Un homme sans membres nage avec des requins


Même avec une protection, il n’est pas rassurant de se retrouver au milieu des requins. Cela doit être une superbe expérience
Pour ceux qui ne connaissent pas Nick Vujicic, qui a fait nombre de conférences immortalisées sur vidéos, j’ai pensé rajouter une de ses vidéos traduites en français qui en même temps, peut apporter à chacun une réflexion
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Un homme sans membres nage avec des requins

 

 

Partager le même espace qu’un requin est une idée effrayante.

Pourtant, l’Australien et conférencier Nick Vujicic l’a fait. Son exploit prend tout son sens en sachant que l’homme n’a pas de bras ni de jambes, affligé de la rare maladie « Tetra-amelia ».

Sa baignade avec les impressionnants prédateurs marins a eu lieu hier au Marine Life Park de Singapore. Afin d’éviter tout contact avec les requins, Vujicic était confiné dans un refuge personnalisé en acrylique qui lui offrait une vue imprenable sur un environnement autrement hostile.

Source : Time.com

http://www.insolite.ca

 

Le Saviez-vous ► Que Servent Les Cafeterias Des Écoles Ailleurs Dans Le Monde?


Je ne sais pas si les choses ont changé, mais au primaire, il fallait que nous amenions nos lunchs si nous dinions à l’école. Ce fut dès le secondaire que nous pouvions aller à la cafétéria a l’école Je pense aujourd’hui, les écoles font un peu plus d’effort qu’avant et c’est  probablement une bonne chose, reste au jeune de ne pas céder aux repas des restaurant rapide,
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Que Servent Les Cafeterias Des Écoles Ailleurs Dans Le Monde?

 

Qu’y a-t-il pour dîner?

Dans le monde entier, « midi » signifie « l’heure du repas » pour les enfants d’âge scolaire. Mais la notion de ce que constitue « un repas sain » pour les écoles peut varier de manière étonnante d’un pays à l’autre. À preuve, en voici quelques-uns.

 

Le gouvernement finlandais oblige les écoles à fournir aux élèves un repas comprenant, au minimum, 50 % de légumes et 25 % de protéines. La plupart des écoles offrent aussi un menu végétarien. Les jeudis, les écoles servent un repas traditionnel composé d’une soupe aux pois verts et de crêpes.

Pour nombre d’écoles en France, offrir un repas sain est la règle, ces écoles ont d’ailleurs une diététicienne sur place qui supervise la qualité des repas. Le plat principal comprend, par exemple, du poulet grillé accompagné de haricots verts et de fromage. Lorsqu’ils contiennent des aliments plus ou moins recommandés, les repas doivent être accompagnés d’aliments sains. Une pizza, par exemple, est servie avec une salade.

Le repas du dîner comprend des céréales et des légumes cuits qui peuvent être mélangés à du cari ou servis dans une soupe. Un verre de lait est habituellement servi avec le repas.

La plupart des écoles en Italie servent des repas biologiques. Le plat principal est composé de pâtes accompagnées d’une salade. Les repas comprenant de la viande sont servis une ou deux fois par semaine. En plus du repas du midi, les élèves ont une collation comme une tartine de chocolat (Nutella).

Comme en France, la préparation des repas dans chaque école japonaise est supervisée par une diététicienne. Les aliments comprennent des fruits frais, des légumes et de la viande. Le riz et le poisson servent de base pour beaucoup de repas. Ceux-ci sont servis dans des boîtes à benthos.

Plutôt que d’aller chercher leurs repas à la salle à manger de l’école, la cantine au Singapour se trouve près des cours d’école où des cuisiniers attendent de servir les élèves. Au menu : des repas traditionnels composés de cari et de soupe ou encore des repas à l’occidentale comme le spaghetti.

Dans les écoles espagnoles, le choix des repas est plutôt limité et comprend du riz, une soupe, des légumes ou des pâtes pour l’entrée et de la viande pour le repas principal. Un fruit ou un yogourt est offert pour le dessert.

Principalement traditionnels, les repas dans les écoles ukrainiennes comprennent du borchtch, un genre de soupe aux betteraves et autres légumes. Le plat principal est en général composé d’une saucisse et de sarrasin bouilli. Les repas sont habituellement servis avec un jus et un dessert comme une crêpe avec garniture sucrée.

http://selection.readersdigest.ca

Mes dents se déchaussent : qu’est-ce qui se passe ?


Si une chose que l’on doit enseignée aux plus jeunes, c’est bien de prendre soin de leur dent. Ils pourront s’éviter bien des problèmes qui coûtent très cher a réparé
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Mes dents se déchaussent : Qu’est-ce qui se passe ?

 

Les dents qui se déchaussent, paraissent soudain plus longues, laissent apparaître des intervalles plus important entre elles à la racine, voire redeviennent mobiles alors que le temps des dents de lait est passé depuis longtemps ?

C’est le signe d’une affection de la gencive qui met vos dents en danger : la parodontite.

Le déchaussement des dents, signe d’un manque de soutien

Si vos dents se déchaussent, c’est qu’elles ne sont plus correctement attachées à votre mâchoire.

Normalement c’est le parodonte qui assure leur fixation. On désigne ainsi à la fois l’os alvéolaire dans lequel les dents s’implantent, les ligaments qui les relient, et le tissu qui entoure le tout, la gencive.

Le problème du parodonte, c’est que les bactéries présentes dans la plaque dentaire peuvent y déclencher une inflammation. La gencive gonfle, devient sensible, saigne dès qu’on tente de la brosser.

Des poches remplies de bactéries peuvent se former entre dent et gencive. En même temps, mais de manière plus discrète, l’os alvéolaire perd de la matière.

Au bout d’un certain temps sans traitement (plusieurs années en général), une partie de la racine dentaire finit par apparaître ; les dents ont alors l’air plus longues et plus minces, et des intervalles apparaissent entre elles.

Comment soigner des dents qui se déchaussent ?

La grande majorité des adultes des pays développés souffrent de maladie des gencives, de manière plus ou moins grave.

Les saignements au moment du brossage des dents sont en général le premier signe d’alerte.

La seule solution pour prévenir ces maladies, ou empêcher leur évolution vers le déchaussement des dents, est une visite régulière chez le dentiste. Celui-ci est en effet le seul à pouvoir vous débarrasser du tartre et des bactéries qui l’accompagnent.

Si la parodontite est avancée, il fera le détartrage jusque sous la gencive, et polira aussi les dents pour qu’elles offrent moins de prise aux bactéries.

Après cela, si le déchaussement des dents est déjà prononcé, on pourra mettre en œuvre des solutions chirurgicales pour que les dents retrouvent un soutien approprié.

Mais toutes ces techniques sont coûteuses et compliquées… Mieux vaut donc opter pour une hygiène dentaire impeccable et un détartrage annuel !

Mis à jour par Marion Garteiser, journaliste santé

http://www.e-sante.be/

De plus en plus de jeunes fument la cigarette électronique


L’étude est aux États-Unis, mais je ne serais pas surprise que les résultats soient similaires au Canada. Pour arrêter de fumer, cela ne fonctionne pas vraiment, pour un ex fumeur, c’est la meilleure façon de recommencer à fumer et pour un non-fumeur, c’est probablement, une occasion pour fumer de vraies cigarettes
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De plus en plus de jeunes fument la cigarette électronique

 

Photo Fotolia

De plus en plus de jeunes Américains fument la cigarette électronique dont la consommation a doublé en un an, une source «d’inquiétude» pour les autorités en raison de «l’incertitude» qui entoure ce produit, indique vendredi le ministère de la Santé.

L’utilisation de la cigarette électronique a doublé chez les collégiens et lycéens aux Etats-Unis entre 2011 et 2012, avec 1,78 million de jeunes l’ayant utilisée en 2012, selon une étude des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

De plus, une estimation de quelque 160 000 jeunes ont fumé la cigarette électronique sans avoir jamais fumé auparavant de cigarette traditionnelle, ajoutent les CDC qui estiment que ceci soulève «une véritable inquiétude car l’impact global de la cigarette électronique sur la santé publique reste incertain».

Chez les lycéens, l’expérimentation au moins une fois de la cigarette électronique est passée de 4,7% en 2011 à 10% en 2012, et son utilisation courante de 1,5% à 2,8%. Près de 7,2% n’ont jamais fumé de cigarette conventionnelle.

Chez les collégiens, l’expérimentation du produit est passée de 1,4% à 2,7% sur la même période.

«La montée de l’utilisation de la cigarette électronique est inquiétante», indique Tom Frieden, directeur des CDC, dans un communiqué, car la nicotine que contient la cigarette électronique «est une drogue qui entraîne une forte dépendance et de nombreux jeunes qui commencent avec elle peuvent être condamnés à être dépendants toute leur vie».

Alors que 90% des nouveaux fumeurs sont des adolescents, rappelle Tim McAfee, directeur du département Tabac aux CDC, «il est urgent de mettre en oeuvre des stratégies pour empêcher la publicité, la vente et l’utilisation de la cigarette électronique par les jeunes».

Le gouvernement américain devrait annoncer en octobre ses projets de règlementation de la cigarette électronique, les lois étant pour le moment différentes selon les Etats. Nombre d’entre eux en ont interdit la vente aux mineurs.

En Europe, plusieurs pays dont la France et l’Italie ont fait de même.

L’étude des CDC a été réalisée à partir d’un questionnaire délivré à quelque 20 000 élèves, pour un rapport annuel sur les jeunes et le tabac.

http://sante.canoe.ca

Drogues 2,0: la roulette russe en comprimé


Comment peut-on vouloir prendre ces cochonneries avec tous les conséquences négatives sur le corps, sur le cerveau ? Comment il se fait que des jeunes veulent prendre des drogues, sans savoir vraiment ce qu’ils contiennent Ils ont sûrement des informations sur ces drogues.
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Drogues 2,0: la roulette russe en comprimé

 

L’étude, réalisée sur 365 comprimés saisis partout au Québec, a montré que seulement 22,5% des comprimés vendus comme de l’ecstasy contiennent réellement – et uniquement – du méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA), nom scientifique de l’ecstasy.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

KATIA GAGNON
La Presse

Économiques, faciles à consommer et à cacher, les drogues de synthèse ont la cote auprès des jeunes et créent de nouveaux toxicomanes parmi des clientèles totalement atypiques. Les saisies mondiales se chiffrent en tonnes de comprimés. Le Canada est une plaque tournante de ce très lucratif trafic. Des superpartys ravesoù on teste l’ecstasy avant de la consommer aux maisons de banlieue converties en laboratoires clandestins, La Presse vous entraîne sur la route de ces drogues 2.0.

L’homme est arrivé aux urgences de l’hôpital Saint-Luc encadré par des policiers. Il avait fallu six agents pour le maîtriser et le faire monter dans le véhicule. Sa température corporelle s’élevait à 42 degrés Celsius. Il était à ce point trempé de sueur que les ambulanciers croyaient qu’il sortait de la douche.

Les policiers ont été appelés au domicile de cet homme parce qu’il s’était mis à tout casser chez lui. Il était déchaîné.

Diagnostic du Dr Alexandre Larocque, urgentologue au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) et consultant en toxicologie: intoxication aux amphétamines. De tels cas – bien que pas toujours aussi spectaculaires – ne sont pas rares aux urgences des trois hôpitaux du CHUM.

«On voit ça tous les jours», résume l’urgentologue.

Les médecins sont un peu démunis devant ces cas d’intoxications aux drogues de synthèse, puisque les nouveaux produits se multiplient.

«C’est très difficile pour nous de distinguer un produit d’un autre. On est constamment en retard dans les tests. On met au point un test pour dépister une substance, et ce n’est plus ça qui se vend dans la rue», explique le Dr Larocque.

Cela dit, les signes qu’un patient est intoxiqué par des produits stimulants – amphétamine, méthamphétamine, ecstasy – sont clairs: agitation extrême, hyperthermie, déshydratation, rythme cardiaque élevé, paranoïa.

Les médecins maîtrisent l’agitation – «qui peut être assez spectaculaire», souligne le Dr Larocque – avec des calmants et s’emploient ensuite faire baisser la température corporelle du patient «avec des solutés froids et des matelas réfrigérants». Dans les pires cas, l’intoxication peut mener à la psychose toxique ou carrément à la mort du patient.

Les comprimés mystères

«Les gens disent: moi, je prends du speed. Mais speed, ça ne veut absolument rien dire», observe le caporal Jacques Théberge, de la Gendarmerie royale du Canada.

Car prendre un de ces comprimés, dont on ignore la composition précise, c’est l’équivalent de jouer à la roulette russe. Une étude de Santé Canada, qui date de 2008, l’a démontré noir sur blanc: si vous achetez un comprimé d’ecstasy, vous avez une chance sur deux de tomber sur un comprimé… qui ne contient pas un microgramme d’ecstasy.

L’étude, réalisée sur 365 comprimés saisis partout au Québec, a montré que seulement 22,5% des comprimés vendus comme de l’ecstasy contiennent réellement – et uniquement – du méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA), nom scientifique de l’ecstasy.

Un comprimé sur cinq contient en réalité de la méthamphétamine, un sur vingt des amphétamines et un sur cinq contient bel et bien du MDMA, mais mélangé avec d’autres produits, comme la méthamphétamine ou la kétamine.

«Ainsi, dans près de 80% des cas, l’utilisateur croyant consommer de l’ecstasy consommerait en réalité une autre substance ou un mélange de drogues», affirme l’étude.

«Bref, quand on achète une peanut, on ne sait pas du tout ce qu’il y a là-dedans. On ne sait jamais comment c’est fait ni avec quoi c’est fait», confirme Marie-Ève Morin, médecin spécialiste des toxicomanies.

«Ça trouble beaucoup les jeunes quand on leur dit que l’ecstasy, il y en a de moins en moins dans les comprimés. Quand on leur dit qu’il y a de la méthamphétamine dans leur pilule, ils sont bouleversés. Ils ont peur de ça», dit le caporal Jacques Théberge.

Les effets des produits mélangés ne s’additionnent pas, mais peuvent parfois se multiplier.

«Les gens jouent à la roulette russe en prenant plusieurs produits en même temps», estime Paul-André Dubé, expert en toxicologie clinique à l’Institut national de santé publique du Québec. «On met en marché des drogues dont on ne connaît rien des effets sur la santé humaine.».

«Le téléphone voulait me bouffer»

Jean, grand consommateur de drogues de synthèse, a fait une psychose causée par les amphétamines.

«J’ai été en position foetale pendant trois jours. J’avais l’impression que le téléphone voulait me bouffer», raconte-t-il.

Et le pire, c’est que ces épisodes psychotiques causés par les amphétamines peuvent se produire à répétition.

«Avec les amphétamines, certains patients développent une vulnérabilité à la psychose. Même lorsqu’ils arrêtent de consommer, les hallucinations continuent plusieurs semaines ou même plusieurs mois après l’arrêt de la consommation. La puissance de cette drogue vient vraiment fragiliser le cerveau», dit le psychiatre Didier Jutras-Aswad, qui travaille au CHUM.

Car après l’euphorie des amphétamines vient la pente descendante, qui peut être très, très abrupte.

«J’ai vu des gens dormir sans interruption pendant 48 heures après avoir passé plusieurs jours sur les amphétamines», raconte Annie Trudel, infirmière au programme jeunesse de Dollard-Cormier.

«De grands consommateurs d’ecstasy peuvent se retrouver avec un tableau dépressif extrêmement sévère, qui est complètement réfractaire aux médicaments», dit le Dr Jutras-Aswad.

L’un des cas les plus sévères de psychose toxique vus par Mme Trudel est celui d’un homme qui avait pris de grandes quantités de speed combiné à de la cocaïne.

«Le down a été tellement fort qu’il avait fait trois tentatives de suicide dans la même nuit. Essayer de se tuer, par trois fois: imaginez sa détresse.»

http://www.lapresse.ca

Mangez-vous encore du pâté chinois?


En Amérique et en Europe et probablement dans les autres continents, la mondialisation a permis de découvrir beaucoup de nouveautés pour nous papilles gustatives et serait, je pense une des causes que des plats que nous aimions dans l’enfance ne font plus partie aussi souvent de nos menus. Et grâce aux échanges culturels, nous pouvons expérimenter des nouveaux fruits et légumes, des plats étrangers ….
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Mangez-vous encore du pâté chinois?

 

Saviez-vous que les Français mangent de moins en moins de pain? C’est ce qui a conclu un sondage de l’Observatoire du pain, une institution qui fait l’étude scientifique, nutritionnelle, sociologique et épidémiologique du pain. Mais le pain n’est pas leu seul aliment en perte de vitesse. Les Japonais mangeraient moins de sushis, les Boliviens moins de quinoa et même les Américains n’apprécieraient plus McDo comme avant…

Voici cinq autres aliments iconiques de moins en moins populaires.

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Moins de poisson au Japon

Sur le site du The Wall Street Journal, on apprenait en 2010 que la consommation de poisson chez les Japonais est en décroissance. Depuis 2000, elle aurait baissé de 23 %. Le gouvernement a d’ailleurs lancé l’an dernier une campagne de promotion intitulée Fast Fish afin d’en faire la promotion.

Les Américains mangent moins de malbouffe

Bon, on ne peut parler des frites de Mcdo comme d’un plat national, mais la compagnie est emblématique du fast food. D’après des études récentes du Centers For Disease Control and Prevention, les Américains ont diminué leur consommation de malbouffe durant la période de 2007 et 2010. Elle se situe maintenant à 11,3 % (elle était de 12,8% entre 2003 et 2006).

En Allemagne, la bière n’est plus aussi populaire

En effet, les Allemands, grands amateurs de bière, ont bu collectivement 2,5 milliards de bières en 2012, une baisse de 30 % en comparaison aux années 1970. À cette époque, la consommation était de 151 litres par jour par Allemand. Elle est aujourd’hui de 106 litres.

La consommation de riz décroit en Corée

D’après le journal The Korea Herald, la consommation annuelle de riz en 2012 a diminué de moitié par rapport à il y a 30 ans. Les Coréens ne consommeraient que 191 grammes de riz ou moins par jour. La raison? Les Coréens veulent tout simplement diversifier leur alimentation.

Le quinoa trop cher en Bolivie

De plus en plus populaire en Amérique du Nord et en Europe, le quinoa perd des points dans son pays d’origine, la Bolivie. Entre 2005 et 2010, la consommation a diminué de 34 %, au profit de nouilles, du riz et d’aliments transformés, plus abordables, selon le New York Times. Comme le quinoa s’exporte de plus en plus, il devient trop cher…

Et vous, que mangez-vous plus ou moins? Nos plats «nationaux» comme le pâté chinois vous semblent-ils en décroissance?

(Source: Bon Appétit)

http://lafouinecuisine.ca