Des milliers de mysté­rieux œufs de glace retrou­vés sur une plage en Finlande


Un phénomène rare en Finlande a eu lieu, de beaux oeufs de glaces sur une plage. Il faut des conditions météorologiques et géographiques spécifiques pour arriver à un tel résultat.
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Des milliers de mysté­rieux œufs de glace retrou­vés sur une plage en Finlande


Crédits : Risto Mattila

Le Finlan­dais Risto Mattila a pu photo­gra­phier des milliers d’œufs de glace sur la plage de Marja­niemi en Finlande. Ce phéno­mène raris­sime résulte de condi­tions météo­ro­lo­giques excep­tion­nelles, comme le révèle le Guar­dian.

Lors d’une banale prome­nade domi­ni­cale sur l’île de Hailuoto, et parti­cu­liè­re­ment sur la plage de Marja­niemi, Risto Mattila et sa compagne ont décou­vert une éten­due blanche compo­sée de milliers « d’œufs de glace ».

« Le plus gros des œufs avait approxi­ma­ti­ve­ment la taille d’un ballon de foot. La scène était incroyable. Je n’ai jamais vu ce phéno­mène aupa­ra­vant », a-t-il déclaré.

Ce phéno­mène est raris­sime, confirme Jouni Vainio, spécia­liste des glaces à l’Ins­ti­tut météo­ro­lo­gique finlan­dais. Pour lui, si de bonnes condi­tions météo­ro­lo­giques étaient réunies, le phéno­mène ne pouvait se produire qu’une fois par an au maxi­mum.

« Vous avez besoin de la bonne tempé­ra­ture de l’air (au-dessous de zéro, mais seule­ment un peu), de la bonne tempé­ra­ture de l’eau (près du point de congé­la­tion), d’une plage sablon­neuse, peu profonde, en pente douce et de vagues calmes, peut-être d’une légère houle », a-t-il commenté.

Jouni Vainio pour­suit sa descrip­tion des condi­tions néces­saires.

« Vous avez égale­ment besoin de quelque chose qui fait office de noyau. Le noyau commence à collec­ter la glace autour de lui et la houle le déplace le long de la plage, d’avant en arrière. Une petite surface gèle et devient de plus en plus grosse. »

Selon James Carter, profes­seur de géogra­phie-géolo­gie à l’ univer­sité d’Il­li­nois, le moment capturé par Risto Mattila est unique.

« Grâce au photo­graphe qui a partagé ses photos et ses obser­va­tions, le monde entier peut main­te­nant voir quelque chose que la plupart d’entre nous n’au­rait jamais pu voir. »


Source : The Guar­dian

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Un vaccin pour les abeilles face à «l’apocalypse des insectes»


On sait que l’agriculture intensive et les pesticides sont des causes de la diminution des pollinisateurs. En plus, les abeilles sont atteintes du syndrome de l’effondrement des colonies d’abeilles. Sur ce point, il semble qu’un vaccin soit possible., qu’on administre à la reine via le sucre et qu’elle transmet l’immunité a sa progéniture.
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Un vaccin pour les abeilles face à «l’apocalypse des insectes»

 

SAM KINGSLEY
Agence France-Presse
Helsinki

En Finlande, des scientifiques ont mis au point ce qu’ils croient être le premier vaccin au monde pour protéger les abeilles, avec l’espoir d’enrayer la chute des populations de cet insecte, qui pourrait provoquer une crise alimentaire mondiale.

Les abeilles contribuent en effet à la pollinisation de 90 % des principales cultures dans le monde.

Mais ces dernières années, ces précieux animaux ont été décimés par le « syndrome de l’effondrement des colonies d’abeilles », un mal mystérieux. On accuse aussi bien les acariens, les pesticides, les virus que les champignons, voire la combinaison de plusieurs de ces facteurs.

Selon l’ONU, plus de 40 % des pollinisateurs invertébrés, en particulier les abeilles et les papillons, sont menacés d’extinction.

Les scientifiques ont prévenu que ce déclin vertigineux pourrait entraîner une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénuries.

Percée médicale

Le vaccin, mis au point par une équipe de l’Université d’Helsinki, procure aux abeilles la résistance nécessaire pour combattre des maladies microbiennes graves, potentiellement mortelles pour les communautés pollinisatrices.

« Si nous pouvons sauver ne serait-ce qu’une petite partie de la population d’abeilles avec cette invention, je pense que nous avons fait notre bonne action et sauvé un peu le monde », a déclaré Dalial Freitak, chercheuse à la tête du projet.

« Même une augmentation de 2 à 3 % de la population d’abeilles serait énorme », a-t-elle déclaré à l’AFP. 

On croyait auparavant qu’il était impossible de vacciner les insectes, car ils n’ont pas d’anticorps, l’un des principaux mécanismes que les humains et les autres animaux utilisent pour combattre les maladies. 

Mais, en 2014, Mme Freitak, spécialiste des insectes et de l’immunologie, a remarqué que les papillons nourris de certaines bactéries passaient leur immunité à leur portée.

« Ils pouvaient transmettre quelque chose d’avalé. Je ne savais tout simplement pas quel était le mécanisme », dit-elle. « J’ai rencontré Heli Salmela, qui travaillait sur les abeilles mellifères et une protéine appelée vitellogénine. Je l’ai entendue parler et je me suis dit : OK, je pourrais parier que c’est ta protéine qui transmet mon signal d’une génération à l’autre ».

Le duo a créé un vaccin contre la loque américaine, la plus répandue et la plus destructrice des maladies bactériennes de l’abeille.

Le traitement est administré à la reine des abeilles par l’intermédiaire d’un morceau de sucre, manière selon laquelle de nombreux enfants reçoivent le vaccin contre la polio. 

La reine transmet ensuite l’immunité à sa progéniture.

En plus de travailler sur des vaccins contre d’autres maladies, l’équipe cherche à lever des fonds pour rendre le vaccin disponible sur le marché, avec un retour « très positif » jusqu’à présent, selon Mme Freitak.

Mais « il existe de nombreux obstacles réglementaires. Quatre à cinq ans pour atteindre le marché est une estimation optimiste », dit-elle.

Croissance des cultures affectée

Les scientifiques estiment que les maladies ne sont qu’une des nombreuses raisons de la perte des pollinisateurs. Les pesticides et l’agriculture intensive, qui réduit la diversité de l’alimentation des insectes, en font aussi partie.

Mais l’équipe de Mme Freitak croit que la protection des populations d’abeilles contre les maladies les rendra plus fortes, et partant mieux équipées pour résister aux autres menaces.

L’Union européenne et le Canada ont voté en faveur de l’interdiction des néonicotinoïdes, dont des études ont montré que la nuisibilité pour la reproduction des abeilles.

Selon une étude de l’ONU publiée en 2016, l’équivalent de 507 milliards d’euros d’aliments cultivés chaque année dépendent directement des pollinisateurs. Le volume d’aliments produits qui dépendent des pollinisateurs a augmenté de 300 % au cours des cinquante dernières années. 

Avec la diminution du nombre de pollinisateurs, certains agriculteurs se sont tournés vers la location d’abeilles ou la pollinisation à la main – comme dans le cas des arbres fruitiers dans certaines régions de Chine.

À Helsinki, le projet s’est appuyé sur un financement extérieur, mais l’équipe a maintenant accepté de poursuivre ses recherches à l’Université de Graz en Autriche, celle du célèbre zoologue Karl von Frisch. Ses découvertes sur la danse des abeilles lui avaient valu le prix Nobel de médecine en 1973.

https://www.lapresse.ca/

Le Saviez-Vous ► L’Australie n’existe pas (et autres conspirations géographiques faciles)


Je n’arrive pas à croire que des gens sont si ignorant et vont être adepte à ce qu’on appelle la conspiration géographique. Est-ce une blague ? Qu’est-ce qui est pire, qu’on croit que la Terre est plate ou que l’Australie n’existe pas ?
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L’Australie n’existe pas (et autres conspirations géographiques faciles)

 

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Ce qu’ils appellent des «kangourous» | Mark Ralston / AFP

Repéré sur The Guardian

Repéré par Léa Polverini

On nous ment.

Les kangourous? Avec leur poche ventrale, leur allure de vélociraptor mignon et leurs grandes oreilles? Qui a sérieusement pu croire à leur existence? Et que leur pays soit, comme de par hasard, le seul au monde où l’on puisse retrouver des «bilbys» (ou «rats à long nez»), des «wombats» («à nez poilu») et des «kookaburras» (à gros bec) qui se bidonnent comme des tordus tout à la fois? Vous plaisantez? Australie pays de légende: l’Australie, ça n’existe pas.

Une invention des Britanniques

La théorie a émergé, une fois n’est pas coutume, sur Reddit, début 2017. Depuis, elle fait des retours épisodiques sur la toile, mettant en scène des affrontements entre conspirationnistes farouches qui défendent l’idée que le pays des koalas (et, au passage, d’une bagatelle de 24,13 millions d’habitants) est en vérité une invention de l’Angleterre lui ayant permis de tuer des centaines de milliers de prisonniers plutôt que de les envoyer dans «un pays à l’autre bout du globe», et Australiens fâchés d’être mis en doute dans leur existence même.

Aussi exceptionnelle que puisse sembler l’Australie (on y trouve aussi des ornithorynques), elle n’est pourtant pas la seule victime d’élucubrations géographico-complotistes éructées à tour de bras par de fins limiers autoproclamés.

La Finlande par exemple, fut en son temps –2015, Reddit encore– un terreau fertile pour théories saugrenues. Ce pays entre la Suède et la Russie? Rien de plus qu’une fiction conçue pour couvrir une colonie de pêche japonaise permettant l’exportation de sushis vers le Japon via le transsibérien, ce dernier ayant été construit spécialement pour cette route du poisson (la ligne a été ouverte en 1916, soit un an avant l’indépendance de la supposée Finlande: coïncidence?), et les sushis étant déguisés en cargaisons de «produits Nokia» (la plus grosse compagnie finlandaise, dont le Japon est aussi le plus gros importateur: coïncidence?).

Et puis, après tout, «aucun pays réel ne pourrait accorder autant d’importance prioritaire à l’éducation, aux soins de santé, à l’égalité des sexes, au taux d’alphabétisation, à la stabilité nationale, et être le gouvernement le moins corrompu au monde, avec une liberté de la presse. C’est un concept conçu pour que les pays et les gens y aspirent».

De la blague locale au mème intergalactique

Même chanson pour le Molise, cette charmante région de l’Italie du sud, ou encore l’Acre, dans la région Nord du Brésil, dont les blagues des locaux ont peu à peu donné naissance aux rumeurs les plus inspirées.

Le comique de répétition ne vieillit pas, puisque, comme le rappelle le Guardian, déjà en 1993, des utilisateurs allemands d’Usenet, un réseau de forums, faisaient tourner un canular qui a gagné ses lettres de noblesse sous l’appellation du «complot de Bielefeld». La ville industrielle de Rhénanie-du-Nord-Westphalie était supposée être une pure construction concertée de la CIA, du Mossad et, éventuellement, d’extraterrestres dirigés par un certain Ashtar Sheran aux longs cheveux blonds. Censé tourner en dérision la théorie du complot, le hoax est devenu national voire international, et a tranquillement traversé les décennies, jusqu’à Angela Merkel qui y faisait encore un clin d’œil en 2012.

«La beauté des memes est qu’ils sont malléables et que chacun peut avoir sa propre interprétation des choses et s’impliquer dans la blague, racontait l’écrivaine Mollie Goodfellow au Guardian. Je pense que cela dit que nous aimons tous faire partie de la blague, surtout en ligne, où souvent peuvent se former différentes cliques et sous-groupes.»

À l’ère des fake news, il s’agit toutefois d’être rigoureux: quoi qu’en disent les mauvaises langues, la promenade du Corso qui mène chaque soir les Termolesi jusqu’au castello svevo di Termoli (l’un de ces monuments dudit Molise) suffirait à elle seule à prouver l’existence de l’Italie tout entière, quand une petite brise rafraîchit la côte aux dernières heures d’une fin de journée encore à demi ensoleillée.

Quant à l’Australie…​

http://www.slate.fr/

Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique


Bien que je trouve que Donald Trump ne vaut pas une statue, l’idée de faire son effigie sur un iceberg en Arctique est une idée qui me plait. Ceci est pour montrer au monde surtout aux climatosceptiques, que les changements climatiques sont une réalité vraiment inquiétantes.
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Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique

 

portrait trump iceberg

Le portrait de Donald Trump pourrait être gravé sur un iceberg.

PROJECT TRUMP MORE

Par Joël Ignasse

Une ONG finlandaise veut tailler un iceberg à l’effigie du président des Etats-Unis pour alerter contre le réchauffement du climat.

En juin 2017, Donald Trump, récemment investi, annonçait que les États-Unis se retiraient de l’Accord de Paris, conclu fin 2015 par plus de 190 pays sous l’égide de l’ONU. Le président Américain n’avait jamais caché son climatoscepticisme et avait annoncé durant sa campagne sa volonté de négocier « un nouveau traité, plus favorable au peuple américain ». Un an plus tard, le processus de Paris suit son cours sans les États-Unis et les oppositions contre la politique environnementale américaine se multiplie aussi bien

Trump va-t-il fondre ?

C’est dans ce contexte de réprobation qu’une ONG finlandaise, Melting Ice, vient de lancer un projet un peu fou mais qui, s’il se concrétise, sera vraiment spectaculaire et sans doute quelque peu effrayant. L’association veut en effet sculpter un immense portrait de Donald Trump sur un iceberg. L’œuvre mesurera près de 35 mètres de hauteur et 20 mètres de large. Un double glacé et glaçant du Mont Rushmore dans le Dakota du Sud où sont gravés les bustes de quatre anciens présidents des États-Unis. L’ambition de l’ONG étant de montrer au monde la réalité du changement climatique en observant l’effigie fondre au fil des mois dans une région, l’Arctique, qui n’est pas épargnée par le réchauffement mondial.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Un vaporisateur nasal testé contre la dépendance aux jeux de hasard


Un vaporisateur nasal qui pourrait aider ceux qui sont dépendant des jeux de hasard. Si les études sont concluantes, je suis certaines que des casinos vont voir ce nouveau moyen de mauvais augure
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Un vaporisateur nasal testé contre la dépendance aux jeux de hasard

 

 

Sur cette photo, le casino de Montréal.... (MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE)

Sur cette photo, le casino de Montréal.

MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

 

Agence France-Presse

Un pschitt dans les narines et l’envie de jouer disparaît: des chercheurs finlandais ont annoncé lundi lancer une étude unique en son genre pour mesurer l’efficacité d’un vaporisateur nasal contre la dépendance aux jeux de hasard.

Le vaporisateur contient du naloxone, un traitement d’urgence des overdoses aux opiacés qui permet d’agir sur la production de dopamine, un neurotransmetteur lié au plaisir, au rôle central dans les dépendances.

« Jouer répond à un comportement très impulsif (…). Le besoin de jouer est immédiat, c’est pour cette raison que nous cherchons un médicament à effet rapide (…). Le vaporisateur nasal agit en quelques minutes », a expliqué à l’AFP Hannu Alho, professeur de toxicologie à l’Institut national de la santé et du bien-être de Helsinki.

Chaque volontaire – M. Ahlo compte en rassembler 130 – pourra utiliser son vaporisateur pendant trois mois. La moitié d’entre eux recevra un vaporisateur placebo.

Selon le chercheur, l’étude est la première en son genre. Des scientifiques avaient auparavant essayé d’utiliser une substance similaire au naloxone, en gélules, mais le traitement n’était pas efficace, au moins une heure s’écoulant avant que le médicament ne fasse effet.

Les résultats de l’étude devraient être connus dans un an et demi.

http://www.lapresse.ca/

Le premier pain aux insectes commercialisé en Finlande


C’est peut-être psychologiquement difficile d’imaginer de manger des insectes, même s’ils sont moulus en farine. Cependant, cela serait une solution pour s’alimenter surtout que ce pain doit contenir beaucoup de protéine. De toute manière, si des gens mangent des escargot, des huîtres (crues) des cuisses de grenouilles, alors pourquoi pas des insectes ?
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Le premier pain aux insectes commercialisé en Finlande

 

Le premier pain aux insectes commercialisé en Finlande

Le premier pain aux insectes commercialisé en Finlande ©AFP/Archives / SAEED KHAN

Le groupe agroalimentaire finlandais Fazer a annoncé jeudi la commercialisation d’un pain aux insectes, une première mondiale selon l’enseigne.

« Les premiers pains à base de grillons seront disponibles dans onze boulangeries Fazer le vendredi 24 novembre », a annoncé le groupe dans un communiqué.

Les ventes se feront d’abord essentiellement dans les grandes villes du pays, autour de la capitale Helsinki, en raison d’un manque de farine de grillons qui ne permet pas de fournir l’ensemble des magasins.

« L’objectif est que le pain aux grillons soit disponible dans les 47 boulangeries des magasins Fazer en Finlande » l’année prochaine, a indiqué le groupe.

Un pain, fabriqué à partir de farine de blé et de graines, contiendra l’équivalent de 70 grillons, et représentera 3 % du poids total du produit.

Le 1er novembre, la Finlande est devenue le cinquième pays européen à lever l’interdiction de vendre des insectes destinés à l’alimentation humaine.

L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, la FAO, a lancé en 2013 un programme pour encourager l’élevage et la consommation d’insectes, jugeant que cette nourriture bon marché et écologique pourrait être l’une des clés pour nourrir les neuf milliards d’humains attendus pour 2030.

Plusieurs enseignes — en Belgique, aux Pays-Bas, au Danemark et en Autriche — se sont depuis lancées dans la commercialisation des produits à base d’insectes destinés à l’alimentation des hommes.

Quelque 2,5 milliards de personnes mangent déjà régulièrement des insectes, principalement en Asie, selon la FAO.

http://www.lepoint.fr/i

Le Saviez-Vous ► Arctique, Antarctique : quelles sont les différences ?


Antarctique, Arctique les différences sont notables. Par l’emplacement évidemment ainsi que la température, l’environnement, la population humaine et animale. Avec les changements climatiques cependant risque d’avoir beaucoup de changements dans ces lieux reculés
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Arctique, Antarctique : quelles sont les différences ?

 

Nathalie Mayer
Journaliste

Arctique, antarctique. Pôle nord, pôle sud. Mais au-delà de cette localisation géographique, existe-t-il de réelles différences entre les deux ?

Entre l’Arctique et l’Antarctique, on peut parfois s’y perdre. Ces deux endroits de la planète situés aux antipodes l’un de l’autre présentent de nombreuses différences.

Le terme arctique vient du grec arktos qui signifie ours. Dans l’antiquité, les navigateurs prenaient la direction de la Grande Ourse et de la Petite Ourse pour s’y rendre. Celles-ci brillent en effet toujours au-dessus de l’horizon nord.

Arctique et Antarctique : des différences géologiques

Il faut avant tout noter que l’Antarctique constitue un continent à part entière. Situé du côté du pôle sud de notre planète, il est recouvert de glace à quelque 98 %. Les limites de l’Arctique, quant à elles, sont plus floues. Le territoire entoure le pôle nord et s’étend sur plusieurs continents puisqu’il intègre six pays bordant l’océan Arctique : le Canada, les États-Unis, le Groenland (Danemark), la Russie, la Norvège et l’Islande. On y ajoute parfois aussi une partie de la Suède et de la Finlande. Et l’Arctique est essentiellement composé d’un océan gelé que l’on nomme banquise.

En Antarctique, on trouve essentiellement des paysages montagneux et quelques volcans surplombant l’océan. L’Arctique est plus plat, même s’il présente aussi quelques paysages alpins.

 

Le manchot empereur est l’un des symboles de l’Antarctique. © MemoryCatcher, Pixabay, CC0 Public Domain

Le manchot empereur est l’un des symboles de l’Antarctique. © MemoryCatcher, Pixabay, CC0 Public Domain

Des populations différentes

Très peu d’espèces animales peuplent l’Antarctique et toujours en colonies, comme les célèbres manchots empereurs. Idem concernant les humains. Vous n’y trouverez guère que quelques scientifiques installés là le temps de leurs recherches.

En Arctique en revanche vivent de nombreuses espèces animales : le renard, le renne, le morse, le phoque et bien sûr, le fameux ours polaire ! Des peuples indigènes (les Inuits, les Lapons, etc.) se sont également adaptés aux conditions climatiques difficiles qui y règnent.

Température : lequel est le plus froid ?

C’est en Antarctique qu’ont été relevées les températures les plus froides jamais enregistrées sur Terre. Le résultat d’une combinaison de facteurs : l’altitude, le faible ensoleillement, l’isolement par un courant océanique et le pouvoir réfléchissant de la glace qui recouvre le continent. Si sur les côtes, la température moyenne est de -10 °C, à l’intérieur des terres, elle atteint -20 °C à 1.000 m d’altitude et -55 °C à Vostok qui se trouve à 3.500 m d’altitude.

En Arctique, même si parfois le thermomètre descend bien bas — jusqu’à -70 °C enregistrés à North Ice —, la moyenne annuelle se situe autour des -10 °C. Notamment parce que les amplitudes annuelles — différences de températures entre l’été et l’hiver — peuvent être importantes. Et depuis quelques années, les températures moyennes enregistrées ne cessent de grimper. Ainsi en novembre 2016, elles plafonnaient à 15 à 20 °C au-dessus des normales saisonnières : -5 °C au lieu de -25 °C !

COP21 : La banquise Arctique disparait à une vitesse inquiétante La Nasa étudie depuis la fin des années 1970 la calotte polaire arctique. À l’aide d’images satellites et de graphiques, des chercheurs ont pu reconstituer l’évolution de la glace au cours des années. Il semblerait qu’elle fonde à vive allure… La banquise pourrait même disparaître en été à partir de 2016.

http://www.futura-sciences.com/

Le vol "le plus maudit de l’Histoire"


Pour moi les chiffre 13 et 666 n’ont aucun pouvoir, mais malheureusement des gens en ont très peur. Alors imaginé un avion portant le numéro 666, partir un vendredi 13 et arriver a destination à 13 heures. Pourtant, il n’est rien arrivé .. et pourquoi aurait-il arrivé quelque chose de grave ?
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Le vol « le plus maudit de l’Histoire »

Finnair a décidé qu’il s’agissait du dernier vol 666 de son histoire. © reuters.

Christophe Da Silva

Vendredi, le 13, des passagers ont décollé à 13h, à bord du vol 666 (le chiffre du diable) de la compagnie ­Finnair. Un trajet qui devait les acheminer à l’aéroport d’Helsinki (Finlande), dont l’acronyme est HEL, soit un terme très proche du mot « enfer » en anglais (« hell »). Pour Time, ce vol est considéré comme « le plus maudit de l’Histoire ».

Ces passagers ont dû trembler pendant leur voyage. Vendredi, le 13, ils ont embarqué depuis Copenhague à 13h, à bord du vol 666 (le chiffre du diable) de la compagnie ­Finnair. Ils devaient rejoindre l’aéroport d’Helsinki (Finlande), dont l’acronyme est HEL, soit un terme très proche du mot « enfer » en anglais (« hell »).

« Une série de coïncidences »

Finalement, l’appareil s’est posé en Finlande sans le moindre souci une heure et demie après le décollage. Le pilote, Juha-Pekka ­Keidasto, est parvenu à conserver son sang-froid, persuadé « qu’il s’agissait d’une série de coïncidences et qu’il n’était pas superstitieux ».

Le dernier vol 666

Ce n’est manifestement pas le cas de la compagnie Finnair. Elle a décidé qu’il s’agissait du dernier vol 666 de son histoire. Elle va profiter d’un changement de système informatique à la fin du mois pour retirer ce numéro. Donner des sueurs froides à ses passagers, c’est terminé.

http://www.7sur7.be

Une épée viking millénaire découverte en Finlande


Au milieu de septembre, on annonçait qu’une épée Viking a été retrouvée en Norvège et cette fois-ci, c’est en Finlande qu’une autre épée Viking à été trouver par un archéologue amateur
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Une épée viking millénaire découverte en Finlande

 

Par: rédaction
27/09/17 – 20h37  Source: Belga

 Un archéologue amateur a découvert en Finlande, dans un très bon état de conservation, une épée millénaire remontant à l’ère viking, a annoncé le bureau national des antiquités, qui prévoit de l’exposer.

La découverte a été faite au printemps dans une tombe explorée par un homme qui utilisait un détecteur de métaux sur son terrain, a indiqué mardi l’organisation sans donner d’information sur la taille de l’arme qui remonte à la fin de l’âge viking, autour de l’an 1000.

« La tombe était exceptionnellement intacte », a-t-elle précisé.

Découverte

L’archéologue amateur Tuomas Pietilä a vu la lame de l’épée affleurer le sol, a rapporté la télévision publique Yle. Un couteau, une broche circulaire et un peigne fait en os animal vont également été retrouvés avec l’arme, qui doit être exposée au Musée national d’Helsinki en 2018.

Précédent

Rare, ce genre de découverte n’est toutefois pas sans précédent. En Norvège début septembre, une épée viking remontant à environ 850-950 a été retrouvée dans la région montagneuse d’Oppland, à environ 270 kilomètres au nord d’Oslo.

Surprise

Et les Vikings ne cessent de surprendre. Une récente étude publiée dans la revue scientifique American Journal of Physical Anthropology a jeté une nouvelle lumière sur les sociétés vikings en révélant, test génétique à l’appui, qu’un célèbre guerrier était en fait une femme.

Mythologie

« Déjà au début du Moyen-Âge, on trouvait des récits sur des femmes vikings cruelles qui se battaient au côté des hommes », a relevé la revue. « Pourtant, sans relâche dans l’art et la poésie, les femmes guerrières ont généralement été classées comme des phénomènes mythologiques », souligne-t-elle.

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