Le Saviez-Vous ► En 1945, un sous-marin allemand piégé par ses (trop) ingénieuses toilettes


Un équipage d’un sous-marin allemand lors de la Deuxième Guerre Mondiale fut tué ou capturé à cause d’un manque de formation sur une nouvelle technologie pour les toilettes.
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En 1945, un sous-marin allemand piégé par ses (trop) ingénieuses toilettes

 

Type VIIC/41 U-995. Laboe Naval Memorial via Wikipedia

Type VIIC/41 U-995. Laboe Naval Memorial via Wikipedia

Repéré par Jean-Laurent Cassely

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un U-Boot a failli couler à cause d’une mauvaise manipulation de la chasse d’eau par le capitaine… Résultat, l’équipage fut tué ou capturé.

Le site War is Boring raconte l’histoire peu connue d’un sous-marin allemand de la Seconde Guerre mondiale de type VIIC, le U-1206, piégé par son système de chasse d’eau pourtant à la pointe du progrès de l’époque. Les Alliés avaient fait le choix d’installer une fosse septique dans leurs sous-marins, et stockaient donc les eaux usées pendant toute la durée de la mission. Les Allemands avaient pris de l’avance technologique en équipant leurs U-Boots d’un système de délestage des déchets organiques directement dans la mer, et naviguaient donc plus légers.

Sur les premiers sous-marins, le système ne fonctionnait que lorsque le navire plongeait peu profondément, à un niveau où la pression sous-marine restait faible. Quand les vaisseaux plongeaient plus bas, l’équipage n’avait d’autre choix que de se retenir… Puis les ingénieurs allemands ont mis au point des toilettes dernier cri qui permettaient de tirer la chasse même sous haute pression. Les déchets étaient acheminés vers une série de sas sous pression, puis renvoyés dans les mers comme «une sorte de torpille de caca», selon l’expression imagée du site spécialisé.

L’ingénieux système était tellement complexe qu’un opérateur était formé sur chaque sous-marin pour s’assurer de l’ordre exact dans lequel les valves devaient être ouvertes et fermées pour que les eaux partent dans la bonne direction.

Il actionne la mauvaise pompe

Lors d’une mission en avril 1945 en Mer du Nord, le jeune capitaine du U-1206, Karl-Adolf Schlitt, décide d’aller satisfaire ses besoins, mais il n’a pas été formé au maniement du système de chasse.

Il appelle un ingénieur à l’aide, et celui-ci actionne la mauvaise pompe, «déversant accidentellement un torrent d’eaux usées et d’eau de mer dans le sous-marin» touchant les moteurs électriques, provoquant alors une réaction chimique dégageant du dioxyde de chlore.

L’équipage doit faire surface, malheureusement pour lui à quelques miles des côtes écossaises, et est rapidement attaqué par l’aviation britannique qui tue plusieurs hommes. Le capitaine ordonne l’abandon du navire, et les membres de l’équipage furent capturés. Le capitaine est mort en 2009

http://www.slate.fr/

Les oiseaux aussi connaissent le véritable amour


Les oiseaux ont des préférences. En fait, les oiseaux sont comme nous. Pour fonder un foyer, ils cherchent un partenaire idéal. Si le choix est forcé cela affectera leur descendance.
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Les oiseaux aussi connaissent le véritable amour

 

(Heureux?) couple de Diamants mandarins. | NeilsPhotography via Flickr CC License by

(Heureux?) couple de Diamants mandarins. | NeilsPhotography via Flickr CC License by

Repéré par Leïla Marchand

Et s’ils sont forcés de vivre avec un autre partenaire, il feront moins d’œufs et leurs petits seront plus susceptibles de mourir prématurément.

Les humains sont extrêmement difficiles à satisfaire lorsqu’il s’agit de choisir un partenaire, de s’installer et d’avoir des enfants. Il s’agit d’un long processus semé d’épreuves, de ratés et de moments de doute avant d’espérer pouvoir tomber amoureux et «vivre heureux pour toujours».

A priori, cela semble une incroyable perte de temps et un mauvais calcul si l’on s’en tient à la dure théorie de l’évolution. Dans le règne animal, les femelles ont tendance à tout simplement choisir le mâle qui leur semble le plus fort et en bonne santé. Cela leur garantit de transmettre les meilleurs gènes à leur progéniture.

Alors pourquoi l’être humain s’entête-t-il à choisir son partenaire selon ses propres critères? Une étude sur les oiseaux apporte un début de réponse. Publiée le 14 septembre sur le journal PLOS Biology par Malika Ihle, Bart Kempenaers et Wolfgang Forstmeier de l’institut d’ornithologie Max Planck en Allemagne, celle-ci s’attarde sur l’observation d’une population de diamants mandarins.

Speed-dating entre oiseaux

Comme nous, ces petits oiseaux gris à bec rouges «tombent amoureux». Aucune femelle ne s’entend sur quel mâle est le plus mignon et chacun préfère choisir un partenaire avec des comportements ou des intérêts similaires au sien. Et, comme nous (ou la plupart d’entre nous), ils entretiennent des relations monogames longue durée qui impliquent d’élever ensemble des enfants.

Les chercheurs ont organisé une session de speed-dating entre oiseaux. Vingt mâles et vingt femelles ont été laissés ensemble, pouvaient librement faire leur choix de partenaire. Une fois les oiseaux en couple, la moitié a été autorisée à vivre tranquillement son bonheur conjugal. Les autres ont été séparés et forcés à s’installer avec un autre partenaire au coeur brisé.

L’amour assure la survie de l’espèce

Résultat: la reproduction des couples «choisis» était 37% plus élevée que celle des couples non choisis. Les couples frustrés avaient moins de relations sexuelles, trois fois plus d’œufs non fécondés, un plus grand nombre d’œufs perdus ou enterrés et nettement plus de poussins morts après éclosion. Ils étaient moins bien coordonnés pour élever leurs petits et les mâles avaient davantage tendance à aller courtiser d’autres femelles.

«Ces résultats rejettent l’hypothèse du choix d’un partenaire pour la compatibilité génétique et supportent seulement l’hypothèse de la compatibilité comportementale», conclut le Dr. Ihle.

Bref, un mariage heureux assure la descendance de l’espèce et crée un lien assez fort entre deux êtres pour les pousser à prendre soin de leurs enfants. Il est donc tout naturel d’être extrêmement difficile à satisfaire.

http://www.slate.fr/

5 faits inusités entourant la grossesse et les bébés


Les grossesses sont différentes d’une fois à l’autre, certains auront une dépression post-partum, d’autres croient que manger le placenta est bénéfique, et autre faits que la science s’est penché pour avoir des réponses
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5 faits inusités entourant la grossesse et les bébés

 

 

 

Par Corinne Fréchette-Lessard

 

Les femmes prennent-elles trop de poids pendant la grossesse? Quels sont les facteurs de risque associés à une dépression post-partum? Et est-ce vraiment une bonne idée de manger son placenta après avoir accouché? Le point sur les dernières études.

Baby blues

La dépression pendant et après la grossesse est bien connue, mais ses facteurs de risque le sont moins. Pour corriger cette situation, des équipes de l’Université McGill et de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal ont évalué le niveau d’anxiété et de dépression de 360 femmes durant le premier trimestre de leur grossesse et trois mois après l’accouchement. Près du tiers présentaient des symptômes dépressifs pendant la grossesse et différents facteurs de risque sont ressortis : origine autre que caucasienne, niveau d’anxiété élevé, antécédents de problèmes émotionnels ou d’abus sexuels, événement stressant vécu au cours des six derniers mois. Dans le cas de la dépression post-partum, qui touchait environ 15 % des participantes, c’étaient notamment le manque de soutien social et un accouchement difficile qui rendaient les mamans plus vulnérables.


  Source : Institut universitaire en santé mentale de Montréal

Culpabilité : y en a marre !

Faire une fausse couche, c’est dur. Comme si la peine ne suffisait pas, près de la moitié des femmes qui passent par là se sentent coupables, et une sur cinq souffre d’isolement, selon un sondage mené aux États-Unis. Ces sentiments sont exacerbés par une mauvaise compréhension de ce phénomène pourtant fréquent, disent les chercheurs. En effet, les répondants croyaient à tort que le stress (76 %), un avortement passé (31 %) et une grossesse non désirée (23 %) pouvaient entraîner une fausse couche. À noter qu’une grossesse sur cinq ou six prend fin de cette façon, souvent pour des raisons génétiques.

 


     Source : Obstetrics & Gynecology

Saisons et santé

L’astrologie a beau ne pas être une science, le mois de notre naissance a tout de même un impact sur notre santé, selon des travaux du très sérieux Columbia University Medical Center. Les chercheurs ont étudié les dossiers de près de deux millions de patients traités à cet hôpital universitaire pendant 14 ans. Ils ont ainsi découvert que les gens nés pendant l’hiver et le printemps sont plus à risque de souffrir de certains troubles cardiaques que ceux venus au monde en automne – l’angine de poitrine pour les bébés d’avril et l’insuffisance cardiaque pour les poupons de mars, par exemple. Un déficit de vitamine D pendant les premiers mois de vie pourrait notamment être en cause. Le meilleur moment de voir le jour pour connaître une vie saine ? Le mois de mai !


Source : Journal of the American Medical Informatics Association

Encore un peu de placenta ?

Grâce à des vedettes américaines comme January Jones – l’interprète de Betty Draper dans la série-culte Mad Men – et Kourtney Kardashian – femme d’affaires, réalisatrice et actrice de téléréalités –, manger son placenta après l’accouchement est devenu à la mode dans certains cercles. Les adeptes y voient une manière de prévenir la dépression postnatale et de stimuler la production de lait maternel, entre autres. Or, après avoir passé en revue 10 études scientifiques consacrées à la question (dont une datant des années 1950 !), des chercheurs de l’Université Northwestern, aux États-Unis, concluent que rien ne prouve l’existence de ces bienfaits. Pire, les risques encourus n’ont jamais été évalués.


     Source : Northwestern University

50%

La moitié des Américaines prennent trop de poids pendant leur grossesse. Une situation inquiétante, selon les experts. Accoucher d’un gros bébé peut entraîner des complications et mener à une césarienne. À plus long terme, les adultes nés en surpoids sont davantage exposés au risque de diabète ou d’hypertension artérielle. 


     Source : American Journal of Obstetrics and Gynecology

http://fr.chatelaine.com/

Guide alimentaire: éloge du modèle brésilien


Un nouveau guide alimentaire à l’horizon ? Non, mais des idées de grand ménage semble surgir des nutritionnistes qui veulent ce guide à l’image de celui du Brésil. Un guide alimentaire que l’industrie alimentaire n’aura pas le dernier mot ou peut-être  il n’aura pas du tout le droit de parole
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Guide alimentaire: éloge du modèle brésilien

 

«Si les gens cuisinaient et prenaient le temps... (PHOTO THINKSTOCK)

STÉPHANIE BÉRUBÉ
La Presse

«Si les gens cuisinaient et prenaient le temps de bien manger, on réglerait bien des problèmes. Les gens qui cuisinent à la maison n’ont pas besoin de calculer les nutriments de leur alimentation», dit le nutritionniste Bernard Lavallée.

PHOTO THINKSTOCK

Les Américains ont droit à un guide alimentaire révisé tous les cinq ans. Au Canada, la plus récente version du guide date de 2007. Elle avait alors été lancée en grande pompe, après 8 années de consultations, réflexions et révisions, 15 ans après sa précédente version de 1992. Si Santé Canada lançait le processus demain dans des conditions semblables, le Canada pourrait s’attendre à avoir un nouveau guide à l’automne 2023.

Entre-temps, plusieurs pays travaillent à la révision de leurs outils de référence en alimentation. Le Brésil a lancé cette année un nouveau guide, dont la rédaction a pris deux ans, période de consultations publiques comprise. Le résultat n’est pas passé inaperçu.

Que dit donc cet ouvrage révolutionnaire?

Cuisinez plus, donc consommez moins d’aliments transformés, ce qui, inévitablement, réduit l’apport en sel, en sucre, probablement en gras, et mangez des repas avec votre famille ou vos amis. Surtout pas devant la télévision.

En 2015, fallait-il revenir à ces conseils de base, voire simplistes?

«C’est exactement ce dont les consommateurs ont besoin», lance le nutritionniste Bernard Lavallée, qui croit que Santé Canada devrait s’inspirer de l’exemple brésilien. «Le Brésil a cassé le moule dans lequel tous les autres pays se trouvent encore», dit-il.

Le Guide alimentaire canadien a été conçu dans un monde où les gens avaient des carences en nutriments, explique le nutritionniste. On leur conseillait alors de manger plus de ceci ou de cela: des légumes pour avoir toutes les vitamines, du lait pour le calcium, de la viande pour les protéines, des produits céréaliers pour les fibres. Malgré quelques mises au point, les principes de base du Guide sont demeurés les mêmes, version après version.

La situation des Canadiens, elle, a grandement changé.

«Aujourd’hui, la priorité n’est plus de pallier des carences, explique Bernard Lavallée, mais de freiner des excès. Si les gens cuisinaient et prenaient le temps de bien manger, on réglerait bien des problèmes. Les gens qui cuisinent à la maison n’ont pas besoin de calculer les nutriments de leur alimentation.»

Tous à la cuisine!

C’est précisément avec cette idée en tête que les chercheurs brésiliens ont travaillé sur leur dernier guide. Le Québécois Jean-Claude Moubarac, qui était alors au postdoctorat à l’Université de São Paulo, a participé au renouvellement du guide.

«On regarde souvent ce qu’il y a dans les aliments et on oublie de s’intéresser au contexte de l’aliment, dit-il. Or, en 2015, ce n’est plus possible de procéder ainsi. Nous avons donc opté pour une approche plus holistique de l’alimentation.»

Point de départ de cette nouvelle approche, un constat: la population qui consomme moins d’aliments «ultratransformés» a un meilleur profil nutritionnel, explique Jean-Claude Moubarac, désormais chercheur en nutrition publique au département de nutrition de l’Université de Montréal.

Le Brésil est le premier pays à parler du contexte émotionnel et social dans lequel est consommé l’aliment dans son guide, mais il pourrait être bientôt imité par ses voisins qui s’intéressent aussi à cette approche, explique Jean-Claude Moubarac. Le Canada devrait aussi suivre cet exemple, affirme le chercheur, qui estime qu’il faut rapidement revoir notre classification des aliments, car celle utilisée actuellement ne correspond plus à l’alimentation réelle des Canadiens. Plusieurs aliments transformés, des biscuits ou les boissons gazeuses, par exemple, tombent dans la catégorie «autres aliments». De 20 à 25% des aliments consommés par les Canadiens se trouvent dans cette catégorie floue, calcule Jean-Claude Moubarac.

«Pour l’instant, on met le jus avec les fruits et la saucisse avec le poulet, dit-il. Il faut faire un ménage là-dedans.»

Il y aurait un autre avantage à revoir la philosophie du guide canadien pour adopter une approche à la brésilienne, estime Bernard Lavallée: l’industrie aurait beaucoup de difficulté à s’approprier des messages sur la façon de consommer des aliments, alors qu’elle le fait abondamment avec les portions et les allégations santé. Actuellement, le Guide stipule que 125 ml de jus de fruits équivaut à une portion de fruits, explique le nutritionniste. C’est ce qui fait qu’on voit fréquemment des jus qui s’affichent comme étant l’équivalent de deux ou trois portions de fruits.

http://www.lapresse.ca/

«The Doctors» Un gigantesque bouton retiré à la télé!


Je ne comprends pas qu’on puisse garder ce genre de bosse pendant des années, surtout en Occident alors que les soins sont plus accessibles (même si ce n’est pas toujours évident)
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«The Doctors»

Un gigantesque bouton retiré à la télé!

 

(capture d’écran, The Doctors)

Une femme qui a dû vivre avec un bouton de la grosseur d’un œuf sur la tête depuis plus de 20 ans a été l’invitée spéciale d’un épisode de l’émission The Doctors, aux États-Unis.

Le bouton qui est en fait un kyste non cancéreux, a été retiré par la très populaire dermatologue Dre Sandra Lee. L’énorme bouton surnommé affectueusement Arthur est apparu lorsque la femme est tombée malade, rapporte le Mirror.

Dre Lee qui a retiré l’énorme excroissance, a d’abord fait une incision avant de presser pour retirer le contenu du kyste. Il était rempli de peaux mortes et de liquide.

Dre Sandra Lee s’est fait connaître à une très grande échelle grâce à sa chaîne YouTube.

(capture d’écran, The Doctors)

La dermatologue s’est fait une spécialité de faire éclater toutes sortes de boutons. Elle retire des points noirs et des kystes à ses patients, tout en filmant les interventions, parfois très spectaculaires.

Elle est depuis archi-connue aux États-Unis.

http://tvanouvelles.ca/

Souffrez-vous d’orthorexie ? Un test pour le savoir


Parmi les troubles alimentaires, il existe l’orthorexie, celle d’être obsédé par la qualité de la nourriture qui peut mener à la dépression
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Souffrez-vous d’orthorexie ? Un test pour le savoir

 

Souffrez-vous d'orthorexie ? Un test pour le savoir

© Thinkstock

Pour savoir si vous êtes orthorexique, il vous suffit de répondre à ces quelques questions. A vos crayons !

L’orthorexie, c’est « la » maladie du moment. Cette pathologie (qui est liée à untrouble du comportement alimentaire ou TCA en jargon scientifique) se manifeste sous la forme d’une obsession maladive vis-à-vis de la qualité des aliments que l’on consomme au quotidien. En clair, on ne mange pas de légumes s’ils ne sont pas bios, pas de pain s’il contient du gluten, pas de compote si elle n’est pas sans sucre, pas de viande si elle n’est pas locale, pas de sauces trop riches en calories…

Les conséquences de cette maladie sont surtout psychologiques : l’orthorexique culpabilise dès qu’il viole l’une de ses règles healthy et vit en permanence dans une angoisse liée à son alimentation. Et pas question de se faire plaisir de temps en temps, le contrôle est permanent ! Au bout du compte, c’est la dépression.

Pour savoir si vous souffrez d’orthorexie, un simple test suffit. Celui-ci a été élaboré par le Dr Steven Bratman, et validé par des diététiciens-nutritionnistes et psychologues du monde entier. Attrapez un crayon, voici les questions !

– Pensez-vous à la nourriture plus de 3 heures par jour ?

– Prévoyez-vous vos menus plusieurs jours à l’avance ?

– Selon vous, les valeurs nutritionnelles des aliments sont-elles plus importantes que le plaisir qu’ils vous apportent ?

– Votre qualité de vie (sommeil, niveau de stress, irritabilité) a-t-elle baissé, ces derniers temps ?

– Avez-vous le sentiment d’être trop sévère avec vous-même, notamment au niveau de l’alimentation ?

– Votre estime de vous-même dépend-elle de ce que vous mangez ?

– Avez-vous banni certains produits de votre alimentation pour manger plus sainement ?

– Rencontrez-vous des difficultés lorsqu’il s’agit d’aller dîner au restaurant ou chez des amis ?

– Vous sentez-vous coupable lorsque vous faites une entorse à votre régime ?

– Êtes-vous fière de vous lorsque vous avez le sentiment d’avoir « bien » mangé ?

Si vous avez répondu « oui » à 5 questions au moins, une consultation avec un professionnel s’impose.

http://www.topsante.com/