Butch, le Husky qui adore l’automne


Nous sommes encore loin de l’été des indiens, du moins je l’espère et il reste beaucoup de feuilles aux arbres … mais reste que je comprend le plaisir de ce chien avec les feuilles sur le sol a l’automne
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Butch, le Husky qui adore l’automne

 

Crédits photo : Kent Petersen – Youtube

Par Sophie Le Roux

Si l’été indien nous fait le plaisir de nous rendre une petite visite, l’automne ne tardera pas à faire son apparition, et avec lui les journées plus courtes, le froid, et les feuilles mortes.

Un vrai bonheur en somme ! Pour Butch tout du moins. Ce Husky sibérien adore la saison des feuilles tombant dans le jardin. Il sait que son maître va ramasser ces feuilles aux couleurs chatoyantes, et en faire un immense tas dans lequel il pourra joyeusement batifoler.

Quel bonheur de pouvoir ainsi se dépenser et s’amuser.Butch ne s’en lasse pas, et on le comprend aisément.

Publiée il y a 10 mois sur Youtube, cette vidéo a fait le tour du web. Et voilà que Kent Peterson, l’heureux propriétaire de ce magnifique toutou, en a réalisé une nouvelle.

Près d’un an plus tard, le Husky aime toujours autant aider son maître à ramasser les feuilles. La preuve !

 

http://wamiz.com/

Le Saviez-vous ► Un excrément de cachalot comme ingrédient secret de votre parfum


Il y a beaucoup de produit que nous ne savons pas vraiment la nature des ingrédients .. Mais, cela montre comment la disparition d’un animal pourrait causé des maux tête pour trouver des solutions similaires
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Un excrément de cachalot comme ingrédient secret de votre parfum

 

L’arôme de l’ambre gris – salé, animal ou terreux – varie d’une concrétion à l’autre. Les morceaux plus pâles ont souvent une odeur plus douce, rappelant parfois celle de la vanille. © David Liittschwager

L’arôme de l’ambre gris – salé, animal ou terreux – varie d’une concrétion à l’autre. Les morceaux plus pâles ont souvent une odeur plus douce, rappelant parfois celle de la vanille. © David Liittschwager

L’ambre gris est le plus improbable composant de parfum qui soit. Ces concrétions apparaissent sous la forme de dépôts excrémentiels dans les intestins des grands cachalots, autour de substances irritantes pour leur estomac, comme les becs de calmars.

Elles sont ensuite rejetées dans l’océan (par voie anale plutôt que buccale, d’après les dernières recherches). L’odeur initiale évoquerait celle du fumier, mais elle devient musquée après avoir été exposée à l’eau de mer et à l’air.

Depuis des siècles, les parfumeurs exploitent les vertus de l’ambre gris, ramassé sur le littoral, pour exacerber leurs fragrances et les fixer sur la peau. Mais le mammifère étant en voie de disparition, cela pourrait limiter l’approvisionnement en ambre gris.

Les chercheurs essaient donc de trouver des alternatives. L’équipe de Joerg Bohlmann, biologiste moléculaire, a ainsi découvert le moyen de reproduire une molécule de sapin baumier qui sert de fixateur de parfum, sans le concours des cétacés.

Johnna Rizzo

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Un bureau mal rangé donne des idées


Je crois qu’une étude similaire avait été fait plus tôt cette année.  Cela viens d’ajouter du positif a ceux qui ne peuvent avoir un environnement de travail bien rangé
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Un bureau mal rangé donne des idées

 

Jeune femme à son bureau.

Jeune femme à son bureau. SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

VIE DE BUREAU – Selon une étude publiée en septembre par la revue «Psychological Science», le désordre favorise la créativité au travail…

Avis aux travailleurs bordéliques. Voici une étude qui vous donnera des arguments face aux prochaines remarques de votre chef ou énièmes ricanements de vos collègues.

Nouveauté et créativité

Contrairement aux idées reçues, une étude américaine menée par Kathleen D. Vohs, de l’université du  Minnesota, vient en effet de démontrer qu’un bureau désordonné n’est pas seulement source de perte de temps ou un signe de confusion mentale. Bien au contraire.

Au cours d’une série de trois expériences, la chercheuse a mis en évidence les comportements contrastés favorisés par des environnements de travail ordonné et désordonné.

Certes un bureau bien rangé favorise des «comportement normativement positifs» comme une alimentation plus saine (ses occupants sont 57% de plus que ceux d’un bureau désordonné à choisir une pomme plutôt qu’une barre chocolatée pour leur goûter) ou des dons plus généreux aux associations caritatives.

Mais un bureau désordonné permet lui de dégager une plus grande créativité (en l’occurrence d’inventer de nouveaux moyens d’utiliser des balles de ping-pong) et favorise un penchant pour la nouveauté (ici , dans le choix d’une recette de smoothie).

Des effets variables selon le contexte

«Les précédent travaux tendaient à décrire les environnements désordonnés comme des sources de comportements incontrôlés, dangereux ou mauvais et les environnements ordonnés comme des preuves d’honnêteté, de sociabilité ou de bonté. Les résultats de nos expériences suggèrent que les effets de l’ordre physique sont plus vastes et plus nuancés que cela », conclut l’auteur dans son article.

«Les environnements désordonnés semblent pousser à se libérer des traditions, ce qui peut produire des perspectives nouvelles. A l’inverse, des environnements ordonnés encouragent  les conventions et la prudence. De telles tendances peuvent impliquer des conséquences positives, négatives ou neutres selon le contexte», poursuit-elle.

En clair, comptables, programmeurs, juristes ou publicitaires ne sont pas tous égaux face aux bureaux en pagaille… mais inutile de leur jeter la pierre!

Claire Planchard

http://www.20minutes.fr/

La Terre « habitable » pour 1,75 milliard d’années


Si la Terre est habitable encore pour plus d’un milliard d’années rien ne dit dans quel état elle sera tout au long de ces années .. Ni qu’une catastrophe viendrait mettre un désordre mondial
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La Terre « habitable » pour 1,75 milliard d’années

 

Représentation artistique de la Terre

Représentation artistique de la Terre Photo :  iStockphoto

La planète bleue demeurera « habitable » pour au moins 1,75 milliard d’années, montre un modèle mis au point par des chercheurs britanniques.

Andrew Rushby et ses collègues de l’Université d’East Anglia en viennent à cette conclusion en prenant en compte la distance entre la Terre et son étoile, le Soleil, et en établissant les températures sous lesquelles l’eau pourra demeurer à l’état liquide.

En fait, ils ont utilisé le modèle créé pour évaluer les possibilités d’habitabilité des planètes découvertes hors de notre système solaire, qui permet d’établir si la vie peut s’y trouver.

« Nous avons utilisé le concept de « zone habitable » pour faire cette estimation, qui consiste à calculer la distance entre l’étoile et une planète où les températures sont propices à la présence d’eau liquide à la surface. »— Andrew Rushby

Les modèles d’évolution stellaire permettent ainsi de déterminer la période d’habitabilité d’une planète et d’estimer le moment où la vie n’y sera plus possible. Dans le cas de la Terre, cette étape devrait intervenir d’ici 1,75 à 3,25 milliards d’années. Après cette période, la Terre se trouvera dans la zone chaude du Soleil, où les températures seront si élevées que les océans s’évaporeront. Toute forme de vie sera alors détruite.

« Évidemment, les conditions nécessaires à la vie humaine auront disparu beaucoup plus tôt, une réalité naturelle accélérée par le changement climatique d’origine anthropique, puisqu’une toute petite augmentation de la température mettra l’humanité en danger. »— Andrew Rushby

À la fin de cette période, seulement quelques microbes dans des environnements particuliers seront capables de supporter la chaleur.

Repères temporels

  • Les insectes sont apparus sur terre il y a 400 millions d’années
  • Les dinosaures, il y a 300 millions d’années
  • Les plantes à fleurs, il y a 130 millions d’années
  • L’être humain anatomiquement moderne est apparu il y a 200 000 ans

Notion importante

La notion de temps d’habitabilité d’une planète est importante, puisque l’évolution de la vie complexe nécessite de longues périodes de développement. Donc, plus ce laps de temps est grand, plus la vie a des possibilités de se développer.

À ce jour, près de 1000 exoplanètes ont été découvertes. L’équipe de recherche a comparé le cas de la Terre avec celui de huit autres planètes qui seraient aussi dans leurs périodes d’habitabilité, dont Mars.

Impression artistique d'une exoplanète autour de l'étoile Gliese 581Impression artistique d’une exoplanète autour de l’étoile Gliese 581 Photo :  Observatoire de Genève

Elle a pu établir que les planètes en orbite autour d’étoiles de plus petites masses avaient des périodes d’habitabilité plus longues.

Par exemple, le modèle a été appliqué à Kepler 22b, qui a une période d’habitabilité de 4,3 à 6,1 milliards d’années, et à Gliese 581d, qui a une période de 42,4 à 54,7 milliards d’années. Cette dernière pourrait être chaude et confortable pour une période 10 fois plus longue que l’existence de notre système solaire.

Toutefois, selon les chercheurs, si l’humain devait coloniser une autre planète, sa meilleure chance serait Mars, qui demeure dans la zone habitable pour encore 6 milliards d’années, jusqu’à la mort du Soleil.

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Astrobiology.

http://www.radio-canada.ca/

Quand les souris perdent leur peur des chats


Les chats semblent avoir la vie facile si les souris n’ont plus peur de présence. Un petit parasite si petit, mais qui peut être vraiment mortel pour une souris
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Quand les souris perdent leur peur des chats

 

Un chat et des souris Photo :  iStockphoto

 

Les souris perdent définitivement leur peur innée des chats après avoir été infectées par un parasite microscopique, affirment les chercheurs américains.

Le fait que les souris infectées perdent leur peur des chats est bon autant pour le félin que pour le parasite : le chat met la patte sur un repas facile alors que le parasite pénètre dans l’intestin du chat, le seul endroit où il peut se reproduire et continuer son cycle d’infection.

Toutefois, si l’étrange effet du parasite Toxoplasma gondii sur les rongeurs avait déjà été décrit par la science, son effet permanent restait à confirmer et à expliquer.

Les chats marquent leur territoire avec de l’urine. Habituellement, les souris la détectent et évitent les zones où les félins prédateurs peuvent se cacher.

Or, les travaux de la chercheuse Wendy Ingram et de ses collègues de l’Université de la Californie à Berkeley montrent que, même après avoir été libérées d’une infection par ce parasite, les souris ne craignent plus de fréquenter les endroits marqués par de l’urine de chat.

L’équipe de recherche pense que l’infection causerait des changements permanents dans le cerveau des rongeurs.

Chez les rongeurs, l’infection est généralement contractée au contact des excréments de chat. Le parasite fait ensuite son chemin vers tous les organes du corps, en particulier vers le cerveau, où il forme des kystes.

« Nous constatons que le changement de comportement est permanent, même lorsque le parasite a complètement disparu du système de l’animal, particulièrement de son cerveau et nous ne pouvons en expliquer la raison. »— Wendy Ingram

Les auteurs de ces travaux publiés dans la revue PLOS One pensent que le parasite pourrait endommager le centre de l’odorat du cerveau, de sorte que l’odeur d’urine de chat ne peut plus être détectée. Le parasite pourrait aussi modifier directement les neurones impliqués dans la mémoire et l’apprentissage, où il déclencherait une réponse de l’hôte dommageable, comme dans de nombreuses maladies auto-immunes humaines.

Le saviez-vous?
Ce parasite peut être mortel chez l’humain, en causant l’avortement spontané chez les femmes enceintes ou en tuant des patients immunodéprimés.

http://www.radio-canada.ca

Le style de vie influence bel et bien notre ADN


Notre hygiène de vie a un impact sur notre ADN qui peut faire évoluer une maladie dans certaines conditions ..
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Le style de vie influence bel et bien notre ADN

 

Photo Fotolia

Les choix de vie ont bel et bien une incidence sur la génétique d’un individu et sur les risques de développement de certaines maladies.

Bien que plusieurs études et recherches avaient précédemment indiqué ce fait, une nouvelle publication confirme les impacts de nos choix de vie sur notre bagage génétique, selon Santé Log.

Cette plus récente étude allemande, parue dans le magazine Human Molecular Genetics, associe plusieurs comportements à des maladies découlant justement d’un changement sur le plan moléculaire.

Le tabagisme, le type d’alimentation, l’exercice physique, tous des facteurs connus depuis bien longtemps, qui s’avèrent capables de « modifier » notre ADN et de paver la voie à certaines maladies graves, comme le cancer ou le diabète notamment.

Sans modifier les gènes, l’hygiène et le style de vie provoqueraient certaines altérations qui sont visibles par l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, ce qui confirme de façon convaincante les précédentes théories avancées par la communauté scientifique.

En contrepartie, ces découvertes permettent également d’en savoir plus sur de nouvelles possibilités de traitement cellulaire, le revers positif d’une médaille inquiétante.

http://sante.canoe.ca