Oui la différence a son coté charmant, elle peut refléter la grandeur intérieur vers l’extérieur
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La différence
La différence est une beauté qu’il faut apprendre à voir …
Ingrid Naour
J’ai eu un chat comme ça. Quand Virgule a commencé a venir a la maison, je ne voulais pas lui ouvrir la porte pour qu’il s’installe, mais lui a décidé que ma maison sera sa maison coute que coute alors il faisait exactement comme ce chat sur la vidéo …
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Les chats sont aussi mignons qu’ils sont étranges ! Et ce ne sont certainement pas les propriétaires de ce drôle de matou qui soutiendront le contraire.
Lorsqu’il veut rentrer dans la maison, ce chat quelque peu enrobé ne se contente pas de miauler et de pleurer devant la porte en attendant que quelqu’un daigne lui ouvrir. Non, il se transforme en Spider-Cat !
Le matou bondit et s’accroche à la fenêtre avec une impressionnante dextérité, tel un espion en pleine mission.
Mais comment fait-il pour rester ainsi accroché ? A-t-il des scratchs, de la colle, ou bien des ventouses fixées à ses petites papattes ? Le mystère reste entier…
Et vos boules de poils, sont-elles capables elles aussi de se muer en Spider-cat ?
C’est une catastrophe quand un vêtement neuf décolore au lavage et qu’en plus gâche les autres vêtements de la lessive sont marqué par cette couleur … Mais le lait est là pour sauver la face
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Il arrive lors d’un lavage qu’un vêtement coloré déteigne sur un autre vêtement. Vous vous retrouvez ainsi avec un vêtement grisâtre ou tout simplement rosé s’il a été en contact avec du rouge.
La meilleure solution est de faire tremper le vêtement taché dans du lait, dans un bol ou la cuve à laver. Dépendant du nombre de vêtements tachés, vous aurez besoin de 2 à 5 litres de lait.
Attendez quelques heures afin que le lait agisse sur la teinture. Ce truc est miraculeux! Après un bon rinçage, vous constaterez que le tissu aura repris sa couleur originale et vous aurez ainsi sauvé quelques vêtements de la poubelle.
Non, non et re non, les zoos ne devraient pas exister. Je comprends qu’il fallait protéger les travailleurs et peut-être la population. Cependant, un animal a été tué parce qu’il suivait son instinct dans un milieu qui n’est pas le sien alors qu’il aurait dû se retrouver dans son propre environnement. L’homme est un terroriste en puissance envers les animaux
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Crédit photo : archives, Reuters
Un tigre de l’Amour a dû être abattu au zoo de Saint-Félicien vers 8 h 30, mardi matin.
Le personnel du zoo effectuait des manœuvres pour transférer l’animal qui devait recevoir un vaccin et le tigre est parvenu à se faufiler et à s’échapper.
La bête s’est enfuie vers un boisé, près des quartiers de nuit des tigres et des macaques. Une rivière crée une barrière naturelle dans le secteur.
Le tigre de l’Amour a été en liberté pendant près de cinq minutes.
La directrice générale du zoo, Lauraine Gagnon, explique que le plan de mesures d’urgence a été mis en application immédiatement.
« Le plan de mesures d’urgence est sans équivoque. Lorsqu’un animal dangereux se retrouve en liberté, nous devons l’abattre et c’est ce qu’on a fait pour protéger nos travailleurs. »— Lauraine Gagnon, directrice générale du zoo de Saint-Félicien
Mme Gagnon précise qu’il n’a jamais été question d’endormir le tigre pour le ramener en cage.
« Un anesthésiant va prendre plusieurs minutes à faire effet. On est dans un secteur où la rivière est notre barrière naturelle, elle n’est pas très loin et le tigre est un excellent nageur. On n’a aucune chance à prendre », souligne-t-elle.
Le tigre abattu est l’un des deux bébés nés au zoo de Saint-Félicien.
En mars dernier, un autre tigre avait attaqué et blessé gravement un gardien entré dans sa cage pour la nettoyer.
Je ne comprends pas comment un site de rencontre peut afficher des photos de personnes qui ne sont même pas inscrites à leurs conneries et qu’en plus ils choisissent une photo d’une adolescente qui avait été agressé et intimidé a fini par se suicider
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Rehtaeh Parsons
Facebook a banni, mardi, un annonceur qui utilisait des photos de Rehtaeh Parsons dans une publicité pour un site de rencontre.
La publicité en question invitait les internautes à « trouver l’amour au Canada » en rencontrant « des femmes et des filles canadiennes ».
Rob Russell, qui travaille à Toronto, a aperçu l’annonce en naviguant sur sa page Facebook.
« Tout de suite, j’ai pensé : « Wow, quelqu’un doit n’avoir aucune idée de la personne à qui appartient cette photo » », a-t-il dit.
La photo de Rehtaeh Parsons dans une publicité pour un site de rencontre sur Facebook
Rehtaeh Parsons est morte à 17 ans, en avril dernier, après s’être enlevé la vie. Selon le témoignage de ses parents, l’adolescente a préféré la mort à l’intimidation dont elle était victime depuis une agression sexuelle survenue un an plus tôt. Deux jeunes hommes de 18 ans sont d’ailleurs accusés de distribution de pornographie juvénile en lien avec cette affaire.
Le père de la jeune femme, Glen Canning, a appris mardi soir que la photo de sa fille était utilisée par le site de rencontre. Une connaissance lui a envoyé le lien par courriel.
« Je suis littéralement sans mot. C’est dégoûtant. »— Glen Canning, père de Rehtaeh Parsons
Facebook a déclaré que la compagnie responsable de l’annonce, ionechat.com, ne serait plus jamais autorisée à publier de nouvelles annonces sur le réseau social. Un porte-parole s’est excusé du tort que cela a pu causer.
« Il s’agit d’un exemple extrêmement malheureux d’un annonceur qui s’empare d’une photo pour l’utiliser dans une de ses campagnes publicitaires », a écrit le porte-parole dans une déclaration.
Selon M. Canning, c’était la moindre des choses à faire.
Glen Canning, le père de Rehtaeh Parsons (archives) Photo : Jack Julian/CBC
« C’est inconcevable pour un parent de voir une telle chose. Surtout parce que Rehtaeh a été victime d’une agression sexuelle, et ils vont la mettre sur un site de rencontre. Non seulement cela, mais elle est aussi mineure », a expliqué M. Canning en entrevue avec CBC.
Le père de Rehtaeh Parsons affirme qu’il va tenter de trouver de quelle façon la photo de sa fille s’est retrouvée dans cette publicité.
« Dans mon cœur, c’est inexcusable, a-t-il dit. D’aucune façon j’accepterai l’excuse que ça découle d’un quelconque problème technique. »
L’histoire de Rehtaeh Parsons a choqué les Canadiens et a fait le tour du monde. La semaine dernière, la mère de la jeune femme se confiait à la populaire émission de télévision américaineDr. Phil Show.
Le porte-parole de Facebook encourage toute personne à signaler les publicités qu’elle juge inquiétantes.
La compagnie qui chapeaute ionechat.com, be2, est établie au Luxembourg. Elle n’a pas réagi à l’affaire.
Comment une mère peut-elle surmonter une telle épreuve ? Comment une enfant de 5 ans a pu penser à utiliser une écharpe ? Pouvait-elle vraiment comprendre que son geste était un acte irrémédiable ?
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Photo Fotolia
Agence France-Presse
ORLÉANS (France) – Une fillette de 5 ans a été trouvée morte, pendue dans sa chambre mercredi, dans le quartier de La Source à Orléans, a-t-on appris auprès du bureau du procureur, confirmant une information du quotidien régional la République du Centre.
La fillette a été découverte pendue avec une écharpe à son lit superposé, vers 13 heures. En arrêt cardio-ventilatoire à l’arrivée des pompiers, elle n’a pu être réanimée, selon le bureau du procureur qui a ouvert une enquête en recherche des causes de la mort.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la petite fille s’était enfermée dans sa chambre, fâchée que sa mère lui refuse le verre de soda qu’elle réclamait.
En l’absence de traces de coups sur le corps de l’enfant, le procureur d’Orléans exclut, pour l’heure, l’intervention d’une tierce personne dans le drame.
Le procureur de la République à Orléans, Franck Rastoul, s’est toutefois refusé à parler de suicide.
«On parle d’une enfant de 5 ans. Dans ces conditions, la nature du geste reste très difficile à qualifier», a-t-il dit.
Une autopsie doit être pratiquée jeudi à l’institut médico-légal de Tours.
La mère de l’enfant, traumatisée, n’avait pu être entendue mercredi soir.
Un accident qui n’aurait pas dû avoir lieu d’après certains témoignages. Il semblerait que tout était en ordre, les feux de signalisation et les barrières lors d’un passage d’un train … C’est l’autobus, mais pourquoi ?? Un malaise du chauffeur ?
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OTTAWA –Au moins six personnes se trouvant dans un autobus ont perdu la vie lorsque le véhicule est violemment entré en collision avec un train de la compagnie Via Rail, mercredi matin, à Ottawa. Dix autres personnes étaient dans un état critique à l’hôpital.
L’avant d’un autobus à double étage de la société de transport public OC Transpo a été anéanti par le train vers 8h48 à un passage à niveau, près de l’intersection de l’avenue Wodroffe et de la route Fallowfield. L’impact a freiné l’autobus qui n’a pas traversé les voies. Des débris du véhicule se trouvaient sur les rails.
Cinq personnes sont mortes sur place, tandis qu’une autre est décédée à l’hôpital. Le chauffeur serait parmi les victimes, puisque le syndicat des chauffeurs d’autobus a affirmé dans une déclaration avoir « perdu un des leurs». Au total, 31 blessés ont été transportés à l’hôpital.
Selon des témoins de la tragédie, les barrières de sécurité du passage à niveau étaient abaissées.
«Tout était en bas. Tout le monde attendait. Mais l’autobus a traversé la barrière», a dit Mark Cogan qui était dans son auto, environ quatre véhicules derrière le chemin de fer.
Selon lui, l’autobus a percuté le deuxième ou le troisième wagon du train.
Gregory Mech, qui était dans l’autobus, a confirmé que les barrières étaient abaissées et que les feux prévenant les automobilistes du passage du train étaient allumés.
«Les passagers ont crié pour que le chauffeur s’arrête…», a-t-il dit.
Le conducteur de l’autobus aurait donc peut-être été victime d’un malaise. Il ne s’agit toutefois que d’une hypothèse.
De son côté, Via Rail a précisé sur son compte Twitter que personne à bord du train n’avait été blessé. Les passagers ont quitté la scène à pied après avoir eu une bonne frousse.
«C’était vraiment épeurant. C’était un accident terrible», a dit Vishnu Komenduri passager du train qui se rendait à Toronto.
La locomotive, qui s’est arrêtée une centaine de mètres plus loin, a déraillé à la suite de l’impact. La compagnie ferroviaire a mentionné que le service entre Ottawa et Toronto serait annulé mercredi.
Plusieurs services d’urgence ont été dépêchés sur les lieux. Les ambulanciers étaient sur place pour soigner les blessés et transporter rapidement les plus mal en point.
«Le centre d’urgence de la Ville a été mis en état d’alerte et toutes les ressources ont été déployées pour s’assurer que les personnes touchées soient traitées», a affirmé le maire d’Ottawa, Jim Watson.
Plusieurs personnes inquiètes pour des membres de leur famille ont aussi accouru sur place. Par la suite, les autorités ont mis sur pied un centre d’information pour ces familles au complexe récréatif de Nepean.
«J’espère avoir des informations pour savoir s’il est OK. Mais, on m’a dit qu’il fallait attendre [avant d’avoir des nouvelles]», a dit une femme inquiète pour le sort du père de son fils à l’extérieur de ce centre d’accueil.
L’accident, qui s’est produit en pleine heure de pointe, a causé d’importants problèmes de circulation dans le secteur.
Des enquêteurs du Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) étaient également sur place pour commencer leur travail. Ils ont mentionné qu’ils allaient examiner le consignateur d’événements de la locomotive (la «boîte noire») pour déterminer à quelle vitesse roulait le train. Le fonctionnement du passage à niveau, ainsi que les freins et la mécanique de l’autobus seront aussi analysés.
«Je n’ai pas toutes les informations, si on a appliqué les freins sur l’autobus. Nous allons commencer par là et continuer [l’enquête]», a précisé Glen Pilon du BST.
«Il y aura des comparaisons entre l’autobus accidenté et d’autres autobus», a ajouté l’enquêteur.
«Je ne peux pas commenter si c’est le train qui a frappé l’autobus ou l’inverse», a prudemment mentionné M. Pilon.
La vitesse des trains dans le secteur a déjà fait l’objet de discussions à l’hôtel de ville d’Ottawa par le passé.
Via Rail évaluait les risques associés à faire rouler des trains à haute vitesse dans ce secteur. En avril, la compagnie ferroviaire a mentionné que ses trains roulaient, en moyenne, de 60 à 70 km/h.
Toutefois, la conseillère municipale de Barrhaven, Jan Harder, a affirmé en conférence de presse que les trains roulent à moins de 10 km/h dans le secteur où a eu lieu la collision.
«Nous estimons que tous nos passages à niveau sont sécuritaires», a précisé la présidente de la commission du transport en commun de la région d’Ottawa, Diane Deans.
Je lève mon chapeau a cette femme qui a ouvert un restaurant tout en osant utiliser des produits encore bon mais qui se retrouve a la poubelle faute d’être vendu au supermarché. C’est le genre d’action concrète qui peut changer les choses
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Le restaurant, situé dans le centre de la capitale danoise, s’appelle Rub og Stub, une expression qui signifie «tout sans exception».
PHOTO FOURNIE PAR PERNILLE GREGERSEN
Agence France-Presse
Copenhague
Un restaurant qui pioche ses ingrédients dans la nourriture que veulent jeter les supermarchés et d’autres entreprises a ouvert ses portes mardi à Copenhague.
«Nous avons tous travaillé dans des cuisines ou des supermarchés et vu combien de nourriture partait à la poubelle, et nous voulions faire quelque chose», a expliqué à l’AFP la cofondatrice de l’établissement, Sophie Sales.
Le restaurant, situé dans le centre de la capitale danoise, s’appelle Rub og Stub, une expression qui signifie «tout sans exception».
Mme Sales se défend d’être une adepte de l’exploration des poubelles: la nourriture est récupérée avant de tomber parmi les ordures.
«On espérait s’assurer quelques sources d’approvisionnement permanentes avant l’ouverture, mais ç’a été difficile parce que c’est un concept tout à fait nouveau», a-t-elle raconté.
Ce restaurant, qui fonctionne avec des volontaires et versera ses bénéfices à trois associations humanitaires en Sierra Leone, a dû acheter certains ingrédients au départ. Et il a reçu des donations importantes de Coop, premier distributeur du Danemark.
«On a eu tout, des côtes d’agneau aux magrets de canard, en passant par des gros sacs de raisins et des laitages», la plupart très proches de la date de péremption, rapporte Mme Sales.
Toute cette nourriture «n’est pas intéressante à mettre en rayon parce qu’ils les supermarchés ne pourraient la garder là que deux ou trois jours», mais reste parfaitement comestible, souligne-t-elle.
La carte change tous les jours, forcément. Mardi, c’était fricadelles et chou rouge, une version végétarienne de ce plat traditionnel danois, une salade de pâtes, des muffins aux pommes avec du massepain, et une glace au nougat.
Quand on va dans les aéroports ils faut scanner nos valises, je ne vois pas pourquoi que cela ne serait pas la même chose pour les colis dans les bureaux de poste
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ILLUSTRATION: FRANCIS LÉVEILLÉE, LA PRESSE
La Presse Canadienne
Ottawa
Un rapport de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) nouvellement déclassifié indique que des criminels utilisent le système postal canadien pour transporter des objets illégaux, notamment des armes à feu, des grenades, des produits chimiques dangereux et même, dans un cas, un lance-roquettes.
Le document indique que des biens contrefaits, allant des faux chandails de l’équipe olympique de hockey aux passeports falsifiés, ainsi que des drogues comme de la cocaïne ou de l’héroïne, arrivent également au pays par l’entremise de Postes Canada.
La GRC réclame une meilleure collaboration entre les responsables de la police et ceux de la poste pour détecter la contrebande, soulignant que la loi limite la capacité de la police de fouiller et de saisir les colis postaux.
La Presse Canadienne a obtenu un exemplaire du rapport en vertu de la Loi sur l’accès à l’information, bien que plusieurs passages délicats aient été caviardés.
Le rapport, qui date de novembre 2012, s’appuie sur des informations provenant de plus d’une dizaine de services de police, ainsi que de l’Agence des services frontaliers du Canada.
On y indique que des armes de poing, des munitions, des poings américains, des gilets pare-balles, des grenades à main, des pistolets électriques et des appareils de brouillage des signaux sont expédiés au Canada à partir de l’étranger.