Des militants vegan brûlent un faux chien pour sensibiliser les populations


Une des raisons dont je n’aime pas Peta, c’est bien leur manière de vouloir imposer leur mode de vie. Même si ce n’est pas de vrai chien, c’est vraiment stupide comme démonstration. Et juste pour ce genre de « spectacle » cela ne vaut pas le coup de cautionner pour Peta. Que les vegan, végétarien ou autre veulent faire valoir leur mode d’alimentation est une chose, mais Peta, du harcèlement, une forme de terrorisme
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Des militants vegan brûlent un faux chien pour sensibiliser les populations

 

Photo d’illustration © getty.

Les activistes ont été accusés de terroriser les enfants en organisant un barbecue avec un faux chien au milieu d’une rue animée, pour protester contre la consommation de viande.

À Sidney, l’organisation Peta a volontairement commis un acte fort pour susciter une réaction parmi la population. Pour sensibiliser sur la souffrance de certains animaux élevés dans l’unique but d’être mangés, leur slogan était:

« Si vous ne voulez pas manger un chien, pourquoi mangeriez-vous un agneau? ».

La différence entre les espèces animales

Le groupe interroge sur la compassion que l’humain peut avoir pour certains animaux et pas pour les autres.

« C’est ce que l’on appelle le spécisme », explique un porte-parole de l’organisation. « C’est une forme de discrimination fondée sur rien d’autre que les espèces et comme toute forme de discrimination, cela ne peut être justifié ».

Fête nationale

L’action s’est déroulée quelques jours avant la fête nationale, durant laquelle les Australiens organisent traditionnellement des barbecues. Les membres de l’association espèrent que cet image d’animal domestique mort restera dans la mémoire des gens.

Peta Animals Pitt Street Mall

 

L’humain gagne dans l’affaire du selfie du macaque


Tout cela pour un macaque qui s’est emparer d’un appareil photo d’un photographe. Je ne suis pas toujours d’accord avec les agissements de PETA, là, je crois vraiment que c’est une perte de temps et d’argent alors qu’il y a beaucoup plus à faire pour la protection des animaux que créer une discorde pour un égoportrait d’un animal
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L’humain gagne dans l’affaire du selfie du macaque

 

ROBYN BECK/AFP/GETTY IMAGES

L’égoportrait devenu viral est maintenant affiché au Musée des selfies à Glendale en Californie.

Mais cet égoportrait demeurera à jamais l’un des plus célèbres du monde.

Une cour d’appel américaine a jugé qu’un macaque ne pouvait prétendre aux droits d’auteur sur un autoportrait qu’il avait lui-même pris en déclenchant l’appareil d’un photographe sur une île indonésienne.

Cette décision rendue lundi pourrait marquer le point final d’un litige juridique spectaculaire à plusieurs titres: le visage du singe, grimaçant (ou souriant) de toutes ses dents, est devenu l’un des selfies les plus célèbres du monde.

Cette affaire a également posé un problème de droit inédit, une association de défense de la cause animale, PETA, soutenant que la capacité d’un primate à prendre une photo prouvait qu’il était un être pensant complexe, méritant de bénéficier des règles de la propriété intellectuelle.

Tout a commencé en 2011 sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, quand un macaque noir à crête s’était emparé de l’appareil photo de David Slater et avait appuyé sur le déclencheur.

Le photographe animalier britannique avait réussi à récupérer son appareil et avait publié les clichés pris par le singe baptisé Naruto.

Ces photos exceptionnelles ont fait le tour de la planète, étant reprises par de multiples journaux, magazines, sites internet ou émissions de télévision.

Le litige a éclaté quand la Fondation Wikimedia, une banque de données libres de droits, a refusé de retirer de sa collection le selfie de Naruto.

L’organisation People for the Ethical Treatment of Animals a alors fait irruption dans le débat. PETA a saisi la justice en affirmant que, le macaque ayant pris les images, il en détenait les droits, « comme ce serait le cas pour un humain ».

PETA a été débouté une première fois devant un juge en septembre 2017, David Slater acceptant toutefois de donner 25% des futurs revenus tirés des selfies de Naruto à des organismes protégeant l’habitat des macaques à crête d’Indonésie.

La cour d’appel de Californie a infligé lundi un second revers à l’association de défense des animaux, en estimant que les violations de droits d’auteur ne pouvaient être dénoncées que par des humains.

Les trois magistrats de la cour accusent même PETA de récupération.

« PETA apparaît utiliser Naruto malgré lui, comme un pion pour atteindre ses objectifs idéologiques », ont-ils écrit dans leur décision unanime.

PETA a estimé en réponse que la cour d’appel était « passée à côté » de la vérité.

Le macaque « est victime d’une discrimination simplement car il est un animal non humain », a commenté l’organisation.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Quand Scotland Yard traque un tueur en série qui a assassiné plus de 400 chats à Londres


Scotland Yard s’est impliqué, avec l’Agence Nationale de lutte contre le crime à la recherche d’un tueur en série peu ordinaire. Il tue des chats les décapite et fait une mise en scène bien en vue. Ils ont même fait un portrait-robot de ce tueur. La police craint qu’il finisse par devenir un tueur en série envers les femmes
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Quand Scotland Yard traque un tueur en série qui a assassiné plus de 400 chats à Londres

 

 

Le tueur en séries de chats londoniens a fait plus de 400 victimes en deux ans./ DR Wikipedia

Le tueur en séries de chats londoniens a fait plus de 400 victimes en deux ans./ DR Wikipedia

Les existences de Tony Jenkins et Boudicca Rising, les cofondateurs de Snarl, une petite association  londonienne de protection des animaux, ont basculé il y a un peu plus de deux ans depuis qu’ils sont sur les traces d’un tueur en série…de chats.

Intrigués par une succession de décès suspects de « matous » dans la capitale britannique, les deux cinquantenaires contactent en septembre 2015 les vétérinaires et propriétaires d’animaux qui ont signalé ces morts douteuses.

400 chats assassinés en deux ans : Scotland Yard sur le coup

Et ils font mouche en recoupant les faits et en commençant à ébaucher une cartographie des crimes

. « À ce moment-là, on a compris que quelque chose était en train de se passer », raconte Boudicca Rising.

L’affaire remonte très vite jusqu’aux oreilles de Scotland Yard, qui décide d’ouvrir une enquête, tout comme la Société royale de protection des animaux (RSPCA). Il faut dire qu’en  l’espace de deux ans, l’association a recensé pas moins de 400 victimes.

Quelques mois plus tard, les médias anglais s’emparent à leur tour de l’affaire. « Le tueur en série de chats frappe encore », titre la BBC en janvier 2016, tandis que la thèse d’un psychopathe plonge dans l’effroi les propriétaires d’animaux. La page Facebook de Snarl, leu association, se transforme alors en une funèbre liste des victimes du « Croydon Cat Ripper », tel que meurtrier est parfois surnommé, en référence à la ville du sud de Londres où il officie principalement.

Des cadavres mis en scène

Au fil des mois Tony et Boudicca se transforment en duo d’enquêteurs. Ils découvrent avec stupeur que les cadavres décapités sont parfois mis en scène, disposés près d’une école ou d’un parc, voire sous les fenêtres de leurs propriétaires.

« La police croit qu’une personne ou un groupe de personnes sont responsables des morts et mutilations », confirme Scotland Yard, tout en refusant, à ce stade, de commenter la thèse du « tueur en série« .

Signe de l’intérêt pour cette affaire qui mobilise des moyens d’une rare envergure pour des crimes d’animaux, l’Agence Nationale de lutte contre le crime (NCA) est mise sur le coup, tandis que deux organisations, dont PETA, offrent une récompense à quiconque aidera à la capture du tueur.

Tony et Boudicca tentent aussi, avec leurs moyens, de le débusquer, exploitant chaque indice et ne négligeant aucune piste.

« Mais c’est difficile, confie Tony Jenkins. J’aimerais parfois que ce soit un peu plus comme dans la série Les Experts. »

La police craint qu’après les chats, le tueur ne s’attaque aux femmes

 

Les différentes enquêtes en cours ont néanmoins permis de dresser un portrait- robot du tueur.

 Il s’agirait d’un homme blanc d’une quarantaine d’années, d’environ 1 mètre 80, qui a vraisemblablement grandi dans la ville de Croydon. Le mystérieux criminel interpelle par ses talents de « dissecteur » et sa capacité à déjouer toute surveillance, souligne Vincent Egan, professeur en criminalistique à l’université de Nottingham. « Il doit être capable d’attirer l’animal, de le tuer sans être griffé, de le disséquer, de placer le corps dans un endroit où il peut être vu, et tout cela discrètement », poursuit-il.

https://www.ladepeche.fr/

Que valent les arguments des défenseurs des animaux?


Je trouve stupide que PETA a ruiné un photographe animalier pour un égoportrait (selfie) d’un singe. Franchement, il y a des causes beaucoup plus urgente qu’une photo. Je suis pour la protection des animaux, de les laisser vivre dans leur environnement, et les animaux domestiques dans un environnement sain, je déteste la chasse sportive, sauf la chasse qui nourrit des gens, et mieux si tout ce qui peut-être utilisé en évitant le gaspillage
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Que valent les arguments des défenseurs des animaux?

 

GETTY IMAGES/GALLO IMAGES

Cette histoire est un exemple des dérives où nous mène l’idée de considérer les animaux comme personnes.

Après six ans de bataille juridique, Dave Slater est ruiné financièrement, en plus d’être victime de harcèlement sur Internet.

Vous avez sans doute déjà vu la photo de singe qui est devenue virale. Saviez-vous que le fameux selfie a ruiné la vie de Dave Slater, le photographe animalier qui a décidé quel objectif utiliser et retouché l’image?

L’organisation pour les droits des animaux PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) lança une action légale au nom du singe, déclarant qu’il devait être le propriétaire de sa propre image. PETA demandait le droit de gérer les fonds financiers du macaque. L’année dernière, un juge américain s’est prononcé contre PETA, déclarant que les animaux n’étaient pas soumis au droit d’auteur. Mais PETA a fait appel. En juillet, un tribunal de San Francisco a repris le dossier.

Après six ans de bataille juridique, Dave Slater est ruiné financièrement, en plus d’être victime de harcèlement sur Internet.

Cette histoire est un exemple des dérives où nous mène l’idée de considérer les animaux comme personnes. Examinons les principaux arguments des défenseurs des animaux.

Peter Singer : une défense utilitariste des animaux

Peter Singer est l’auteur d’un livre populaire, La libération animale (1975). Singer emprunte au philosophe anglais Jeremy Bentham l’idée que la sensibilité est le critère de la dignité morale pour soutenir la thèse selon laquelle tous les êtres capables de souffrir sont dignes de considération morale.

D’après Singer, les animaux qui ressentent de la douleur méritent une considération égale à celle que nous accordons aux humains. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas faire aucune distinction entre les intérêts d’un animal et ceux d’un humain. Donner une claque ne produit pas le même effet à un cheval qu’à un enfant. Un être humain condamné à mort souffre davantage qu’une vache sur le chemin de l’abattoir, car l’humain sait qu’il va mourir.

Singer appelle spécisme la discrimination morale fondée sur l’espèce. Selon Singer, tous les êtres qui souffrent sont égaux. Ne pas appartenir à l’espèce humaine n’est pas une bonne raison de faire souffrir un animal.

Conformément à la logique utilitariste du calcul du plus grand bien du plus grand nombre, Singer considère que l’utilisation de millions d’animaux dans les laboratoires de recherche et l’élevage industriel sont des problèmes moraux plus importants que le sauvetage des espèces en voie d’extinction ou les chiens errants.

Il n’est pas facile de comparer les intérêts humains à ceux des différentes espèces animales.

Il n’est pas facile de comparer les intérêts humains à ceux des différentes espèces animales. Il n’est déjà pas facile de comparer les plaisirs et les peines entre les êtres humains.

La sensibilité est-elle un bon fondement de la dignité morale? Ce n’est certainement pas la capacité de ressentir de la douleur qui fonde la reconnaissance des droits, car nous reconnaissons aux personnes atteintes d’insensibilité congénitale à la douleur avec anhidrose (une anomalie génétique rare qui fait que la peau du patient ne possède pas de cellules réceptrices de la douleur), les mêmes droits qu’on accorde à tous les membres de l’espèce humaine.

Devrions-nous sauver les gazelles des crocs des lions? Avons-nous le droit de tuer les rats qui infestent une maison ou devons-nous leur donner des pilules anticonceptionnelles et attendre qu’ils meurent de vieillesse?

Tom Regan : l’éthique des droits des animaux

La conception de Singer est contestée par les partisans de l’éthique des droits. Ceux qui défendent les animaux utilisent de plus en plus la notion de doits des animaux.

Tom Regan dans The Case for animal Rights (1983), élabore une justification de la notion de droits des animaux. Regan croit que l’utilitarisme n’est pas le meilleur chemin, d’un point de vue argumentatif, pour fonder rationnellement la défense des animaux.

Supposons que les éleveurs de veaux acceptent de modifier leurs méthodes et qu’ils permettent aux vaux de vivre dans des conditions agréables. Supposons aussi que la demande de viande de veau soit très forte. Dans ces circonstances, le calcul utilitariste pourrait facilement nous amener à conclure que l’élevage et la consommation de viande de veau font le plus grand bonheur du plus grand nombre. Or, Regan est persuadé que la consommation de veau est immorale, et pour défendre sa conviction, il élabore une théorie déontologique.

Pourquoi devrions-nous accorder des droits à des êtres sans raison? Regan fait remarquer que nous reconnaissons des droits fondamentaux aux jeunes enfants, aux malades mentaux, aux comateux, aux personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, même si ces humains ne sont pas toujours capables de faire des choix rationnels et être moralement tenus responsables de leurs actes. On leur accorde quand même un statut moral et refusons qu’ils soient traités comme des choses qu’on peut utiliser à notre guise.

Pourquoi n’en serait-il pas de même pour les animaux? Regan pense que le statut moral ne repose pas sur la rationalité ou la liberté, mais sur le fait d’être « sujet-d’une-vie », ce qui implique, notamment, d’avoir une vie émotionnelle, une mémoire et un sens de l’avenir.

Selon Regan, les animaux qui peuvent revendiquer le statut de sujet-d’une-vie sont les mammifères mentalement normaux d’un an ou plus. Ces animaux ont un droit au respect égal aux humains. Nous n’avons pas le droit de prendre leur vie ou de les empêcher de poursuivre leurs buts. Ces droits sont absolus et ne peuvent être sacrifiés pour avantager les humains.

La théorie de Regan pose d’énormes difficultés. Il admet que dans un cas extrême comme celui d’un naufrage où il faudrait choisir entre sauver un chien ou sauver un être humain, nous devrions choisir de sauver l’être humain.

De plus, le critère « mammifère normal d’un an et plus » est arbitraire. Les oiseaux et les plus jeunes animaux méritent-ils d’être privés de droits?

Les défenseurs de droits des animaux ont aujourd’hui tendance à dire qu’il suffit avoir intérêt à ne pas souffrir pour avoir le droit de ne pas souffrir, ce qui permet d’inclure dans la sphère morale presque tous les êtres dotés d’une vie psychologique consciente.

Les défenseurs de droits des animaux ont aujourd’hui tendance à dire qu’il suffit avoir intérêt à ne pas souffrir pour avoir le droit de ne pas souffrir, ce qui permet d’inclure dans la sphère morale presque tous les êtres dotés d’une vie psychologique consciente.

D’après ceux qui croient qu’on devrait reconnaître des droits aux animaux, si on évite de faire souffrir sans nécessité un être humain parce qu’il a intérêt à ne pas souffrir, on devrait, par souci d’équité, éviter de faire souffrir sans nécessité les animaux.

La prémisse de cet argument est fausse : ce n’est pas parce qu’ils ont intérêt à ne pas souffrir qu’on évite de faire souffrir les êtres humains. On ne fait pas souffrir inutilement les êtres humains parce que des siècles de philosophie morale et politique nous ont amenés, pour la bonne marche de la société, à choisir pour tous une égale dignité, quel que soit l’état ou la condition de chacun.

L’interdiction morale d’utiliser les animaux est très difficile à fonder rationnellement. Aucun des arguments que nous avons examinés n’est suffisant pour justifier de détruire la vie d’un photographe.

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Des associations dénoncent l’épilation de fourrure de lapin angora


Si vous aimez la fourrure d’angora, saviez-vous comment on les récolte ? C’est à glacé le sang. Car le poil est arraché sur des lapins angoras, imaginez la souffrance que subissent ces animaux
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Des associations dénoncent l’épilation de fourrure de lapin angora

 

  • Par Diane Berger

Pour dénoncer la violence de l’épilation subie les lapins angora, deux associations de défense des animaux l’ont «mise en scène», ce jeudi, devant le ministère de l’Agriculture. Les éleveurs, eux, se défendent de toute maltraitance et prennent déjà des mesures.

Étrange tableau devant le ministère de l’Agriculture ce matin: en pleine rue, un hommé déguisé en lapin géant, étendu et ligoté sur une table, se faisait mutiler sous les yeux des passants. La mise en scène était volontiers gore: costume sanguinolent, corps qui se débat et hurlements de lapins préenregistrés. À l’origine de cette communication choc, deux associations de défense des animaux habituées des coups d’éclat médiatiques: PETA (Pour une Éthique dans le Traitement des Animaux) et One Voice.

«Le lieu est symbolique, c’est un appel au ministre de l’agriculture pour interdire la production d’angora en France» explique au Figaro Anissa Putois, chargée de campagne de PETA France.

Pour obtenir la fourrure angora, pas d’abattage mais un prélèvement régulier des poils, au cours duquel l’animal est attaché, se débat et gémit.

«Quiconque voit des images de lapins mutilés et entend leurs cris de douleur quand ils sont épilés de la sorte comprendra que cette matière cruelle n’a pas lieu d’être au 21ème siècle et il est grand temps que sa production soit interdite», déclare Muriel Arnal, présidente de One Voice dans un communiqué.

Par cette action, PETA et One Voice ont souhaité alerter l’administration mais aussi les citoyens de ce qui se cache derrière le secteur de la fourrure angora car «beaucoup de gens ignorent la cruauté derrière cette fourrure angora» selon Anissa Putois. Or, des révélations récentes de PETA sur l’élevage des lapins angora en Asie et une enquête en septembre de One Voice sur la réalité des élevages français ont de quoi glacer le sang: minuscules cages individuelles, abattage brutal des mâles, mauvaises conditions d’hygiène, hurlements de souffrance des lapins…

9000 tonnes de poils de lapin commercialisés dans le monde

 

«Beaucoup de gens ignorent la cruauté derrière cette fourrure angora.» Anissa Putois, de PETA France.

Chaque année, 9000 tonnes de poils de lapin seraient commercialisées dans le monde selon One Voice, à 90% en provenance de Chine. Mais il y a encore en France une trentaine d’élevages de lapins angora:

«c’est une production très limitée qui passe donc un peu en dessous des radars du ministère de l’Agriculture» explique Mme Putois qui dénonce une activité très mal légiférée et très peu encadrée.

«La fourrure angora est utilisée surtout pour les vêtements, en petites proportions dans beaucoup de vêtements pour les rendre plus chauds. Mais c’est inutile car nous vivons à une époque où les matières véganes remplacent très bien les produits d’origine animale» affirme Anissa Putois.

Des courriers avaient déjà été adressés au ministère par les associations, mais ils étaient restés sans réponse. Suite à l’action de ce matin, deux représentantes des associations ont été reçues au ministère de l’Agriculture pour discuter du sujet avec l’administration.

Une charte des bonnes pratiques en cours d’adoption

 

«Il s’agit surtout d’élevage familial, artisanal.» Un éleveur de lapins angora.

Contacté par Le Figaro, un éleveur de lapins angora se défend de maltraitance animale.

«Ici c’est différent de la Chine qui assure la majorité de la production mondiale avec des élevages de 100.000 lapins parfois. Le rapport à l’animal est très différent: le plus gros élevage en France doit faire 450 lapins, et sinon il s’agit surtout d’élevage familial, artisanal.»

Néanmoins, il reste ouvert au dialogue avec les associations, qui ont le mérite de secouer les pratiques des éleveurs:

«Quelque part les attaques de l’année dernière ont interrogé les éleveurs qui hésitaient à s’engager en faveur du bien-être animal, ce n’est pas plus mal. Mais ce qui m’écœure c’est qu’on s’attaque à des petites filières artisanales, qui tiennent à leurs animaux.»

Lorsque l’association One Voice a publié en septembre dernier son rapport sur les élevages français, un projet de guide des bonnes pratiques de l’élevage angora était en cours de rédaction, mais peinait à attirer beaucoup d’éleveurs: aujourd’hui, vingt-et-un se sont dits prêts à le signer. Cette charte de l’élevage du lapin angora contient une série de dispositions censées assurer les bonnes conditions de vie des animaux. Elle demande notamment aux éleveurs de donner aux animaux du lagodendron, un mimosa africain censé faciliter la chute des poils et donc l’épilation des lapins: une solution qui ne convient pas à One Voice, pour qui l’efficacité de l’aliment ne compense pas le reste des souffrances endurées par les bêtes à grandes oreilles.

http://www.lefigaro.fr

SeaWorld annule son attraction vedette avec les orques


Cela serait bien, si on interdisait partout en Amérique la capture d’animaux (ou né en captivité) pour des spectacles. Bien sûr, il n’aurait plus de spectacles avec les animaux marins, mais les animaux n’ont-ils pas le droit dans de vivre dans leur environnement en toute liberté ?
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SeaWorld annule son attraction vedette avec les orques

 

SeaWorld s'est défendu en déclarant qu'il traitait les animaux... (PHOTO REUTERS)

SeaWorld s’est défendu en déclarant qu’il traitait les animaux avec dignité et qu’il n’avait pas capturé d’orques au large depuis 35 ans.

PHOTO REUTERS

Agence France-Presse
Los Angeles

Le parc d’attraction aquatique SeaWorld, accusé de maltraiter les animaux, a annoncé lundi qu’il allait progressivement supprimer l’une de ses attractions vedette avec des orques.

SeaWorld a indiqué que ce spectacle phare de son deuxième plus gros parc, celui de San Diego, en Californie, serait remplacé en 2017 par une nouvelle attraction «éducative».

«Nous ne nous limitons pas à un seul animal, à un seul spectacle ou à une seule attraction», a estimé le directeur général Joel Manby lors d’un webcast avec des investisseurs, affirmant que sa société travaillait à son repositionnement.

SeaWorld s’est retrouvé sous le feu des critiques et a vu sa fréquentation plonger dans ses 11 parcs, particulièrement en Californie, après la diffusion en 2013 d’un documentaire très acclamé, Blackfish, qui dénonçait l’impact de la captivité des orques.

Le groupe a tenté de redorer son blason par une nouvelle campagne marketing et des offres de rabais.

L’association de protection des animaux PETA, l’une des premières à dénoncer le traitement des orques par SeaWorld, a toutefois estimé que le retrait du spectacle n’était pas suffisant.

Pour Jared Goodman, de PETA, s’il était nécessaire d’arrêter les «spectacles clinquants style cirque», SeaWorld doit surtout cesser de retenir les orques en captivité.

«C’est comme si un cirque arrêtait de fouetter les lions pendant des spectacles mais les gardait emprisonnés dans des cages à vie», a-t-il fait valoir.

La semaine dernière, le parlementaire californien Adam Schiff a affirmé qu’il envisageait un projet de loi interdisant progressivement de garder et d’élever les orques en captivité, des mesures qui enterreraient pour de bon les spectacles comme celui de SeaWorld.

«Les preuves démontrent sans conteste que les dégâts psychologiques et physiques sur ces magnifiques animaux dépassent de loin tout le bénéfice de leur exhibition», a martelé M. Schiff.

SeaWorld s’est défendu en déclarant qu’il traitait les animaux avec dignité et qu’il n’avait pas capturé d’orques au large depuis 35 ans.

 Les organisations scientifiques comme la sienne «font partie de la solution, pas du problème», conclut la société.

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Pour la première fois depuis 20 ans, ces ours gardés dans des cages exiguës peuvent courir librement.


Des ours dont leur triste destin étaient de mourir entre les barreaux comme des criminels, ont eu enfin une opportunité de savourer la liberté et de vivre à la façon des ours
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Pour la première fois depuis 20 ans, ces ours gardés dans des cages exiguës peuvent courir librement.

 

YouTube/PETA

YouTube/PETA

Pour la première fois depuis 20 ans, ces ours gardés dans des cages exiguës peuvent courir librement.

 

Pendant de longues années, quatre ours ont été gardés dans de petites cages d’un zoo routier de Pennsylvanie, contraints de participer à des numéros de cirque occasionnels.

Mais lorsque le zoo a fermé ses portes en 1995, suite à de nombreuses infractions à l’Animal Welfare Act, Fifi, Bruno, Pocahontas et Marsha n’ont plus eu le droit de quitter leurs cages, pas même pour faire du vélo, un numéro humiliant habituellement présenté devant des foules toujours plus petites.

Les ours tournaient donc en rond dans leurs cages, sans espoir de changement. Ils ne pouvaient pas y hiberner. Et Fifi souffrait d’arthrose prononcée.

Pour ces pauvres ours exploités par l’Homme, l’avenir était loin d’être radieux.

Du moins, jusqu’à ce que les bénévoles de PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) ne parviennent, en 2014, à changer la vie de ces quatre ours, après plusieurs décennies de captivité.

Les ours vieillissants ont en effet été déplacés jusqu’au Wild Animal Sanctuary, dans le Colorado, où ils vont se remettre de leur captivité, et réapprendre à vivre dans la nature.

Sur les vidéos, on peut voir ces ours être enfin relâchés dans la nature après plus de 20 ans passés en cage.

Lorsqu’ils posent les yeux sur leur nouvel habitat, c’est comme s’ils ne parvenaient pas à se convaincre que leur calvaire est enfin terminé.

Deux environnements de 6 hectares chacun leur permettent désormais d’aller où bon leur semble, d’escalader des parois, et de se baigner dans des piscines. Ils auront l’opportunité d’hiberner dans des abris souterrains

En plus de petits bonus luxueux, comme des fruits frais, le refuge leur fournira le suivi médical dont ces ours ont tellement besoin.

“Après plus de 20 années passées en cage, ces ours peuvent enfin se promener, creuser, grimper, se baigner et se terrer à volonté”, explique Brittany Peet (directrice assistante du département juridique de surveillance des animaux en captivité de la fondation PETA) dans un communiqué de presse. “PETA a désormais arraché 41 ours aux zoos routiers et autres arrières-cours de ce pays, mais cette mission ne touchera à sa fin que lorsque tous les ours du monde seront libérés à jamais d’une telle vie de servitude dans une cage minuscule.”

http://bridoz.com/

«Crocogate»: le boucher des vanités


C’est rageant ! Ceux qui achètent des sacs à main, montre bracelet de luxe en autres accessoires luxueux en peau de crocodiles ou d’alligators, savent-ils de quelle manière, on s’y prend pour obtenir ces peaux ? Cela vaut-il vraiment la peine de se pavaner avec de tels accessoires ?
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«Crocogate»: le boucher des vanités

 

Grégory Pons

Journaliste, analyste et stratégiste spécialisé dans les industries du luxe

Peut-on torturer et massacrer des animaux pour leur faire la peau, qu’on transformera en sacs à main ostentatoires et en bracelets de montres statutaires? La maison de luxe Hermès est prise au piège.

Certes, l’espèce crocodilienne est loin d’être la plus sympathique au sein d’un ordre de reptiles aquatiques généralement pas très séduisants. Ce sont néanmoins des animaux sociaux, intelligents et territoriaux. En dépit de leur aspect farouche et rugueux, ils sont sensibles et dévoués à leur progéniture.

Ils accompagnent en tout cas les cultures humaines depuis des millénaires: les anciens Égyptiens les momifiaient. Une seule culture semble les mépriser, sinon les haïr, au point de les massacrer pour le seul plaisir de se parer de leur peau: la nôtre. Manque de chance pour cette espèce: son cuir dessine des «écailles» qui donnent un goût de luxe aux bracelets de montres et aux sacs à main des industries de la mode.

Une documentaire filmé par la PETA (Pour une Éthique dans le Traitement des Animaux: une ONG de trois millions d’adhérents en lutte contre la souffrance animale) démontre que les «fermes à crocodile» – lieux d’élevage et d’abattage qui alimentent les tanneries et les maroquineries de luxe – ont des pratiques d’une cruauté et d’une barbarie sans nom

En Afrique comme aux États-Unis, certains animaux sont dépouillés de leur peau sans avoir perdu conscience. D’autres sont proprement torturés avant de mourir découpés à la scie électrique et décervelés à la barre de fer. Les images sont insupportables. Certaines scènes sont insoutenables.

En fonction de leur taille en arrivant à l’abattoir, les alligators et les crocodiles ne sont plus des animaux, mais de simples «bracelets» ou des «Birkin» (sacs à main Hermès). Cette vidéo ne s’est pas attardée sur une autre procédure d’élevage, tout aussi choquante: on rend les bébés alligators volontairement obèses, dès leur naissance, pour élargir de quelques centimètres carrés leur précieuse peau et ainsi créer des écailles plus larges, mieux valorisées!

Au centre de ces pratiques révoltantes, la maison de luxe Hermès, dont les tanneries sont directement alimentées par ces «fermes». Il faut massacrer trois crocodiles pour confectionner un seul sac à main (on ne prélève guère que la peau du ventre). Il faut mettre à mort un bébé alligator pour créer quatre jeux de bracelets pour des montres de luxe. C’est toute l’industrie horlogère qui se trouve piégée dans ce «Crocogate» fatal: les cuirs de reptiles représentent à peu près un tiers des volumes actuels de bracelets horlogers, soit de quoi équiper une dizaine de millions de montres par an.

Avec des peaux de croco ainsi gorgées de souffrances indicibles, les sacs à main réalisés par Hermès, mais aussi par tous les autres grands maroquiniers de luxe (Louis Vuitton, Gucci, etc.), se trouvent éclaboussés de sang et de honte. Ils puent la mort. Si ostentation il y a, c’est celle du mépris du la vie et de la dignité que toute être vivant doit au vivant.

Hermès botte en touche en s’abritant derrière son respect (sans doute sincère) des réglementations internationales, mais le reportage est accablant sur la boucherie innommable que sont devenues les fermes de son réseau d’approvisionnement. On ne peut se réclamer de valeurs éthiques et ne pas renoncer aussitôt à ces pratiques d’élevage et d’abattage. Difficile, après avoir vu un tel film, de ne pas changer le regard que chacun pouvait porter, en toute innocence, sur ses propres bracelets de montre en croco…

Aucun goût de la parure sociale, aucun fétiche de nos vanités, aucun objet de parade ostentatoire ne sauraient justifier qu’on inflige de tels sévices à des animaux, tout au long de leur vie et jusque dans leur mort. On enrage à la pensée qu’une grande marque, respectée pour l’exigence et l’excellence dont elle fait preuve dans ses métiers traditionnels, puisse se laisser ainsi embarquer dans des pratiques aussi douteuses.

Hermès, nouveau «boucher des vanités», peut-il brûler ses sacs à main iconiques sur un nouveau bûcher des vanités ?

http://quebec.huffingtonpost.ca/

L’industrie du cuir de chien dénoncée


C’est de la violence purement et simplement. Déjà, que manger du chien ou du chat est moralement atroce pour la plupart des gens, faire ce qu’ils font et comment ils font pour récupérer la peau de ces animaux domestiques est insupportable. Il faut vraiment éviter d’acheter ce genre de produits qui sont aussi accessibles sur Internet, comme une Québécoise a fait l’expérience pour une copie d’un manteau de marque, croyant que la fourrure sur la capuche était fausse alors qu’elle venait d’un chien
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L’industrie du cuir de chien dénoncée

Un jeune Chinois circule à vélo sur le... (Photo William Hong, Reuters)

Un jeune Chinois circule à vélo sur le cuir de chiens viverrins, qui ressemblent à des ratons laveurs, mais qui font partie de la famille des canidés. «En Chine, il n’y a aucune sanction prévue pour tout ce qui est maltraitance animale», déplore l’organisation de protection des animaux PETA.

Photo William Hong, Reuters

Jean-Thomas Léveillé
La Presse

Les images sont insoutenables. Des chiens, petits comme grands, frisés ou pas, noirs ou blonds, sont frappés violemment avec un bâton et ensuite égorgés pour les vider de leur sang. Puis, on leur retire la peau. Bienvenue dans l’industrie chinoise du cuir de chien, dénoncée par l’organisation de protection des animaux PETA.

Cette «enquête inédite» a été réalisée par la section asiatique de l’organisation, qui a «réussi à s’introduire dans ces manufactures et à en rapporter des images», affirme Isabelle Goetz, porte-parole de PETA France (People for the Ethical Treatment of Animals), qui n’en dit pas plus sur les procédés employés «pour la sécurité des enquêteurs».

Les images que montre la vidéo rendue publique la semaine dernière ont été filmées en novembre. En plus des scènes brutales qu’on y voit, PETA rapporte avoir vu des chiens être «balancés dans l’eau bouillante» afin de «détacher la peau du corps» alors qu’ils étaient encore conscients.

L’organisation dénonce vivement le sort réservé à ces chiens, dont la peau servirait à fabriquer toutes sortes d’articles en cuir, comme des gants, des ceintures ou des sacoches. Le même traitement est aussi infligé à des chats, des lapins, des porcs et des agneaux, selon PETA.

«En Chine, il n’y a aucune sanction prévue pour tout ce qui est maltraitance animale», déplore Isabelle Goetz, qui estime qu’il est difficile d’évaluer l’ampleur du phénomène et à quel point cette industrie est structurée.

«Il est fort possible qu’il y ait des élevages clandestins», souligne-t-elle.

Dans la manufacture infiltrée par PETA, «un employé a dit à l’enquêteur qu’il y avait entre 100 et 200 chiens par jour qui subissaient ce qui se passe dans la vidéo […], mais ce jour-là, il y en avait environ 300», rapporte Mme Goetz.

Ce qui est certain, pour PETA, c’est qu’il s’agit d’une «industrie florissante, qui prend de l’ampleur en Chine», particulièrement dans la province de Jiangtsu, au nord de Shanghai. Le cuir de chien serait aussi prisé par les manufactures de la Thaïlande, du Cambodge et du Viêtnam.

Sur les marchés occidentaux

La Chine étant «l’un des pays qui exportent le plus de cuir au monde», le cuir de chien se retrouve lui aussi sur les marchés occidentaux, avance PETA sur la base de tests d’ADN. «Beaucoup d’enseignes, d’entreprises, [y] achètent du cuir à bas prix», dit Mme Goetz, qui dénonce l’absence de contrôle sur l’étiquetage.

«On ne peut pas savoir de quelle espèce il s’agit quand on achète du cuir. N’importe où dans le monde», dit-elle.

Le problème est le même que dans l’industrie de la fourrure, dit Isabelle Goetz. «Les capuches qu’on retrouve, en tout cas en France et sur les marchés européens et américains, souvent, ça peut être du chien en fait. Même si l’étiquette dit l’inverse.»

Selon PETA, dont la devise est que «les animaux ne sont pas faits pour être portés, ni mangés», les consommateurs du monde entier devraient tout simplement arrêter d’acheter du cuir, car même si une marque pouvait vraiment certifier la nature de son produit, Isabelle Goetz estime que «la souffrance reste la même».

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L’association Peta accuse Lady Gaga de maltraiter son chiot Asia


Lady Gaga, ne m’intéresse vraiment pas et je pense que mon aversion pour elle a été quand elle a porté une robe fait en viande. Encore aujourd’hui, le fait de prendre son chien pour un jouet, une poupée qu’on habille pour s’amuser. Je ne suis pas toujours d’accord avec PETA, mais comme eux je pense que c’est un manque de respect pour la nature de l’animal
Nuage

 

L’association Peta accuse Lady Gaga de maltraiter son chiot Asia

 

Par Charlotte Grenier

Crédits photo : ladygaga – Instagram

Récemment, Lady Gaga a adopté un jeune Bouledogue Français, du nom d’Asia. Le chiot suit la chanteuse dans presque tous ses déplacements et a envahi de ses photos le compte Instagram de l’artiste.

Malgré tout, Lady Gaga a beau clamer haut et fort qu’elle adore son chien et le couvre d’amour, l’association Peta n’est pas du même avis et le lui a fait clairement savoir récemment. En effet, après avoir vu certaines des photos postées sur internet, Peta estime que la chanteuse traite son chien comme un accessoire plus que comme un être vivant et sensible.

Pas besoin d’être déguisé pour être mignon

 

Les photos ayant créé tant d’émois représentent en effet Asia, couverte de bijoux : colliers, boucles d’oreilles ou encore bracelets… Tous typiques du mode de vie excentrique de la star américaine.

« Lady Gaga peut choisir de s’habiller avec des tenues complexes et parfois inconfortables, mais Asia n’a pas ce choix », explique Peta en défendant le droit du Bouledogue à être traité comme un chien.

« Même s’il semble évident que Lady Gaga aime Asia, nous pensons qu’Asia, et tous les autres chiens, sont adorables sans tous ces accoutrements », a ajouté l’association animale, qui explique que tout ce dont les chiens ont besoin c’est d’un collier et d’une laisse confortables, ou même d’un harnais.

Les fans choqués

Et les membres de Peta ne sont pas les seuls choqués par l’attitude de Lady Gaga avec son chien. Les fans ont répondu sur les réseaux sociaux aux différentes photos qu’elle a pu poster, en disant la trouver cruelle avec son animal.

« Je ne ferais jamais ça à mon chiot », ou encore « Lady Gaga est tellement cruelle ave son chien, mettre des choses sur sa tête et tout me rend malade ! » font partie des réponses aux clichés dérangeants.

Le comportement de la chanteuse choque donc jusqu’à ses propres fans, d’autant plus que ce n’est pas la première fois qu’elle fait preuve d’un certain manque de considération pour la vie animale. Ce fut le cas entre autres en 2010 lorsqu’elle arbora une robe faite de viande, ou une autre fois en apparaissant avec une écharpe en renard dont on voyait encore la tête.

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