Le pouvoir des mots


Il nous ai tellement facile d’insulter, de sous-estimé l’effort d’une personne (C’est beau mais tu aurais pu … tu aurais du … Si tu aurais fait ceci ou cela … ) Tellement que quand on dit une qualité, un remerciement on se demande s’il n’y a pas anguille sous roche.
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Le pouvoir des mots

 

Nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère, ou d’une moindre attention … Ils ont tous le pouvoir de changer une vie

Leo Buscaglia

Un héros à 4 pattes : ce chien guide a sauvé la vie d’un bébé


C’est une histoire qui a bien fini, mais qui aurait pu être un drame. Je pense important de respecter le travail des chiens guides. Ce chien a été entrainer pour aider sa maitresse, il s’est surement senti comme un devoir de protection envers un bébé
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Un héros à 4 pattes : ce chien guide a sauvé la vie d’un bébé

 

Crédits photo : Daily Mirror

Par Sophie Le Roux 

Ce beau Labrador noir, chienne guide d’aveugle, a sauvé la vie de sa maîtresse et de son bébé, alors qu’une voiture était sur le point de percuter le landau de l’enfant.

Jessica sortait d’un parking avec son fils et son chien guide, lorsque le fidèle et dévoué animal s’est jeté sur la poussette pour la pousser sur le trottoir. La jeune femme malvoyante, elle, a été touchée par la voiture, et projetée en l’air.

« Je suis très fière d’elle »

 

« Juste avant que je sois percutée, Jet a enlevé son harnais de ma main, et poussé le landau. La poussette a basculé, mais Jacob était hors de danger. Elle a réagi très rapidement. Jet était inquiète pour moi, mais une fois qu’elle a léché mon visage, et vérifié que j’étais consciente, elle allait très bien«  raconte Jessica.

« Ce qu’elle a fait était extrêmement courageux, et je suis très fière d’elle«  confie Jessica au Daily Mirror

L’accident a eu lieu devant le cabinet d’un vétérinaire, à Manchester en Angleterre.

« Cela montre à quel point ces chiens sont importants. Jet a prouvé qu’elle faisait passer la sécurité de sa famille avant la sienne«  souligne le docteur Caroline Purnell, qui s’est précipitée pour venir en aide à Jessica.

Les chiens guides, des soutiens si précieux

 

Cette dernière se remet doucement de l’accident chez elle, auprès de son bébé et sa merveilleuse chienne.

« Jet est entraînée pour m’aider, mais elle n’est pas préparée à ce genre de choses. Je ne veux pas penser à ce qui aurait pu se passer si elle n’avait pas fait ce qu’elle a fait« .

Cette belle histoire nous montre à quel point les chiens guides sont précieux pour ceux qu’ils accompagnent au quotidien. Chose que la FFAC (Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles) n’a pas manqué de rappeler ces derniers jours, alors qu’elle organisait pour la deuxième année consécutive la Semaine du chien guide d’aveugle.

http://wamiz.com

Le Saviez-vous ► Les animaux monogames


Les animaux ne sont pas tous volages, certains d’entre eux forment un couple pour la vie ou du moins, le temps d’une couvée
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Les animaux monogames

 

Par Damien

 

La notion de fidélité dans le couple humain semble être socialement et religieusement importante de fort longue date. (…)


Mais humainement, cette notion habite l’esprit des deux membres d’un couple.

Bizarrement, cette notion de monogamie (du grec monos, un seul, et gamos, mariage) ne semble pas être exclusivement réservée aux humains, puisque certains animaux semblent aussi se plier à cette règle.

Cette fidélité dans le monde animal peut être de deux ordres : soit elle dure sur une année, et notamment jusqu’à la naissance d’un petit, soit, et ce cas est encore plus rare, elle dure ce que dure la vie du couple.

Mais pourquoi donc certains animaux sont-ils fidèles ?

Dans ce règne animal, la polygynie pourrait être la règle, afin de perpétuer au mieux l’espèce.

Pour les mammifères, le rôle du mâle se limite à la fabrication et transmission de spermatozoïdes. À l’opposé, les oiseaux doivent couver leurs œufs en couple ; pendant que l’un couve, l’autre va chercher la nourriture.

Il se disait jusque-là que 3 % des mammifères étaient monogames. Une étude du magazine « Science » a fait monter ce taux à 9 % en 2013. Ces chercheurs de l’université de Cambridge ont exploré la sexualité de plus de 2 500 espèces (1) : 16 % des petits carnivores (le fennec, certains renards, le castor ou le chacal), 30 % des primates (le gibbon, mais pas le chimpanzé ni le gorille) et de nombreux rongeurs. Il apparaît aussi qu’aucun cétacé n’est monogame.

Sans aucune volonté d’exhaustivité, citons encore quelques autres animaux réputés être plutôt monogames.

La souris des champs est aussi fidèle que prolifique. L’hippocampe est non seulement fidèle, mais en plus c’est le mâle qui « couve » les œufs produits par sa femelle.

Des oiseaux sont aussi concernés : la cigogne, la tourterelle(2), l’albatros, le vautour noir et le cygne (pour la vie), l’oie, le pigeon, le merle, le perroquet, le pingouin (pour une saison).

 

Trois hypothèses sont émises pour expliquer cette fidélité chez les mammifères :

La nourriture étant rare, chaque femelle doit défendre un territoire pour se nourrir et nourrir son petit ; le mâle aurait alors du mal à occuper plusieurs territoires. Il se fixerait alors à l’un d’eux, et à la femelle associée.

Vient ensuite la théorie de la prévention des infanticides. Le mâle se fixant avec une seule femelle protège son petit des autres mâles qui sont tentés de tuer les plus jeunes qui se trouvent sur leur chemin, et à fortiori à proximité de la femelle qu’il convoite.

Reste enfin la théorie des soins parentaux.

Il est fort probable que le mélange des trois hypothèses explique le phénomène.

(1) Mais, prudemment, pas le cas de l’être humain.
(2)  Qui a donné le nom de tourtereaux aux amoureux transis

http://omnilogie.fr/

Trousse de premiers soins des voyageurs


Voyager, ce sont des quêtes aux souvenirs pour les années avenir. Mais quand on tombe malade dans un pays étranger, ce n’est pas évident de se soigner .. Mieux vaut prévenir
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Trousse de premiers soins des voyageurs

 

Dérèglements intestinaux, ampoules, piqûres d'insectes... Les problèmes de... (Illustration Julien Chung, La Presse)

ILLUSTRATION JULIEN CHUNG, LA PRESSE

STÉPHANIE MORIN
La Presse

Dérèglements intestinaux, ampoules, piqûres d’insectes… Les problèmes de santé qui guettent les voyageurs sont nombreux. Le hic: à l’étranger, il n’est pas toujours aisé de trouver le matériel de premiers soins ou les médicaments pour soulager ces petits (et parfois grands) désagréments.

Il importe donc d’emporter dans ses valises une trousse de premiers soins qui contient suffisamment de matériel pour traiter les blessures mineures et les maladies bénignes.

Il est possible de se procurer des trousses d’urgence déjà assemblées dans la plupart des pharmacies.

Selon Nancy Lyons, infirmière en chef à la Clinique santé-voyage de la fondation du CHUM, il faut veiller à ce que cette trousse comprenne certains produits de base: crème d’hydrocortisone à 0,5% (pour soulager les démangeaisons causées par les piqûres d’insectes ou l’herbe à puce), pansements adhésifs, gaze, lingettes antiseptiques pour nettoyer les plaies, bandage de contention pour les entorses, crème antibiotique (de type Polysporin), pince à épiler, gants jetables, ciseaux, thermomètre (surtout si des enfants sont du voyage) et quelques sachets de sels de réhydratation orale pour traiter la déshydratation causée par la diarrhée.

«Certaines trousses contiennent même une seringue. Si on doit recevoir une injection et qu’on a des doutes sur la stérilisation des seringues, on peut toujours utiliser la nôtre», explique Mme Lyons.

Les médicaments de base

En ce qui concerne les médicaments, l’infirmière suggère aux voyageurs d’emporter avec eux des antidiarrhéiques, des comprimés antinausée, des antihistaminiques, des médicaments contre le rhume, de l’acétaminophène (ou de l’ibuprofène) ainsi que des antibiotiques à large spectre, vendus seulement sous ordonnance. Ces derniers pourront aider à traiter des infections urinaires ou digestives.

Peu importe qu’on parte au fin fond de la brousse ou à Paris, mieux vaut acheter tous ces comprimés avant le départ.

«Ainsi, on sait exactement ce qu’on prend et la façon dont les médicaments ont été conservés. À l’étranger, il peut être très difficile de trouver certains médicaments. Le dosage peut être différent. On peut même tomber sur des médicaments contrefaits», dit Mme Lyons.

Autres accessoires indispensables à glisser dans son sac: des condoms, qu’on compte s’en servir ou pas.

«Dans certains pays, acheter des condoms peut être très difficile. De plus, on ne sait jamais s’ils sont de qualité ni comment ils ont été conservés, précise l’infirmière. Et un coup de foudre est si vite arrivé!»

À chaque destination ses bobos

Outre ces produits de base, essentiels à toute trousse de premiers soins, certains articles s’ajouteront, selon la destination.

Vacances dans le Sud

«Les voyageurs qui vont dans le Sud doivent impérativement prendre avec eux de la crème solaire – FPS 30 ou plus – ainsi que du chasse-moustiques qui contient un minimum de 28,5% de DEET. Ce dernier est le seul moyen de prévenir les piqûres d’insectes qui peuvent être porteurs de dengue, maladie répandue dans certaines destinations soleil», explique l’infirmière.

Vacances sportives

Pour les vacances plus sportives, qui impliquent de la randonnée, Mme Lyons suggère d’ajouter des coussinets pour prévenir les cloques.

Vacances exotiques

Les voyageurs en partance pour des destinations plus exotiques, comme l’Afrique ou l’Asie, devraient quant à eux penser à apporter des comprimés pour traiter l’eau ainsi qu’une moustiquaire qui protège les dormeurs des insectes volants et rampants.

Un dernier conseil: toujours avoir en main son carnet de vaccination, qu’on gardera précieusement avec son passeport.

«Certains vaccins, comme celui contre la fièvre jaune, peuvent être exigés pour entrer dans un pays.»

Voyager avec des médicaments d’ordonnance

Les médicaments prescrits par un médecin au Canada peuvent être considérés comme illégaux dans certains pays et éveiller les soupçons des douaniers. Pour éviter les pépins, il importe d’avoir en main une note du pharmacien et du médecin traitant qui détaille la liste des médicaments prescrits – sous leur nom générique et pas uniquement commercial -, leur dosage et les problèmes qu’ils traitent. Ces renseignements pourraient aussi être utiles en cas de perte ou de vol.

Selon le guide Bon Voyage, mais… du ministère des Affaires étrangères du Canada, les médicaments doivent être bien identifiés et gardés dans leur emballage d’origine. Si possible, il faut avoir en main un double de la prescription originale. Il est aussi préférable d’en apporter plus qu’il en faut, au cas où le séjour à l’étranger se prolongerait, prévient le guide.

Info: voyage.gc.ca

http://www.lapresse.ca

De plus en plus de baby-boomers à la rue


Les baby-boomers ont eu une belle époque a l’emploi avec ou sans diplôme. Mais les temps ont changé, les emplois sont de plus en plus incertains et ceux qui affichent 50 ans est plus ont plus de chance à se retrouver dans la rue
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De plus en plus de baby-boomers à la rue

 

L'étude qualitative réalisée par l'organisme PAS de la... (Photo: André Pichette, La Presse)

L’étude qualitative réalisée par l’organisme PAS de la rue à Montréal montre notamment du doigt le creux financier entre le moment de la perte d’emploi et l’âge d’admissibilité à la pension de vieillesse, à 65 ans (ou 67 avec la réforme du gouvernement Harper).

PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE

GABRIELLE DUCHAINE
La Presse

Inquiétude dans le milieu de l’itinérance: de plus en plus de personnes âgées se retrouvent à la rue parce qu’elles sont souvent seules ou ostracisées et que leur âge leur ferme pratiquement toutes les portes du marché du travail, révèle une étude obtenue par La Presse, qui sera publiée aujourd’hui.

«On remarque une surpopulation des personnes âgées dans la rue par rapport au reste de la société, explique Jean Gagné, de la TÉLUQ, expert des questions d’itinérance. Beaucoup arrivent dans la rue après l’âge de 50 ans parce qu’ils ont perdu leur logement ou leur travail, ou parce qu’ils ont des problèmes cognitifs, de démence ou d’alcoolisme. Ils n’ont pas été itinérants toute leur vie.»

L’étude qualitative réalisée par l’organisme PAS de la rue à Montréal, qui accueille des sans-abri et des gens très pauvres de plus de 55 ans, montre aussi du doigt le creux financier entre le moment de la perte d’emploi et l’âge d’admissibilité à la pension de vieillesse, à 65 ans (ou 67 avec la réforme du gouvernement Harper).

 «Déqualifiés du milieu de travail, sans économies ou sans assurances et seuls, les revenus d’aide sociale représentent pour les 55-64 ans la source de revenu ultime», lit-on dans le document. Ce n’est pas suffisant.

Selon la professeure Lucie Gélineau, experte des questions de pauvreté, une personne seule a besoin de 13 000$ par année pour vivre décemment. La somme moyenne reçue de l’aide sociale est d’environ 700$ par mois. Certains reçoivent aussi peu que 400$.

Une augmentation marquée

Des chiffres tirés d’une autre étude, menée actuellement sur le même enjeu par le chercheur Jean Gagné, révèlent que 38% des baby-boomers atteignent aujourd’hui la retraite dans un état de grande précarité, contre 10% en 2001-2002. Au PAS de la rue, la clientèle a bondi de 51% en deux ans. Plus de la moitié des gens qui fréquentent l’organisme ont de 55 à 65 ans.

Ces gens, surtout des hommes, choisissent parfois consciemment de passer la nuit dans les refuges, où ils ont accès à de la nourriture, des vêtements et des toilettes, selon l’étude. D’autres n’ont d’autre choix que de faire la tournée des soupes populaires.

Plus fragiles

«Comme ils sont plus fragiles et qu’ils ne sont pas des habitués de ce milieu, ils sont victimes d’abus dans les refuges. Ils sont plus faciles à victimiser, parce qu’ils ne connaissent pas la rue», explique Jean Gagné.

Si le phénomène est difficile à chiffrer, il s’aggrave, observent plusieurs intervenants du milieu, qui tiendront un point de presse ce matin pour lancer un appel à l’aide.

«La situation est inquiétante, et des changements politiques, sociaux et structurels devront se faire pour prévenir cette situation», martèle Sébastien Payeur, directeur de PAS de la rue.

Comme pistes de solution, l’étude de son organisme propose notamment d’assurer un meilleur revenu aux gens âgés, d’améliorer leurs conditions de travail et leur sécurité d’emploi, de favoriser l’accès au logement social pour les personnes de 55 ans sans problèmes lourds, mais présentant de très faibles revenus, et de mettre sur pied une ressource pivot destinée à ce groupe d’âge afin de les aider à s’en sortir.

http://www.lapresse.ca/

Test pour les daltoniens: Quel type de daltonien êtes-vous?


Quand vous allez passer un test de la vue, l’optométriste vous fait passer en autre le test des couleurs a savoir si vous êtes daltonien ou non et ci c’est le cas, quel type de daltonien vous êtes
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Test pour les daltoniens: Quel type de daltonien êtes-vous?

 

COLORBLIND ()

DALTONISME – En 1917, le Dr Shinobu Ishihara a inventé le test de perception des couleurs Ishihara, un moyen de savoir si vous êtes daltonien, mais aussi de découvrir quel type de daltonisme vous avez. Ces images forment des chiffres et des lignes, seulement visibles si vous pouvez différencier certaines couleurs. Ce test incroyablement précis et fort simple est encore utilisé aujourd’hui.

Vous ne nous croyez pas? Les images suivantes révèleront si vous avez une vision normale, une protanopie (daltonisme rouge), une protanomalie (daltonisme rouge léger), une deutéranopie (daltonisme vert), une deuteranomalie (daltonisme vert léger) ou si vous êtes un menteur pathologique! Faites-nous part de vos résultats dans les commentaires ci-dessous, si vous le désirez. Prêts?

1.)
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Si vous avez une vision normale vous voyez le nombre 42.

Les daltoniens «rouge» voient un 2.

Les daltoniens «vert» verront un 4.

2.)
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Si vous avez une vision normale des couleurs, vous voyez le nombre 73 ci-dessus.

Si vous êtes daltonien, vous ne verrez pas de nombre.

3.)
2013-09-05-ScreenShot20130904at1.53.01PM.png

Si vous avez une vision normale, vous voyez le nombre 74.

Si vous êtes un daltonien «rouge vert», vous voyez le nombre 21.

Si vous êtes totalement daltonien vous ne voyez rien.

4.)
2013-09-05-ScreenShot20130904at1.54.14PM1.png

Si vous avez une vision normale, vous voyez le nombre 26.

Si vous êtes un daltonien «rouge» vous verrez un 6, si vous avez un daltonisme rouge léger vous voyez un 2 pâle.

Si vous êtes daltonien «vert», vous verrez le chiffre 2 et si vous avezun daltonisme vert léger vous voyez un 6 pâle.

5.)
2013-09-05-12.png

Si vous avez une vision normale, vous voyez un 12

Si vous ne voyez pas le 12… vous êtes un menteur. Tout le monde peut voir celui-ci!

Les images sont une courtoisie de Ishihara Test for Colour Blindness.

Vous voulez un défi supplémentaire? Faites défiler les disques de couleurs ci-dessous et essayer de retracer la ligne ondulée qui circule entre eux. Si vous y arrivez, vous avez une vision normale. Sinon, nous vous aimons quand même!

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http://www.huffingtonpost.fr

Qui sont les «sadiques ordinaires» ?


On peut être sadique sans être un psychopathe mais malheureusement, les gens sadiques font autant de mal étant donné qu’ils aiment faire souffrir les gens
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Qui sont les «sadiques ordinaires» ?

 

© Danny Moloshok / Reuters/REUTERS

Loin d’être des serial killers ou des déviants sexuels, les sadiques apprécient plus que d’autres lorsqu’ils font souffrir quelqu’un.

Pascale Senk

Bien adaptés en société, certains individus se délectent plus que la moyenne des souffrances qu’ils infligent.

Oui, les sadiques sont bien parmi nous! Une étude menée par les Dr Delroy Paulhus et Erin Buckels, professeurs et chercheurs en psychologie à l’université de Colombie britannique (Canada), a permis d’établir que certains individus apparemment adaptés en société étaient animés de pulsions sadiques. Sans être des serial killers ou des déviants sexuels, ces individus se délectent davantage que d’autres lorsqu’ils font souffrir quelqu’un. On peut alors parler là d’un «sadisme ordinaire» du type de celui qui, par pur plaisir, pousse certains ados à harceler une victime sur Internet ou des employés de bureau à se moquer quotidiennement d’un collègue timide.

Lors d’une première expérience relatée dans la revue scientifique Psychological Science, Paulhus et Buckels ont soumis 71 étudiants à un questionnaire apparemment centré sur la thématique «Personnalité et tolérance aux emplois difficiles». Dans le panel des emplois proposés, 34 étudiants ont choisi le nettoyage des toilettes, 13 un job les exposant au froid…les 53 restant ont préféré se consacrer, de près ou de loin, à l’extermination d’insectes. Les chercheurs leur ont fourni un moulin à café barbare dans lequel les étudiants devaient jeter trois insectes pour les réduire en miettes. Afin «d’humaniser» davantage ces insectes, les chercheurs leur avaient donné des prénoms.

Durant l’expérience, certains étudiants suspendaient leur geste criminel après avoir tué un, voire deux insectes. Mais d’autres réclamaient encore plus de victimes, et un questionnaire a mesuré chez eux un plaisir particulièrement intense, leur jouissance augmentant même avec le nombre d’insectes qu’ils faisaient souffrir.

Pulsions sadiques et traits de personnalité

Dans une deuxième étude, le Dr Paulhus a cherché à établir des liens entre ces pulsions sadiques et trois «traits de personnalité néfastes» (narcissisme, psychopathie et machiavélisme) sur lesquels il travaille depuis 30 ans. Il a pour cela proposé à des volontaires de jouer à un jeu vidéo en permettant aux gagnants, après un long temps de diversion, de revenir faire exploser leur adversaire après le combat, ajoutant un bruit plus ou moins fort à cette élimination.

Parmi ceux qui présentaient un niveau élevé de traits de «personnalités néfastes», seuls les sadiques faisaient l’effort de revenir pour pulvériser leur adversaire. Ils étaient aussi les seuls à relever alors le niveau sonore. Selon les chercheurs, ces résultats montrent que des sadiques «ordinaires» ont une motivation interne pour faire souffrir des innocents, même si cela leur coûte temps et énergie.

Pour le psychanalyste Jean Charles Bouchoux, auteur du livre Les pervers narcissiques (éd. Eyrolles), ces études confirment l’intuition freudienne selon laquelle nous sommes tous animés de pulsions sadiques.

«À un certain stade de son évolution, tout enfant éprouve du plaisir à faire du mal, explique-t-il. Mais ces pulsions sont habituellement contrecarrées par l’idéal du moi et la culpabilité qui en résulte».

Certaines personnes continuent toutefois à exprimer cette pulsion sadique, que ce soit à un niveau sexuel, physique, ou mental.

«Chez les pervers narcissiques, cette pulsion sadique se double du goût du pouvoir», ajoute Jean-Charles Bouchoux.

Une précision confirmée par les chercheurs américains.

«Les psychopathes veulent profiter de leurs victimes et se fichent de leur faire du mal dans ce processus, a déclaré le Dr Paulhus sur le site du New York Times. En revanche, les sadiques recherchent des occasions de faire souffrir les autres, et prolongent celles-ci pour leur propre plaisir».

http://sante.lefigaro.fr

CONSOMMATEURS :Attention à certains magasins de meubles


Bon, ce genre de rendez-vous n’est pas trop mon genre, mais peut-être que certains seraient tenté croyant faire la bonne affaire …
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CONSOMMATEURS :Attention à certains magasins de meubles

Meubles demandés

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, VALÉRIE GONTHIER

Il est toujours préférable de comparer les différents prix offerts sur le marché avant d’acheter.

DENISE PROULX / AGENCE QMI

L’Office de la protection du consommateur (OPC) met en garde les consommateurs contre les pratiques de certains commerçants de meubles, qui utilisent des stratégies de vente élaborées afin d’amener les clients à acheter.

L’Office invite les consommateurs à réfléchir et à comparer les offres avant de faire un achat, car il n’est pas toujours possible de l’annuler.

Ces magasins de meubles de luxe sont ouverts seulement sur invitation. Des vendeurs téléphonent à des clients potentiels et les invitent à profiter en avant-première de rabais exceptionnels sur une nouvelle gamme de produits. Les consommateurs reçoivent ensuite un carton d’invitation. S’ils prennent un rendez-vous, ils obtiendront un cadeau et pourront profiter de gros rabais sur l’achat de meubles ou participer à un concours.

Les stratégies de vente utilisées par des vendeurs chevronnés et la mise en scène de l’événement, attrayante, sont conçues pour amener les consommateurs à céder à la pression.

Des prix gonflés

Le consommateur se fait offrir rabais sur rabais. Le commerçant utilise cette technique de négociation pour faire croire au consommateur qu’il lui propose un bien à un prix réduit ou avantageux plutôt que de lui exiger le «prix suggéré». Mais en fait de compte, l’acheteur paiera quand même un prix supérieur à celui qu’il aurait normalement accepté de payer pour des biens semblables.

L’Office conseille toutefois aux consommateurs de prendre le temps de réfléchir. Il est toujours préférable de comparer les différents prix offerts sur le marché avant d’acheter.

En général, la loi n’oblige pas les commerçants à rembourser ou à échanger un bien si le consommateur change d’idée. Ils sont libres de fixer les conditions qu’ils appliquent. Il est donc important de s’informer à l’avance des politiques d’échange ou de remboursement du commerçant.

Par ailleurs, certaines succursales de ces magasins de meubles ferment leurs portes peu après l’ouverture de l’établissement. La démarche de remboursement pourrait donc s’avérer plus complexe dans ce contexte.

Vente itinérante: délai de dix jours pour annuler

L’Office conseille également aux consommateurs de vérifier la nature des activités du commerçant avec qui ils font affaire. Certains de ces magasins de meubles font de la vente itinérante et sont titulaires d’un permis délivré par l’Office. Ce permis est obligatoire pour tout vendeur qui sollicite des clients, pour vendre ses produits ou ses services, ailleurs qu’à l’endroit où son commerce est établi.

Lorsqu’ils font un achat auprès d’un commerçant qui possède ce type de permis, les consommateurs peuvent annuler leur achat, sans frais ni pénalité, dans un délai de dix jours. Dans certains cas, notamment si le commerçant fait de la vente itinérante sans être titulaire du permis obligatoire, ce délai est porté à un an.

http://www.journaldequebec.com