Préjugés


C’est en grandissant que nous cultivons les préjugés, et nous avons de l’aversion à ce qui n’est pas conforme aux critères de la beauté, que nous attachons de l’importance aux choses
Nuage

 

Préjugés

 

Un enfant ne reprochera jamais à sa mère d’être laide, un chien ne reprochera jamais à son maître d’être pauvre …

Proverbe Chinois

Charlie, le hamster qui conduit un camion


Me semble qu’il y a des moyens beaucoup moins dangereux pour tester la sensibilité d’une conduite mais bon !!
Nuage

Charlie, le hamster qui conduit un camion

 

Charlie n’est pas un rongeur ordinaire. Ce hamster a en effet vécu une drôle d’expérience : il a conduit un camion !

Difficile à croire, et pourtant, il ne s’agit pas d’une plaisanterie.

Un conducteur peu ordinaire

Installé dans une roue placée sur le volant du véhicule, le hamster dirige le camion en se déplaçant. Afin de prendre la bonne direction, le maître de Charlie lui tend une carotte.

Et aussi incroyable que cela puisse paraître, cet improbable système fonctionne !

Mais pourquoi donc s’amuser à faire conduire un hamster ? Il s’agit en réalité d’un test réalisé par Volvo Trucks, afin de démontrer l’efficacité de son nouveau système de direction assistée.

« Charlie le hamster est notre star »

 

« Charlie le hamster est notre star ! Il a démontré qu’il possède les meilleures forces, confiance et attitudes pour apprendre de nouvelles choses«  explique la dresseuse Grace Dickinson.

Avant le tournage de cette vidéo, Charlie a été entraîné pendant plusieurs semaines. Et le résultat est, il faut bien l’avouer, tout simplement époustouflant.

Le hamster va désormais pouvoir reprendre une vie de rongeur ordinaire. A moins qu’il ne se soit découvert une vocation, et décide de devenir pilote !

 

http://wamiz.com

Le saviez-vous ►Expression : Un navet !


Déjà que le navet est un légume mal aimé, il semble qu’il soit depuis longtemps exprimer la nullité de quelque chose
Nuage

 

Un navet ! 

Un mauvais tableau ! (ancien)
Un mauvais spectacle / film !

Ce terme n’est pas vraiment une expression, mais comme il mérite qu’on s’y attarde un peu quand même…

Pourquoi ce légume (peu engageant et au goût fade, certes) est-il devenu le symbole d’une oeuvre complètement ratée ?

Selon certains, c’est au XIIIe siècle qu’il faut remonter, puisqu’à cette époque, le mot était déjà employé au figuré pour indiquer une valeur de nullité ou minime, peut-être parce que c’était un légume extrêmement répandu et au coût très faible.

Ce sens ne s’est ensuite jamais complètement perdu (« des naveaulx ! » -variante du mot ‘navet’- était au XVIe siècle une expression de refus, comme « des nèfles ! » ou notre « que dalle ! » aujourd’hui[1]), et c’est au milieu du XIXe siècle qu’un mauvais tableau est alors affublé du nom de ‘navet’, avant que ce terme soit transposé aux pièces de théâtre et aux films.

Duneton donne une autre explication qui n’est pas incompatible avec la précédente, au moins pour l’usage de la dénomination à partir du XIXe.

À Rome, dans le jardin du Belvédère, se trouve depuis longtemps une statue antique d’Apollon, longtemps considérée comme un symbole de la perfection.

Mais à la fin du XVIIIe siècle, les jeunes artistes français qui passaient là-bas n’étaient pas complètement d’accord avec cette perception de la haute qualité de l’oeuvre et la surnommaient « le navet épluché » en raison de sa blancheur et de la forme allongée et lisse des membres sans musculature apparente.

Cette statue ayant été transférée à Paris par Napoléon en 1798 (mais elle est retournée à Rome depuis), la moquerie l’accompagna et le terme péjoratif finit par s’étendre, au milieu du XIXe, aux tableaux mal dessinés ou mal peints.

Et lorsque le cinématographe prit de l’ampleur, c’est assez naturellement que le ‘navet’ désigna des films bâclés, sans intérêt ou ne répondant pas aux attentes des spectateurs

[1] Et les bretons facétieux qui ne comprenaient pas cette expression posaient toujours la question « Quels naveaulx ? » devenue ensuite « Qué navo ? » (tout comme en Espagne, on dit « Qué rideaux ? »), puis… Ah ?! On me signale en régie que le ‘kenavo’ breton ne vient pas de là. Bon tant pis !

http://www.expressio.fr/

Un chien sauve un enfant maltraité par sa baby-sitter


Les chiens le savent quand il y a quelque chose qui cloche et certain d’entre eux ont un tempérament pour défendre même un être humain si petit soit-il
Nuage

Un chien sauve un enfant maltraité par sa baby-sitter

 

Crédits photo : Facebook – Hope Jordan

Par Sophie Le Roux

L’instinct et le dévouement de nos meilleurs amis à 4 pattes ne cesseront jamais de nous surprendre, et nous émouvoir. L’histoire de ce petit garçon, sauvé par son chien des mains d’une femme qui le maltraitait, n’est qu’une nouvelle illustration de ce que les animaux de compagnie sont capables de faire pour leur famille.

Sauvé par l’instinct de son chien

Quand Hope et Benjamin ont embauché Alexis Khan pour garder leur fils Finn, alors âgé de sept mois, ils ont eu un bon pressentiment. La jeune fille de 22 ans leur semblait sérieuse. Mais après plusieurs semaines, le couple a commencé à avoir des doutes. C’est le comportement de leur chien qui leur a fait prendre conscience que quelque chose n’allait pas.

L’animal se montrait étrangement protecteur avec Finn lorsqu’Alexis était là. Il est devenu agressif, et Hope et Benjamin ont été contraints à plusieurs reprises d’éloigner leur compagnon de la baby-sitter pour éviter un drame.

Crédits photo : Facebook – Hope Jordan

Ils ont alors décidé de vérifier ce qu’il se passait réellement en leur absence.  Le couple a caché un téléphone pour le savoir. De retour chez eux le soir, Hope et Benjamin ont écouté l’enregistrement, et découvert que la jeune femme maltraitait l’enfant.

« Elle a commencé à jurer. Puis nous avons entendu des bruits de gifles, et les pleurs de Finn se sont transformés en cris de détresse et de douleur«  racontent les parents du petit garçon.

« Finn aurait pu être tué par la baby-sitter« 

Le couple a tout de suite appelé la police. Alexis a été arrêtée, et a plaidé coupable pour coups et blessures. Condamnée à une peine de prison, elle a été placée sur un registre des enfants maltraités, et ne pourra donc plus jamais travailler auprès d’enfants.

« C’est une nouvelle fantastique pour nous. De savoir que le supplice enduré par Finn a peut être sauvé la vie d’un autre enfant dans le futur. Si notre chien ne nous avez pas alerté et si l’instinct de ma femme ne nous avait dicté de faire quelque chose, Finn aurait pu être tué par la baby-sitter, qui sait ?«  déclare Benjamin Jourdan.

Les parents de Finn assure que l’enfant est aujourd’hui en sécurité, et ne semble pas montrer de signes de traumatisme. Nul doute qu’un lien très particulier est né entre lui et le fidèle animal qui a volé à son secours en alertant ses parents.

http://wamiz.com

 

Un thermomètre comme une seconde peau


Un thermomètre qui se colle a la peau et donnerait la température mieux que les thermomètres conventionnels serait plus facile a utilisé …Sans compter qu’il pourrait donner d’autres informations importantes pour le personnel soignant
Nuage

 

Un thermomètre comme une seconde peau

 

Des chercheurs ont mis au point un thermomètre ultrasouple et ultraprécis qui... (Photo AFP)

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Paris, France

Des chercheurs ont mis au point un thermomètre ultrasouple et ultraprécis qui s’applique aussi facilement qu’un tatouage temporaire, épousant la peau du patient sans aucune gêne

Ce nouveau type de capteur, d’une épaisseur de seulement 50 nanomètres, se présente sous la forme d’un circuit électronique de moins de 2 cm de côté, composé de senseurs et résistances miniaturisés déposés sur du silicone microperforé, aussi élastique que la peau humaine.

Non invasif et ne provoquant pas de transpiration, il permet au patient de ne ressentir aucune gêne et aux mesures de s’effectuer en toutes circonstances, même lorsqu’il bouge.

Avec ce prototype, les chercheurs rapportent avoir effectué des mesures au millième de degré près, une performance «aussi précise que les caméras infrarouges les plus sophistiquées», soulignent-ils dans leur étude, publiée dimanche dans la revue Nature Materials.

En outre, leur invention a pu mesurer le taux d’hydratation de la peau et pourrait être, selon eux, facilement adaptée pour servir dans la surveillance du débit des transfusions de sang ou détecter des inflammations dans les tissus.

Les procédés utilisés dans ce capteur «pourraient déboucher sur de nouvelles approches médicales», notamment pour fournir des «données cliniques de qualité en temps réel», écrivent ses concepteurs.

http://www.lapresse.ca

La mort de 17 jeunes bélugas demeure un mystère


Les chercheurs semblent savoir ce qui est arrivé aux bélugas adultes mais pas a l’hécatombe des bébés retrouver sur les berges du St-Laurent en 2012
Nuage

 

La mort de 17 jeunes bélugas demeure un mystère

 

Les veaux trouvés morts le long des berges... (Photothèque Le Soleil)

Les veaux trouvés morts le long des berges du Saint-Laurent en 2012 ont probablement été incapables de suivre leur mère ou que leur mère ne s’en est pas occupée convenablement. Ils sont probablement morts de faim ou de déshydratation, a évoqué Stéphane Lair, chercheur à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal à Saint-Hyacinthe, où ont été effectuées les nécropsies.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

CARL THÉRIAULT

Collaboration spéciale

Le Soleil

(Rimouski) Ce ne sont ni un virus ni une maladie infectieuse qui ont tué les 17 jeunes bélugas trouvés morts le long des berges en 2012, une situation qui pose le problème de la survie de cette fragile espèce.

«Je ferais l’hypothèse que les veaux, trop faibles, ont été incapables de suivre leur mère ou que leur mère ne s’en est pas occupée convenablement. Ils sont probablement morts de faim ou de déshydratation», évoque Stéphane Lair, chercheur à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal à Saint-Hyacinthe, où ont été effectuées les nécropsies.

Le mystère demeure entier sur les causes exactes de ces mortalités. Jamais en avait-on retrouvé autant en un seul été. Dans le cas des bélugas adultes, les soupçons pèsent du côté de la contamination par des composés chimiques toxiques pour expliquer la stagnation du troupeau à 1100 têtes. Des concentrations de BPC ont déjà été trouvées chez les bélugas. D’autres contaminants ont été identifiés comme nuisant au système immunitaire.

Chasse interdite

La chasse de cet animal est pourtant interdite depuis plus de 30 ans. La plus récente mise à jour de la population de bélugas est attendue au début octobre. Les bélugas vivent en moyenne 35 ans. Cet été, cinq autres carcasses de nouveau-nés et deux de juvéniles ont été retrouvées.

Alertés, les scientifiques de l’Institut Maurice-Lamontagne amorcent une vaste étude sur trois ans afin d’évaluer la capacité de reproduction des bélugas dans le Saint-Laurent. Au moins une centaine de bélugas seront l’objet d’une analyse sur la  gestation des femelles qui dure 15 mois. Et une béluga peut donner naissance à un veau aux trois ans.

L’étude inclut aussi une modélisation du troupeau pour dresser la tendance actuelle de la population. La dernière mise à jour documentée de la population actuelle des bélugas a eu lieu en 2009. Les spécialistes du béluga feront le point sur l’avenir de cette espèce lors d’une importante rencontre sur les mammifères marins à la mi-octobre à Terre-Neuve.

«Chaque année, on devrait trouver le tiers des femelles matures qui sont gestantes, étant donné qu’elles ont un veau à tous les trois ans. On en train de faire des choix sur d’autres questions avec un spécialiste de la Floride sur la génomique [la génomique regroupe un ensemble d’analyses qui vont de l’établissement de cartes de l’ensemble du matériel génétique [génome] à l’identification de nouveaux gènes et au séquençage des molécules d’ADN]», dit la chercheuse Véronique Lesage.

Celle-ci a deux équipes actuellement en mer afin de prélever des échantillons de tissus sur ces mammifères marins à l’aide d’un fusil qui lance un dard dans la couche externe du gras de l’animal. Par les échantillons de gras, les scientifiques veulent déterminer le pourcentage de femelles en gestation.

http://www.lapresse.ca

Les gestes du mensonge


Les menteurs sont des manipulateurs, ils peuvent réussir a tromper les gens mais si on prend attention au non-verbale, le visage est encore plus bavard et plus véridique que les paroles
Nuage

 

Les gestes du mensonge

Lèvres pincées, poignées de mains furtives, clignements des yeux, chat dans la gorge… Voici tous les gestes qui prouvent que votre interlocuteur est en train de vous mentir.

Des lèvres trop pincées

Bien observer les lèvres de son interlocuteur en dit long sur sa sincérité… Ouvrez l’œil.

La lèvre plateau :

« Lorsqu’une personne se sent piégée elle tire sur sa lèvre supérieure, le coude en appui », explique Joseph Messinger dans son livre.

Ce geste est synonyme d’une attitude ambigüe observée chez plusieurs hommes politiques.

La lèvre rigide : Lorsqu’un enfant ment, ses lèvres ont tendance à trembler. Pour un adulte c’est l’inverse, sa lèvre supérieure se raidit.

Les lèvres humides : La culpabilité que l’on ressent après un mensonge provoque un stress qui entraîne un trouble de salivation. Ce qui explique pourquoi un menteur se lèche constamment les lèvres.

Des mains qui supplient

Si les menteurs peuvent vous arnaquer par de belles paroles, leurs gestes ne trompent pas et plus particulièrement leurs mains

Se frotter les mains :

« Les individus qui se frottent les mains ont les mains sales au sens figuré », explique Joseph Messinger.

C’est d’ailleurs le geste que font souvent les vendeurs lorsqu’il s ont réussi une affaire. Si un menteur se frotte les mains c’est qu’il est satisfait de sa duperie. Par contre vous, vous venez de vous faire avoir.

Poignée de main rapide : Une poignée de main est généralement signe d’une bonne entente, mais encore faut-il qu’elle soit réciproque.

 Si la personne retire rapidement la sienne de la votre, « vous êtes en face d’un hypocrite professionnel », confirme Joseph Messinger. Cette personne n’a aucun signe de sympathie pour vous, il vaut mieux vous en méfier !

Les deux mains crochetées : Autrefois c’est le geste que faisaient les dames pour montrer de la compassion aux mendiants. En réalité c’était pour s’assurer de ne jamais avoir à les tendre vers eux.

« Il indique une personne mielleuse, hypocrite et surtout très avare », explique Joseph Messinger.

Les mains en prière :

« N’oubliez plus jamais ce geste de grand menteur », conseille  le psychologue.

Lorsqu’il est utilisé plusieurs fois, cette mimique de supplication est synonyme de manipulation. Il a d’ailleurs été souvent observé chez les politiciens.

Les mains cachées : Les personnes sûres d’elles parlent avec de grands gestes les mains en avant. A l’inverse cacher ses mains, traduirait un manque de confiance lié au stress La peur d’être découvert sans doute.

Un regard en biais

On dit souvent que les yeux sont le reflet de l’âme. Voici toutes les clefs pour démasquer un menteur dès le premier coup d’œil :

Le regard en diagonal :

« Le fait d’offrir son regard à l’autre est une marque d’estime, voire de sympathie », explique Joseph Messinger, psychologue.

Lorsqu’une personne à le regard fuyant c’est qu’elle cherche à  dissimuler ou déguiser  la vérité.

Cligner des yeux :

« La fermeture des yeux pour ponctuer un mot fort est une réaction typique de simulation« , écrit le psychologue.

De cette façon son regard ne trahira pas une pensée hypocrite. Fermer souvent les yeux permet aussi au menteur de rassembler ses esprits et ses arguments.

Le regard en biais : Si les yeux se dirigent sur le côté, c’est généralement pour chercher à séduire ou faire un compliment. Ce regard est utilisé par les menteurs pour vous soutirez des informations. Méfiez-vous, ils pourraient s’en servir un jour contre vous. Si le regard est vers le sol c’est souvent synonyme de honte ou d’aveu.  Votre interlocuteur a quelque chose à se reprocher.

Des sourcils relevés

On n’y pense pas assez, pourtant les sourcils ponctuent notre regard et peuvent eux aussi trahir nos pensées.

Se lisser les sourcils :

Lorsqu’une personne se lèche les doigts et se lisse les sourcils « il s’agit d’une séquence gestuelle classique chez les individus qui se prennent pour des gourous », explique Joseph Messinger.

Pour le psychologue c’est inévitablement un signe de manipulation et de malhonnêteté.

Les sourcils en l’air : Remonter ses sourcils de bas en haut au rythme de son discours est un tic utilisé par les personnes qui cherchent à impressionner et convaincre. Les yeux grands écarquillés, un peu comme un hypnotiseur, cela aide à crédibiliser leurs propos. Prenez du recul avant de plonger tête baissée.

Un chat dans la gorge

Dans le langage corporel, il ne faut pas seulement ouvrir l’œil. Une hésitation ou  un tremblement dans la voix peuvent montrer les réelles intentions d’un manipulateur.

Un chat dans la gorge : Selon Joseph Messinger, psychologue, un toussotement discret, le poing devant la bouche lors d’un discours trahit une gêne et annonce un mensonge bien emballé. La gorge est le refuge préférée du trac qui n’apparaît qu’en situation d’anxiété. Quelqu’un qui dit la vérité n’a aucune raison de se sentir stressé. Attention !

La gorge emprisonnée : Lorsqu’une personne se cache la gorge avec ses mains, cela trahit un sentiment de peur. Sans doute celle d’être démasqué.

Le sourire du menteur

Sourire sincère ou forcé ? Voici quelques astuces pour savoir ce qui se cache derrière un sourire.

Un sourire d’acteur :

Pour le psychologue Joseph Messinger, « un sourire menteur vient plus facilement qu’un véritable sourire de plaisir ».

Comme au théâtre où les acteurs ont tendance à surjouer pour que leur émotion soit vue par toute la salle.

Un sourire sur la gauche : Le cortex droit du cerveau dirige les expressions faciales et les transmet à la partie gauche du corps. Du coup, un sourire exagéré se fera sur la gauche. Si un sourire est sincère, il sollicitera les deux moitiés du cerveau.

Plissement des yeux : Lorsqu’un sourire est forcé, la bouche est sans expression. Tout est exprimé par les zygomatiques, comme pour forcer ses yeux à surjouer le sourire.

Des pincements de nez ?

Joseph Messinger, psychologue et expert en langage corporel, tient à démentir le mythe du nez selon lequel plus une personne se pince le nez pendant son discours, plus elle ment. Après avoir observé de nombreux débats et aveux médiatiques des politiciens, il déclare que

« le nez présumé coupable de mensonge est acquitté ».

Pour lui, le nez ne réagit qu’aux odeurs et non aux sentiments.

Les gestes du mensonge, ne vous faites plus avoir, Joseph Messinger, psychologue, First Editions, 2010.

http://sante.planet.fr/