Trop de richesse peut gâter le bonheur


Quand nous avons trop de choses que nous ne savons plus quoi en faire, que nos garde-robes, armoires possèdent des richesses que n’est jamais utilisé alors à quoi cela sert
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Trop de richesse peut gâter le bonheur

 

Un jour qu’une dame le consultait, et qu’il venait de lui dire que trop de richesses gâtait parfois le bonheur, Benjamin Franklin s’aperçut que sa visiteuse secouait la tête d’un air incrédule. Alors, prenant une pomme dans un panier plein de fruits qui se trouvait là, il appela un enfant qui jouait dans la pièce voisine et lui fit présent de la pomme. L’enfant pouvait à peine la tenir dans sa petite main. Franklin lui en offrit une seconde, que le bambin, tout joyeux, prit de l’autre main. Puis, choisissant une troisième pomme, plus belle encore que les 2 premières, il la tendit de la même façon. L’enfant serra alors ses 2 mains pleines contre sa poitrine, et essaya de prendre et de retenir le dernier fruit avec l’aide des deux autres. Mais ses efforts furent inutiles; la troisième pomme tomba sur le tapis, et il fondit en larmes.  Alors Franklin se tourna vers la dame:

« Voici, dit-il, un petit homme qui a trop de richesses pour pouvoir en jouir. Avec 2 pommes, il était heureux, mais il ne l’est plus avec 3…

Le Saviez-Vous ► En 1965, un rapport alertait déjà sur les dangers du réchauffement climatique


En 1965, le danger des changements climatiques n’était pas connu pour le commun des mortels et pourtant, déjà à cette époque, des scientifiques avaient sonné l’alarme.
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En 1965, un rapport alertait déjà sur les dangers du réchauffement climatique

 

La couverture du rapport «Restoring the Quality of Our Environment» | via Standord.edu

La couverture du rapport «Restoring the Quality of Our Environment» | via Standord.edu

Repéré par Robin Panfili

Un rapport scientifique remis au président Lyndon B. Johnson prônait une véritable prise de conscience écologique.

Alors que les pays du monde entier tentent de trouver un accord pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de la COP21, il est utile de se souvenir que les inquiétudes autour du réchauffement climatique ne datent pas d’hier. Il y a cinquante ans, le 5 novembre 1965, un rapport alertait déjà le président américain Lyndon B. Johnson, des risques encourus rappelle le Guardian.

Le rapport, rédigé par des scientifiques spécialistes du climat (Roger Revelle, Wallace Broecker, Charles Keeling et Harmon Craig), montre que les effets du changement climatiques étaient déjà clairement identifiés en 1965.

«À l’échelle mondiale, les polluants ont modifié la teneur en dioxyde de carbone de l’air et la concentration de plomb dans les océans», peut-on lire dans l’introduction.

Les scientifiques pointaient également la responsabilité de l’homme dans les émissions de CO2 et en prévoyaient l’augmentation dans les décennies à venir.

Fonte des glaciers, montée des eaux

Au-delà de la hausse des températures, le rapport listait d’autres conséquences: la fonte des glaciers, la hausse du niveau des mers et de leur température, le danger de l’acidification des océans et de l’utilisation des hydrocarbures à cause de leur l’émission accrue de gaz carbonique dans l’atmosphère.

Mais les scientifiques ne se contentaient pas seulement d’alerter sur les dangers du changement climatique, ils suggéraient également des pistes pour lutter contre le phénomène, comme la géo-ingénierie, une technique qui consiste à contrôler le climat à l’aide de la physique et de la chimie.

Après la publication du rapport, le 8 février 1965, le président Johnson s’était exprimé devant le Congrès américain pour partager son inquiétude. Voici ce qu’il disait:

«Notre génération a altéré la composition de l’atmosphère à l’échelle globale […] en augmentant de façon régulière la concentration en dioxyde de carbone par l’utilisation des combustibles fossiles.» 

http://www.slate.fr/

Un coiffeur s’occupant d’un enfant autiste fait le buzz


Cela ne doit pas être évident en effet d’avoir des ciseaux et couper les cheveux d’un jeune enfant autisme qui ne veut vraiment pas se faire couper les cheveux. Je crois qu’il y a peu de coiffeurs qui serait prêt à faire comme ce jeune homme. C’est une belle initiative
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Un coiffeur s’occupant d’un enfant autiste fait le buzz

 

 

Un coiffeur s'occupant d'un enfant autiste fait le buzz

© James Williams_Facebook

Coiffer un enfant autiste de 4 ans. Un challenge difficile qu’a relevé haut la main un coiffeur gallois. Les photos, partagées sur les réseaux sociaux, ont fait le buzz.

A 4 ans, Mason n’aime pas qu’on lui coupe les cheveux. Comme tout garçonnet, direz-vous. A la différence que le petit Britannique a été diagnostiqué autiste. Il s’avère donc encore plus difficile pour ses parents de permettre à un homme muni d’une paire de ciseaux de s’occuper des cheveux de Mason. Ce qui était jusqu’ici une mission impossible est devenu une belle histoire plébiscitée par les réseaux sociaux : Mason n’a plus peur de passer sous les mains d’un coiffeur.

La prouesse émane de James Williams, un coiffeur qui travaille au salon Jim The Trim, dans la ville de Port Talbot, au Pays-de-Galles.

Cet homme de 26 ans, paire de lunettes tendance, coiffure branchée et bras tatoués, ne s’est pas laissé abattre outre mesure par le trouble envahissant du développement dont souffre le petit Mason. Sa stratégie a consisté à détourner la difficulté en rentrant dans « l’univers » du garçon sans le froisser.

« J’ai enfin réussi« 

Après moult tentatives d’approches, le coiffeur a réussi à couper les cheveux de Mason sans que celui-ci ne soit perturbé. Il s’y est pris en se couchant à même le sol, paire de ciseaux à la main. Si la posture n’était pas si confortable, elle a permis à l’artiste de s’occuper de la tête du garçon, concentré à jouer sur un smartphone. Les photos de cette victoire capillaire ont été postées sur son profil Facebook et les réseaux sociaux. Elles ont été vues plus de deux millions de fois.

« Aujourd’hui, j’ai enfin réussi », s’est enthousiasmé James Williams.

Quand celui-ci a demandé à Mason de lui taper dans les mains, en signe de victoire, l’enfant s’est jeté dans ses bras. Une démonstration d’affection qui a touché le coiffeur.

http://www.topsante.com/

À 47 ans, elle apprend être enceinte et accouche juste après


Je sais que ce n’est pas la première fois que cela arrive, d’ailleurs, j’ai déjà eu connaissance personnellement a ce genre de fait. Il est vrai qu’à 47 ans, une prise de poids inexpliqué laisse a penser à la ménopause, enfin bon. Maintenant, c’est une course pour préparer la venue de bébé à la maison
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À 47 ans, elle apprend être enceinte et accouche juste après

 

À 47 ans, elle apprend être enceinte et accouche juste après

Judy BrownCapture d’écran Ohmymag

L’histoire est à  peine croyable, mais elle est pourtant bien réelle. Judy Brown, une habitante de la banlieue de Boston, a été victime de graves douleurs abdominales il y a quelques jours. Ni une, ni deux, elle a demandé à  son mari Jason de l’accompagner à l’hôpital de Beverly.

Toutefois, sur place, les médecins lui expliquent qu’elle est en fait enceinte. Une énorme surprise pour Judy, d’autant que l’accouchement a eu lieu une heure plus tard.

Interrogée quelques jours après la naissance de la petite Carolyn Rose par ABC News, la jeune mère de famille a confié qu’elle liait sa prise de poids des derniers mois à sa ménopause. Désormais, le couple, marié depuis 22 ans mais qui n’avait jamais eu d’enfant, va devoir faire face à un nouveau défi.

http://fr.canoe.ca/

Il a escaladé la Tour Eiffel à mains nues et sans sécurité


Doit-on l’applaudir ? N’aurait-il pas fallu que lui et ses amis puissent avoir une peine exemplaire ? C’est beau vouloir prouver sa bravoure, mais un jour ou l’autre, un accident arrivera et qui sera accusé de négligence ?
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Il a escaladé la Tour Eiffel à mains nues et sans sécurité

huff

Si vous souffrez d’acrophobie (la peur du vide) ou tout simplement de vertige, la vidéo ci-dessous risque de vous retourner l’estomac. James Kingston est un jeune Britannique dont le passe-temps favori est l’escalade de bâtiments hors du commun, sans sécurité ni autorisation. Au début du mois de novembre, le grimpeur de gratte-ciel a décidé de s’attaquer aux 324 mètres de la Tour Eiffel.

L’aventurier s’est lancé dans une effarante ascension du grand monument parisien à main nue, en pleine nuit. Un exploit qu’il a partagé sur son compte YouTube, le 8 novembre dernier.

« La Tour Eiffel était l’un de mes objectifs depuis un certain temps », précise James Kingston dans la description de la vidéo.

huff

Accompagné de son équipe, il s’est introduit dans la fameuse tour en évitant de justesse la sécurité. A 1h du matin, ils ont commencé leur escalade en passant par la plate-forme supérieure entièrement éclairée. Durant plusieurs heures, James Kingston et ses acolytes se sont amusés sur le monument avant d’être repérés par la patrouille de sécurité. L’équipe est redescendue aux alentours de 9h du matin et accueillie par le service d’ordre.

« Nous avons été menottés et emmenés au poste de police du quartier où nous avons été détenus et interrogés pendant près de 6 heures avant d’être relâchés sans inculpation », raconte le grimpeur, toujours dans la description de sa vidéo.

James Kingston et ses partenaires ont dû s’engager à ne pas visiter la construction pendant 3 ans. Une sanction qui n’a pas terni l’enthousiasme du jeune homme puisqu’il peut « maintenant officiellement barrer la tour Eiffel » de sa liste.

Ce n’est pas la première fois que le Britannique fait parler de lui. Il est aussi connu pour avoir grimpé la voûte au-dessus du Wembley Stadium de Londres, ou encore pour son backflip au sommet du pont de Moscou en Ukraine, à 120 mètres de hauteur.

Quoi qu’on dise de cette performance dangereuse et surtout illégale sur la Tour Eiffel, il faut reconnaître que James Kingston s’est offert la plus belle vue de la capitale française.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Comment savoir si vous avez mauvaise haleine?


La mauvaise haleine est très incommodante, avoir une bonne hygiène dentaire aide grandement à éliminer les mauvaises odeurs, sinon, mieux vaut en parler au dentiste
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Comment savoir si vous avez mauvaise haleine?

 

Comment savoir si vous avez mauvaise haleine?

Votre langue est responsable.Photo Fotolia

Si vous pensez qu’une hygiène dentaire irréprochable suffit à échapper à  une mauvaise haleine, vous avez tout faux. Car dans cette histoire, notre langue tient elle aussi un rôle primordial. Et la négliger peut alors faire de vous la victime d’une haleine nauséabonde.

TRAQUER LES BACTÉRIES

Responsables neuf fois sur dix d’une mauvaise haleine, les bactéries sont les ennemies numéro un dont il faut vous débarrasser. Selon le Dr Harold Katz, une langue rugueuse, blanchâtre et craquelée est souvent cause de mauvaise haleine. En effet, se laver les dents ne suffit pas. Les bactéries se cachent avant tout et surtout sur notre langue, et plus précisément sur les sillons creusés par les papilles sur la partie postérieure de celle-ci.

Pour tenter de les éliminer au maximum, une solution existe. Il suffit tout simplement de brosser votre langue au moment où vous vous lavez les dents. N’hésitez pas non plus à brosser délicatement vos gencives ainsi que votre palais et l’intérieur des joues pour un nettoyage complet.

Certains aliments que nous consommons peuvent aussi entraîner l’apparition de bactéries comme les sucreries, les jus de fruits acides ou bien une alimentation trop riche en protéines. Tentez alors de réduire la consommation de ceux-ci afin de favoriser une haleine irréprochable.

ÉVITEZ D’AVOIR LA BOUCHE SÈCHE

Enfin, une bouche sèche est également un terrain favorable pour le développement de la mauvaise haleine. Une insuffisance salivaire causée par l’alcool, le tabac, une maladie ou encore un traitement peut être la cause d’une haleine désagréable.

Pour y remédier il faut à nouveau permettre à la bouche de saliver. Pour cela, rien de mieux que de mâcher une gomme ou encore de sucer des pastilles mentholées. N’hésitez pas non plus à boire régulièrement de l’eau et à garder une alimentation suffisamment équilibrée et saine.

http://fr.canoe.ca/

Le paradoxe du somnambule : il souffre de migraine mais ne ressent pas la douleur


Les somnambules sont sujets aux maux de tête, mais les blessures parfois graves pendant leurs promenades la nuit sont sans douleurs durant leur sommeil
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Le paradoxe du somnambule : il souffre de migraine mais ne ressent pas la douleur

 

La sculpture "Sleepwalker" qui se dresse sur le campus du Wellesley College dans le Massachusetts aux Etats-Unis. ©DARREN MCCOLLESTER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

La sculpture « Sleepwalker » qui se dresse sur le campus du Wellesley College dans le Massachusetts aux Etats-Unis. ©DARREN MCCOLLESTER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

Par Hugo Jalinière

Si les personnes somnambules souffrent plus fréquemment de migraines, il se trouve que durant leur promenade nocturne, la perception de la douleur disparaît chez nombre d’entre eux. Quelle que soit l’origine ou la gravité de la blessure.

SOMMEIL. Si vous voyez un somnambule se cogner l’orteil contre la table basse du salon, pas d’inquiétude, il n’a probablement rien senti… Ce choc anodin et pourtant si douloureux qu’il vous plierait en deux n’a que peu de chance de perturber ceux qui marche en dormant. C’est en tout cas ce que semble suggérer une étude menée par des chercheurs français de l’hôpital Gui-de-Chauliac à Montpellier. L’équipe dirigée par le Pr Yves Dauvilliers a mis en lumière « l’énigme clinique » de la douleur chez les somnambules : un véritable paradoxe. En effet, les chercheurs établissent qu’alors que cette population est plus sujette aux maux de tête et migraines, environ 80% d’entre elles ne ressentiraient pas la douleur due à d’autres causes lors d’une crise de somnambulisme. En cause ? Un état dissociatif propre à leur trouble du sommeil qui peut modifier non seulement la conscience et le comportement, mais aussi la perception de la douleur.

Les somnambules plus sujets aux migraines

C’est en voulant mener une étude sur la fréquence des douleurs chroniques, maux de têtes et migraines chez les somnambules que l’attention des chercheurs s’est déportée sur ce paradoxe. S’ils ont bien constaté que les patients se plaignaient en moyenne quatre fois plus de maux de tête et dix fois plus de migraines, l’étude menée sur 100 somnambules comparés à 100 personnes ne souffrant pas de troubles du sommeil a donc révélé autre chose. Les somnambules les plus sujets aux douleurs chroniques lorsqu’ils sont éveillés sont aussi ceux les moins sensibles à la douleur lors de leurs promenades nocturnes. Ainsi, sur les 47 personnes s’étant blessées parfois sérieusement pendant leur sommeil, la douleur n’en a réveillé que 10. Pour les 37 autres, ils se sont recouchés comme si de rien n’était… jusqu’à leur réveil, lors duquel la douleur se réveillait elle aussi.

Des blessures sérieuses, mais indolores 

Parmi les exemples cités par les chercheurs, certains sont assez incroyables. Ainsi le cas de ce patient qui est retourné se coucher après avoir sauté du troisième étage et avoir subi de multiples fractures. Ou de cet autre qui s’est cassé la jambe après être tombé du toit de sa maison sur lequel il cherchait à grimper et qui ne s’est finalement réveillé que le lendemain matin. Les chercheurs pointent ainsi un problème de nociception, ce processus sensoriel à l’origine du message nerveux qui provoque la douleur et qui sert normalement d’alerte à l’organisme. Ces travaux parus dans la revue spécialisée Sleep font ainsi l’observation d’un paradoxe qui nécessitera des recherches plus poussées avec un protocole spécifique afin de déterminer quel étrange tour le cerveau joue aux promeneurs nocturnes.

http://www.sciencesetavenir.fr/