Au Pérou, les mystérieux géoglyphes de Nasca livrent de nouveaux secrets


Des chercheurs japonais ont pu identifier 4 oiseaux dans le géoglyphe de Nasca au Pérou. Étrangement, les oiseaux dessinés n’étaient probablement pas présents dans cette région. Ces gens ont préféré dessiner des animaux exotiques. Il reste encore des oiseaux à identifier.
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Au Pérou, les mystérieux géoglyphes de Nasca livrent de nouveaux secrets


Au Pérou, les mystérieux géoglyphes de Nasca livrent de nouveaux secretsLes fascinantes lignes de Nasca, au Pérou.© Christian Haugen / Flickr CC BY 2.0.

Par Léia Santacroce –

Deux pélicans, un jeune perroquet… Des chercheurs japonais affirment avoir identifié avec précision les oiseaux tracés au sol dans les plaines désertiques du bassin du Rio Grande de Nasca, au Pérou.

Géoglyphe, nom masculin : « en archéologie, ensemble de motifs tracés au sol, sur de longues distances, qui ne sont visibles que d’une très grande hauteur », dixit le Larousse.

Tels les quelque 2000 dessins de Nasca, au Pérou, classés au patrimoine mondial en 1994. Les plus célèbres, assurément.

« Situés dans la plaine côtière aride à quelque 400 km au sud de Lima, les géoglyphes de Nazca et de Pampas de Jumana couvrent environ 450 km2, précise l’Unesco. Ces lignes, tracées dans le sol entre 500 av. J.-C. et 500 apr. J.-C., soulèvent l’une des plus grandes énigmes de l’archéologie en raison de leur quantité, de leur nature, de leur taille et de leur continuité. »

bart theeten / Flickr CC BY-NC-ND 2.0.

Des chercheurs japonais de l’université d’Hokkaido, de l’institut d’ornithologie de Yamashina et de l’université de Yamagata viennent de franchir une nouvelle étape dans la résolution de cette énigme. Dans un article paru le 20 juin dans le Journal ofArchaeological Science*, ils se sont penchés sur le cas précis des géoglyphes représentant des oiseaux (d’autres représentent des insectes, des fleurs, des arbres… d’autres encore des figures géométriques).

Ne pas confondre les canards et les perroquets

« Jusqu’à présent, les oiseaux de seize géoglyphes avaient été identifiés sur la base d’impressions générales, en s’appuyant sur quelques traits morphologiques, explique dans un communiquéMasaki Eda, de l’université d’Hokkaido. De notre côté, nous avons analysé les formes et les tailles relatives du bec, de la tête, du cou, du corps, des ailes, des pattes et de la queue des volatiles. Puis nous les avons comparés à ceux des oiseaux que l’on rencontre actuellement au Pérou. »

Résultat, ce que l’on prenait jusque-là pour un colibri appartiendrait en réalité à une sous-famille d’oiseau-mouche. Et ce que l’on pensait être un petit canard serait en fait un jeune perroquet. Deux pélicans ont également été repérés.

« Uniquement des espèces absentes de cette région du Pérou », font remarquer les chercheurs.

Ils estiment que les auteurs de ces géoglyphes ont pu les observer en se rendant sur la côte

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« Identifying the bird figures of the Nasca pampas : An ornithological perspective », un article de Masaki Eda, Takeshi Yamasakib, et Masato Sakaic paru dans le Journal of Archaeological Science le 20 juin 2019.

Leur découverte vient renforcer l’hypothèse selon laquelle les habitants de Nasca – une civilisation pré-Inca – préféraient dessiner des animaux exotiques : des pélicans et des oiseaux-mouches donc, mais également des singes et des araignées, animaux caractéristiques de la forêt amazonienne.

La méthode ornithologique présente cependant des limites : seuls quatre oiseaux sur seize ont pu être identifiés avec certitude. Pour faire avancer l’enquête, les scientifiques comptent désormais comparer les géoglyphes avec des volatiles figurant sur des poteries de la même époque exhumées dans la région.

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Un pélican apprend à pêcher


On dit qu’on ne donne pas un poisson à un pauvre, on lui montre à pêcher, c’est d’autant plus vrai quand le pauvre est un pélican perdu
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Un pélican apprend à pêcher

Après avoir perdu son groupe pendant une tempête, Bigbird, un jeune pélican blanc, a été récupéré par les employés d’un camp Nomad Tanzania à Greystoke Mahale, en Tanzanie. Jeffrey, le directeur du camp, a pris soin de l’oiseau.

Tous les matins Jeffrey l’a emmené sur son kayak au large pour lui apprendre à pêcher. Au cours de leurs parties de pêche, l’homme et l’oiseau ont développé une amitié peu probable. Il faut savoir que le pélican a pour habitude de pêcher en groupe.

Ils forment un demi-cercle à la surface de l’eau et repoussent les poissons vers les eaux peu profondes en écartant les ailes. Tout en avançant, ils plongent le bec dans l’eau pour attraper des poissons.

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États-Unis : une mystérieuse hécatombe de dauphins


Encore une hécatombe, cette fois-ci des dauphins aux États-Unis viennent s’ajouter a des morts que les savants disent ne pas savoir les causes qui pourraient être multiples dépendant peut-être du type d’espèce d’animal. Mais, je suis d’avis que si ce n’est pas nécessairement un virus, alors l’être humain serait en cause
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États-Unis : une mystérieuse hécatombe de dauphins

 

Photo d’illustration. © LILO / SIPA

Plus de 300 dauphins se sont échoués sur la côte atlantique américaine cet été. Les scientifiques peinent à trouver la cause de ce carnage.

 

De NOTRE CORRESPONDANTE À WASHINGTON, HÉLÈNE VISSIÈRE

C’est une hécatombe. Entre le 1er juillet et le 20 août, 299 cadavres de Grands Dauphins ont échoué sur les plages de la côte atlantique américaine, du New Jersey à la Virginie.

Le taux de mortalité est sept fois supérieur à celui d’un mois d’été habituel. En Virginie, en temps normal, on compte en moyenne sept cadavres de dauphins par mois. Mais en juillet, on a dépassé les 80, soit plus de deux animaux par jour. Idem dans le New Jersey, où on en a trouvé une quarantaine, des mâles, des femelles, des bébés, la plupart morts ou mourants. L’agence fédérale National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a classé cette épidémie massive dans la catégorie « mortalité inhabituelle », ce qui permet de débloquer des moyens d’urgence pour étudier la cause des décès.

Les scientifiques ont donc opéré toutes sortes de prélèvements sur les cadavres qui ne sont pas trop décomposés. Ils ont détecté chez certains des lésions pulmonaires, d’autres sont très maigres, mais pour l’instant, la raison de leur mort leur échappe encore. Une cause possible serait le morbillivirus, un virus de la famille de la rougeole, que l’on a trouvé dans les tissus d’un animal échoué dans le New Jersey. Ce virus s’est déjà manifesté il y a plus de 25 ans. En 1987, il a tué quelque 740 dauphins sur les côtes de l’Atlantique. Les biologistes ont mis trois ans à le détecter. Ils pensent que d’autres espèces de dauphins qui vivent en haute mer et qui sont porteurs sains de cette maladie les auraient contaminés.

Hécatombe de lamantins et pélicans

En attendant, le carnage continue, ce qui inquiète fortement les scientifiques, car plus de 20 000 dauphins doivent passer dans ces eaux dans les mois à venir, au cours de leur migration. Et ce n’est pas tout. Une autre maladie mystérieuse, et tout aussi meurtrière, ravage l’estuaire de l’Indian River en Floride, un des écosystèmes marins les plus riches des États-Unis. Cela a commencé l’été dernier avec la mort brutale de trois lamantins près de Cap Canaveral. Depuis, quelque 280 autres sont morts, ainsi qu’une cinquantaine de dauphins et plus de 300 pélicans.

Là encore, les scientifiques n’ont rien trouvé jusqu’ici et ne savent même pas s’il s’agit de la même maladie. Car les morts ne se ressemblent pas. Les lamantins, apparemment en bonne santé, meurent de manière foudroyante, certains ont encore de la nourriture dans la bouche. Les dauphins et les pélicans, en revanche, sont très mal en point, extrêmement émaciés, comme s’ils mouraient de faim. En outre, ces animaux ne mangent pas la même chose. Les dauphins et les pélicans se nourrissent de poissons, les lamantins sont herbivores.

Algues ou pollution ?

Selon les scientifiques, des algues pourraient être à l’origine de ce désastre écologique. Depuis quelques années, elles ont envahi les eaux de l’estuaire, remplaçant peu à peu les tapis d’herbes marines qui servent de nourriture et d’habitat à toutes sortes d’espèces. D’après l’autopsie, l’estomac des lamantins était plein d’une algue rouge, appelée gracileria. Ce type d’algue n’est pas nocif, mais les parois intestinales des mammifères montraient des symptômes d’irritation.

« Notre première idée, c’est qu’il y a un rapport avec les algues, quelque chose dans les sédiments absorbés par l’algue ou un de ses composants », expliquait une scientifique au magazine Wired.

Les poissons qui consomment aussi ces algues pourraient à leur tour empoisonner les pélicans et les dauphins.

Mais, bizarrement, les autres animaux amateurs d’algues, comme les tortues de mer, ne semblent pas touchés par l’épidémie, pas plus d’ailleurs que les autres oiseaux. Pour le moment, aucune toxine n’a été décelée dans les fonds sous-marins.

Selon les biologistes, il y aurait d’autres causes possibles. Cet estuaire fragile qui abrite plus de 4 000 espèces différentes est de plus en plus pollué, en partie à cause de l’urbanisation galopante, mais aussi des rejets d’engrais, du changement climatique, de l’acidification des eaux… Le gouverneur de Floride, Rick Scott, un républicain pur et dur, a beaucoup assoupli les règles de lutte contre la pollution et réduit les financements destinés à la recherche scientifique. Il a notamment mis son veto à une étude de deux millions de dollars dont le but était d’étudier les eaux de l’estuaire.

REGARDEZ un dauphin retrouvé mort dans le New Jersey

PHOTO © Marine Mammal Stranding Center

http://www.lepoint.fr

Chili 2000 oiseaux morts sur la plage


Une autre série noire d’oiseaux qui meurent en masse, cette fois on ajoute une nouvelle hypothèse qui laisse froid dans le dos .. mais si c’est vraiment la raison ici, cela n’explique pas la mort des oiseaux et animaux marins depuis quelques années et ce presqu’a la même période
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Chili 2000 oiseaux morts sur la plage

 

2000 oiseaux morts sur la plage

Crédit photo : AFP

Milliers d’oiseaux morts retrouvés au Chili, 11 mai 2012.

TVA Nouvelles selon AFP

Plus de 2000 carcasses d’oiseaux ont été retrouvées sur une distance de six kilomètres sur le littoral du centre du Chili, près de Santo Domingo.

Les pêcheurs qui pêchent près de cette côte sont pointés du doigt par les autorités environnementales chiliennes.

Quatre espèces ont été dénombrées. La plupart sont des pétrels gris, mais il y a aussi des pélicans, des fous de Bassan et des cormorans guanay.

 

(AFP)

Selon le directeur du musée de sciences naturelles et d’archéologie de San Antonio, José Luis Brito les pêcheurs auraient laissé les oiseaux se noyer en mer après qu’ils aient été pris dans les filets.

Il les accuse également de ne rien faire pour tenter d’aider ces prises non désirées.

Une centaine de cadavres d’oiseaux avaient déjà été retrouvés sur des plages du centre du pays dimanche.

Et ce qui inquiète, c’est que ce ne sont pas que des oiseaux qu’on retrouve morts, mais aussi d’autres mammifères marins. Ces dernières semaines, des milliers de dauphins ont été retrouvés morts sur les plages du Pérou, voisin du Chili.

Les autorités croient que le réchauffement climatique et le phénomène météorologique El Niño affecteraient les ressources alimentaires de ces espèces.

http://tvanouvelles.ca

Pérou : Plus de 200 pélicans trouvés morts sur des plages


C’est rendu qu’a tous les printemps des hécatombes d’oiseaux ou d’animaux meurent … Un virus ? Alors pourquoi que chaque année on a l’impression que c’est une espèces différentes qui meurent en masse .. ?
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Pérou : Plus de 200 pélicans trouvés morts sur des plages

Pérou  - Plus de 200 pélicans trouvés morts sur des plages

©SAJJAD HUSSAIN / AFP

Agence France-Presse
 

LIMA – Plus de deux cents pélicans ont été retrouvés morts sur des plages du nord du Pérou, dans la même zone où on avait découvert depuis le début de l’année 877 dauphins morts d’un virus, a rapporté samedi la presse locale.

Les pélicans ont été retrouvés par des pêcheurs au large des plages de Piura et de Lambayeque le long d’une bande côtère de 170 km, a précisé le journal El Comercio.

Le président de l’Association des pêcheurs indépendants de Puerto Eten, Francisquo Niquen, a expliqué que les pélicans agonisaient au moment où on les a découverts et que rien n’a pu être fait pour les sauver.

Le cas de ces volatiles ressemble à celui des 877 dauphins découverts à la mi-avril lorsque des dizaines de cétacés ont été rejetés sur les plages péruviennes de la même région, sans cause apparente.

Le minstère péruvien de l’Environnement poursuit son enquête sur le cas des dauphins. L’hypothèse la plus sérieuse à ce jour est qu’il s’agit d’un virus qui porte le nom de «morbillivirus».

Le vice-ministre de l’Environnement, Gabriel Quijandria, a déclaré le 19 avril que «ce n’est pas la première fois que cela se produit. Il y a eu des cas semblables de maladies mortelles pour les dauphins au Pérou, au Mexique et aux États-Unis».

Il a exclu que les cétacés aient été la victime des pêcheurs ou d’une action concertée de contamination par empoisonnement, comme le prétendent les membres de certaines associations de défense de l’environnement.

http://fr.canoe.ca

La faune


La faune et ses milles secrets sur terre, dans les airs et dans les mers, des êtres vivant parcourant la savane ou nageant dans les eaux froides, vivent au gré des vents, des vagues et du temps
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La faune

Lion de l’Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Léopard de mer, la péninsule Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Les chimpanzés de Gombe, en Tanzanie

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Pélicans blanc de la Louisiane

Photographe :Annie Griffiths, National Geographic


Grand requin-marteau, Bahamas

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


L’éléphant de forêt,  Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Phoque, Canada

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Macaques Japonais, Nagano

Photographe : Tim Laman, National Geographic


Chauve-Souris, Panama

Photographe : Christian Ziegler, National Geographic


Renard du Chili

Photographe : Joel Sartore, National Geographic


Girafe, Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Manchot papou, l’Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Plumes des mers, morue bleue, Nouvelle Zélande

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Gorille, République du Congo

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Tortue imbriquée, Mer Rouge

Photographe : David Doubilet, National Geographic


Hippopotame, Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic

 

http://photography.nationalgeographic.com