Parole d’enfant ► L’art abstrait


Hum !!! Je pense que les enfants disent ouvertement et sans contraintes ce que les adultes pensent quelques fois devant certaines peintures abstraites
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L’art abstrait

 

« Ma petit-fille de 4 ans dit à sa mère en voyant une grande peinture abstraite dans des teintes foncées de noir, de brun et de gris : ¨Maman regarde le gros dégât!¨ »

Marguerite, 4 ans / Brossard

VIDÉO. Des hommes s’essayent au maquillage (et c’est plutôt raté)


 

Bon on va quand même les excusés pour ne pas être à l’aise avec le maquillage. D’un autre côté, le maquillage aurait pu être légèrement simplifié
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VIDÉO. Des hommes s’essayent au maquillage (et c’est plutôt raté)

INSOLITE – Vous connaissez sans doute le principe des tutoriels beauté.

 

Ces vidéos postées sur le web, souvent réalisées par des amateurs, donnent des conseils pour réussir son brushing, améliorer son bronzage ou parfaire sa manucure. Le site américain Mashable a tenté une expérience très drôle.

Dans la vidéo que vous pouvez voir ci-dessus, trois hommes suivent les instructions d’un tutoriel pour réaliser un « smoky eyes« . Et ils vont se rendre compte que ce n’est pas si facile que ça. Tout en découvrant des outils et des matières qu’ils n’ont pas l’habitude d’utiliser, ils se maquillent les yeux d’une manière peu assurée. Et le résultat est complètement… clownesque !

 

http://www.huffingtonpost.fr/

Septembre 1886. À 57 ans, Geronimo enterre la hache de guerre, berné par Washington.


Quand j’entends dire que les immigrés ne sont pas les bienvenus, que s’ils veulent rester, ils doivent d’abord accepter de vivre à notre façon … Mais l’histoire que lors des colonisations montrent bien que les premières nations qu’importe le pays ont été chassées, battues et trompées et c’est encore comme cela aujourd’hui. Nous n’avons donc aucune leçon a donné
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Septembre 1886. À 57 ans, Geronimo enterre la hache de guerre, berné par Washington.

 

FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

En 2010, quand l’US Army prend pour cible Oussama Ben Laden, elle lui attribue le nom de code Geronimo. Colère blanche de la nation indienne : comment ose-t-on donner au pire des terroristes le nom d’un héros, du dernier des Chiricahuas à avoir enterré la hache de guerre ?

Le 4 septembre 1886, Geronimo a déjà 57 ans et des centaines de combats à son actif. Ses victimes blanches se comptent par dizaines. Mais il l’a payé au prix fort : à deux reprises, sa famille a été massacrée. Autour de lui, des milliers de guerriers, de squaws et d’enfants sont tombés sous les balles de l’armée US.

Chez les Apaches chiricahuas d’Arizona, le chef, c’est le célèbre Cochise ; Geronimo n’est qu’un chaman, un homme de médecine, dont la vaillance au combat fait qu’il est respecté de tous. À sa naissance, en 1829, il est nommé Go Khla Yeh, « celui qui bâille », puis Guu Ji Ya, « l’astucieux ». Il devient Geronimo le jour où il entend des adversaires mexicains qu’il taille en pièces invoquer saint Jérôme (Geronimo). Sa révolte date de 1858, quand, en retournant dans son village, il retrouve sa mère, son épouse et ses trois gosses décimés par la troupe mexicaine. Depuis ce jour-là, il jure de tuer tous les Blancs croisant son chemin.

Massacres

En 1871, après de nombreux massacres, Cochise doit se résoudre à signer un accord de paix avec Washington qui octroie aux Apaches une réserve sur leurs terres. Mais que vaut la parole d’un Américain ? Cinq ans plus tard, les États-Unis déportent les Chiricahuas dans un horrible désert, à San Carlos. Au lieu d’accepter ce merveilleux cadeau avec le sourire, Geronimo, suivi de quelques compagnons, préfère s’enfuir. Sa vie n’est plus alors qu’une succession de guérillas, de massacres, de captures, d’évasions, de pillages. Une fois, 22 soldats mexicains sont laissés pour morts ; une autre fois, 26 colons américains sont hachés menu. Par trois fois, il s’échappe de la réserve indienne après avoir consenti à y retourner.

Le 17 mai 1885, le vieux chaman s’enfuit une dernière fois en compagnie de 35 guerriers et de 109 femmes et enfants pour retrouver la liberté d’antan. La petite troupe de renégats, comme ils sont alors appelés, se cache dans des canyons mexicains d’où ils lancent des raids sanglants en Arizona et au Nouveau-Mexique. Washington, qui juge que la plaisanterie a assez duré, envoie une troupe de 5 000 hommes et de 500 auxiliaires indiens commandée par le général Crook. Rien que ça. En face, rappelons-le, il y a une trentaine de guerriers. Le général Miles commence par déporter les Chiricahuas de la réserve de San Carlos vers la Floride, où le climat humide est une catastrophe pour des Indiens habitués au désert. Durant seize mois, Geronimo échappe au ratissage des troupes US. Ses guerriers tuent 75 citoyens américains, 12 Apaches, 2 officiers, 8 soldats US et un nombre inconnu de Mexicains. De leur côté, les « renégats » perdent six hommes, deux garçons, deux femmes et un enfant.

Crédulité

En janvier 1886, acculés par l’armée américaine, les Chiricahuas acceptent de négocier. Le général Crook et Geronimo se rencontrent le 27 mars 1886. Un accord est trouvé : les Indiens acceptent de déposer les armes et de retourner dans leur réserve après un exil de deux ans. Seulement, Washington désavoue Crook, pas question que Geronimo s’en tire avec une peine d’exil. Du coup, le chef Nachite, Geronimo et 40 autres Apaches s’enfuient au Mexique. C’est reparti comme en quarante. Dégoûté, le général Crook démissionne, laissant la place au général Miles.

En juillet, la troupe US est sur les talons des « renégats » au Nouveau-Mexique. Geronimo et Nachite consentent à négocier avec le général Miles. Dans ses mémoires, le chaman raconte que ce dernier, au nom du président américain, lui promet de lui construire une maison, de lui clôturer beaucoup de terres, de lui donner du bétail, des chevaux, des mules et du matériel agricole, et même des hommes pour travailler sa terre à sa place.

« Vous vivrez parmi votre tribu et votre famille. Si vous acceptez ce traité, vous verrez votre famille dans cinq jours. »

Pour une fois, Geronimo se montre crédule et accepte le marché, le 4 septembre 1886. Aucune des promesses ne sera tenue. Le vieil homme et ses compagnons sont expédiés en train au Texas pour y être jugés. Ils sont condamnés à être déportés à Fort Pickens, en Floride, où ils moisissent durant deux ans à travailler comme des esclaves à scier du bois. Ce n’est qu’en mai 1887 qu’ils retrouvent leurs familles, mais point de bétail, de terres, comme promis. Ils sont envoyés en Alabama pour travailler pour le gouvernement. Durant cinq longues années ! Plusieurs des compagnons de Geronimo se suicident avec leurs épouses.

« J’aurais dû me battre »

En 1904, les Apaches sont transférés à Fort Sill, en Oklahoma. C’est alors que le vieux combattant retourne totalement sa veste, comprenant peut-être qu’il n’y a plus aucun espoir de retour en arrière. Il se convertit au christianisme, écrit un livre souvenir qu’il vend à l’Exposition universelle de Saint-Louis.

« Quand on me demanda la première fois de me rendre à l’Exposition universelle de Saint-Louis, je ne désirais pas m’y rendre. Plus tard, lorsqu’on me dit que j’y recevrais attention et protection, et que le président des États-Unis était d’accord, j’y consentis. Chaque dimanche, le président de l’Exposition me demandait de participer au Wild West Show. J’ai participé au concours de lasso devant le public. Il y avait de nombreuses autres tribus d’Indiens, là, et des gens étranges dont je n’avais jamais entendu parler. Je suis heureux de m’être rendu à l’Exposition. J’y ai vu de nombreuses choses intéressantes et j’ai beaucoup appris des hommes blancs. Ils appartiennent à un peuple doux et pacifique. »

Il écrit aussi : « J’ai été chauffé par le soleil, bercé par le vent, abrité par les arbres comme les autres enfants indiens. Je vivais paisiblement quand les gens ont commencé à dire du mal de moi. Maintenant, je peux bien manger, bien dormir et être heureux. Je peux me rendre partout avec une bonne sensation. »

En février 1909, à l’âge de 79 ans, le vieux guerrier est envoyé au tapis par son cheval. Il passe la nuit allongé sur le sol, où il prend froid. Le 17 février, une pneumonie l’emporte. Ses dernières paroles sont pour son neveu :

« J’aurais dû me battre jusqu’à être le dernier homme vivant. »

http://www.lepoint.fr/


Messieurs, il est temps de laver vos draps !


Comment ils font dormir dans des draps qui n’ont pas été lavés pendant plusieurs mois !! Beurk ! Bon, ils sont célibataires et il semble aimé la compagnie des acariens …
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Messieurs, il est temps de laver vos draps !

 

Selon une étude britannique, les hommes célibataires ne changeraient les draps de leur lit que… quatre fois par an !

C’est du propre ! Selon une étude britannique,

71% des hommes célibataires ne changent leurs draps que quatre fois par an (55% d’entre eux sont âgés de 18 à 25 ans). Pire, seuls 32% des sondés les lavent quand un(e) invité(e) passe la nuit chez eux et deux tiers attendent que plusieurs personnes aient dormi dans le lit pour faire une lessive.

La plupart des hommes seuls ne possèdent en fait qu’une seule paire de draps (contre trois pour les femmes célibataires).

« Nous avons été très alarmés par le manque apparent d’hygiène de certains répondants. Des draps sales contiennent des dizaines de milliers de cellules mortes de la peau que nous laissons chaque nuit et sont un habitat parfait pour les acariens. Or, ceux-ci peuvent causer des allergies, de l’asthme et des rhinites. De plus, en laissant le lit devenir impure, on favorise le développement de punaises de lit très difficiles à déloger » a commenté Jed MacEwan, porte-parole de la société Ergoflex ayant réalisé l’étude, sur le Dailymail.

Pourquoi ne pas les laver plus souvent ?

Près d’un homme sur deux explique qu’un lavage des draps tous les 3 mois est jugé suffisant et acceptable. Pour 22%, il n’est vraiment pas nécessaire de les changer plus souvent et moins d’un cinquième des répondants ne se soucient même pas de la question. Pourtant 17% reconnaissent qu’une partenaire potentielle a déjà été rebutée par la propreté de leur literie.

Dans les couples, les femmes prennent les choses en main !

Dans les couples, les draps sont changés plus souvent (toutes les 2 semaines et demie). Logique puisque dans 81% des cas, ce sont les femmes qui s’occupent de la literie ! D’ailleurs, même chez les célibataires, elles lavent plus souvent leurs draps que les hommes (tous les 15 jours environ).

http://sante.planet.fr

Penser chat


Est-ce un billet de psychologie humaine ou féline … ? Des fois, on dirait des deux, mais c’est bien pour les chats ! Ces petites boules de poils sont les seuls animaux qui se sont laissés apprivoisés (ou qu’il a apprivoisé l’homme) tout en gardant leur côté sauvage. Enfin bref, fort intéressant a lire avec une petite pointe d’humour …
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Penser chat

 

J'ai un an et je m'appelle Fripon ...

Mon Fripon, un chat qui a été de passage dans ma vie .. qui m’apportait des cadeaux, souris, oiseaux, écureuils

Isabelle Taubes

Un chat aime son confort, sait comment faire baisser son stress, ne s’attache qu’à ce qui lui plaît. Sa priorité : son bien-être. Sa philosophie : manger, jouer, dormir. Petite leçon de psychologie féline, pour apprendre à apprécier la vie comme lui.

L’attitude chat

Par sa présence silencieuse et attentive, souvent proche de celle du psy, le chat paraît capable de comprendre les problèmes des humains et de combler leurs vides affectifs. Il est présent dans 25 % des foyers français, et 13 % des propriétaires n’hésitent pas à lui confier leurs secrets (Chiens et chats, des compagnons privilégiés, Alliance Française, 2003).

Vous oublieriez presque qu’il est un petit fauve s’il ne vous ramenait de temps en temps un oiseau ou un petit rongeur agonisant.

Dégoûtant, mais rien de tel pour vous rappeler qu’un chat… est un chat ! D’ailleurs, vous lui racontez votre vie et il sait tout de vous, en tout cas l’essentiel, mais êtes-vous sûr de bien le connaître et de savoir quels sont ses besoins fondamentaux ?

Moi d’abord

Jamais nous n’oserions dire que le chat est un sale égoïste, mais il est difficile de ne pas le penser : nous voyons bien que, pour lui, « la vie, c’est moi d’abord ». Sans avoir suivi de stages de développement personnel, il a ses trucs pour aller mieux : le ronronnement, qui, contrairement à une idée reçue, n’est pas un signe de contentement mais un réflexe antistress ; le rituel du toilettage, qui lui sert à rester propre mais aussi à se calmer.

Bien des maîtres rêvent de pouvoir mettre en œuvre sa philosophie quotidienne : cultiver les comportements qui apportent bien-être, sécurité et amusement, et éliminer les autres sans se poser de questions. Le plus étonnant est qu’en dépit de son égocentrisme le chat réussit, par sa seule existence, à nous remonter le moral quand nous avons du vague à l’âme !

Home sweet home

A la minute où vous adoptez un chat, c’est vous qui vivez chez lui. A peine le temps de dire ouf qu’il a déjà ses habitudes : son coin cuisine, ses toilettes – sa litière, qui ne doit surtout pas être déplacée. Sa maison est l’élément essentiel de sa vie.

En déménageant, vous lui infligez un des pires stress qu’il puisse subir. En appartement, pensez à recréer le territoire de chasse dont il dispose dans la nature. Inutile d’apporter des souris. Des endroits pour se cacher, des étagères, des armoires pour grimper, sauter, faire semblant de chasser font l’affaire. Naturellement conçu pour régner sur un territoire de trois ou quatre hectares, il est très heureux dans un deux-trois pièces, à la condition d’y trouver des distractions.

Le chat qui s’ennuie déprime, devient boulimique et obèse, ou hyperactif et agressif, et perd tout sens de la propreté : il devient un névrosé qu’il faut conduire chez un vétérinaire psy !

Choisir son maître

C’est indéniable : votre présence lui fait du bien, votre chat est attaché à vous. Mais n’attendez pas qu’il vous aime comme vous l’aimez, assure Joël Dehasse, vétérinaire psy . ll ne vous quitte pas d’un pouce – et, s’il est issu d’une race orientale, il vous suit quand vous lui proposez une promenade –, il reconnaît votre voix, votre pas, le moteur de votre voiture…

Mieux : il peut se laisser mourir quand vous décédez. Mais si les conditions de vie que vous lui proposez ne le satisfont plus, il part s’installer ailleurs. Accueilli amicalement, il investit ses hôtes comme s’il était chez lui depuis toujours. Ce qui compte pour un chat, c’est son confort physique et psychologique.

Ne l’oubliez jamais : vous croyez adopter un chat, or c’est lui qui vous adopte. Et vous n’êtes pas son « maître », ni un chef de meute comme pour le chien, mais un égal, un substitut nourricier en charge de son bien-être.

Etre exigeant

Le chat est exigeant. Quand il a choisi une marque d’aliments, vous êtes obligé de vous plier à sa décision. Et pour le séduire, il ne suffit pas de le nourrir, il faut savoir jouer avec lui. Or, seuls les jeux qui lui rappellent qu’il est un chasseur le passionnent vraiment.

Son scénario favori : poursuivre une proie, se dissimuler pour mieux bondir, la capturer, lui donner des coups de patte, la mordre, la reposer, la reprendre. A vous de trouver des objets susceptibles d’évoquer l’oiseau ou le rat de ses rêves, et de laisser traîner des sacs en papier, des boîtes en carton dans lesquels il pourra se cacher.

Votre chat adore dormir avec vous, car vous êtes une source de chaleur. Seulement, il dort dix-sept heures par jour… mais pas aux mêmes moments que vous. Il est au mieux de sa forme quand vous vous couchez. Ravi de votre présence, il mordille vos orteils et vos mollets, bondit sur le lit, traverse la pièce à fond de train.

Et, vers 5 heures du matin, il est souvent pris de fringale. Bien sûr, il est incapable de se servir tout seul. Résultat : comme la majorité des propriétaires de chat qui dorment avec lui, vous souffrez de troubles du sommeil. Heureusement, en prenant de l’âge, la plupart des chats s’assagissent.

Multiplier les partenaires

Sauf exception, les chats n’ont pas de vie de couple stable. Et ils pratiquent l’inceste, bien qu’ils optent plutôt pour un ou une partenaire n’ayant pas la même odeur et provenant donc d’une lignée différente. En matière de sexe, le chat bat n’importe quelle star du porno.

« Six amants en quatre heures, près de vingt copulations par jour pour la chatte, seule femelle animale à éprouver d’authentiques orgasmes », nous apprend Joël Dehasse. Et pour le chat mâle, « en moyenne, neuf chevauchements et une quinzaine de copulations par jour ».

Mais cette vigueur, peu de propriétaires de chats citadins l’observent, car la vie en appartement est peu compatible avec la sexualité féline. Bruyante autant que frénétique, elle entraîne généralement l’obligation de faire castrer le mâle et opérer la femelle. A moins de supporter les hurlements de la chatte en chaleur ou les marquages urinaires nauséabonds du mâle qui veut signifier qu’il est chez lui.

Se laisser guider par le plaisir

Votre chat ne miaule que pour vous. « Les chats sauvages adultes ne miaulent pas, seuls les chatons le font, souligne Joël Dehasse. Quand le chat s’adresse à un congénère, il pousse des cris – de guerre, de séduction et autres – sans rapport avec “Miaou”.

Son cri d’amour s’énonce “Eu-eu-e”. Le miaulement est un appel au maître. Dépourvu de sens, il sert à transmettre l’émotion du moment. La joie, le plaisir se disent “Mê” ou “Mié” ; les émotions pénibles, par des sonorités plus graves, “Mou”, “Mo” ou “Mô”. »

Pour s’adresser à lui, préconise Marie-Claude Bomsel, vétérinaire (professeure au Muséum national d’histoire naturelle et auteure de Leur sixième sens. Les animaux sont-ils plus « sensés » que nous ? – Michel Lafon, 2006), n’ayez pas honte d’utiliser le ton de voix infantilisé (« Oh, le joli minou, il est mignon le chachat… ») qui fait dire à vos proches : « Tu deviens gâteux avec cette bête. » « A cause de sa fréquence, dans les aigus, et de son rythme, les chats l’adorent. »

Si vous voulez discuter avec votre chat, placez-vous à cinquante centimètres de lui. Car s’il voit six fois mieux que vous dans l’obscurité, il est terriblement myope, voit flou et discerne mal les couleurs. Sa myopie explique que, parfois, à l’extérieur de la maison, il paraît effrayé par son humain familier. En fait, il vous repère surtout à l’odeur.

Au terme de cette exploration de l’univers félin, vous aurez compris que même s’il dort les deux tiers du temps, le chat n’est pas une peluche que l’on installe chez soi pour se distraire, mais un petit fauve guidé par la quête du plaisir. Ne l’oubliez jamais. Sinon il vous le rappellera : en vidant le contenu de son intestin ou de sa vessie dans votre lit, ou plus radicalement, en vous faussant compagnie.

Conseils

Votre chat est trop gros ?

C’est généralement la conséquence de la sédentarité et de la castration – presque inévitables quand on vit en appartement. Interdisez-vous de lui offrir un repas chaque fois qu’il miaule, même s’il insiste. Vous n’y arrivez pas ? Demandez-vous si vous n’êtes pas en train de confondre votre chat avec un enfant ou un partenaire amoureux.

Vos caresses l’agacent ?

Le chat recherche indéniablement un contact physique avec l’homme. Et l’homme l’aime parce qu’il peut le caresser. Mais le chat apprécie les câlins surtout quand il en est l’initiateur. Attendez qu’il vous les demande clairement. Il se frotte à vous ? Peut-être veut-il seulement vous imprégner de son odeur. De plus, certains se lassent vite des familiarités : dès que ses oreilles se couchent en arrière, que sa queue se balance de plus en plus fort, cessez de le toucher, il est en train de s’énerver.

Votre maison empeste l’urine ?

Il est peut-être temps de faire castrer votre chat mâle. Il est castré ? Arrosez ses coins favoris avec un diffuseur d’hormones apaisantes, en vente en pharmacies. Un chat qui fait ses besoins dans des lieux inappropriés cherche le plus souvent à signifier qu’il va mal. Si c’est trop pénible, consultez un vétérinaire comportementaliste.

Vous pensez offrir un chat à un ami dépressif pour l’aider à se sentir mieux ?

La présence d’un chat améliore l’humeur des gens qui ne souffrent pas de troubles psychiques importants. Quand il s’agit de dépression ou d’anxiété grave, elle est inefficace.

http://www.psychologies.com

Chaque mouvement compte lorsqu’on veut perdre du poids


Mais voilà, qu’il semblerait et ce serait tant mieux, que le moindre effort même a courte durée est profitable, mais bien sûr, il va de soit que pour perdre du poids, cela demande une alimentation plus équilibrée et de ne pas hésiter de trouver des excuses pour bouger un peu plus
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Chaque mouvement compte lorsqu’on veut perdre du poids

 

Des chercheurs ont remarqué que même de courts... (Photos.com)

Des chercheurs ont remarqué que même de courts épisodes d’activité physique de forte intensité était aussi efficace que des séances de sport de 10 minutes.

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Les personnes qui cherchent à perdre quelques kilos seront heureuses d’apprendre que des chercheurs américains ont trouvé que de courtes séances d’activité intense peuvent avoir un fort impact.

Dans une étude parue le 1er septembre dans l’American Journal of Health Promotion de l’université de l’Utah des chercheurs ont remarqué que même de courts épisodes d’activité physique de forte intensité – comme le fait de porter une grosse boîte de lessive ou de monter des escaliers rapidement – était aussi efficace que des séances de sport de 10 minutes.

«Nous avons appris que pour éviter la prise de poids l’intensité de l’activité importait plus que la durée», a noté le professeur Jessie X. Fan de l’université de l’Utah. «Le fait de savoir que même de courts accès d’activité «soutenue» peuvent contribuer à des effets plus positifs est un message encourageant pour promouvoir une meilleure santé».

L’équipe de chercheurs a utilisé des données de plus de 4500 personnes, hommes et femmes, qui avaient participé à un sondage national (National Health and Nutrition Examination Survey). Pour ce sondage, les participants ont porté des accéléromètres pendant sept jours qui enregistraient les infos sur leur activité physique. Les scientifiques ont ensuite comparé les mesures d’activité avec la durée de l’effort physique et son intensité.

Ils créèrent quatre catégories: une pour les accès de forte intensité (pendant plus de 10 minutes dépassant les 2020 comptes d’accéléromètres par minute, ou CPM), une autre pour les accès de forte intensité plus courts (de moins de 10 minutes à plus de 2020 CPM), une pour les accès à plus faible intensité (de plus de 10 minutes à moins de 2019 CPM), et la quatrième catégorie pour les accès de plus faible intensité et plus courts (de moins de 10 minutes et moins de 2019 CPM).

L’étude a aussi pris en compte les indices de masse corporelle (IMC), pour mesurer la perte de poids, les résultats montrant que pour les sujets, chaque minute d’exercice intense était associée à une perte de 0,07 de leur IMC (un poids normal se situe entre 18,5 et 24,9, entre 25 et 29,9 la personne est en surpoids et au-delà de 30 le sujet est considéré obèse). En d’autres termes, chaque minute d’exercice intense entraîne une perte de calories équivalant à 0,18 kilo, soit 180 grammes.

Une étude précédente sur le même thème de l’Oregon State University a montré en début d’année que le fait de marcher vite en parlant au téléphone (pendant au moins 30mn par jour) pouvait être aussi efficace qu’une session de sport.

http://www.lapresse.ca/

Déversement de mazout à Pointe-Noire: le bilan revu à la hausse


Depuis une semaine Sept-Îles vit dans le cauchemar environnemental. Des litres de mazout déversé dans les eaux qui affecte la faune et la flore ainsi que toute l’économie reliée a cet endroit et encore sous la direction d’une compagnie américaine
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Déversement de mazout à Pointe-Noire: le bilan revu à la hausse

 

Vue aérienne du déversement de mazout des installations... (Photo fournie par Dominique Séguin)

Vue aérienne du déversement de mazout des installations de Cliff Natural Resources

PHOTO FOURNIE PAR DOMINIQUE SÉGUIN

FANNY LÉVESQUE

Collaboration spéciale

Le Soleil

(Sept-Îles) Les autorités ont revu à la hausse vendredi la quantité de mazout lourd déversé il y a une semaine dans la baie de Sept-Îles, à la suite d’un incident survenu aux installations de Cliffs Natural Resources, à Pointe-Noire. Le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP) ne parle plus de 2000, mais bien de 5000 litres d’hydrocarbures qui auraient fui des bassins de rétention de la minière.

Vendredi, l’organisme d’intervention d’urgence environnementale SIMEC a enfin été en mesure de confiner la nappe de mazout, qui s’était répandue au large après que de forts eurent raison des premières estacades.

«Ce qu’il reste sur la baie, c’est iridescent, c’est une fine pellicule d’hydrocarbures», a expliqué le porte-parole du Ministère, Frédéric Fournier.

«Durant les prochains jours, le travail sera de récupérer les contaminants.»

Les effectifs seront d’ailleurs accrus en fin de semaine pour suffire à la tâche. Vendredi, plus d’une centaine d’hommes étaient à pied d’oeuvre, dont plusieurs employés de Cliffs, qui ont prêté main-forte aux équipes environnementales. Des sous-traitants affichaient aussi des offres d’emploi pour recruter rapidement de la main-d’oeuvre.

Réaction de Cliffs

Le géant américain, qui exploite des mines de fer à Fermont et à Wabush, a réagi officiellement pour une première fois vendredi, par voie de communiqué. Critiquée par plusieurs citoyens pour son manque de transparence, la minière se défend d’avoir concentré ses efforts sur la mise en place de son plan de mesures d’urgence plutôt que sur la communication, bien que des représentants étaient disponibles pour les médias.

«La priorité des premières minutes, des premiers jours a vraiment été d’organiser la séquence des travaux», a fait savoir la porte-parole de l’entreprise, Arlène Beaudin. «Maintenant que la phase nettoyage est amorcée, nous avons pu libérer plus de temps.» Cliffs s’engage désormais à fournir un bilan des opérations tous les deux jours.

Malgré sa sortie, la minière ne commentera pas les circonstances entourant l’incident qui a causé le déversement de 450 000 litres de mazout à ses installations, en raison de l’enquête interne qui se poursuit.

Le MDDEFP enquête aussi en parallèle pour déterminer la responsabilité de l’entreprise. Le ministre Yves-François Blanchet doit venir à Sept-Îles dimanche pour constater l’ampleur des dégâts.

Par mesure préventive, Pêches et Océans Canada a fermé la pêche récréative et sportive de la rivière Sainte-Marguerite à la rivière Moisie, incluant l’archipel des Îles. Pour l’heure, bien peu de détails sont connus à propos des éventuelles répercussions du déversement sur la faune et la flore dans le secteur.

http://www.lapresse.ca

CE QUE L’ARGENT RÉVÈLE DE VOTRE PERSONNALITÉ…


Le rapport que nous avons avec l’argent peut définir notre personnalité. Certains y voient comme un outil alors que d’autres pensent que c’est la seule option pour apporter le bonheur
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CE QUE L’ARGENT RÉVÈLE DE VOTRE PERSONNALITÉ…

 

Ce que l’argent révèle de votre personnalité…

    La manière dont vous gérez ou utilisez votre argent révèle votre personnalité.

    Elle révèle vos peurs, vos priorités ou simplement votre manière de fonctionner…

    Voici un petit décodage de différentes attitudes face à l’argent.

    J’économise et j’ai toujours quelques réserves

    Antoine aime avoir un peu d’avance, de marge comme il dit, sur son compte en banque.

    Cette attitude peut révéler une peur de manquer. Être à zéro sur votre compte l’angoisserait et avoir un matelas de sécurité le tranquillise. La peur de manquer l’incite à économiser pour se sentir bien. Cette attitude est saine, car la sécurité est un besoin de base qui permet à chacun d’entre nous de se sentir bien !

    Économiser et avoir des réserves peut aussi être signe que l’on sait profiter de la vie. Car tout dépend de l’usage de ces réserves. Si, quand elles sont un peu élevées, cela vous permet de vous offrir ce dont vous rêvez, un voyage, un bel objet… Alors, vous êtes en équilibre. Si au contraire, plus cette épargne monte et plus vous êtes tranquille, sans jamais y toucher, attention, l’argent est anti-angoisse, mais pas source de plaisir comme il le pourrait. C’est dommage pour vous !

    J’économise beaucoup, je dépense le moins possible

    Joëlle se sent économe, les autres la trouvent peut-être avare ! Elle compare les prix partout, possède une vieille voiture, et un logement bien plus petit que ce qu’elle pourrait s’offrir. Elle choisit l’assurance la moins chère, et l’abonnement de téléphone, de gaz, d’électricité les plus économiques. Elle isole son logement, dans le but d’économiser. Tout est calculé. Et chaque euro dépensé a tendance à lui faire mal au cœur.

    L’argent prend trop de place dans sa vie

    Trop d’avarice financière est souvent corrélé à une avarice de cœur. Cette personne ressent une peur de se sentir dépossédée, elle n’aime pas donner, car elle a le sentiment de perdre, voire d’être volée. Si vous connaissez quelqu’un qui a un tel comportement, comprenez que cette personne a certainement un énorme manque de confiance en elle, tout autant qu’un manque affectif. N’ayant pas reçu suffisamment d’affection, se sentant plutôt minable, elle a l’impression de prendre de la valeur en accumulant de l’argent. Un peu comme une personne boulimique a le sentiment que manger beaucoup lui permettra de se sentir mieux. C’est faux bien sûr. Et l’ouverture de cœur lui permettrait d’être plus en relation avec les autres et d’acquérir des liens affectifs qui la combleraient plus que de l’argent. Mais c’est à elle de le réaliser, on ne peut forcer personne à prendre conscience de ses failles…

    Je dépense tout… et je suis dépendant

    Alain dépense beaucoup. Il est toujours à découvert et paye beaucoup d’agios à sa banque. Ne croyez pas qu’il gagne peu. Il est profession libérale, et tout va bien pour lui. Mais il dépense toujours plus qu’il ne gagne. C’est comme si l’argent lui brûlait les doigts. Il n’aime pas en posséder. Pourquoi ? Peut-être qu’il a le sentiment qu’il ne le mérite pas. Peut-être qu’il a besoin de ressentir des angoisses pour se sentir stimulé au point de travailler beaucoup. Car le besoin d’argent est pour lui un moteur. Résultat, il ne travaille pas dans la joie, mais dans le stress. D’ailleurs, il n’aime pas vraiment son métier ! Il faut dire aussi que les parents d’Alain étaient plutôt avares. Alors, son attitude est aussi une réaction par rapport à son enfance. Le problème d’Alain, c’est aussi que son attitude l’infantilise. Il a besoin de son épouse qui elle, a un métier de fonctionnaire, des rentrées stables et qui gère le budget du ménage. Il est très dépendant d’elle pour la gestion et en cas de crise financière grave, ce qui se produit régulièrement. Son attitude avec l’argent révèle donc une immaturité, un sentiment de manque de valeur personnelle, un besoin de stimulant pour travailler, et une désillusion quant à son métier.

    Quand l’argent est un fantasme…

    Cédric explique régulièrement qu’il est en train de créer une boîte. Au début, tout le monde s’intéressait à ses projets. Mais au fil des années, personne ne voit rien venir. Il ne gagne rien, il dépense plutôt en investissements qui n’ont jamais rien rapporté. Sa femme fait bouillir la marmite, et lui court par monts et par vaux pour ses projets mirifiques qui le rendront riche. En attendant, rien à l’horizon. Cédric n’est pas dans la réalité. Il a pourtant fait des études et pourrait trouver un emploi, mais il ne le souhaite pas. Il préfère être un entrepreneur… Sans en avoir la capacité.

    L’attitude de Cédric est pathologique et sa femme commence à menacer de le quitter, car elle en a assez de tout assumer et de lui procurer de l’argent de poche et d’investir dans des projets fumeux. Cette séparation serait peut-être une solution car confronté à des besoins concrets auxquels elle a répondu pendant des années, Cédric serait obligé de faire face à la vraie vie. Dans le cas de Cédric, ses parents l’ont toujours mis sur un piédestal en lui transmettant l’idée qu’il n’était pas comme tout le monde et qu’il aurait un grand destin. Et ce comportement a biaisé sa vision du monde…

    Quand l’argent est un jeu

    Michel n’a jamais eu peur de manquer. « J’ai déjà investi dans deux sociétés qui ont raté. Et une qui a bien réussi. Et bien, je n’ai pas peur de tout réinvestir, et de prendre des risques et c’est ce que je fais ! Pour moi, l’argent me permet de vivre des aventures. Je ne me vois pas tout mettre de côté et aller m’allonger sur la plage. J’avoue que ma femme est salariée, ce qui fait que nous avons une sécurité minimale aussi ! Ça  joue, je le sais… Car les enfants pourraient me rendre moins aventurier ». Le rapport de Michel à l’argent montre une grande confiance en lui. Il ne confond pas argent et valeur personnelle. Il a confiance en lui, car il sait que même sans argent à un moment donné, il se sentira parfaitement capable de rebondir.

    L’argent est pour lui un moyen d’avoir des aventures. Tout en gardant les pieds sur terre au présent (il sait ce qu’il doit à son épouse) et pour le futur (il pense à ses futurs enfants). On pourrait souhaiter à tous et à la société d’avoir plus de personnes comme lui pour leur côté positif et sans doute aussi pour leur action de moteur sur l’économie !

    Et vous, quel est votre rapport à l’argent ?

    Notre relation à l’argent est complexe et dépend donc de notre histoire, de notre environnement, de notre confiance en nous, de nos rêves, de ce que nos parents nous ont transmis ou pas…

    Alors, en vous posant quelques questions, vous pouvez mieux vous comprendre.

  • Avez-vous peur de manquer ?

  • Ou savez-vous que vous vous débrouillerez toujours ?

  • Est-ce important pour vous d’avoir des réserves d’argent, ou pas du tout ?

  • Dépensez-vous sans compter ou êtes-vous économe ?

  • Comment vos parents se comportaient-ils vis-à-vis de l’argent ?

  • Avez-vous des rêves que vous ne réalisez pas et pour lesquels l’argent pourrait vous aider ? Lesquels ?

  • Pourquoi ne les réalisez-vous pas ?

  • Qu’est-ce qui vous en empêche ?

  • Le manque d’argent est-il la vraie raison ?

Vous interroger peut être l’occasion de faire le point pour évoluer au mieux dans cette relation à l’argent.

Article publié par Dr Catherine Solano
Sources : « Cigale ? Fourmi ? Les clés d’une bonne relation à l’argent : Un guide d’auto-coaching pour bien vivre avec son porte-monnaie»,Emilie Devienne, Interéditions 2011. « L’âme de l’argent, transformer sa relation avec l’argent et la vie », Lynne Twist, Editions Ariane, 2004.  « Prenez la responsabilité de vos finances », Nathalie Cariou, Editions Jouvence, 2011.

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