Le petit bonheur


Oui le petit bonheur, n’est jamais bien loin, mais souvent, on préfère regarder ailleurs
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Le petit bonheur

 

© Eric Fillaud / wise-photographie

Il traîne à l’arrière ou il court devant. Parfois, il marche un petit moment à nos côtés; le bonheur.

Félix Leclerc

Un pélican apprend à pêcher


On dit qu’on ne donne pas un poisson à un pauvre, on lui montre à pêcher, c’est d’autant plus vrai quand le pauvre est un pélican perdu
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Un pélican apprend à pêcher

Après avoir perdu son groupe pendant une tempête, Bigbird, un jeune pélican blanc, a été récupéré par les employés d’un camp Nomad Tanzania à Greystoke Mahale, en Tanzanie. Jeffrey, le directeur du camp, a pris soin de l’oiseau.

Tous les matins Jeffrey l’a emmené sur son kayak au large pour lui apprendre à pêcher. Au cours de leurs parties de pêche, l’homme et l’oiseau ont développé une amitié peu probable. Il faut savoir que le pélican a pour habitude de pêcher en groupe.

Ils forment un demi-cercle à la surface de l’eau et repoussent les poissons vers les eaux peu profondes en écartant les ailes. Tout en avançant, ils plongent le bec dans l’eau pour attraper des poissons.

http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► Une colocataire à 100 pattes : la scutigère!


    Un insecte qui a probablement profité des voyages en bateau en partance d’Europe pu s’introduire partout dans le monde. C’est un insecte utile, qui aime manger d’autres insectes. Personnellement, j’en ai déjà vu 3 et dans 3 maisons différentes, et sa vitesse est vraiment impressionnante
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    Une colocataire à 100 pattes : la scutigère!

    Par Mario Bonneau

    À son apparence, elle est peu invitante comme premier choix de colocataire, mais à ses habitudes de vies, elle en est une rêvée! Scutigera coleoptrata de son petit nom, la scutigère de maison (également appelée scutigère véloce) est un animal appartenant au groupe des myriapodes.

    Ce groupe inclut les centipèdes (100 pattes, comme la scutigère) et les millipèdes (1 000 pattes), souvent confondus les uns avec les autres, mais ça, c’est une autre histoire! La scutigère passe souvent inaperçue, mais lorsqu’elle nous fait le privilège de se montrer le bout de ses pattes, il s’agit d’une expérience que l’on n’oublie pas! Il s’agit d’une prédatrice discrète (mais efficace) qui fuit la lumière : ce qui explique pourquoi on ne la croise pas souvent. On la retrouve, pour la plupart du temps, dans les endroits chauds et humides.  On peut aussi l’apercevoir à l’occasion sur un mur ou encore dans la baignoire, par exemple.

    Profil du « coloc »

    La colocataire discrète est beige et brune avec trois lignes foncées qui s’étendent sur toute la longueur de son corps. Sa longueur varie, mais se situe généralement autour de trois centimètres bien qu’il ne soit pas rare qu’elle en atteigne près de cinq.

    La longueur de ses pattes laisse cependant l’impression d’une bestiole beaucoup plus grande. Elles se comptent au nombre de trente et sont de plus en plus longues en partant de la tête vers l’extrémité de son corps.  Ceci lui permet de ne pas « s’empêtrer dans ses pattes ».  La dernière paire est d’ailleurs beaucoup plus grande que les autres et peut être confondue avec les antennes.  Chez la femelle, elle peut atteindre deux fois la longueur de son corps! La scutigère possède deux yeux composés de plusieurs (jusqu’à 600) « yeux simples », que l’on appelle des ocelles.  Elle utilise, pour capturer ses proies, une paire de petits crochets (des forcipules) avec lesquels elle injecte du venin pour les paralyser.

    Un exterminateur peu coûteux

    Premier réflexe : on tente de l’évincer! Toutefois, il faut savoir que cet arthropode se nourrit des petits insectes (mouches, lépismes, blattes, cloportes, etc.) qui se trouvent dans notre demeure. Il effectue ainsi un travail d’extermination à la fois efficace et gratuit.  La scutigère s’active souvent entre nos murs, là ou notre balai n’a pas accès…  C’est d’ailleurs au même endroit que plusieurs bestioles échappent également aux précieux outils ménagers! Discret, propre, et toujours partant pour faire le ménage à des endroits peu accessibles où squattent d’autres bestioles dans nos habitations : n’est-ce pas le colocataire idéal?

    Saviez-vous que?

  • Le venin de la scutigère n’est pas reconnu comme dangereux pour les humains.

  • La scutigère est d’une rapidité à faire rougir les sprinteurs olympiques (d’où son nom de « véloce »). Son corps est comparable à une Formule 1. La scutigère peut se déplacer à une vitesse de 40 cm/seconde.

  • La scutigère fut introduite d’Europe.  Elle s’est également répandue dans plusieurs pays et est maintenant cosmopolite.

  • Lorsque dérangée, la scutigère peut émettre une odeur désagréable

  • La scutigère véloce peut se nourrir de ses congénères; elle est donc également cannibale!

  • Les forcipules (crochets) sont des pattes modifiées, elles ne sont pas attachées sur la tête, mais au premier segment corporel.

http://espacepourlavie.ca/

En 744 et 993, la Terre a été attaquée par deux énormes éruptions solaires


Même si le soleil est très, très loin, il demeure qu’une tempête solaire de forte intensité provoquerais des pannes de courant à grande échelle et toute notre belle technologie serait au point mort, jusqu’à temps que le tout soit réparé
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En 744 et 993, la Terre a été attaquée par deux énormes éruptions solaires

 

Éruption solaire | NASA Goddard Space Flight Center via Wikimedia Commons License by

Éruption solaire | NASA Goddard Space Flight Center via Wikimedia Commons License by

Repéré par Grégor Brandy

Si ces éruptions solaires se reproduisaient aujourd’hui, nous aurions de gros problèmes.

En 774 et 993, la Terre a vu arriver dans son atmosphère «d’énormes vagues de particules subatomiques».

Si cette découverte n’est pas tout à fait nouvelle, Slate.com nous apprend qu’on sait désormais d’où elles venaient: du Soleil.

«Les astronomes auteurs de ces recherches estiment que [la tempête solaire] de 774 (la plus puissante des deux) était cinq fois plus puissante que n’importe quelle tempête solaire observée entre 1956 et 2005.»

Au vu de ces nouvelles informations, Phil Plait est plutôt inquiet, car, si un tel événement se reproduisait, il faudrait des mois pour remplacer les différents transformateurs de courant, ce qui serait synonyme –entre autres– de mois sans électricité.

Échappé au pire

Il donne ainsi l’exemple du Québec en 1989 quand une «surtension a fait sauter d’énormes transformateurs électriques en Amérique du Nord, ce qui peut prendre des mois à remplacer».

Plus proche de nous, en 2012, nous avons là encore échappé au pire:

«En 2012, le Soleil en a laissé échapper une autre énorme tempête, […] mais heureusement pour nous, elle a été envoyée dans une autre direction et a manqué la Terre. Si elle nous avait touchés, l’énorme flux chargé en particules aurait surchargé les satellites. Pire, les courants induits géomagnétiquementauraient causé des pannes de courant généralisées et des blackouts.»

Alors, comme il le prévient, «une tempête solaire monstrueuse pourrait être la menace la plus immédiate en provenance de l’espace, mais nous sommes en mesure d’y faire face si nous nous y préparons».

http://www.slate.fr/

Trois nouvelles épaves identifiées dans le Saint-Laurent


 

Le Saint-Laurent a été le théâtre de batailles navales lors de la Deuxième guerre Mondiale. Les Allemands attaquaient les bateaux qui passaient dans les eaux québécoises
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Trois nouvelles épaves identifiées dans le Saint-Laurent

 

En 2014, Samuel Côté a découvert une épave située au large de Sainte-Flavie. Il s'agit du Viking, qui a sombré en 1874.

En 2014, Samuel Côté a découvert une épave située au large de Sainte-Flavie. Il s’agit du Viking, qui a sombré en 1874. Photo :  Urbania TV

L’historien Samuel Côté et le Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans (CIDCO) ont découvert trois épaves, au large du Cap-Gaspé, coulées par des sous-marins allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les navires grecs Mount Pindus et Mount Taygetus, ainsi que le navire canadien Oakton, ont été identifiés par l’équipe à une profondeur de 215 mètres et à environ 34 kilomètres de la côte. Les trois navires ont été coulés par le sous-marin allemand U-517, du commandant Paul Hartwig, au printemps 1942. Le sous-marin a tiré trois torpilles qui ont toutes touché leurs cibles ce jour-là. Un navire a finalement récupéré les 78 survivants des trois navires torpillés.

Depuis un mois, des missions en mer ont eu lieu pour cartographier les fonds marins à la recherche d’épaves de navires marchands coulés par les sous-marins allemands en 1942. Ces missions se sont déroulées au large de Cloridorme et du parc national Forillon. L’expédition en mer n’a toutefois pas permis d’identifier formellement les épaves des deux premiers navires torpillés de la Bataille du Saint-Laurent, soit le Nicoya et le Léto, coulés au large de Rivière-Madeleine.

La Bataille du Saint-Laurent, une histoire qui refait surface
Les U-Boat ont fait la loi dans le Saint-Laurent de mai à octobre 1942 et ont coulé 21 navires marchands qui devaient ravitailler l’Europe.
Deux cent cinquante personnes sont mortes noyées, dont des passagers du traversier Caribou qui reliait le Cap-Breton et Terre-Neuve.

L’historien Samuel Côté, surnommé le « chasseur d’épaves », souhaite faire connaître cet épisode méconnu de notre histoire, dont les 75 ans seront soulignés en 2017.

La municipalité de Grande-Vallée veut aussi créer un centre d’interprétation sur la Bataille du Saint-Laurent.

http://ici.radio-canada.ca/

L’inaction sur le climat fera flamber la pauvreté


Alors qu’on parle d’irradier l’extrême pauvreté en 2030, un obstacle majeur se dresse devant ce projet.Alors qu’on parle d’irradier l’extrême pauvreté en 2030, un obstacle majeur se dresse devant ce projet.
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L’inaction sur le climat fera flamber la pauvreté

 

Un sans-abri tente de trouver le sommeil dans... (Archives AP, Bernat Armangue)

Un sans-abri tente de trouver le sommeil dans une rue de New Delhi, en juillet dernier.

ARCHIVES AP, BERNAT ARMANGUE

JEREMY TORDJMAN
Agence France-Presse
WASHINGTON

Nouvelle mise en garde pour la communauté internationale: 100 millions de personnes pourraient basculer dans l’extrême pauvreté dans les 15 prochaines années si aucune action n’est prise pour freiner le changement climatique.

Lancé dimanche par la Banque mondiale (BM), l’avertissement accentue la pression sur les dirigeants du globe qui se réunissent début décembre à Paris pour la conférence COP21, avec l’objectif de conclure un accord international limitant les gaz à effet de serre.

Il intervient également quelques jours après un rapport alarmiste des Nations unies assurant que les promesses de réduction des gaz à effet de serre sont, en l’état, insuffisantes pour contenir le réchauffement à + 2 °C.

« Sans [un] développement  »climato-intelligent », le changement climatique pourrait faire basculer plus de 100 millions de personnes dans la pauvreté à l’horizon 2030 », indique la BM dans son rapport.

L’impact serait particulièrement fort sur le continent africain où le changement climatique pourrait entraîner une flambée des prix alimentaires pouvant atteindre 12 % en 2030.

Ce serait « un coup très dur pour une région où la consommation alimentaire des ménages les plus pauvres représente plus de 60 % leurs dépenses », souligne l’institution de développement économique.

L’Asie du Sud serait, elle aussi, en première ligne.

En Inde, les chocs agricoles et la prolifération plus rapide des maladies résultant des dérèglements climatiques pourraient faire basculer 45 millions de personnes sous le seuil de l’extrême pauvreté (moins de 1,90 dollar par jour).

L’impact sur le globe serait également sanitaire.

Un réchauffement planétaire de 2 à 3 °C par rapport à l’ère préindustrielle – supérieur à l’objectif de +2 °C de la communauté internationale – pourrait augmenter de 5 % le nombre d’habitants exposés au paludisme, soit une hausse de 150 millions de personnes, selon la Banque mondiale.

L’incidence des maladies diarrhéiques menacerait également de grimper de 10 % dans les quinze prochaines années, indique le rapport de l’institution.

Plus globalement, l’inertie sur le climat risquerait de compliquer l’objectif d’éradication de l’extrême pauvreté d’ici à 2030 que la Banque mondiale s’est fixé.

Progrès menacés

Début octobre, l’institution s’était félicitée des progrès sur ce front avec une extrême pauvreté qui devrait reculer en 2015 à un niveau sans précédent et frapper moins de 10 % de la population mondiale, soit 702 millions de personnes.

Mais ces avancées pourraient être compromises par la hausse du thermomètre mondial.

« Il ne sera pas possible de mettre fin à la pauvreté si nous ne prenons pas des mesures énergiques pour atténuer la menace que le changement climatique fait peser sur les pauvres et si nous ne réduisons pas massivement les émissions nocives », a estimé le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, cité dans un communiqué.

Dans son rapport, l’institution appelle notamment à mettre en oeuvre un « développement soucieux du climat, rapide et solidaire » qui renforcerait les capacités de résistance des populations aux aléas climatiques.

L’amélioration des systèmes de protection sociale et la mise en place d’une couverture santé universelle figurent parmi les propositions de la Banque mondiale, qui assure toutefois qu’une action internationale coordonnée reste indispensable.

« À plus long terme, seule une action internationale immédiate et soutenue visant à réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre permettra de préserver des millions de personnes de la pauvreté », affirme ainsi la Banque mondiale.

L’institution reconnaît que les mesures freinant l’impact des dérèglements climatiques auront un « coût net » mais ajoute qu’elles pourraient toutefois être financées par le produit d’une éventuelle taxe carbone.

Les pays riches se sont engagés à allouer à ceux du Sud 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020 pour financer la lutte contre le réchauffement climatique.

Début octobre, la Banque mondiale avait décidé d’augmenter sa contribution à cette enveloppe sous la pression de la communauté internationale.

http://www.lapresse.ca/

Comment Chicago règle son problème de chats errants


Tous les chats errants sont stérilisés et vaccinés sans compter qu’ils ont pour la plupart du travail sans pour autant être confinés dans un appartement ou pire un refuge. Leur travail est très écologique et évite de prendre des produits toxiques
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Comment Chicago règle son problème de chats errants

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Instagram – nipofcourage

Comme Los Angeles ou New York, la ville de Chicago compte de nombreux chats errants. Des chats sans famille ni abri, qui depuis peu ont vu leur vie changer. Les chats des rues se sont en effet vu offrir un travail, un vrai, avec le gîte et le couvert à la clef. De nombreuses brasseries de la ville ont adopté des chats pour chasser les rats de leurs établissements et protéger leurs réserves de grains. 

Chicago regorge de brasseries envahies par les rats et de chats errants prêts à mettre leur instinct de chasseurs à leur service.

Le programme Cats at Work, a été mis en place par une association de protection animale, la Tree House Humane Society, qui place aussi des chats dans des usines, des granges, des restaurants, des quais de chargement et autres arrière-cours de Chicago.

Ces chats n’étant pas domestiques, ils sont particulièrement doués pour la chasse et accomplissent à merveille leur mission. La simple présence des chats effraie les rats, qui sont bien moins nombreux à s’aventurer sur leurs terrains de garde. Certains osent encore provoquer les félins, mais ces derniers étant régulièrement nourris, ils en font rarement leur repas. 

chat
Un chat surveille une distilelrie. (© Instagram – whiskeydarek)

Depuis le lancement du programme, 400 chats ont ainsi pu trouver un travail à Chicago et dans sa banlieue, rapporte le site DNAinfo.

Tous les chats ont été vaccinés et stérilisés par l’association avant d’être replacés dans des endroits stratégiques. Et tous ont été introduits dans leurs nouveaux environnements avec beaucoup de précautions.

« Ils ne sont pas des animaux sauvages. Ils sont toujours des chats domestiques, mais ils n’ont pas été socialisés. Leur socialisation est toujours en évolution. Ils peuvent devenir très sympas » affirme Jenny Schlueter, qui gère le programme Cats of Work. 

chat
© Instagram – distillerycats

« Le programme Cats at Work est le seul espoir pour de nombreux chats errants d’être placés dans des lieux sûrs pour le reste de leur vie » souligne l’association.

Les chats profitent d’un certain confort mais ne sont pas confinés comme ils le seraient dans un refuge ou un petit appartement. Ils sont qui plus est dispensés de tenir compagnie aux humains s’ils n’en ont pas envie. 

chat distillerie
© Instagram – distillerycats

http://wamiz.com/

SeaWorld annule son attraction vedette avec les orques


Cela serait bien, si on interdisait partout en Amérique la capture d’animaux (ou né en captivité) pour des spectacles. Bien sûr, il n’aurait plus de spectacles avec les animaux marins, mais les animaux n’ont-ils pas le droit dans de vivre dans leur environnement en toute liberté ?
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SeaWorld annule son attraction vedette avec les orques

 

SeaWorld s'est défendu en déclarant qu'il traitait les animaux... (PHOTO REUTERS)

SeaWorld s’est défendu en déclarant qu’il traitait les animaux avec dignité et qu’il n’avait pas capturé d’orques au large depuis 35 ans.

PHOTO REUTERS

Agence France-Presse
Los Angeles

Le parc d’attraction aquatique SeaWorld, accusé de maltraiter les animaux, a annoncé lundi qu’il allait progressivement supprimer l’une de ses attractions vedette avec des orques.

SeaWorld a indiqué que ce spectacle phare de son deuxième plus gros parc, celui de San Diego, en Californie, serait remplacé en 2017 par une nouvelle attraction «éducative».

«Nous ne nous limitons pas à un seul animal, à un seul spectacle ou à une seule attraction», a estimé le directeur général Joel Manby lors d’un webcast avec des investisseurs, affirmant que sa société travaillait à son repositionnement.

SeaWorld s’est retrouvé sous le feu des critiques et a vu sa fréquentation plonger dans ses 11 parcs, particulièrement en Californie, après la diffusion en 2013 d’un documentaire très acclamé, Blackfish, qui dénonçait l’impact de la captivité des orques.

Le groupe a tenté de redorer son blason par une nouvelle campagne marketing et des offres de rabais.

L’association de protection des animaux PETA, l’une des premières à dénoncer le traitement des orques par SeaWorld, a toutefois estimé que le retrait du spectacle n’était pas suffisant.

Pour Jared Goodman, de PETA, s’il était nécessaire d’arrêter les «spectacles clinquants style cirque», SeaWorld doit surtout cesser de retenir les orques en captivité.

«C’est comme si un cirque arrêtait de fouetter les lions pendant des spectacles mais les gardait emprisonnés dans des cages à vie», a-t-il fait valoir.

La semaine dernière, le parlementaire californien Adam Schiff a affirmé qu’il envisageait un projet de loi interdisant progressivement de garder et d’élever les orques en captivité, des mesures qui enterreraient pour de bon les spectacles comme celui de SeaWorld.

«Les preuves démontrent sans conteste que les dégâts psychologiques et physiques sur ces magnifiques animaux dépassent de loin tout le bénéfice de leur exhibition», a martelé M. Schiff.

SeaWorld s’est défendu en déclarant qu’il traitait les animaux avec dignité et qu’il n’avait pas capturé d’orques au large depuis 35 ans.

 Les organisations scientifiques comme la sienne «font partie de la solution, pas du problème», conclut la société.

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