Notre bonheur


Et nous en avons des choses qui nous encombrent dans notre vie, chagrin, déception, attente, ennui, inquiétude … Toutes des émotions qui bloquent notre côté positif
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Notre bonheur

 

« Notre bonheur dépend de notre capacité à éliminer ce qui nous encombre et à cultiver ce qui nous régénère »

– Auteur inconnu –

Des peintures sur des tranches de rondins de bois


Quelle bonne idée de prendre pour support un tronc arbre pour peindre la nature. Cela donne un effet assez spécial
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Des peintures sur des tranches de rondins de bois

 

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L’artiste Alison Moritsugu se sert des tranches de troncs d’arbre coupés comme support pour réaliser des peintures de paysages classiques.

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Le Saviez-Vous ► Ces films inspirés par des faits scientifiques réels


Sur 15, je n’ai vu que deux ou trois de ces films de fictions, mais qui tout de même sont tiré d’histoire vraie
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Ces films inspirés par des faits scientifiques réels

 

Leonardo DiCaprio : après le paquebot de Titanic, les autos de Volkswagen. © Bebeto Matthews/AP/SIPA

Leonardo DiCaprio : après le paquebot de Titanic, les autos de Volkswagen. © Bebeto Matthews/AP/SIPA

Par Hervé Ratel

Alors que Leonardo DiCaprio a annoncé vouloir produire un film autour des voitures diesel truquées de Volkswagen, voici une sélection de quinze histoires scientifiques (réelles) dont on a fait des films (de fiction)

Moteur! Très impliqué dans les problématiques environnementales, Leonardo DiCaprio s’apprête à produire un film autour des voitures diesel truquées de Volkswagen. Via sa société Appian Way, l’acteur a en effet acquis les droits d’un futur livre sur la question signé de Jack Ewing, journaliste économique au New York Times. Aucun réalisateur n’a été évoqué pour le moment et il n’est même pas certain que l’acteur ait un rôle dans le film. Cela fait plusieurs années que Leonardo DiCaprio s’engage en faveur de l’environnement. Non content d’avoir été l’un des premiers à rouler en Prius, sa fondation créée en 1998 s’est illustré ces dernières années dans la protection d’écosystèmes menacés au travers de multiples projets innovants.

Avant lui, retour sur quatorze autre projets s’inspirant de véritables histoires de science.

Dallas Buyers Club

Jean-Marc Vallée, 2013

En 1985, aux premiers temps du Sida, alors que les traitements sont encore balbutiants et en phase expérimentale, le combat d’un malade (extraordinaire Matthew McConaughey) pour distribuer des médicaments non approuvés.

Un homme d’exception

Ron Howard, 2001

Prix Nobel d’économie 1994, John Forbes Nash Jr. est également connu pour souffrir de schizophrénie. Le film est l’adaptation de la biographie écrite par Sylvia Nasar, journaliste économique du New York Times.

Steve Jobs

Danny Boyle, 2015Prévu pour sortir début 2016 en France, on espère que le film sera plus réussi que la précédente tentative (Jobs de Joshua Michael Stern, 2013) de raconter la vie et l’œuvre du fondateur d’Apple.

The social network

David Fincher, 2010

Informatique encore avec la création du réseau Facebook. Et comme pour “Steve Jobs“, le scénario est signé d’Aaron Sorkin (créateur de la série “A la maison blanche“). Un portrait contrasté de Mark Zuckerberg, ce quasi autiste social qui a développé l’outil social le plus populaire au monde.

Apollo 13

Ron Howard, 1995

Le chiffre 13 porte la poisse à cette troisième mission habitée vers la Lune qui tombe de Charybde en Scylla. Tom Hanks incarne James Lovell, l’astronaute qui co-écrivit le livre sur cette mission mythique autant que poissarde.

Le syndrome chinois

James Bridges, 1979

Jane Fonda, journaliste à la télévision, est témoin d’un incident dans une centrale nucléaire fictive. Hors-sujet? Pas du tout. Visionnaire pourrait-on dire, car 12 jours après la sortie du film, le 28 mars, l’Amérique vit l’incident nucléaire le plus grave de son histoire à la centrale de Three Mile Island en Pennsylvanie.

Tucker

Francis Coppola, 1988

Concepteur d’une automobile révolutionnaire en 1948, Preston Tucker se fait étriller par les trois gros constructeurs officiels des Etats-Unis, Chrysler, Ford et General Motors. Il ne s’en relèvera pas.

Erin Brockovich

Steven Soderbergh, 2000

Le combat d’une mère célibataire pour indemniser des familles ayant de gros soucis de santé suite aux rejets toxiques d’une compagnie de distribution d’énergie.

Lorenzo

George Miller, 1992Entre trois Mad Max, deux cochons (Babe, et sa suite) et deux manchots (Happy Feet, et sa suite), le cinéaste australien raconte la véritable histoire de parents cherchant un traitement pour leur fils Lorenzo atteint d’une maladie rare, l’adrénoleucodystrophie liée à l’X (ALD).

Elephant Man

David Lynch, 1980

Monstre de foire atteint de difformités monstrueuses en pleine Angleterre victorienne, John Merrick est étudié par le docteur Treves. Le film est l’adaptation cinématographique de la biographie de ce dernier essentiellement axée sur le cas extraordinaire de l’homme éléphant.

L’étoffe des héros

Philip Kaufman, 1983

L’épopée des premiers pilotes d’essais américains en pleine guerre froide. De Chuck Yeager, qui franchit le mur du son aux astronautes du programme spatial Mercury.

Ciel d’Octobre

Joe Johnston, 2000

Après avoir rétréci les gosses et mis en image l’excellente BD Rocketeer, Joe Johnston raconte l’histoire vraie d’Homer Hickam, un gosse de la campagne américaine tellement passionné par le lancement de Spoutnik qu’il brave les interdits parentaux pour confectionner des fusées et finira par devenir ingénieur à la Nasa.

Une merveilleuse histoire du temps

James Marsh, 2014

Biographie du célèbre cosmologiste britannique Stephen Hawking atteint de SLA (Sclérose Latérale Amyotrophique), elle s’appuie sur les mémoires de sa première femme, Jane Wilde. L’histoire est édifiante mais le film est loupé.

The imitation game

Morten Tyldum, 2014

Le mathématicien britannique Alan Turing a sauvé des milliers de vies durant la Seconde guerre mondiale en décryptant les message codés des nazis. Le gouvernement britannique le remerciera par une castration chimique pour cause d’homosexualité…

http://www.sciencesetavenir.fr/

Selon une étude, votre chat aimerait vous tuer. Vraiment?


Je pense que certains de ces chercheurs n’aiment vraiment pas les chats. Oui, les chats ont chacun une personnalité. Mon chat par exemple est le premier chat qui n’aime pas se faire prendre ou des câlins sur le dos ou ventre, sinon elle avertit, une fois, deux fois… Après tant pis. Quand elle mord, ce n’est que pour surprendre, sans plus. Alos que quand j’avais Virgule, j’aimais, j’ai vu un chat aussi affectueux, c’était presque une agression de câlins. Parmi tous les chats que j’ai eus, jamais, je n’aurais eu peur qu’un chat en veuille à ma vie
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Selon une étude, votre chat aimerait vous tuer. Vraiment?

 

 IZ SERIUS ADMNIM/ THIZ IZ SERIUS BIZNIS | pfctdayelise via Wikimedia License by

IZ SERIUS ADMNIM/ THIZ IZ SERIUS BIZNIS | pfctdayelise via Wikimedia License by

Repéré par Vincent Manilève

Les résultats d’une nouvelle étude sur le comportement félin sont à prendre avec des pincettes.

Le zoo du Bronx à New York et l’université d’Édimbourg en Écosse viennent d’apporter leur contribution dans l’une des catégories préférées des scientifiques: «Votre chat n’est pas ce qu’il prétend

Selon eux, votre cher et tendre chat serait en réalité un meurtrier en puissance attendant le moment idéal pour mettre fin à votre vie. Cette étude s’est concentrée sur la structure de la personnalité des chats domestiques et de différents types de félins sauvages. Le but étant de comprendre à quel point les chats ont conscience d’eux-mêmes, s’ils sont extravertis, agréables ou encore névrotiques.

«Ça me fait vraiment peur»

Et selon les conclusions des auteurs, les chats auraient des traits similaires aux lions africains en terme de personnalité, que ce soit pour la tendance à la domination, à l’impulsivité ou à la névrose.

«Si vous avez déjà songé au fait que votre chat était anxieux, peu sûr de lui, tendu, suspicieux ou agressif à votre encontre, vous ne rêvez pas, écrit par exemple le site 9News de NBC. S’ils étaient plus gros, ils songeraient sûrement à vous tuer.»

Au micro de la BBC, le docteur Max Watchel, co-auteur de l’étude, a expliqué que les chats sont «de petits prédateurs agressifs».

«Ce qui me fait vraiment peur, ajoute-t-il, c’est que des fois ils attaquent et qu’ils ont un instinct de tueur, et d’autres fois ils ne l’ont pas. Si vous êtes debout près d’un groupe de lions, des fois tout ira bien et des fois ils vont bondir et attaquer sans raison. C’est la même chose pour les chats domestiques. Ils sont adorables et affectueux et se pelotonner dans votre lit… mais ils peut changer à n’importe quel moment, alors soyez prudent.»

Le chat, ce grand incompris

 

À première vue, donc, votre chat serait un tueur en série sur le point de réveiller ses instincts. Mais le site Cnet.com, via son journaliste Chris Matyszczyk, a tenu à nuancer les interprétations faites autour de l’étude, destinées avant tout à provoquer un bruit médiatique. Une autre auteure de l’étude, la chercheuse Marieke Gartner, a expliqué au site qu’affirmer que les chats veulent nous tuer était un peu tiré par les cheveux:

«Les chatons ont des personnalités différentes, et ils ont fini par vivre avec nous parce qu’il y avait un bénéfice mutuel. Certains chats sont plus indépendants, d’autres sont assez aimants. Tout dépend de l’individu. […] Les chats ne veulent pas vous éliminer, mais les gens ignorent souvent comment les traiter et sont surpris de leur comportement.»

Tout viendrait donc de notre ignorance quant à la complexité de l’esprit félin. Sans arriver à cerner son état d’esprit ou ses besoins, il se peut que ses réactions nous surprennent, nous énervent, ou nous inquiètent. Il est donc important de vous rappeler que votre chat a potentiellement en lui les trois traits de caractère suivants: esprit de domination, impulsivité et névrotisme. C’est le meilleur moyen d’appréhender les éventuelles sautes d’humeur de votre animal de compagnie. 

http://www.slate.fr/

Le cerveau humain a le goût d’œufs de poisson (sans le goût du poisson)


Je n’ai même pas envie d’y goûter pour vérifier le gôut que peut avoir un cerveau. Juste l’idée que ce soit animal ou humain me dégoûte totalement
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Le cerveau humain a le goût d’œufs de poisson (sans le goût du poisson)

 

Un montage photo de Sofya Levina à partir d'une image de Jacek Chabraszewski | Jacek Chabraszewski via Shutterstock

Un montage photo de Sofya Levina à partir d’une image de Jacek Chabraszewski | Jacek Chabraszewski via Shutterstock

Laura Bradley

Le cannibalisme est devenu une figure culturelle à la mode grâce notamment à «Hannibal» ou aux morts-vivants de «iZombie» et de «The Walking Dead». Une tendance de bon goût?

Dans la série iZombie, l’intrépide Liv Moore se retrouve confrontée à de nombreuses difficultés. La plus importante, évidemment, c’est celle d’être morte-vivante, mais également d’être forcée à manger des cerveaux. Contrairement aux mangeurs de cervelles de la série The Walking Dead (ou au gourmet Hannibal Lecter), Liv n’en apprécie pas tellement la saveur. Un dégoût qui lui inspire de nombreuses recettes (souvent à base de sauce Sriracha): de la plus fascinante et créative (la pizza au cerveau), à la plus répugnante (le cerveau au chocolat chaud à la mexicaine). Ainsi, plus on la voit cuisiner, plus on s’interroge: quel est le véritable goût d’un cerveau humain?

Plusieurs livres sur le cannibalisme –y compris The Sign of the Cannibal de Geoffrey Sanborn– décrivent la consistance du cerveau humain comme étonnement liquide –une substance à boire plutôt qu’à manger, à proprement parler. Cité dans le livre The Sign of the Cannibal, l’explorateur George Von Langsdorff expliquait qu’au début du XIXe les guerriers de l’île Nuka Hiva (en Polynésie française) tuaient leurs ennemis et «avalaient leur sang et leur cerveau sur le champ». Selon l’ouvrage Among the Cannibals, plusieurs tribus cannibales ont considéré que le cerveau est la partie la plus gouteuse du corps humain. Dans The Corpse: A History, Christine Quigley écrit que le peuple mélanésien, dont une partie a pratiqué le cannibalisme au moins jusqu’au début du XXe siècle, considérait les cerveaux humains comme un plat gastronomique et particulièrement délicat.

Un goût familier

J’ai demandé à plusieurs biologistes d’émettre des hypothèses sur le goût exact des cerveaux et voici leur réponse: un goût identique aux autres cerveaux de mammifères. Carol Shoshkes Reiss –qui a demandé à ce que je précise bien qu’elle n’a jamais mangé de cerveaux mais qui en connaît toutefois un rayon en tant que professeur de biologie et de sciences neurologiques à l’université de New York– explique:

«Les constituants essentiels en terme de protéines, lipides et acides nucléiques sont principalement les mêmes, quelle que soit l’espèce.»

En d’autres termes, elle ignore ce goût, mais il n’y a aucune raison que le goût d’un cerveau humain présente une différence significative avec celui d’un autre mammifère.

Quel est le goût d’un cerveau de mammifère? En ce qui concerne la sensation en bouche, les cerveaux sont crémeux, mais conservent leur texture.

Un rédacteur pour Serious Eat, qui a mélangé des cerveaux d’agneaux avec des œufs, a décrit le parfum comme «bestial», «quelque chose comme des œufs de poisson bien fermes, mais sans le goût de poisson bien sûr».

Les œufs brouillés au cerveau est un plat qui apparaît dans la série iZombie et, apparemment, cela ne semble pas être une si mauvaise idée. Sur ce fil de commentaires, plusieurs utilisateurs de Reddit sont sur la même longueur d’onde et pensent également que le goût d’un cerveau se rapproche de celui des œufs.

http://www.slate.fr/

La belle vie à la prison d’Archambault Bronzage et album de Céline pour Magnotta


Comment peut-on trouver qu’une justice existe quand on voit des assassins tels que Magnotta vivre mieux que des personnes âgées, des familles qui peinent à joindre les deux bouts. On se sent désabusé non ?
J’espère que le père de Jun Lin ne sait pas comment la prison au Québec, peut-être mieux que bien des endroits
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La belle vie à la prison d’Archambault

Bronzage et album de Céline pour Magnotta

 

En prison au moins jusqu’en 2037 pour le meurtre crapuleux d’un étudiant chinois à Montréal, Luka Rocco Magnotta se la coule douce, selon des correspondances dont le Toronto Sun a obtenu copie.

Le quotidien torontois a mis la main sur certaines lettres écrites par le meurtrier, où il décrit son emploi du temps: il travaille à la cuisine de la prison, mais passe aussi beaucoup de temps à s’entraîner, à se faire bronzer et à écouter des films et de la musique.

«Nos portes sont ouvertes 90% du temps, alors je me sens comme dans un environnement universitaire», a-t-il écrit dans une lettre envoyée à un ami.

«Je viens juste d’acheter l’album de Celine Dion et plusieurs autres. J’ai une stéréo et un lecteur de musique portable lorsque je vais me faire bronzer à l’extérieur», a-t-il ajouté.

Dans des photos obtenues par le Toronto Sun, on peut voir Magnotta, habillé avec des vêtements lui appartenant, poser avec d’autres détenus ou dans sa cellule tapissée de photos de Marilyn Monroe et de cœurs rouges à la prison d’Archambault.

Depuis, celui qui a tué et démembré Jun Lin à Montréal en mai 2012 a été transféré au pénitencier de Port-Cartier, selon le Toronto Sun.

Côté sombre

Même si un des amis de Luka Rocco Magnotta affirme que le détenu a des «centaines d’admirateurs», il soutient que le prisonnier peut être exigeant, parfois de manière direct ou en ayant un comportement passif-agressif.

«S’il refuse ses médicaments, Luka devient mauvais», a dit son ami. Il est vraiment différent lorsqu’il prend ses médicaments.»

Néanmoins, Magnotta réussit à plaire et à obtenir beaucoup d’argent de ses amis avec qui il correspond. Celui interviewé par le Toronto Sun affirme lui avoir versé plus de 5000$ au total pour combler ses besoins.

«Je sais que c’est nourrir le diable, mais on veut l’aider. Il peut être très charmant , mais plusieurs fois, il parle et agit comme un petit enfant qui a besoin d’aide.»

«Rusé, c’est la meilleure façon de le décrire. Très rusé», précise l’ami de Magnotta.

http://tvanouvelles.ca/

Trous de mémoire : quand faut-il s’inquiéter ?


Nous oublions tous des choses comme des noms, ou nous avons mit un certain papier, etc. Et tout de suite on peut penser à tort à l’Alzheimer
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Trous de mémoire : quand faut-il s’inquiéter ?

 

 

Trous de mémoire : quand faut-il s'inquiéter ?

© Thinkstock

L’Alzheimer’s Society (Grande-Bretagne) vient d’établir une « liste » des choses qui doivent vous inquiéter si vous souffrez de trous de mémoire. Suivez le guide.

C’est une récente étude américaine* qui le dit : les femmes qui souffrent de troubles de la mémoire ont 70 % de risques supplémentaires de développer une démence (c’est-à-dire un déclin graduel des capacités mentales) à partir de l’âge de 65 ans.

Interrogés par nos confrères du Daily Mail, des experts de l’Alzheimer’s Society (Grande-Bretagne) ont préparé un « classement » des choses qui doivent nous alerter – ou non – quant à notre mémoire. Prêtes ? C’est parti.

Il est normal d’oublier :

– où vous avez garé votre voiture

– de rappeler quelqu’un

– le prénom d’une personne que vous venez de rencontrer

– où vous avez rangé telle ou telle chose

– un mot (mais vous l’avez « sur le bout de la langue »)

Ces informations dépendent en effet de la mémoire à court terme.

« Votre cerveau sait qu’il ne vous est pas vital de vous souvenir du prénom de la personne que vous venez de rencontrer. Aussi, il fait de la place pour enregistrer d’autres données, plus essentielles à votre vie » explique ainsi le Dr Oliver Cockerell, neurologue.

Ce qui doit vous inquiéter :

– vous ne parvenez plus à faire deux choses à la fois (préparer le repas devient très difficile, par exemple)

– vous commencez à vous perdre dans des endroits familiers (vous ne retrouvez plus la route jusqu’à votre maison, par exemple)

– vous oubliez les noms de vos proches ou vous ne reconnaissez plus leur visage

– vous répétez en boucle les mêmes questions

Et il faut aller voir votre généraliste rapidement si :

– vous oubliez comment faire certaines tâches du quotidien (lancer une machine à laver, par exemple)

– vous vous perdez dans vos liens familiaux (« à qui est cet enfant ? »)

– vous oubliez quelle est la fonction de certains objets

– vous rangez certains objets dans des lieux insolites sans vous en rendre compte.

« Ces oublis signalent qu’il y a un problème de communication entre la mémoire à court terme et la mémoire à long terme. Cela peut conduire à certaines pathologiques, comme Alzheimer. De manière générale, si l’état de votre mémoire vous inquiète, c’est bon signe », explique le Dr Anne Corbett, de la Alzheimer’s Society.

Ouf, nous voilà (un peu) rassurées !

*publiée dans la revue scientifique Neurology par des chercheurs de l’Université de Californie.

http://www.topsante.com/

La sécheresse en Californie menace la faune et décime les arbres


Avec les changements climatiques, aucun pays ne peut dire qu’il est a l’abri des caprices de la nature. Il n’y a pas juste l’être humain qui en paie le prix, mais la faune et la flore en souffrent aussi, que la nature peut s’en remettre, mais pas l’homme
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La sécheresse en Californie menace la faune et décime les arbres

 

Le lac Folsom est un réservoir près de... (PHOTO MARK RALSTON, AFP)

Le lac Folsom est un réservoir près de Sacramento et il n’est rempli qu’à 18% de sa capacité à cause de la sécheresse qui sévit en Californie.

PHOTO MARK RALSTON, AFP

VERONIQUE DUPONT
Agence France-Presse
LOS ANGELES

La sécheresse qui sévit depuis quatre ans en Californie menace d’extinction des espèces comme les saumons Chinook et décime les arbres, dont 22 millions ont déjà péri.

De l’Amargosa vole, un rongeur qui vit près de la Vallée de la mort, il ne reste ainsi plus que 100 spécimens. Les serpents géants Thamnophis souffrent, eux, de l’assèchement des marais, où ils vivent. Les saumons Chinook du fleuve Sacramento sont quant à eux menacés d’extinction.

«L’an dernier a été une année très difficile pour ces poissons (…) nous pensons que 95% des jeunes poissons n’ont pas survécu» et cette année «pourrait être pire», a indiqué à l’AFP vendredi Michael Milstein, porte-parole de l’Administration américaine des Océans et de l’Atmosphère.

La population s’est effondrée de façon spectaculaire ces dernières années: il y avait 4,4 millions de jeunes saumons Chinook parvenus en aval du fleuve en 2009 et seulement 411 000 l’an dernier. Seuls 217 000 sont arrivés à ce stade cette année, contre 280 000 l’an dernier à la même période.

Les saumons Chinook remontaient traditionnellement le fleuve jusqu’aux montagnes pour trouver l’eau très froide dont ils ont besoin pour que leurs oeufs se développent normalement. Depuis la construction du barrage de Shasta, ils se retrouvent bloqués plus bas dans le fleuve, où l’eau est plus chaude.

Jusqu’à il y a quelques années, les autorités relâchaient de l’eau du barrage pour faire tomber la température du fleuve et permettre aux Chinook de se reproduire.

Mais avec le manque de pluie qui dure depuis quatre ans, l’eau disponible en Californie est de plus en plus rare et disputée.

Certains poissons souffrent aussi de la sécheresse ailleurs sur la côte ouest, notamment «les saumons Sockeye du fleuve Columbia dans l’Oregon et l’État de Washington», a précisé M. Milstein.

«C’est le genre de phénomène que nous prévoyons de voir plus souvent dorénavant à cause du réchauffement climatique», a-t-il conclu.

Des prédateurs poussés près des hommes

Certains prédateurs, comme les ours, sont aussi poussés plus loin de leur habitat pour trouver eau et nourriture, d’où des contacts potentiellement dangereux avec les hommes.

«Les ours noirs et les cougars sont considérés comme les espèces les plus inquiétantes en termes d’interactions avec les humains», commente Clark Blanchard, un expert des services californiens de protection de la nature (CDFW).

Pour Andrew Hughan, porte-parole de l’administration de la pisciculture et des animaux sauvages de Californie, «on observe un peu plus d’animaux dans des endroits où ils ne devraient pas se trouver cette année» pour chercher à manger ou à boire alors que leur habitat naturel n’est plus aussi fertile que d’ordinaire, mais «ce n’est pas dans des proportions spectaculaires pour l’instant, ce qui est même assez surprenant», estime M. Hughan.

Il craint cependant que «les choses soient bien différentes l’an prochain si on traverse encore une année de plus quasiment sans pluie».

La flore, et en particulier les arbres, est en revanche en première ligne. D’après les services forestiers, 22 millions d’arbres ont péri en Californie à cause de la sécheresse.

«La Californie vit sa pire épidémie de mortalité d’arbres de l’histoire récente», s’est alarmé le gouverneur Jerry Brown vendredi dans un communiqué déclarant «l’état d’urgence» face à ce fléau.

La sécheresse favorise les infestations de scolytes, de petits insectes qui rongent les arbres.

Même le célèbre Joshua Tree et ses piquants, symbole du désert californien, est menacé par le manque de pluie, tout comme les pins et séquoias géants du parc Yosemite.

Le phénomène est d’autant plus inquiétant qu’il accroît les risques d’incendie et menace, à nouveau, l’habitat de la faune.

http://www.lapresse.ca/