Nous avons tellement le jugement facile et sans que nous connaissions tous les dessous de l’affaire, de l’histoire vécue
Nuage
Juge
Lorsque quelqu’un juge votre chemin, prête-lui vos chaussures
Inconnu
Nous avons tellement le jugement facile et sans que nous connaissions tous les dessous de l’affaire, de l’histoire vécue
Nuage
Juge
Lorsque quelqu’un juge votre chemin, prête-lui vos chaussures
Inconnu
Des petits moments tendre en tête à tête entre papa et sa fille qui lui chante A whole new world dans le film d’Aladin
Nuage
Un petit moment de douceur
Nous connaissons les termes hétérosexualité, l’homosexualité, la bisexualité et bien sachez qu’il en existe beaucoup plus d’identité sexuelle dont les termes, nous sommes pour la majorité inconnue. Cependant, je trouve compliqué de comprendre toutes les subtilités de ces différences
Nuage
Des identités sexuelles et sentimentales peu connues
Les asexuels
Un asexuel est « quelqu’un qui ne ressent pas d’attraction sexuelle envers autrui. » Asexuality.org remarque aussi que « les asexuels peuvent êtres attirés par quelqu’un sur un plan esthétique, mais pas sexuellement. D’autres auront envie de faire preuve de tendresse sans qu’il y ait pour autant de désir sexuel. Si vous ne ressentez pas d’attirance sexuelle envers autrui, il se peut que vous soyez asexuel. »
Les aromantiques
« Un aromantique ne ressent que peu ou pas d’attirance sentimentale« , selon Asexuality.org. Le site souligne que « les aromantiques ne sont pas en manque de lien émotionnel ou personnel. Ils n’ont simplement pas un besoin instinctif de développer des liens de nature sentimentale. Ils peuvent avoir besoin d’autant de soutien que les romantiques, mais ces besoins peuvent être comblés à un niveau platonique. » Être aromantique est généralement « considéré comme inné et non comme un choix personnel« , tout comme l’asexualité.
Les graysexuels
Jared, qui s’identifie comme graysexuel, place ce terme dans un « entre-deux magique entre l’asexualité et la sexualité. »
Le site The Frisky définit la graysexualité comme « quelque chose de fluide à mi-chemin de la sexualité et de l’asexualité. » Ceux qui se disent graysexuels peuvent également s’identifier comme gay, hétéro ou toute autre identité sexuelle.
Les demisexuels
Les demisexuels ne ressentent pas d’attirance sexuelle sauf s’ils ont « déjà noué des liens affectifs profonds avec la personne ».Asexualityarchive.com remarque également que « ce lien peut être de nature sentimentale ».
Les demiromantiques
Comme les demisexuels, les demiromantiques ne ressentent pas d’attirance sentimentale envers autrui « sauf s’ils ont déjà noué des liens affectifs profonds avec la personne »
Les lithromantiques
Selon Asexuality.org, ce terme décrit « une personne qui éprouve des sentiments amoureux, mais ne souhaite pas que ceux-ci soient réciproques ». Le site ajoute que les lithromantiques « peuvent parfois avoir envie de relations sentimentales. »
Les pansexuels
La pansexualité désigne ceux « qui se sentent sexuellement, émotionnellement, spirituellement capables de tomber amoureux d’une personne de n’importe quel genre. »
Les poly-sexuels
Comme les pansexuels, les polysexuels « peuvent être attirés par des personnes de certains genres sans avoir la capacité ou le désir d’être avec les autres« .
Les panromantiques
Une personne sentimentalement – mais pas sexuellement – attirée par d’autres personnes, indépendamment de leur sexe.
Les skoliosexuels
Selon Genderqueerid.com, la skoliosexualité se réfère à « l’attirance sexuelle envers les individus non-binaires (qui ne se reconnaissent pas dans l’opposition entre les genres féminin et masculin, NDLR) » ou ceux qui ne se définissent pas en tant que cisgenre (le contraire de transgenre, donc quelqu’un qui se sent en accord avec son genre de naissance, NDLR). Le site note également que le terme « ne décrit généralement pas une attirance envers un sexe spécifique ou des rôles donnés à la naissance, car il a plutôt une connotation inclusive ».
Les queer-platoniques
Ces personnes ont des relations « pas vraiment sentimentales, mais qui passent par des liens affectifs très forts souvent plus profonds ou intenses que ceux qui définissent traditionnellement l’amitié ».
31,5 opérations par heure ! Aurais-je des préjugés face à la chirurgie esthétique ? Je dirais plus que c’est une question de priorité. De toute manière, c’est une affaire d’argent, c’est très lucratif. Une opération comporte des risques et cela vaut vraiment la peine ? En bref, on apprend à détester notre physique et avec un peu, non, beaucoup d’argent, .. tout est possible même pour les hommes
Nuage
Le Brésil est le deuxième pays réalisant le plus d’opérations esthétiques, derrière les États-Unis. © Creative Commons
Entre 2009 et 2014, les opérations esthétiques pour les hommes ont quadruplé au Brésil, passant de 72.000 à 276.000 par an. Soit une opération toutes les deux minutes.
Autrefois tabou au Brésil pour les hommes, la chirurgie esthétique progresse à grands pas. Actuellement, un homme se fait opérer toutes les deux minutes, a indiqué la Société brésilienne de chirurgie plastique (SBCP). En cinq ans (de 2009 à 2014), ce type d’opérations a quadruplé, passant de 72.000 à 276.000 par an, soit en moyenne 31,5 opérations par heure, selon les chiffres de l’étude de la SBCP publiés par le quotidien Estado de São Paulo, dimanche 1er novembre 2015.
Réduction des seins, liposuccion et opération des paupières
En 2014, 712.902 interventions esthétiques ont été recensées (hommes et femmes) au Brésil, pays où le culte du corps frise l’obsession et où ce genre de chirurgies peuvent se payer à crédit. C’est le deuxième pays réalisant le plus d’opérations esthétiques derrière les États-Unis (par comparaison, en France, le nombre d’interventions de chirurgie esthétique réalisées était de 511.00 en 2010*).
« La principale raison est le changement culturel avec la baisse des préjugés. De plus, au Brésil la chirurgie esthétique est vue comme un procédé populaire et le pays est une référence mondiale en la matière », explique à Estado de S.P Luiz Henrique Ishida, directeur de la SBCP qui regroupe 5.800 chirurgiens.
Les opérations les plus demandées sont la réduction des seins (chez les hommes atteints de gynécomastie, un développement excessif des glandes mammaires chez l’homme) dont 80 % sont réalisées sur des adolescents, la liposuccion et l’opération des paupières, dans cet ordre, selon l’étude de la SBCP. La plupart des patients ont entre 20 et 50 ans.
Mais le directeur de la SBCP avance comme autre raison de cette augmentation, le fait que plus de personnes âgées sont aujourd’hui sur le marché du travail et souhaitent garder une apparence jeune.
« Un regard fatigué est vu comme quelque chose de négatif sur le marché du travail. Il y a des patients de 70 ans qui se font opérer parce qu’ils ont une vie sociale active ou pour avoir une apparence plus compatible avec celle de leur compagne » plus jeune qu’eux, explique-t-il.
Pratique quand un membre se coupe qu’il y est une régénération de cette partie du corps. Mais ou c’est moins drôle, c’est que l’organisme de la bête régénère un membre qui en fait n’est que blessé et peut guérir
Nuage
Ce Tégu noir et blanc (lézard) possède 6 queues. © SciNews / Youtube
Par Anne-Sophie Tassart
Les chercheurs n’avaient encore jamais observé de lézards à six queues. Une anomalie qui s’explique par les capacités régénératrices de ce reptile.
HEXAFURCATION. C’est par ce terme que les chercheurs ont expliqué ce phénomène. Un lézard Tégu noir et blanc (Salvator merianae) a été trouvé par des policiers argentins alors qu’il était blessé. Sa queue présentait, sur toute la longueur, des petites plaies certainement provoquées par un objet coupant. Mais ces entailles n’étaient pas assez profondes pour enclencher le mécanisme de perte de la queue qui peut se produire lorsque le membre présente des blessures trop importantes. Cependant, l’organisme du petit lézard a estimé qu’une régénération devait s’effectuer. A chaque entaille est donc apparue une queue. Le reptile en possède désormais six au total !
Selon Nicolás Pelegrin, l’un des chercheurs qui a décrit le phénomène et qui a été interrogé par New Scientist :
« Il n’est pas rare pour un scientifique de parler d’un lézard qui a deux voire trois queues. Mais il n’y a jamais eu de cas semblables. »
Les possibles bénéfices que pourra tirer le lézard de ce nombre de queues sont encore inconnus mais il y aura sûrement plusieurs désavantages notamment pour les déplacements ou la reproduction.
Radiographie des six queues (numérotées de 1 à 6) du Tégu noir et blanc © SciNews / Youtube
Une malformation très rare, mais en quelques jours, c’est le 2 ème cas présenté sur le web, car en Inde, un jeune homme souffre aussi d’avoir le coeur en dehors de la poitrine
Nuage
Âgée de 6 ans, Virsaviya Borun-Goncharova est atteinte d’une pentalogie de Cantrell et vit avec son cœur en dehors de la poitrine. ©Dari Borun
Par Hugo Jalinière
Virsaviya Borun-Goncharova, 6 ans, est atteinte du syndrome dit de la « pentalogie de Cantrell » et vit depuis sa naissance avec le cœur en dehors de sa poitrine.
À 6 ans, Virsaviya Borun-Goncharova est déjà une miraculée. La petite fille est atteinte d’une pathologie aussi rare que sévère : la pentalogie de Cantrell. Dans les faits, elle vit depuis sa naissance avec le cœur en dehors de la cage thoracique. Une anomalie morphologique très impressionnante aux causes complexes et, surtout, qui aurait dû être fatale à l’enfant. C’est en tout cas ce que les médecins avaient annoncé à sa mère au moment de sa naissance. Originaires de Russie, la mère et sa fille se sont installées aux Etats-Unis où un praticien de l’hôpital pour enfant de Boston a accepté de suivre et traiter la fillette.
La pentalogie de Cantrelle, un syndrome extrêmement rare
La pentalogie de Cantrell est un syndrome décrit pour la première fois en 1958. Extrêmement rare (1 cas vivant pour près de 200.000 naissances), il se caractérise par l’association de 5 malformations distinctes. La plus impressionnante étant bien sûr l’ectopie cardiaque qui conduit le cœur à s’extérioriser en dehors de la cage thoracique. Mais des malformations apparaissent également au niveau du sternum, du diaphragme, du péricarde et du muscle cardiaque où la communication entre les ventricules peut être défaillante.
Ainsi, dans le cas de Virsaviya, « il lui manque des os au niveau de la poitrine, certains muscles abdominaux ainsi qu’un diaphragme », a expliqué sa mère, Dari Borun, à la chaîne NBC.
Le salut de la fillette réside dans une opération chirurgicale lourde qu’un chirurgien de l’hôpital pour enfant de Boston aurait accepté de réaliser… dès qu’elle sera possible.
En effet, selon la mère, les chirurgiens ne peuvent pour l’instant pas réaliser l’opération en raison « d’une pression sanguine trop forte et de ses artères pulmonaires ».
Mais les médecins espèrent que la situation médicale de la fillette évolue de façon à permettre l’intervention. Ce ne serait pas la première personne opérée de ce type de malformations, mais chaque patient atteint d’une pentalogie de Cantrell présente des spécificités morphologiques qui rendent toute opération unique. Enfin, dernier problème : l’opération coûte cher. Une campagne de financement participatif qui espère récolter 100.000 $ a ainsi été lancée sur le site Youcaring.com.
Merci a mon ami Jack pour la vidéo
Il y avait un épisode dans Les Experts que le criminel était justement une chimère et c’est a cause de cette particularité génétique qu’ils ont eu de la difficulté a arrêter l’homme. (Bon, on sait que c’est arrangé avec le gars des vues) Mais, cela doit faire bizarre, point de vue génétique d’être l’oncle de son bébé
Nuage
Comment un père peut-il ne pas être le père de son propre enfant ? © ANGOT/SIPA
PAR CONSTANCE ASSOR
Oui, c’est possible ! Un père de famille américain a découvert qu’il avait en fait un frère jumeau fantôme… véritable père de son enfant.
Il y a quelques années, une telle aventure, relatée par Le Monde , se serait soldée par un divorce. Mais aujourd’hui, c’est la science qui est parvenue à trancher. Car cette histoire de famille a permis de mettre en lumière un troublant hasard de la génétique.
En juin 2014, un jeune couple d’Américains donne naissance à un enfant. À la faveur d’un banal bilan sanguin, le médecin constate que l’enfant est du groupe AB alors que ses parents sont tous les deux du groupe A. Surpris par cette nouvelle, le père se soumet à un test de paternité qui révèle qu’il n’est pas le père biologique du nourrisson. Le mari accuse alors son épouse de l’avoir trompé. Mais la malheureuse jure n’avoir jamais eu d’amant. Le couple écarte donc cette hypothèse et considère la terrible probabilité d’une erreur humaine.
En effet, pour donner naissance à leur fils, il avait eu recours à une fécondation in vitro. Et, à ce stade, force est de constater qu’il y a probablement eu inversion d’éprouvettes. Le couple entame alors une procédure judiciaire contre la clinique où fut pratiquée la FIV. Mais là encore, la responsabilité de l’établissement médical est écartée.
Chimère
Les parents finissent par faire appel à la science pour élucider le mystère. Le professeur Barry Starr, généticien à l’université de Stanford, propose au couple de pratiquer un test généalogique. Le résultat est surprenant : d’un point de vue génétique, le mari n’est pas le père, mais l’oncle du bébé.
Explication : il a cohabité dans le foetus de sa mère avec un frère jumeau qui ne s’est pas developpé. Mais il a reçu une partie de son ADN. D’un point de vue scientifique, le mari est une chimère.
« Le chimérisme désigne un organisme dans lequel cohabitent deux lignées génétiques »
en clair, les gènes du mari sont porteurs de deux génomes au lieu d’un : 10 % de ses spermatozoïdes sont composés de l’ADN de ce jumeau qui n’a jamais vu le jour.
Et c’est ainsi que, devenu adulte, le mari a donné naissance à un enfant porteur des caractéristiques génétiques de son jumeau.
« Le mari est donc bien le père de son enfant, en ce sens qu’il a produit le spermatozoïde qui a fécondé l’ovule. Mais il ne l’est pas complètement, en ce sens qu’il ne lui a pas transmis le matériel génétique qui le constitue principalement », résume le généticien. Il a ainsi donné naissance au bébé du fantôme de son frère.
Après 5 000 ans, un âge vénérable pour un arbre, il change de sexe. Étant mâle, elle devient femelle. Si vous ne saviez pas que les arbres ont un sexe, maintenant vous le savez. Dépendants de l’essence de l’arbre, ils peuvent être monoïques, hermaphrodites, dioïques, et même polygames, bref, c’est assez compliqué pour les non-initiés comme moi
Nuage
Un arbre d’Ecosse qui aurait environ 5 000 ans a commencé à changer de sexe, un phénomène « rare » dont les scientifiques peinent encore à expliquer les causes.
« L’if de Fortingall », dans le Perthshire (centre de l’Ecosse), a été catalogué pendant des siècles comme étant un arbre mâle mais la récente apparition de baies suggère un changement de sexe, a déclaré lundi à l’AFP Max Coleman, botaniste au Royal Botanic Garden d’Édimbourg.
« C’est un événement rare (…) et pas complètement expliqué », a souligné le scientifique, selon qui cette évolution pourrait être due à une modification de l’équilibre hormonal de l’if.
« Le stress environnemental est l’une des choses qui pourraient l’avoir provoqué », a-t-il ajouté.
L’arbre est en tout cas en bonne santé, et ses transformations feront désormais l’objet d’une attention toute particulière, a assuré Max Coleman.
L’if se trouve dans la cour d’une vielle église. S’il est qualifié par la presse britannique de « plus vieil » arbre du Royaume-Uni, son âge exact reste difficile à déterminer, le coeur du bois ayant pourri. Pour en donner une évaluation, les scientifiques ont comparé ses dimensions actuelles avec des mesures prises il y a plusieurs siècles.