Parole d’enfant ► Au ciel


Mlle questionne beaucoup sur la mort. Cette été, elle a perdu une arrière-grand-maman (ma mère) et un arrière-grand-papa. Difficile de répondre à cet âge. Maman y va selon l’inspiration du moment
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Au ciel

 

Mlle – « Où on va quand on est au ciel ? »
Maman « C’est notre tête qui y va Mlle, notre corps se fait enterrer »
Mlle « Quand on va au ciel, notre corps reste là jusqu’au aisselle et notre tête va au ciel ? »

Ana-Jézabelle / 3 ans/ Novembre 2015

Le Saviez-Vous ► Gare aux superstitieux : les 13e étages obligatoires à Vancouver


Quelle relation qu’il y a avec le chiffre 13 et les pompiers ? En cas de feu, cela peut causer un gros retard pour une intervention rapide.
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Gare aux superstitieux : les 13e étages obligatoires à Vancouver

 

La Ville interdit désormais aux constructeurs de faire l’impasse sur l’étage numéro 13 et sur ceux contenant le chiffre 4, peu vendeur pour les promoteurs locaux, car il sonne, dans plusieurs dialectes chinois, comme le mot « mort ». Le but est de faciliter le travail des pompiers en intervention, qui peinent parfois à localiser le bon étage.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Pays-Bas Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie


Je peux comprendre que des gens soient terrorisés par un grand-duc qui attaquant peut blesser gravement. Cependant, je ne comprends pas pourquoi qu’’ils le mettent en cage alors qu’il aurait pu le relocaliser  dans un endroit mieux adapté comme en pleine forêt
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Pays-Bas

Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie

 

Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie

Crédit photo : Archives Agence France-Presse

Le hibou qui avait traumatisé Purmerend, une ville située au nord d’Amsterdam aux Pays-Bas, à l’hiver dernier ne retournera pas à l’état sauvage. L’oiseau a été condamné à la captivité à vie, rapporte le 20minutes.fr.

Le volatile avait à son actif une cinquantaine d’attaques, parfois brutales.

Un centre d’athlétisme avait même annulé les entrainements parce qu’un des membres avait eu besoin de points de suture pour des blessures à la tête causées par le hibou.

«Pendant la journée, il n’y a pas de problème, mais la nuit, nous ne nous aventurons dehors qu’armés de parapluies, casques et chapeaux», avait à l’époque expliqué la porte-parole de l’établissement à l’AFP.

La ville de Purmerend avait finalement recommandé aux citoyens de s’armer d’un parapluie.

Le hibou grand-duc est une des plus grandes espèces de hiboux avec une envergure pouvant aller jusqu’à 1,80 mètre et un poids jusqu’à trois kilos.

http://tvanouvelles.ca/

Merci à Bob l’éponge Il sauve sa camarade de classe grâce à la méthode Heimlich


Bravo a ce jeune autisme qui vient de démontrer qu’un autisme peut aussi faire des choses extraordinaires lors d’une urgence. Il a sauvé la vie d’une autre personne
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Merci à Bob l’éponge

Il sauve sa camarade de classe grâce à la méthode Heimlich

 

(Capture d’écran, CNN)

Un élève, autiste, a sauvé sa camarade de classe grâce à la méthode de Heimlich.

«Jessica avait avalé de travers une pomme et j’ai sauvé sa vie. C’est une bonne amie», a déclaré Brandon Williams.

La direction de l’école new-yorkaise s’est dite fière du geste posé par l’adolescent.

«Il a réagi subitement pendant que tous les autres se questionnaient sur la méthode utilisée.»

Brandon a avoué avoir appris la méthode Heimlich pendant un épisode de Bob l’éponge.

Le père de Brandon a mentionné qu’il n’avait aucune idée que son garçon savait quoi faire dans cette situation.

«Les gens pensent que lorsque vous êtes autiste, vous n’êtes pas capable de faire quoi que ce soit. C’est incroyable ce qu’il a fait aujourd’hui et je suis très fier», mentionne Anthony Williams.

Après son acte héroïque, Brandon n’a pas voulu recevoir de prix de reconnaissance.

«Si cela se produit à la maison, je le sais qu’il est capable de me sauver la vie», souligne M. Williams.

Que ce soit à l’école, dans son quartier ou la maison, Brandon a reçu le surnom de «Superman».

http://tvanouvelles.ca/

Chez les insectes, les zombies existent


Les zombies existent-ils ? Et bien oui, mais chez les insectes. Ils deviennent des esclaves vivants pour d’autres insectes dans le but de se reproduire. Les victimes iront jusqu’à se suicider pour leur bourreau. Tous ? Non, la coccinelle pourra se libérer de ses chaînes, espérons qu’elle ne sera pas infectée une autre fois …
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Chez les insectes, les zombies existent

 

Ce champ de maïs est le théâtre d'une prise d'otage

Ce champ de maïs est le théâtre d’une prise d’otage Photo :  Radio-Canada/Jérôme Voyer-Poirier

Un texte de Tobie Lebel

Les zombies n’appartiennent pas seulement à l’imaginaire de l’Halloween : dans l’univers des insectes, il n’est pas rare qu’un parasite prenne le contrôle de son hôte pour en faire son esclave.

Pour les insectes, les champs de maïs du sud du Québec sont une véritable jungle. La coccinelle y règne en maître, prédateur féroce qui signale à tous sa présence avec sa carapace rouge vif. Mais c’est aussi ce qui en fait une victime toute désignée pour une guêpe parasite, spécialisée dans la prise d’otage.

Se reproduire aux dépens de l’hôte

Le biologiste Jacques Brodeur s’intéresse depuis des années à ces guêpes qui utilisent les coccinelles comme mères porteuses. D’un coup de dard, elles pondent leur œuf dans le corps de la coccinelle, puis s’enfuient.

Pour la coccinelle, c’est le début d’un long cauchemar éveillé. La larve de guêpe va grandir en elle, bien à l’abri, et se nourrir à même les tissus de la coccinelle, toujours vivante.

Une coccinelle protège un cocon qui n'est pas le sien

Une coccinelle protège un cocon qui n’est pas le sien Photo :  Radio-Canada/Jérôme Voyer-Poirier

Le plus surprenant se produit quelques semaines plus tard, au moment où la larve de guêpe s’extirpe de la coccinelle et tisse son cocon sous elle. Plutôt que de s’enfuir, la coccinelle s’immobilise et se transforme en garde du corps. Pendant des jours, elle protège le cocon contre les prédateurs jusqu’à ce qu’une nouvelle guêpe en émerge.

Un ennemi qui vous veut du bien

Pour que cette stratégie fonctionne, il faut qu’elle soit parfaitement calibrée : la guêpe doit exploiter au maximum les ressources de la coccinelle, mais sans la tuer.

« La guêpe a tout à fait intérêt à maintenir la coccinelle en vie et en bonne condition parce que la coccinelle lui sert de garde du corps. Donc avoir un garde du corps qui est robuste, qui arrive à se défendre contre les prédateurs, c’est un plus pour le parasite. » Jacques Brodeur, biologiste à l’Université de Montréal

Jacques Brodeur, biologiste à l'Université de Montréal

Jacques Brodeur, biologiste à l’Université de Montréal Photo :  Radio-Canada/Jérôme Voyer-Poirier

Les chercheurs de l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV) de l’Université de Montréal ont eu la surprise de constater que jusqu’à 60 % des coccinelles survivent au parasitisme et reprennent leur routine. Il peut même arriver qu’une coccinelle soit de nouveau parasitée au cours de sa vie.

Un hôte téléguidé vers sa mort

Certains parasites ont beaucoup moins d’égard pour leur hôte, en particulier ceux qui l’utilisent comme véhicule pour atteindre le lieu où ils se reproduisent. C’est le cas d’un grillon, infecté par un long ver qui se développe en lui. Une fois le parasite adulte, il ordonne au grillon de sauter à l’eau. Or, le grillon ne sait pas nager, mais son suicide permet au ver d’aller se reproduire dans l’eau.

C'est à l'autopsie qu'on a découvert le vrai coupable

C’est à l’autopsie qu’on a découvert le vrai coupable Photo :  Radio-Canada/Jérôme Voyer-Poirier

Autre exemple : un escargot est victime d’un petit ver parasite, qui s’installe dans ses antennes et court-circuite son système visuel. Plutôt que de rester à l’ombre, pour se protéger du soleil, l’escargot grimpe vers la lumière. Et c’est exactement ce que souhaite le ver : arrivé à destination, il se met à gesticuler pour imiter la proie favorite d’un oiseau. L’escargot finira dans l’estomac de l’oiseau, car c’est là que le ver se reproduit. Et quand l’oiseau expulse les larves du ver, elles retombent au sol, où elles attendent le prochain escargot.

Certains parasites passent par plusieurs espèces différentes pour se reproduire.

« Il y a des parasites qui ont des cycles de vie extrêmement complexes. Ça peut aller jusqu’à six hôtes intermédiaires différents avant de compléter son cycle de vie. » —  Jacques Brodeur

Un virus comme arme biologique

Les biologistes répertorient depuis des décennies ces prises de contrôle parasitaires, mais les mécanismes restent méconnus.

Toutefois, dans le cas de la guêpe, on a découvert récemment qu’elle a en fait un complice : en injectant son œuf dans la coccinelle, elle lui transmet aussi un virus, qui vit en permanence dans son système reproducteur.

Ce virus a une préférence pour les tissus nerveux de la coccinelle. Et au moment précis où la larve de guêpe sort de la coccinelle, le virus se multiplie à toute vitesse, ce qui endommage le cerveau de la coccinelle et la paralyse pendant des jours.

Nolwenn Dheilly, biologiste à l'Université Stony Brook

Nolwenn Dheilly, biologiste à l’Université Stony Brook Photo :  Université Stony Brook

Le système immunitaire reprendra le dessus par la suite et éliminera le virus, ce qui permet à la coccinelle de sortir de sa torpeur et de retrouver sa liberté.

« C’est une propriété bien particulière des insectes, qui sont capables de régénérer leurs tissus nerveux. Cette régénération explique le retour de la motricité et du comportement normal de la coccinelle. » Nolwenn Dheilly, biologiste à l’Université Stony Brook

Les travaux du biologiste Jacques Brodeur ont fait la Une du magazine National Geographic en 2014.

Les travaux du biologiste Jacques Brodeur ont fait la une du magazine National Geographic en 2014. Photo :  Radio-Canada/Olivier Lalande

C’est donc le virus qui transforme la coccinelle en garde du corps. La guêpe en profitera pour compléter son cycle de vie, et propager du même coup le virus, une symbiose qui profite donc aux deux complices.

C’est la première fois qu’on découvre un tel cas de figure, qui ouvre de nouvelles perspectives aux chercheurs. D’autres parasites ont-ils recours à un virus comme arme biologique pour prendre le contrôle de leur hôte? Et jusqu’où l’humain subit-il lui aussi l’influence de ces minuscules preneurs d’otage? Les réponses jetteront un nouvel éclairage sur certaines maladies infectieuses, comme la rage, la grippe ou la malaria.

Mais une chose est sûre : pour ce qui est d’une épidémie qui créerait des hordes de zombies, c’est un scénario qui relève beaucoup moins de la science… que de la fiction.

http://ici.radio-canada.ca/

Comment lutter contre la déprime saisonnière du chat ?


Les animaux aussi peuvent faire des dépressions saisonnières. Les chats entre autres peuvent passer l’hiver a dormir, aller à la litière et manger sans plus
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Comment lutter contre la déprime saisonnière du chat ?

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Mad Wraith – Flickr

Comme les humains, les chats ont parfois de vrais coups de blues lorsque l’hiver arrive. Très sensibles à la lumière qu’ils reçoivent, ils ont tendance à manquer d’énergie, devenir agressifs, changer d’humeur et de comportement.

Mais rassurez-vous, combattre la déprime saisonnière du chat est tout à fait possible. Quelques conseils pour aider votre matou  ::

Des médicaments ?

Certains vétérinaires prescrivent des antidépresseurs, tels que le Prozac (réconcile en version animale), aux animaux ayant le moral en berne.

« Attention toutefois les antidépresseurs peuvent entraîner des lésions hépatiques, il faut faire un bilan sanguin tous les mois pour vérifier que le chat tolère le traitement. » nous rappelle Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste du chat.

Ces médicaments sont réellement efficaces. Mais cela ne signifie pas que vous pouvez administrer à votre compagnon vos propres médicaments.

Certains traitements pour humains sont très dangereux pour les animaux. Si votre chat vous semble déprimé, ou malade, direction le cabinet de votre vétérinaire !

La luminothérapie

Si vous préférez les méthodes douces, il en existe aussi pour aider les chats à traverser cette période difficile que peut être l’hiver.

En  manque de soleil, un matou peut perdre entrain et énergie. Alors pourquoi ne pas lui offrir des séances de luminothérapie. Non-invasif et économique, ce traitement est lui aussi vraiment efficace.

chat lumière
Les chats sont très sensibles à la quantité de lumière qu’ils reçoivent. (© Flickr – Nicholas Erwin)

Les lampes permettent en effet de réguler l’horloge biologique, qu’il s’agisse de celle des animaux ou des hommes. Installez votre chat une demi-heure par jour sous une lampe spéciale, et il se sentira bien mieux.

Les fleurs de Bach

« Les fleurs de Bach ou l’homéopathie peuvent aussi aider de façon douce et naturelle les chats à passer l’hiver. Il suffira de donner quelques gouttes tous les jours, de la fleur adaptée en fonction du caractère du chat » souligne Marie-Hélène Bonnet.

Elle conseille notamment le châtaignier (2 gouttes par jour déposées sur sa nourriture ou dans un bol d’eau s’il est donnée de façon ponctuelle). N’hésitez pas à faire appel à un spécialiste du comportement félin, qui saura vous aider àchoisir les fleurs de Bach adaptées à votre compagnon.

Des jeux et du sport

Ce n’est un secret pour personne, faire de l’exercice, c’est bon pour le moral ! Là encore, cela est aussi vrai pour les animaux que pour leurs maîtres.

Si votre matou passe ses journées à faire la sieste, s’il délaisse ses jouets et ne se lève que pour manger et faire ses besoins : il est temps de réagir ! Ne laissez pas votre compagnon devenir apathique. Ce ne serait pas lui rendre service, bien au contraire.

Quand un chat cesse de se dépenser, il ne produit plus d’endorphines, une hormone du plaisir. Il perd alors tout enthousiasme, et s’installe un cercle vicieux.

chat jouet
Ne laissez pas votre chat devenir apathique, stimulez-le ! (© Flickr – Tambako)

En stimulant votre félin, avec de nouveaux joujoux, des séances de jeu, mais aussi la mise en place d’une routine rassurante, vous lui permettrez de se sentir bien mieux dans ses pattounes.

« Des jouets olfactifs, en utilisant  les produits que les chats aiment, comme la menthe, vont les inciter à jouer plus qu’une simple balle ou une souris. Faites vos jeux vous-mêmes avec un tube de comprimés vide, nettoyé, percé et dans lequel on peut placer une feuille de menthe, un morceau de poisson séché, des croquettes… » nous conseille Marie-Hélène Bonnet.

http://wamiz.com/

Le Pékan, nouvelle victime des trafiquants de marijuana


L’étude porte sur les pékans aux USA, mais il y a aussi des populations de pékan au Canada et je pense qu’eux aussi sont victimes d’empoisonnement volontaire par ceux qui cultivent de la marijuana. Si la production de cette drogue augmente, les animaux sont-ils plus en danger ? Tout cela pour faire un « trip’ !
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Le Pékan, nouvelle victime des trafiquants de marijuana

 

 

Ce Pékan présente de graves troubles neurologiques après l'ingestion d'un rodenticide. © IERC ECOLOGY / Youtube

Ce Pékan présente de graves troubles neurologiques après l’ingestion d’un rodenticide. © IERC ECOLOGY / Youtube

Les trafiquants de drogue empoisonnent les pékans, une petite espèce de mammifère carnivore d’Amérique du Nord, pour protéger leurs cultures de marijuana.

DROGUE. Le Pékan (Pekania pennanti) est un petit mammifère carnivore d’Amérique du Nord dont la population diminue de manière préoccupante ces dernières années. Dans une étude publiée sur PlosONE en novembre 2015, des chercheurs ont donc voulu identifier les principales causes de mortalité de cet animal en Californie (États-Unis). Pour cela, ils ont étudié entre 2012 et 2014 les cadavres de 167 Pékans provenant de deux populations distinctes géographiquement et génétiquement. Ils ont ainsi pu établir que dans 70 % des cas, les animaux meurent de la prédation et que la mort naturelle représente 16 % des causes de mortalité. Mais 10 % de ces petits mammifères périssent à la suite d’un empoisonnement. Un chiffre loin d’être insignifiant. D’autant plus que, ces trois dernières années, la mortalité causée par l’ingestion de produits nocifs a augmenté de 57 %. En cause, les trafiquants de marijuana : ces derniers dispersent des rodenticides tout autour de leurs cultures de drogue… établies sur l’habitat naturel du Pékan. Leur but est donc de faire disparaître l’occupant.

Hémorragies et troubles neurologiques

Afin d’être sûrs d’attirer un maximum d’animaux, ils déposent également des morceaux de nourriture dans les alentours, comme du poisson ou du bacon. L’un des poisons les plus efficaces contre les Pékans est l’anticoagulant rodenticide (ARs) qui entraîne une déficience en vitamine K, essentielle à la coagulation sanguine. L’ingestion de cette substance provoque dès lors de sévères hémorragies chez ce petit mustélidé (même famille que les belettes ou les furets). Dans l’un des cadavres étudiés, les chercheurs ont dénombré pas moins de six rodenticides différents ! Un mâle a été découvert vivant mais présentant d’importants troubles neurologiques (voir vidéo ci-dessous). Il était complètement léthargique et présentait une ataxie : l’animal était incapable de se déplacer correctement à cause du manque de coordination de ses mouvements. Il a finalement été euthanasié. Les chercheurs recommandent de nettoyer complètement les sites où des cultures de marijuana ont été établi par le passé. En 2015, la population californienne de Pékan, qui dénombre environ 250 spécimens, a été considérée comme menacée par le California Endangered Species Act. Les chercheurs ont tenu à préciser que si l’étude porte sur une seule espèce, d’autres sont également touchées par ces pratiques des trafiquants comme les renards roux de Sierra Nevada.

http://www.sciencesetavenir.fr/