néfaste à la bonne santé de notre république”, écrit-il.

“C’est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés à faire ce que nous pouvons pour préserver nos institutions démocratiques tout en contrecarrant les impulsions les plus malencontreuses de M. Trump jusqu’à ce qu’il ait quitté son poste”.

“Le coeur du problème est l’amoralité du président”, poursuit-il.

Estimant que l’administration a engrangé un certain nombre d’avancées depuis son élection –déréglementation, réforme fiscale, renforcement de l’armée– il juge que ces dernières ont été obtenues “en dépit de et non grâce” à Donald Trump, dont il qualifie le style de leadership de “mesquin”, “impétueux” et “inefficace”.

Le New York Times explique avoir pris la décision rare de publier une tribune anonyme à la demande de son auteur, dont le quotidien connaît l’identité.

“Nous pensons que publier cet essai est le seul moyen de permettre à nos lecteurs de prendre connaissance d’un point de vue important”, dit le journal.

La porte-parole la Maison Blanche, Sarah Sanders, s’est dite “déçue mais pas surprise” par la décision du quotidien de publier le texte, dénonçant une tribune “pathétique, irréfléchie et égoïste”.

“Près de 62 millions de personnes ont voté pour le président Donald J. Trump en 2016 (…). Aucune d’entre elles n’a voté pour une source lâche et anonyme du New York Times en faillite”, a-t-elle ajouté, reprenant à son compte une expression fréquemment utilisée par le président américain.

Selon elle, l’auteur de ce texte “fait passer son ego avant la volonté du peuple américain”. “Ce lâche devrait faire la seule chose qui s’impose et démissionner”, a-t-elle conclu.

La publication de ce texte a suscité la stupeur et de nombreuses interrogations, parfois aussi de vives critiques, au sein des rédactions des grands journaux américains et au sein-même du New York Times.

“En clair, les journalistes du New York Times doivent maintenant essayer de déterminer l’identité d’un auteur dont nos collègues de la rubrique Opinion se sont engagés à protéger l’anonymat?”, s’est ainsi interrogée sur Twitter Jodi Kantor, journaliste d’investigation au New York Times.

“Ou est-ce que le journal dans son ensemble est tenu par cette promesse d’anonymat?”, a-t-elle ajouté. “Je ne pense pas, mais c’est fascinant”, a-t-elle encore écrit, évoquant une démarche probablement “sans précédent”.

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Trump piégé par un canular téléphonique à bord d’Air Force One


Bon, ce n’est pas vraiment un canular, (je n’aime pas les canulars) et en plus, cela manque de piquant, j’en suis même déçu mais cela a prouver qu’il semble facile d’appeler le président même au bord de l’avion Air Force One.
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Trump piégé par un canular téléphonique à bord d’Air Force One

 

ERIC THAYER / REUTERS

C’est possible.

Agence France-Presse

Piéger le président de la première puissance mondiale avec un canular téléphonique à bord d’Air Force One? C’est possible.

Se faisant passer pour le sénateur démocrate du New Jersey Robert Menendez, le comédien John Melendez a réussi à entrer en contact par téléphone avec Donald Trump mercredi soir alors que ce dernier se trouvait à bord de l’avion présidentiel Air Force One.

L’acteur a diffusé un enregistrement de la conversation sur son podcast, « The Stuttering John Podcast », dans laquelle on peut entendre une voix qui semble être celle de Donald Trump.

« Vous avez traversé des épreuves difficiles, et je pense que c’était un peu injuste, mais félicitations », dit-il au « sénateur », un temps poursuivi pour corruption avant que les charges à son encontre ne soient finalement abandonnées.

Les deux hommes poursuivent ensuite leur conversation, passant de l’immigration au remplacement du juge Anthony Kennedy à la Cour suprême.

Le comédien a raconté avoir appelé la Maison Blanche en se faisant passer pour un assistant du sénateur, après avoir laissé un numéro de portable, et, in fine, avoir été mis en contact avec le président à bord d’Air Force One.

Sollicitée par l’AFP sur cette histoire surprenante qui pose de nombreuses questions sur le protocole permettant d’avoir accès au président, la Maison Blanche n’avait pas répondu vendredi après-midi.

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Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique


Bien que je trouve que Donald Trump ne vaut pas une statue, l’idée de faire son effigie sur un iceberg en Arctique est une idée qui me plait. Ceci est pour montrer au monde surtout aux climatosceptiques, que les changements climatiques sont une réalité vraiment inquiétantes.
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Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique

 

portrait trump iceberg

Le portrait de Donald Trump pourrait être gravé sur un iceberg.

PROJECT TRUMP MORE

Par Joël Ignasse

Une ONG finlandaise veut tailler un iceberg à l’effigie du président des Etats-Unis pour alerter contre le réchauffement du climat.

En juin 2017, Donald Trump, récemment investi, annonçait que les États-Unis se retiraient de l’Accord de Paris, conclu fin 2015 par plus de 190 pays sous l’égide de l’ONU. Le président Américain n’avait jamais caché son climatoscepticisme et avait annoncé durant sa campagne sa volonté de négocier « un nouveau traité, plus favorable au peuple américain ». Un an plus tard, le processus de Paris suit son cours sans les États-Unis et les oppositions contre la politique environnementale américaine se multiplie aussi bien

Trump va-t-il fondre ?

C’est dans ce contexte de réprobation qu’une ONG finlandaise, Melting Ice, vient de lancer un projet un peu fou mais qui, s’il se concrétise, sera vraiment spectaculaire et sans doute quelque peu effrayant. L’association veut en effet sculpter un immense portrait de Donald Trump sur un iceberg. L’œuvre mesurera près de 35 mètres de hauteur et 20 mètres de large. Un double glacé et glaçant du Mont Rushmore dans le Dakota du Sud où sont gravés les bustes de quatre anciens présidents des États-Unis. L’ambition de l’ONG étant de montrer au monde la réalité du changement climatique en observant l’effigie fondre au fil des mois dans une région, l’Arctique, qui n’est pas épargnée par le réchauffement mondial.

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Donald Trump a fait plus de 3000 affirmations fausses ou malhonnêtes, selon le Washington Pos


On s’attend qu’en politique malheureusement, qu’il y aura des mensonges au gouvernement, mais quand on compile plus de 3 milles mensonges ou de propos douteux alors que le mandat n’est vraiment pas fini, c’est une honte. Donald Trump semble passer maître du mensonge sauf que, certains sont tellement évident qu’on se demande comment il se fait qu’il soit encore au pouvoir dans un pays tel que les États-Unis
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Donald Trump a fait plus de 3000 affirmations fausses ou malhonnêtes, selon le Washington Post

 

SAUL LOEB VIA GETTY IMAGES

Par Mathieu Galarneau

Et les mensonges sont de plus en plus fréquents.

 

    Le président américain Donald Trump aurait fait pas moins 3001 affirmations jugées fausses ou malhonnêtes, selon le Washington Post, qui réalise le travail de moine d’analyser tous les dires du coloré leader.

    Comme il est en poste depuis 466 jours, cela fait une moyenne de 6,5 affirmations mensongères par jour. Mais ce qu’a constaté le Post est encore plus troublant: Trump semble mentir de plus en plus fréquemment.

    Lors de ses 100 premiers jours de gouverne, il disait en moyenne 4,9 affirmations douteuses. Dans les deux derniers mois, c’est plutôt 9 par jour.

    Par exemple, il a affirmé à 72 reprises avoir adopté la plus importante baisse d’impôts de l’histoire, alors qu’elle ne se classe qu’au huitième rang. Le «fact checker» (vérificateur de faits) du Post a répertorié 113 affirmations fausses que le président a répété au moins trois fois.

    Pour obtenir ces données, le Washington Post utilise les discours de Trump tant à la Maison-Blanche que lors de ses rassemblements partisans à travers les États-Unis et ses conférences de presse avec des leaders étrangers, par exemple. Les tweets, si chers au coeur du président, sont aussi évalués.

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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse


L’horloge de cataclysme a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit de peur que le monde connaitrait des événements désastreux mondialement. Bien sûr, il y a les changements climatiques, mais aussi l’imprévisibilité du Président des États-Unis, d’une possible course aux armements et la Corée du Nord qui ne laisse pas sa place dans ses menaces
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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse

 

Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse... (PHOTO AP)

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

PHOTO AP

 

JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
Washington

L’horloge de l’apocalypse, qui symbolise l’imminence d’un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit en raison surtout d’un risque accru de conflit nucléaire mondial et de «l’imprévisibilité» du président américain.

L’aiguille de l’horloge du Bulletin of Atomic Scientists n’avait pas été aussi proche de minuit depuis 1953, en pleine Guerre froide quand les États-Unis et l’Union Soviétique testaient la bombe à hydrogène.

«Pour sûr, l’année 2017 a été périlleuse et chaotique… avec des déclarations irresponsables dans le domaine nucléaire qui ont enflammé des situations déjà dangereuses», a indiqué jeudi à la presse Rachel Bronson, présidente et éditrice du Bulletin of the Atomic Scientists qui ajuste chaque année l’heure de cette horloge symbolique.

«La question nucléaire est ainsi revenue au centre des préoccupations», a-t-elle ajouté, citant les essais nucléaires de la Corée du Nord, un engagement accru de la Chine, du Pakistan et de l’Inde envers leurs arsenaux nucléaires et «l’imprévisibilité» qui ressort des tweets et des déclarations de M. Trump.

«En 2017, les dirigeants mondiaux ne sont pas parvenus à répondre efficacement aux menaces grandissantes de guerre nucléaire et de changement climatique qui rendent le monde plus dangereux qu’il ne l’a été depuis la Seconde guerre mondiale», a écrit ce groupe d’intellectuels représentant les sciences, les affaires internationales, l’environnement et la sécurité.

«Les principales puissances nucléaires sont sur le point de relancer une nouvelle course aux armements qui sera très coûteuse et augmentera le risque d’accidents et d’erreurs», ont craint ces experts, pointant également «les progrès remarquables» du programme nucléaire nord-coréen en 2017.

En même temps, «une rhétorique enflammée et des actions provocatrices à la fois de la part des États-Unis et de la part de la Corée du Nord ont accru la possibilité d’un conflit nucléaire», déplorent-ils.

Robert Rosner, professeur d’astronomie et d’astrophysique à l’université de Chicago, a surtout épinglé durant la conférence de presse l’administration Trump dont les «incohérences» accroissent les risques de confrontation nucléaire et «constituent un défi majeur pour la dissuasion et la stabilité mondiale.»

Course aux armements

La Maison-Blanche «cherche probablement à accroître le rôle des armes nucléaires dans les plans de défense américain abaissant de ce fait le seuil de leur utilisation», a-t-il relevé.

Le Pentagone doit dévoiler la semaine prochaine la nouvelle stratégie nucléaire de Donald Trump. Les fuites jeudi d’un document de travail de la Nuclear Posture Review montrent que le ministère américain de la Défense souhaite le développement d’un nouveau type d’arme nucléaire d’une puissance assez faible pour être employée sur le champs de bataille plutôt que de servir à vaporiser une mégalopole.

M. Rosner a ajouté que les intellectuels avaient «constaté que les principaux pays investissent davantage dans leur arsenal nucléaire pour le moderniser et en accroître les capacités».

Les tensions dans les relations américano-russes représentent également une menace pour la sécurité planétaire, a renchéri Sharon Squassoni, professeure à l’Institute for International Science and Technology Policy de l’université George Washington.

«Pour la première fois depuis très longtemps, il n’y a aucune négociation entre Washington et Moscou sur le contrôle des armes nucléaires», a-t-elle relevé, ajoutant qu’«on pourrait voir un retour d’une course aux armements nucléaires».

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

En 2017, l’aiguille avait déjà été avancée de trente secondes à minuit moins deux minutes et trente secondes, les scientifiques invoquant notamment la rhétorique et les actions de Donald Trump.

En 2015, l’horloge avait été reculée de deux minutes, à 23h57, et laissée inchangée en 2016.

Les scientifiques avaient alors cité comme facteurs encourageants l’accord sur le nucléaire iranien ainsi que sur le climat à  Paris fin 2015.

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Donald Trump vu comme un enfant gâté par son entourage


J’ai comme l’impression que le livre « Le feu et la colère, dans la Maison Blanche de Trump sera vendu comme des petits pains chauds. Que Trump a besoin de gratification immédiate ne surprendra pas vraiment. Si son entourage dit de lui qu’ils doutent de sa capacité de gouverner, dommage qu’ils ne le destituent pas, car les Américains en souffrent beaucoup
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Donald Trump vu comme un enfant gâté par son entourage

 

Le controversé livre qui doit être publié à son sujet avancerait que tout l’entourage proche du président américain remet en cause sa capacité à gouverner.

  • Agence-France-Presse

Tout l’entourage proche de Donald Trump remet en cause sa capacité à gouverner, a affirmé vendredi matin Michael Wolff, auteur d’un livre polémique sur le président américain, qui a tenté d’en empêcher la sortie.

« Laissez-moi être clair. 100% des personnes qui l’entourent », a répondu Michael Wolff, interrogé sur les proches du président américain qui doutent de sa capacité à gouverner, vendredi matin sur la chaîne NBC.

« Tout le monde l’a décrit de la même manière, ils disent qu’il est comme un enfant. Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’il a besoin de gratification immédiate. Tout tourne autour de lui », a également affirmé l’auteur de « Fire and Fury: Inside the Trump White House » (« Le feu et la colère, dans la Maison Blanche de Trump »), invité de la célèbre émission matinale « The Today Show ».

Ils disent de lui que c’est un crétin, un idiot.Michael Wolff

Wolff a insisté sur ce point, affirmant avoir interrogé des sources qui côtoient le président américain « tous les jours ».

Michael Wolff a également affirmé avoir parlé « trois heures » au milliardaire, avant ou après son élection, pour son livre.

« Bien sûr, j’ai parlé au président. Qu’il ait réalisé que c’était une interview ou pas, je ne sais pas, mais ce n’était pas en +off+ » (c’est à dire des propos destinés à rester confidentiels, ndlr), a-t-il également assuré alors que l’occupant de la Maison Blanche a affirmé jeudi soir dans un tweet ne lui avoir « jamais parlé pour un livre ».

La sortie de « Fire and Fury: Inside the Trump White House », initialement prévue mardi, a été avancée à vendredi.

L’avocat du président américain, Charles J. Harder, avait demandé en vain jeudi à l’éditeur de ne pas publier l’ouvrage, évoquant notamment le motif de la diffamation.

Donald Trump affirme que le livre est un tissu « de mensonges, déformations et sources qui n’existent pas ».

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Trump peut-il ordonner seul une frappe nucléaire?


Quand j’étais jeune, on se disait que cela suffit qu’un fou pèse sur le bouton pour que la bombe nucléaire soit lancée. On n’est pas si loin de la vérité. Avec ce qui se passe avec la Corée du Nord, et un président tel que Donald Trump qui souvent attise le feu ne rassure pas sur les possibilités d’une telle action
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Trump peut-il ordonner seul une frappe nucléaire?

 

 

Charlie RiedelCharlie Riedel / The Associated Press

Par Robert BurnsThe Associated Press

WASHINGTON — C’est une question à laquelle on ne s’intéressait pas beaucoup avant que Donald Trump soit élu: est-ce que quelqu’un pourrait empêcher le président des États-Unis d’ordonner une attaque nucléaire anticipée?

La réponse est non.

Le Congrès n’y pourrait rien, le secrétaire d’État n’y pourrait rien et, logiquement, les militaires qui auraient la responsabilité de concrétiser cet ordre n’y pourraient rien non plus.

Comme l’explique Bruce Blair, un expert du commandement de l’arsenal nucléaire,

«le protocole d’utilisation des armes nucléaires confère à tout président un pouvoir capable d’anéantir la civilisation».

M. Trump, a-t-il écrit dans une lettre ouverte au Washington Post l’été dernier, «a le pouvoir non contrôlé d’ordonner une frappe nucléaire anticipée contre n’importe quel pays de son choix avec une simple commande verbale au Pentagone».

Ou, comme l’avait expliqué l’ancien vice-président Dick Cheney en décembre 2008, le président «pourrait lancer une attaque dévastatrice comme le monde n’en a jamais vue. Il n’a pas à consulter qui que ce soit. Il n’a pas à appeler le Congrès. Il n’a pas à consulter les tribunaux».

Et le monde a changé depuis dix ans, avec la menace nucléaire nord-coréenne qui se fait plus épeurante que jamais. Le paysage politique américain a lui aussi changé, et les adversaires de M. Trump — même au sein de son parti — se demandent maintenant s’il exerce un trop grand pouvoir sur l’arsenal nucléaire du pays.

Le sénateur républicain Bob Corker, qui compte parmi les principaux détracteurs du président, dit que plusieurs élus remettent en question les pouvoirs du président et le recours aux armes nucléaires.

L’historien Alex Wellerstein, qui a étudié de près l’autorité nucléaire du président, espère que la discussion «jettera un peu plus de lumière sur l’utilisation présidentielle des armes nucléaires, car je pense que nous avons besoin de savoir et d’en parler».

Il ajoute que l’évolution du système américain est plus tributaire de la tradition et des précédents que des lois.

«La technologie de la bombe en elle-même ne nécessite pas une telle façon de faire, a-t-il dit par courriel. C’est le résultat des circonstances. Je crois que les circonstances qui ont accouché de ce système, et le monde dans lequel nous vivons, sont suffisamment différents que nous pourrions, et même que nous devrions, envisager une révision du système.»

Questionné à brûle-pourpoint à ce sujet lundi, le secrétaire à la Défense Jim Mattis a patiné quand on lui a demandé quel rôle il jouerait dans une éventuelle décision du président d’utiliser des armes nucléaires:

«Je suis le principal conseiller du président concernant le recours à la force», a-t-il dit.

Quand on lui demande s’il est confortable avec le système actuel, il répond «Je le suis», sans s’avancer plus.

Certaines facettes de l’autorité nucléaire présidentielle sont secrètes et donc très mal connues du public. Le système favorise une prise de décision rapide, et non des débats interminables, car la rapidité est essentielle face à un adversaire comme la Russie qui — contrairement à la Corée du Nord — dispose de suffisamment d’armes nucléaires pour incinérer les États-Unis en quelques minutes.

Après une attaque lancée depuis un sous-marin nucléaire russe, le président pourrait avoir moins de dix minutes pour décider de sa réplique, selon un rapport publié en décembre 2016 par une spécialiste des armes nucléaires du Congrès.

Un président qui déciderait de lancer une frappe nucléaire — anticipée ou en riposte à une attaque — consulterait tout d’abord le secrétaire à la Défense, le chef d’état-major de l’armée américaine et d’autres conseillers. Le commandant du Commandement stratégique des États-Unis présenterait des options au président, qui prendrait ensuite sa décision.

Le président s’identifierait au Pentagone à l’aide de codes qui lui sont uniques et qui sont inscrits sur une carte qu’il garde sur lui en tout temps. L’ordre d’attaquer serait alors transmis au Pentagone et au Commandement stratégique.

M. Blair prévient qu’il est ensuite impossible d’annuler l’ordre du président, tout comme il est impossible de détruire les missiles une fois qu’ils ont été lancés.

Même si la bombe nucléaire est entre les mains de l’armée, elle est essentiellement une arme politique en raison de sa puissance destructrice inimaginable. Cela explique pourquoi toutes les décisions concernant son utilisation sont concentrées dans le bureau qui détient le pouvoir politique ultime: celui de la présidence.

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Elle découvre le portrait de Donald Trump dans l’oreille de son chien


C’est peut-être subjectif, mais la ressemblance est quand même frappante. Heureusement pour le chien, ce ne sera qu’un mauvais souvenir bientôt
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Elle découvre le portrait de Donald Trump dans l’oreille de son chien

 

chien trump

Incroyable mais vrai !

Il y a de cela quelques jours, une jeune femme britannique a découvert que son Beagle âgé de deux ans avait le portrait du 45e président des Etats-Unis dans l’oreille.

Une découverte un peu étrange qu’elle a décidé de poster sur les réseaux sociaux où le succès a été immédiat avec plus de 45.000 likes.

« Cette photo a été prise alors que Chief faisait la sieste car il déteste qu’on s’approche trop de ses oreilles et je jure que j’ai regardé cette photo plus de 20 fois et que je n’ai jamais vu Donald Trump – c’est mon ami à l’œil de lynx qui l’a vu. »

Un kyste en forme de Donald Trump dans l’oreille

 

En réalité, la jeune britannique de 25 ans avait pris cette photo pour l’envoyer à son vétérinaire car son chien souffre d’un kyste dans l’oreille. En effet, Chief le Beagle ayant de grandes oreilles, elles trainent régulièrement par terre et ramassent beaucoup de saletés.

Chief devra prochainement être opéré afin que le kyste soit retiré.

https://wamiz.com

Pour priver Trump de la bombe atomique, il faudra lui enlever la présidence


Quand j’étais petite, on savait qu’il y avait un bouton rouge qui lançait une bombe nucléaire et on y a pensé qu’il suffit qu’un fou pèse sur ce bouton pour entrer dans une nouvelle guerre. Généralement, il y a une procédure pour lancer une bombe, mais si une décision doit être prise rapidement, il ne faut qu’une personne, le Président qui peut décider de lancer les missiles nucléaires en seulement 3 à 7 minutes. Les prochaines élections américaines sont seulement en 2020, c’est long quand on entend toutes les stupidités de ce Président. Espérons que d’ici là, il se tiendra tranquille et défait au prochaine élection
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Pour priver Trump de la bombe atomique, il faudra lui enlever la présidence

 

Des activistes antinucléaire grimés en Donald Trump et Kim Jong-un, le 13 septembre 2017 à Berlin. BRITTA PEDERSEN / DPA / AFP.

Des activistes antinucléaire grimés en Donald Trump et Kim Jong-un, le 13 septembre 2017 à Berlin. BRITTA PEDERSEN / DPA / AFP.

Jean-Marie Pottier

Les menaces du président américain envers la Corée du Nord ont relancé le débat  complexe sur la procédure de déclenchement des frappes nucléaires.

 

Deux images de Donald Trump. La première, à la tribune de l’Onu mardi, annonçant qu’il est prêt si besoin à «détruire totalement» la Corée du Nord. La seconde, le même jour, caricaturé en une du magazine Rolling Stone, poitrine en avant et bouche grande ouverte, sous le titre «La folie de Donald Trump».

Un fou a-t-il la main sur le bouton nucléaire de la première puissance mondiale? Sans être toujours posée aussi crûment (mais parfois, oui), la question agite les milieux politique et militaire américains depuis la campagne présidentielle.

Le week-end dernier encore, dans une tribune publiée dans le New York Times, deux experts, dont un ancien conseiller de Barack Obama pour l’Asie, estimaient qu’il est temps pour les États-Unis de s’assurer «que le président ne puisse pas simplement fournir les codes à son aide de camp porteur de la mallette nucléaire et lancer une attaque de sa propre autorité».

 Ils suggéraient que cette attaque ne puisse résulter que d’une décision unanime d’un petit groupe qui pourrait inclure le vice-président, le secrétaire à la Défense, le chef d’état-major des armées et les dirigeants des deux grands partis au Congrès. Un autre spécialiste des affaires militaires estime lui aussi que toute décision d’ouverture du feu nucléaire devrait dans l’idéal d’abord passer par le secrétaire à la Défense, le conseiller pour la sécurité nationale ou le chef de cabinet de la Maison-Blanche.

Toutes les procédures permettant le lancement des missiles nucléaires nécessitent l’action de deux personnes: c’est ce qu’on appelle la two-man rule. Toutes, sauf la plus importante: la prise de décision elle-même. Le secrétaire à la Défense, l’autre membre de l’autorité de commandement nationale, doit confirmer que l’ordre vient bien du président, mais cette confirmation ne constitue pas une validation et ne donne pas un droit de veto. Sous Nixon, le secrétaire à la Défense James Schlesinger, confronté à un président dépressif et alcoolique, avait contourné la loi en demandant au Pentagone de passer par lui ou par son homologue du Département d’État Henry Kissinger en cas d’ordre de mise à feu nucléaire.

Une proposition de loi visant à empêcher le président des États-Unis d’utiliser l’arme nucléaire sans autorisation expresse du Congrès a été déposée en janvier par deux élus démocrates, et s’accompagne d’une campagne de communication intitulée No Red Button («pas de bouton rouge»). Mais elle ne porte que sur le droit du président de lancer une frappe nucléaire préemptive, pas sur celui de réagir à une attaque contre les États-Unis. Un scénario où le temps de réaction interdit tout débat entre une dizaine de personnes.

Selon Bruce G. Blair, cofondateur de l’ONG Global Zero, si une attaque nucléaire étrangère est imminente, le président doit pouvoir être briefé sur le sujet en trente secondes et a cinq minutes pour se décider. En novembre 1979, Zbigniew Brzezinski, le conseiller pour la sécurité nationale de Jimmy Carter, avait failli réveiller son patron en pleine nuit après deux alertes (finalement fausses) d’attaque nucléaire soviétique: le laps de temps dont aurait disposé Carter pour trancher était alors évalué entre trois et sept minutes…

Le débat n’est donc pas seulement entre folie et raison, mais entre réactivité et lenteur. Il n’est pas uniquement de savoir si l’on risque de confier l’arme atomique à un fou, il est de décider si on veut pouvoir être prêt à l’utiliser en quelques minutes au milieu de la nuit –une question classique des campagnes électorales américaines.

Le problème, comme l’explique le juriste Stephen L. Carter, est que les États-Unis n’ont pour l’instant pas trouvé de meilleure procédure pour assurer une réponde rapide et maintenir la primauté du pouvoir civil (le président) sur le militaire:

«La seule vraie façon de restreindre la capacité d’un président de lancer une guerre est d’élire quelqu’un en qui vous avez confiance», conclut-il.

Autant dire que le plus sûr moyen de mieux dormir, pour ceux qui cauchemardent Trump le doigt sur le bouton rouge, est de s’assurer qu’il soit battu en novembre 2020.

http://www.slate.fr

Découverte de la plus vieille photo intacte d’un président américain


Une vieille photo évaluée à 150 et 250 millions de dollars. Bien qu’elle a un caractère historique, étant une photo du 6 ème président des États-Unis ce n’est pas un peu exagéré ?
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Découverte de la plus vieille photo intacte d’un président américain

 

Pris il y a 150 ans, ce cliché de John Quincy Adams, sixième président des Etats-Unis, vient d’être retrouvé.

Offerte par John Quincy Adams à un ami proche, la photo réapparait 150 plus tard grâce à l’un des descendants de Horace Everett.

L’arrière-arrière-petit-fils de l’heureux bénéficiaire a retrouvé le cliché dans les affaires de ses parents après leur disparition dans les années 1990, rapporte Mashable. Intrigué par la découverte, il a effectué quelques recherches sur internet avant d’établir l’importance historique du document.

La photo sera vendue aux enchères en octobre prochain et est estimée entre 150 et 250 millions de dollars.

http://www.7sur7.be