Voyage en train


Une très belle métaphore qu’un voyage en train pour imaginer la vie le long de la route, des gens que l’on rencontre au court de notre voyage, partageant ainsi leur voyage a eux…
Nuage

 

Voyage en train

 

 

« La vie c’est comme un voyage en train, certains commencent le voyage avec toi, d’autres montent à la moitié du chemin, beaucoup descendent avant que n’arrive la fin, peu restent près de toi jusqu’à la destination finale. Mais chacune de ces personnes laissent quelque chose dont tu te souviendras au cours de ce grand voyage de la vie, alors baisse les fenêtres et profite du voyage, tu ne sais pas quand arrivera ton arrêt. »

Anonyme

Des chiens heureux, et volants !


Un chien actif est un chien en santé. Je trouve que la vidéo montre bien comment les chiens ont besoin de se dépenser pour être heureux, et c’est un merveilleux moment a passé avec ses maitres
Nuage

 

Des chiens heureux, et volants !

 

Nostalgiques de l’été, et des longs moments passés sous le soleil avec votre compagnon à 4 pattes ?

Cette magnifique vidéo vous rappellera sans doute des souvenirs !

Réalisé avec Orapup, une marque de produits dentaires pour les chiens, ce film est tout simplement parfait pour commencer la journée dans la joie et la bonne humeur !

Des chiens heureux se défoulent auprès de leurs maîtres bien-aimés, et grâce à la magie du ralenti, ils se mettent à voler ! Des scènes qui ne manqueront pas de vous rappeler celles de Matrix. C’est là, bien sûr, tout l’effet recherché.

Quelque chose nous dit qu’après avoir regardé cette vidéo, déjà visionnée par des centaines de milliers de personnes, vous aurez soudainement une folle envie de repartir en vacances avec votre poilu !

http://wamiz.com/

Le Saviez-vous ► Expression : Rire jaune


Le rire jaune est de caché ce qui ne fait pas notre affaire, on ne veut pas perdre la face non plus …
Nuage

 

Rire jaune 

 

 

Rire de manière forcée.

Rire en dissimulant mal un mécontentement, un dépit, une gêne.

Contrairement à ce que certains croient, le rire jaune n’est pas le propre des Asiatiques, même si ceux-ci, bien plus attachés que nous à ne pas vexer ou blesser leur interlocuteur, peuvent être amenés à rire jaune plus souvent.

Si le jaune est une couleur considérée comme positive (le soleil, donc la vie ; l’or, donc la richesse ; le blé, donc la nourriture…), il a aussi souvent été perçu de manière négative :

Judas le traître était représenté comme vêtu de jaune ;

« Être habillé en jaune », c’était, à l’époque médiévale et dans certains pays, signaler être juif (la loi le voulait ainsi, ce qui rappelle l’infâmante étoile jaune au cours de la dernière guerre mondiale) ;

Le jaune du soufre rappelait Lucifer ;

« Être peint en jaune », c’était être trompé par sa femme ;

Dans l’Espagne de l’inquisition, les victimes des autodafés étaient vêtues de jaune.

Certains situent cette expression pour la première fois, avec le sens actuel, chez Saint-Simon au XVIIIe siècle. Et ils rattachent le ‘jaune’ au teint des hépatiques qui, compte tenu des désagréments de leur maladie et de l’humeur qui en découlait, ne pouvaient rire que de manière forcée.

Mais en 1640, Oudin écrit déjà « il rit jaune comme farine », expression de l’argot de l’époque où ‘farine’ ne désigne pas l’aliment, mais quelqu’un de vicieux (« des gens de même farine » désignait, dans le dictionnaire de l’Académie Française de 1694, « des gens qui sont sujets à mêmes vices, ou qui sont de même cabale »).

Autrement dit, dès cette époque, le « rire jaune » désignait un rire malsain, dissimulateur.

C’est donc probablement de cette époque, et non pas des bilieux, que nous vient cette expression.

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Climat: l’influence de l’homme plus claire que jamais


Comment se fait-il que cela a pris 9 milles recherches sur les changements climatiques commencent a voir plus clair alors que le commun des mortels sont conscient depuis bien plus longtemps
Nuage

 

Climat: l’influence de l’homme plus claire que jamais

 

Après cinq années de délibérations passées à analyser plus de 9000 recherches... (Photo AFP)

PHOTO AFP

CHARLES CÔTÉ
La Presse

Après cinq années de délibérations passées à analyser plus de 9000 recherches scientifiques, le constat ne pourrait être plus clair.

« Il est extrêmement probable que l’influence humaine a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20e siècle », affirme le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat.

> Le rapport du GIEC (PDF en anglais)

Cette affirmation sans équivoque a été approuvée par les représentants des gouvernements de 110 pays, au terme d’une conférence à Stockholm.

« L’influence humaine a été détectée dans le réchauffement de l’atmosphère et de l’océan, dans les changements du cycle global de l’eau, dans l’augmentation moyenne du niveau de la mer, et dans les changements de certains extrêmes climatiques », précise-t-on dans le Résumé à l’intention des décideurs publié ce matin.

Ce document de 36 pages a été approuvé ligne par ligne, a précisé Thomas Stocker, coprésident du groupe de travail sur la science du climat au GIEC, en conférence de presse diffusée via le Web.

« Les 110 gouvernements ont regardé chaque mot et chaque chiffre, dit-il. Et les 110 gouvernements ont fait consensus sur 18 affirmations principales. »

Parmi celles-ci :

« Les concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone (CO2), de méthane et d’oxyde d’azote ont augmenté à des niveaux sans précédent depuis au moins 800 000 ans.

26 à 82 centimètres

Le niveau des océans pourrait augmenter de 26 ou bien de 82 cm d’ici 2100.

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« Les concentrations de CO2 ont augmenté de 40% depuis l’ère pré-industrielle, principalement à cause des émissions en provenance des carburants fossiles et en deuxième lieu à cause des changements dans l’utilisation des sols. »

« Depuis deux décennies, la masse des calottes du Groenland et de l’Antarctique ont reculé, les glaciers ont continué de fondre presque partout et la banquise arctique ainsi que la couverture neigeuse dans l’hémisphère Nord ont continué de diminuer. »

Il n’est pas trop tard pour agir, a dit M. Stocker même si les actions requises doivent être rapides et ambitieuses. 

« L’avenir du monde sera très différent, tout dépendant de nos actions », a affirmé M. Stocker, qui est professeur de physique du climat et de l’environnement à l’Université de Berne.

Par exemple, le réchauffement pourrait atteindre 1,5 C ou encore 3 C. Le niveau des océans pourrait augmenter de 26 ou bien de 82 cm d’ici 2100.

« Mais le bas de ces fourchettes va se produire seulement si on agit très rapidement », a insisté Michel Jarraud, de l’Organisation météorologique mondiale.

Les dirigeants du GIEC ont rejeté tout doute sur leurs prédictions sur la base d’une « pause » du réchauffement qu’on peut observer si on prend comme point de départ l’année 1998, qui était particulièrement chaude.

« On ne devrait pas étudier le climat sur des périodes plus courtes que 30 ans, a dit M. Stoker. Et il est très peu probable que nous ayons encore 20 ans de stabilité. »

Le président du GIEC, Rajenda Pachauri, a plaidé pour un système mondial de plafonnement des émissions de gaz à effet de serre.

« Mettre un prix sur le carbone sera extrêmement efficace, a-t-il dit. Il n’y a que les marchés pour obtenir une réponse forte et rapide. Mais ce n’est pas le rôle du GIEC de défendre cette idée. »

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Un échouage massif de dauphins causé par un sonar


Je suis en colère envers ceux qui ont la possibilité de limiter les dégâts, mais ne font rien ou trouve que les études ne sont jamais suffisantes pour changer la façon de procéder. Un moment donné ces compagnies devrait avoir des sanctions sévères
Nuage

 

Un échouage massif de dauphins causé par un sonar

 

Le gouvernement américain --via la loi sur la... (PHOTOTHÈQUE LA PRESSE)

Le gouvernement américain –via la loi sur la protection des espèces en danger– demande d’interdire les sonars de cartographie à haute fréquence dans certaines zones durant les périodes de reproduction.

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

La Presse Canadienne
Washington

L’échouage d’une centaine de dauphins d’Electre près de Madagascar en 2008, dont un grand nombre étaient morts, a été lié à l’utilisation d’un sonar de cartographie à haute fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil, selon un rapport publié jeudi.

«C’est le premier échouage massif de mammifères marins qui puisse être étroitement associé à des relevés cartographiques avec des sonars à haute fréquence», écrivent ces experts dans leur rapport rendu public par la Commission baleinière internationale.

Ces sonars produisent des sons puissants qui auraient désorienté les cétacés. Ces derniers se sont alors échoués sur la lagune de Loza, dans le nord-ouest de Madagascar.

«ExxonMobil pense que les conclusions de ce groupe d’experts (…) ne sont pas justifiées en raison du manque d’informations au moment du déploiement des secours en 2008», a déclaré à l’AFP un porte-parole du géant pétrolier américain, Patrick McGinn.

«Comme le relève le rapport, plusieurs incertitudes et un manque de données clés limitent la capacité de faire une analyse complète des causes de l’échouage», a-t-il ajouté.

Oceana, l’ONG internationale oeuvrant à la conservation des océans, s’est félicité dans un communiqué de ce rapport «qui pour la première fois établit un lien direct entre l’utilisation de ces sonars et la mort d’animaux marins».

L’ONG rappelle que le gouvernement américain envisage d’autoriser l’utilisation du même système, voire plus puissant, le long de la côte est des États-Unis, du Delaware à la Floride, pour la prospection pétrolière.

Le département américain de l’Intérieur, responsable de la gestion des ressources naturelles, avait estimé en 2012 dans un rapport que des sonars de cartographie à haute fréquence auraient des effets néfastes sur les animaux marins pouvant entraîner des blessures, voire la mort.

Le gouvernement –via la loi sur la protection des espèces en danger– demande d’interdire ces sonars dans certaines zones durant les périodes de reproduction, notamment celles des baleines franches de l’Atlantique, qui sont menacées.

Le département de l’Intérieur estime que l’impact des sonars sur la faune marine devrait être modéré, mais se dit prêt à interdire ces sonars si les risques s’avéraient trop élevés pour les animaux marins.

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Elle voulait faire un semi-marathon, elle gagne le marathon par erreur


Courir pour un semi-marathon est faire un marathon complet il y a le double de différence. Tout cela a cause d’une erreur, mais que malgré tout cette dame a continué la course jusqu’au bout Bravo
Nuage

 

Elle voulait faire un semi-marathon, elle gagne le marathon par erreur

 

 

INSOLITE – Après s’être trompée à une intersection, une femme de 34 ans a couru un marathon complet au lieu d’un semi. Elle a même réussi l’exploit de remporter la course.

Quitte ou double ? Double ! Quand Meredith Fitzmaurice, 34 ans, s’est élancée dimanche dernier, 23 septembre, pour le semi-marathon d’Amherstburg, en Ontario (Canada), elle ne pensait pas courir 42,195 kilomètres mais seulement la moitié. Et pourtant, une erreur lors d’une intersection l’a emmenée sur le parcours des marathoniens. Par erreur, et sans vraiment s’en apercevoir, elle a donc avalé le double des 21,1 kilomètres prévus initialement. Mieux, elle a franchi la ligne d’arrivée la première !

« Je cours avec ma montre, donc je regardais le temps réalisé puisque j’avais prévu de faire le semi en moins de 1 heure 28, a-t-elle déclaré au Windsor Star. je faisais cette course comme un entraînement, dans le but de faire le marathon de Detroit. Mais je regardais mon temps et je me demandais quand j’allais enfin passer la ligne d’arrivée. »

Quand elle a fini par comprendre qu’elle était en train de courir un marathon complet, elle s’est dit qu’elle pouvait aussi bien aller jusqu’au bout.

Et pourquoi pas un marathon après tout ?

C’est alors qu’elle s’est enfin intéressée à ce qui se passait autour d’elle au lieu de se concentrer uniquement sur sa montre. Elle a alors réalisé qu’il n’y avait que neuf personnes devant elle, neuf hommes et pas de femme. Elle a alors demandé aux officiels ce qui allait se passer si elle finissait le marathon alors qu’elle était uniquement inscrite pour le semi. Il lui fit répondu que son temps serait enregistré comme tout autre et que cela compterait pour les qualifications du marathon de Boston.

Elle a donc continué à courir.

« Je n’avais jamais fait plus de 20 kilomètres mais je crois que c’est l’adrénaline qui m’a permis de tenir sur la seconde partie de la course mais la fin a quand été dure », a-t-elle avoué.

Une course toutefois pas libérée d’inquiétudes :

« Je pensais à mes amis et à mon voisin qui m’attendaient sur la ligne d’arrivée du semi et qui devaient surement s’inquiéter. Qui plus est, c’est moi qui avait les clés de la voiture », a déclaré Meredith Fitzmaurice.

Dixième au total, première femme à l’arrivée

Elle a franchi la ligne d’arrivée du Heroes Marathon d’Amherstburg en seulement 3 heures 11 minutes et 48 secondes, finissant première des femmes en lice et dixième au total.

« Si j’avais su que je partais pour un marathon, je n’aurais sans doute pas couru aussi vite, donc c’était peut-être une bonne chose finalement. »

Pour ce qui est d’expliquer l’erreur à l’intersection, elle pointe du doigt ses écouteurs et le fait qu’il y avait peu de coureurs autour d’elle. Bref, elle pensait à autre chose.

La morale de l’histoire ? Quand on n’a pas de tête, on a des jambes.

http://www.metronews.fr/

Mont-Blanc. Un alpiniste trouve un trésor sur un glacier


Quelque part sur le Mont-Blanc en Europe eu lieu a diverses reprises des scènes d’horreurs laissant des victimes sur ses glaciers ainsi que tous les bagages éparpillés ici et là. Un alpiniste a trouvé et apporter aux autorités un trésor
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Mont-Blanc. Un alpiniste trouve un trésor sur un glacier

 

Un alpiniste savoyard a découvert un véritable trésor sur un glacier du Mont-Blanc, a indiqué ce jeudi la gendarmerie. Le jeune a trouvé pour plusieurs dizaines de milliers d’euros de pierres précieuses, provenant probablement du crash d’un avion indien, il y a un demi-siècle.

Les pierres précieuses, des émeraudes, saphirs et rubis, ont été remises à la gendarmerie de Bourg-Saint-Maurice début septembre, selon la même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Un joaillier local a estimé la valeur du trésor entre 130 000 et 246 000 euros.

Le jeune alpiniste, qui a souhaité gardé l’anonymat, les a découvertes alors qu’il évoluait sur le glacier des Bossons. Il a aperçu une boîte métallique qui gisait sur le glacier. A l’intérieur, se trouvaient de petits sachets, dont certains portaient la mention « Made in India », contenant les pierres précieuse.

« C’est un jeune homme honnête qui a très vite compris que ça appartenait à quelqu’un qui était mort sur le glacier« , a expliqué le chef d’escadron Sylvain Merly, commandant de la compagnie de gendarmerie d’Albertville. « Il aurait pu garder ça pour lui mais a préféré les amener à la gendarmerie », a-t-il ajouté.

Malabar Princess

Deux avions indiens se sont écrasés sur le Mont-Blanc en 1950 et 1966. Depuis lors, les alpinistes ont découvert régulièrement des morceaux de carlingue, des valises et mêmes des restes humains. En août 2012, deux alpinistes de Chamonix avaient ainsi découvert une valise diplomatique indienne, contenant des coupures de journaux, qu’ils avaient symboliquement remise aux autorité indiennes.

Dans le cas des pierres précieuses, « si on ne retrouve pas le propriétaire, un article de loi prévoit que ça pourrait revenir au jeune alpiniste », a expliqué le commandant Merly. 

Les pierres ont été mises sous scellés et remises au parquet d’Albertville. Les autorités françaises devraient désormais prendre contact avec les autorités indiennes afin de retrouver le propriétaire ou ses héritiers.

Le 3 novembre 1950, le Malabar Princess, un avion d’Air India, s’est écrasé sur le Mont-Blanc, faisant 58 morts.

Près de 16 ans plus tard, le 24 janvier 1966, le Kangchenjunga, un Boeing 707 de la même compagnie, qui effectuait la liaison Bombay-New York, s’est écrassé au même endroit avec 117 passagers à bord. Aucun d’entre eux n’a survécu. Le glacier des Bossons charrie régulièrement des débris des catastrophes aériennes survenues au Mont-Blanc. En 1975 déjà, le guide de haute montagne Christian Mollier y avait découvert le train d’atterrissage du Malabar Princess lors d’une course en montagne.

http://www.ladepeche.fr

Un chien reste 10 heures auprès de sa compagne piégée


Cette histoire viens de redonner une belle image a la Chine qui a ses histoires d’horreurs avec les chiens. Une loyauté canin vraiment a toutes épreuves qui donne une belle leçon de vie
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Un chien reste 10 heures auprès de sa compagne piégée

 

10 heures. Pendant 10 longues heures, un chien est resté auprès de sa compagne, afin de veiller sur elle et tenter de la sauver.

C’est dans le sud de la Chine que s’est déroulée cette belle histoire, dans le province de Hunan, rapporte leDailymail.

Un ami fidèle

La chienne est tombée dans un trou profond, dont elle s’est trouvée incapable de sortir, et son fidèle et dévoué ami à 4 pattes a refusé de la laisser seule.

Une femme âgée de 77 ans a entendu des aboiements pendant la nuit, vers minuit, et en se penchant par sa fenêtre, a vu le chien blanc devant un trou au fond duquel un autre chien, noir, était recroquevillé.

N’osant pas s’approcher des deux animaux, elle est retournée se coucher. Mais lorsqu’elle s’est réveillée à 6h du matin, ils n’avaient pas bougé.

chiens errants

« Le blanc faisait des allées et venues, en regardant avec des yeux suppliants les gens et les voitures passer, tandis que le noir rampait au fond du trou » raconte Peng Xuemei.

Celle-ci a alors décidé de téléphoner aux autorités locales afin que quelqu’un vienne prendre la situation en main.

Un employé de la commune a été envoyé sur place. Mais effrayé à l’idée de se faire attaquer, Lui Huihong n’a pas su comment s’y prendre pour venir en aide aux deux chiens.

Gagner la confiance du chien pour l’aider

C’est finalement un autre homme, Hei Ge, qui a réussi à gagner la confiance du chien blanc, et à sortir la femelle de son piège.

Quelques minutes plus tard, le duo canin s’enfuyait dans la rue, et batifolait comme si de rien n’était. Qu’adviendra-t-il de ces deux chiens errants ? Nul ne le sait. Mais une chose est sûre, rien ne pourra les séparer.

La loyauté dont les chiens font preuve, envers leurs congénères comme envers les humains, ne cessera jamais de nous émouvoir.

 

http://wamiz.com