Période de la vie


Il y a des moments dans la vie qui ressemblent soit à un désert, en se sentant inutile et d’autres moments qui semblent être une suite de catastrophe, mais en fait c’est en bout de ligne qui fait la différence
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Période de la vie

 

Ne laisse jamais une mauvaise période te faire croire que tu as une mauvaise vie

Inconnu

Près d’une centrale nucléaire Un cadavre d’alien découvert en Russie?


Qu’elle cette créature ? Un extraterrestre ? J’en doute, surement un foetus dont sa formation n’est pas fini ou probablement serait mal formée
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Près d’une centrale nucléaire

Un cadavre d’alien découvert en Russie?

 

 

Le cadavre en décomposition d’un extraterrestre a-t-il été découvert dans l’est de la Russie?

Les scientifiques sont pour le moins déconcertés par une toute petite dépouille au squelette bien étrange, découverte près d’une centrale nucléaire, à Sosnovy Bor. Cette ville a été fondée lors de la construction d’une centrale nucléaire, dans les années 50.

La «chose» n’aurait pas de cou et aurait même des ailes, rapporte le Daily Mail. Le corps est également très petit, et se pose dans le creux d’une main.

La carcasse a un squelette distendu et un corps étiré et ressemble à une créature sortie tout droit d’un film de science-fiction.

Les scientifiques tentent de l’identifier.

Les médias locaux rapportent que la chose a été trouvée par deux résidents le long de la rivière Kovashi.

Au départ, plusieurs ont pensé qu’il s’agissait de l’embryon d’un poulet qui aurait muté, mais cette théorie a été réfutée, indique le Daily Express.

Un scientifique, qui n’a pas été nommé, a été cité comme suit:

«il semble que ce corps ne soit pas celui d’un poisson ou d’une volaille – cette créature a un squelette bien mystérieux».

Il est toutefois plausible qu’il s’agisse d’un foetus d’animal sauvage.

http://tvanouvelles.ca/

Pour sauver une main brûlée, un chirurgien la place dans le ventre de son patient


Toute à une stratégie pour sauver une main. J’imagine la tête du grand-papa qui écoute les explications de sa petite-fille de la stratégie pour éviter l’amputation
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Pour sauver une main brûlée, un chirurgien la place dans le ventre de son patient

 

Chirurgien plastique, le Dr Anthony Echo examine la main de son patient, Frank Reyes, avant de procéder à l'opération. ©Pat Sullivan/AP/SIPA

Chirurgien plastique, le Dr Anthony Echo examine la main de son patient, Frank Reyes, avant de procéder à l’opération. ©Pat Sullivan/AP/SIPA

Par Hugo Jalinière

Pour sauver une main brûlée, un chirurgien va la placer sous la peau de l’abdomen de Frank Reyes, 87 ans. Seule façon d’éviter l’amputation.

CHIRURGIE. Il a passé trois semaines avec sa main placée bien au chaud dans son ventre… Gravement brûlé à la main gauche, Frank Reyes, 87 ans, a fait l’objet d’une stratégie thérapeutique assez incroyable. Pour préserver au maximum les tissus et favoriser leur cicatrisation, les médecins du Houston Methodist Hospital (Houston, Etats-Unis) ont choisi de placer chirurgicalement le membre meurtri dans l’abdomen de M. Reyes. Celui-ci a ainsi passé trois semaines avec sa main littéralement cousue sous la peau de son ventre, le temps que de nouveaux vaisseaux sanguins puissent se former. La séparation a été réalisée avec succès jeudi 27 août 2015 par le Dr Anthony Echo, chirurgien plastique en charge de ce cas très particulier.

Trois semaines auparavant, c’est la petite-fille, Casey Reyes, qui avait trouvé les mots pour expliquer à son grand-père l’opération aux allures de science-fiction proposée par les chirurgiens :

« Ils vont mettre ta main à l’intérieur de ton estomac, un peu comme dans un sweat-shirt. » 

En réalité, la main n’est pas exactement dans l’estomac, mais placée sous la peau de l’abdomen ; une façon de la mettre à l’abri. La stratégie consiste en effet à offrir au membre un environnement plus favorable à la cicatrisation, et lui donner ainsi le temps et les conditions pour former de nouveaux vaisseaux sanguins.

©Pat Sullivan/AP/SIPA

« C’est une sensation assez amusante », expliquait Frank Reyes alors que sa main était encore attachée à son ventre.

Le recours à une telle technique n’est certes pas une première, mais la procédure reste peu commune. Et à en croire ce cas précis, elle a de l’avenir.

« Sans ça, il aurait probablement perdu tous ses doigts », explique le Dr Anthony Echo.

L’histoire commence alors que Frank Reyes est en train de changer un pneu. Le cric aurait glissé et coincé sa main contre un métal alors brûlant en raison des fortes températures de l’été. Le Dr Echo explique que le métal a littéralement « cuit la main », brûlant les tissus et les tendons pendant plus d’une demi-heure, le temps que les secours libèrent le vieil homme. Les médecins ont d’abord tenté de soigner la main par des méthodes traditionnelles (désinfection de la blessure, bandages, etc.). Mais rien n’empêchait l’infection de se propager. À tel point qu’ils ont dû procéder à l’amputation de l’index. Ce qui n’a toutefois pas ralenti l’aggravation de l’état de santé de Frank Reyes. Alors que les tissus de la main se meurt, celle-ci ressemble de plus en plus à celle d’une momie. Le Dr Anthony Echo récupère alors ce cas qui semble désespéré. Et juge rapidement q’une greffe de peau ne serait pas suffisante.

Décision est prise, avec l’accord du patient incrédule, de « ranger » la main sous la peau de l’abdomen.

©Pat Sullivan/AP/SIPA

Si l’opération est encore très récente, la technique semble avoir fonctionné puisque Frank Reyes espère déjà retrouver entièrement l’usage de sa main.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Une tonte nécessaire pour survivre


Des moutons élevés pour sa toison, doivent être tondus régulièrement. Quand un mérinos se retrouve sans soin dans la nature, la laine continue à prendre de l’ampleur sur son corps et sans tonte, il y a un réel danger pour sa vie
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Une tonte nécessaire pour survivre

 

Une tonte nécessaire pour survivre

Photo RSPCA

Un champion australien de la tonte de moutons a été appelé mercredi d’urgence après la découverte près de Canberra, en Australie, d’une bête abandonnée à la laine si épaisse que sa vie en est menacée.

L’animal, un mérinos, a été vu errant seul près de Mulligan flats, une zone boisée proche de la capitale, par des randonneurs qui ont alerté les responsables locaux de la RSPCA (la société en charge de la protection des animaux en Australie), l’organisation nationale de protection des animaux.

«C’est clairement un des plus gros moutons qu’on ait vus», a dit Tammy Ven Dange, responsable de la RSPCA dans le Territoire de la capitale australienne, précisant que la bête avait atteint «quatre à cinq fois sa taille normale».

L’animal est si épais que les responsables de la RSPCA ont été incapables de déterminer son âge et son poids, ou même de savoir s’il s’agissait d’un mâle ou d’une femelle.

Après avoir probablement passé plusieurs années de solitude, le mouton s’est montré particulièrement nerveux et difficile à approcher. D’où l’appel à l’aide lancé par la RSPCA.

«Il est pour l’instant très stressé. Nous tentons de lui faire garder son calme en espérant pouvoir jeudi l’endormir et le tondre», a expliqué Tammy Ven Dange à l’AFP.

«J’espère qu’il n’entrera pas en état de choc à ce moment-là», a-t-elle poursuivi.

Élevés pour leur laine, les mérinos risquent de gros problèmes de santé – voire la mort – s’ils ne sont pas tondus régulièrement. En cause, les risques d’hyperthermie et leur difficulté à se déplacer.

Ian Elkins, champion national de la tonte, a répondu à l’appel de la RSPCA, expliquant que cette bête pourrait constituer «un des plus grands défis» de sa carrière.

«Ils m’ont envoyé une photo, a-t-il raconté à l’AFP. Je n’avais jusqu’alors jamais vu autant de laine sur un mouton», a-t-il ajouté, en expliquant que la laine poussait chaque année de sept centimètres.

Cet animal n’est pas sans rappeler Shrek, le plus célèbre mouton de Nouvelle-Zélande, qui avait été retrouvé en 2004, six ans après avoir disparu de son troupeau.

Shrek, un mérinos, avait été découvert dans une grotte, doté d’une toison qui le faisait apparaître trois fois sa taille.

Le mouton était alors devenu une célébrité dans ce pays qui compte 4,3 millions d’habitants et près de 10 fois plus d’ovins. Retransmise en direct à la télévision, sa tonte avait permis de récupérer 27 kg de laine, soit six fois plus que la quantité obtenue lors d’une tonte normale.

http://fr.canoe.ca/

Cuisine: zone à risque


La gestion des risques en cuisine commence à l’épicerie, au réfrigérateur, à la préparation du repas pour finir par le nettoyage
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Cuisine: zone à risque

Selon un expert de l'Université Laval, les «véhicules... (Photo Shutterstock, Piotr Marcinski)

Selon un expert de l’Université Laval, les «véhicules de contamination les plus importants» dans la cuisine sont les instruments de cuisine et les surfaces de travail. Il faut particulièrement faire attention à la contamination croisée.

PHOTO SHUTTERSTOCK, PIOTR MARCINSKI

CAMILLE B. VINCENT
Le Soleil

(Québec) Bien qu’elle soit la source de bien des bonheurs de la vie, la cuisine peut rapidement devenir un véritable nid à microbes. Espaces de travail, réfrigérateur, nourriture, torchons et linges à vaisselle, les zones à risque sont nombreuses. Comment faire pour se servir en toute salubrité de sa cuisine sans se compliquer la vie? Le Soleils’est intéressé à la question.

À l’épicerie 

Plusieurs marchés d’alimentation le font déjà, mais la viande, le poisson et les fruits de mer crus devraient être emballés dans des sacs de plastique avant d’être placés dans les sacs d’épicerie afin d’éviter que des jus s’égouttent sur le reste des aliments. Certains spécialistes recommandent également d’emballer ces produits crus dans des sacs de plastique avant même de les déposer dans le panier d’épicerie, alors que d’autres suggèrent de simplement s’assurer que les aliments cuits ou prêts à manger soient placés au-dessus des aliments crus dans le panier.

Le même genre de précaution devrait s’appliquer avec les produits de nettoyage.

Une habitude simple et efficace : récupérer les aliments réfrigérés et congelés à l’épicerie tout juste avant de passer à la caisse, afin d’éviter la propagation des bactéries. En effet, ces aliments ne devraient pas passer plus de deux heures dans la «zone de danger», soit entre 4 et 60 °C. Et n’oubliez pas de nettoyer fréquemment vos sacs réutilisables. Il s’agit d’une étape trop souvent omise (par 97 % des gens, selon une étude américaine réalisée en 2010), et qui peut mener à des intoxications alimentaires.

Dans le réfrigérateur

La température du réfrigérateur doit se situer entre 0 et 4 °C, alors que celle du congélateur devrait être égale ou inférieure à – 18 °C. À noter que la congélation ne détruit pas les micro-organismes, mais elle empêche leur prolifération.

La viande, le poisson et les fruits de mer crus devraient être entreposés dans les étagères du bas du réfrigérateur. D’abord, parce qu’il s’agit de la zone la plus froide, mais également parce que ça permet d’éviter que des jus de produits crus s’égouttent sur les autres aliments réfrigérés.

On doit également éviter de trop remplir le réfrigérateur afin que l’air frais puisse efficacement y circuler.

Tous les spécialistes s’entendent pour dire que le nettoyage du réfrigérateur devrait être réalisé régulièrement. Mais que signifie le terme «régulièrement»?

«Ça dépend des frigos!» répond Josianne Garneau, microbiologiste au MAPAQ (ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec). L’important est de maintenir salubre l’espace réfrigéré en nettoyant les dégâts au fur et à mesure qu’ils se produisent, précise-t-elle.

Sur les surfaces de travail

Selon Ismail Fliss, professeur au Département des sciences des aliments et de nutrition à l’Université Laval, les «véhicules de contamination les plus importants» dans la cuisine sont les instruments de cuisine et les surfaces de travail. Il faut particulièrement faire attention à la contamination croisée.

Pour ce faire, les aliments crus devraient toujours être séparés des aliments cuits.

Si possible, utilisez une planche à découper distincte pour chacun de ces groupes, «quitte à avoir des planches de couleurs différentes», propose Mme Garneau, du MAPAQ.

Afin de diminuer les risques, il est d’ailleurs recommandé d’effectuer la préparation des produits cuits ou prêts à manger (moins sujets à la contamination) avant celle des produits crus.

Par ailleurs, on ne devrait jamais faire décongeler un aliment à la température de la pièce, car la surface extérieure dudit produit sera exposée trop longtemps à la «zone de danger». La décongélation devrait plutôt se faire au réfrigérateur, au four à micro-ondes, au four (en même temps que la cuisson) ou dans l’eau froide, en veillant à changer régulièrement l’eau afin que celle-ci demeure froide.

Lors du nettoyage

Les torchons et linges à vaisselle devraient être lavés (à l’eau chaude) quotidiennement, car ils sont des milieux propices au développement de microorganismes. Ceux-ci devraient également être remplacés régulièrement. Les éponges ne sont pas recommandées pour nettoyer la vaisselle, car il est plus difficile d’y empêcher la propagation bactérienne.

De manière générale, le lave-vaisselle a une action antimicrobienne adéquate. Pour les instruments et la vaisselle nettoyée à la main, le mieux est de les laisser baigner dans une eau chaude – à 82 °C – pendant un certain temps. Par ailleurs, il est recommandé de laisser sécher à l’air la vaisselle nettoyée, au grand plaisir des fainéants de ce monde.

Plusieurs spécialistes recommandent de diluer 5 ml d’eau de Javel domestique dans 1 L d’eau pour obtenir une solution assainissante (antimicrobienne) efficace. Mais bon nombre d’entre nous, dont l’auteur de ces lignes, redoutent ce décolorant comme la peste. Heureusement, plusieurs produits offerts sur le marché peuvent remplacer l’eau de Javel. Il suffit de rechercher les termes «désinfectant» ou «assainissant» sur les étiquettes.

L’étape d’assainissement «est une bonne pratique à adopter», explique la microbiologiste Josiane Garneau. «Il faut simplement l’introduire dans nos façons de travailler.»

«Il ne faut pas virer fou non plus», ajoute Ismail Fliss. «Il faut savoir gérer et évaluer le risque. […] Toutes les mesures suggérées, ce sont des mesures basées sur la gestion du risque. La contamination peut être très, très rare, mais quand elle arrive, elle peut être dangereuse pour la santé.»

Autres sources :

Guide du consommateur, de l’épicerie à la maison, du MAPAQ

– Agence Science-Presse

Trois mythes à défaire

› La «règle des cinq secondes» me donne le droit de consommer un aliment tombé brièvement au sol.

Il a été prouvé que même après un bref contact avec le sol, suffisamment de micro-organismes sont transférés aux aliments pour causer des intoxications.

› Les aliments contaminés présentent à coup sûr des signes de dégradation.

Il arrive que des produits périmés ou contaminés aient un aspect, une odeur et même un goût tout à fait normal. À noter que les micro-organismes à l’origine des intoxications alimentaires ne sentent ni ne goûtent rien.

› Les aliments surissent lorsqu’on les entrepose au réfrigérateur alors qu’ils sont encore chauds.

Au contraire, les aliments ont plutôt tendance à surir lorsqu’ils prennent trop de temps à refroidir. Il ne faut donc pas laisser refroidir les restes d’un repas à la température de la pièce, mais bien les réfrigérer le plus rapidement possible.

http://www.lapresse.ca/

Dans dix ans, le Canada n’aura probablement plus de quotidiens


Avec l’ère d’internet, les journaux en papier ont pris toute une descente que leur survie n’est qu’une question d’année. Alors qu’en 2017 aux Etats-Unis, 2029 en France, les journaux de papier seront chose du passé, c’est vers 2025 au Québec
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Dans dix ans, le Canada n’aura probablement plus de quotidiens

 

La une de quotidiens canadiens en octobre 2014 (REUTERS/Mark Blinch)

La une de quotidiens canadiens en octobre 2014 (REUTERS/Mark Blinch)

Repéré par Claire Levenson

Leur circulation a déjà drastiquement baissé en quelques années.

Un analyste des médias canadiens vient de publier ses prédictions pour 2025, et il ne voit pas beaucoup d’avenir pour les quotidiens papier du pays, rapporte le site Poynter.

«En 2025, il est probable qu’il y aura peu ou aucun quotidien papier au Canada», écrit Ken Goldstein dans son rapport.

Le choc de la fin des petites annonces

Si le déclin continue à un rythme similaire, le ratio ménages / circulation sera de 5 à 10% dans dix ans, ce qui rendrait impossible la survie économique de la plupart des quotidiens d’intérêt général.

La baisse des revenus publicitaires, notamment liée à la quasi disparition des petites annonces dans les journaux, est aussi en cause, mais certains facteurs sont particuliers à la situation canadienne.

Le fait que le pays soit si vaste pose un problème: certains quotidiens régionaux desservent des population restreintes. L’autre aspect qui fragmente encore un peu plus le lectorat est la division du pays entre francophones et anglophones.

«Un petit nombre de médias traditionnels pourraient s’en sortir en devenant des sites d’information nationaux ou internationaux, mais que deviendra le journalisme local?», demande le rapport.

À la recherche de nouveaux modèles

Au Québec en 2014, le quotidien de Montréal La Presse a annoncé la fin de sa version papier à une date encore inconnue, et depuis plusieurs années le National Post suspend ses numéros du lundi pendant l’été. Plusieurs quotidiens régionaux tentent de survivre au déclin en expérimentant des modèles économiques nouveaux. Le Toronto Star a mis en place un paywall, avant de s’en débarasser après un an, et le Winnipeg Free Press est en train d’essayer un système de micropaiments à 20 centimes d’euro l’article.

Le rapport de Ken Goldstein conclut en disant qu’alors que le gouvernement canadien finance la télévision publique et l’accès au haut-débit, il serait peut-être temps que le journalisme local fasse aussi partie des priorités.

http://www.slate.fr/