Tout le monde a des défauts. C’est quand nous savons que tel défaut est nuisible, c’est à ce moment qu’il faut se corriger
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Défauts
« Le grave défaut est d’avoir des défauts et de ne pas s’efforcer de s’en corriger »
Confucius
Un mal de tête assuré si on la regarde trop longtemps. C’est bluffant ce maquillage
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Regard troublant
Curieusement, ce qui normalement pourrait nous aider a mieux contrôler les petits bobos de tous les jours, que ce soit les lèvres gercées, l’acné, la mauvaise haleine, etc, pourrait devenir une dépendance
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Nous avons tous des produits de beauté qu’on adore, mais saviez-vous que certains d’entre eux nous rendent réellement accros, dans le mauvais sens du terme? Certains produits de beauté contiennent des substances qui sont efficaces pour traiter certains petits soucis, mais qui peuvent entraîner une dépendance.
1. Le baume à lèvres
Vous avez sans doute déjà eu cette impression que plus vous mettez de baume à lèvres, plus vous avez besoin d’en mettre souvent. Eh! bien plusieurs études se sont précisément penchées sur cette question: les propriétés chimiques des baumes à lèvres leur sont initialement bénéfiques, mais les dérobent de leur hydratation naturelle après un certain temps, ce qui vous donne l’impression d’en avoir toujours besoin encore et encore plus.
2. Agents blanchissants pour les dents
Assurez-vous d’être bien renseignée avant de faire votre choix de technique de blanchiment des dents! Le blanchiment au laser rend vos dents d’un blanc éclatant, mais il est problématique, car il dilate les pores de vos dents pour y parvenir, et cela entraîne une sensibilité temporaire et vos dents seront également plus prônes aux tâches pendant quelques jours. En d’autres mots, vous ne blanchissez pas seulement vos dents, vous les affaiblissez aussi, et cela pourrait signifier la nécessité de la blanchir de nouveau peu de temps après.
3. Nettoyants pour le visage anti-acné
Les nettoyants pour le visage qui contiennent du peroxyde de benzoyle sont efficaces pour bien nettoyer votre peau, principalement parce que votre s’accroche à ce produit chimique. Si vous avez déjà utilisé un de ces nettoyants, vous avez probablement remarqué que les éruptions cutanées reprenaient de plus belle dès que vous arrêtiez de vous en servir ne serait-ce que quelques jours. Essentiellement, c’est que votre peau a carrément développé une dépendance au peroxyde de benzoyle.
4. Le rince-bouche
Les gens utilisent le rince-bouche pour une multitude de raisons, notamment pour nettoyer des zones de leur bouche qui ne sont pas vraiment accessibles à l’aide d’une brosse à dents, mais aussi pour avoir une haleine fraîche. Attention, toutefois! Les rince-bouche qui contiennent de l’alcool peuvent avoir l’effet contraire! L’alcool dans certains rince-bouche élimine la couche de mucus qui enduit l’intérieur de votre bouche (une défense naturelle), ce qui rend vos dents et vos gencives plus vulnérables aux attaques bactériennes. De plus, en asséchant votre bouche, vous aurez mauvaise haleine plus rapidement que si vous ne vous étiez pas gargarisé au rince-bouche. Alors, choisissez judicieusement votre rince-bouche et prenez-en un qui ne contienne pas d’alcool; ça fera toute la différence.
5. Pilules minceur
Ces comprimés semblent le remède miracle à vos soucis de poids, mais sachez qu’ils sont loin d’être inoffensifs. Certains contiennent de la phentermine, une molécule dont les effets sont très près de ceux de la cocaïne et qui fonctionne en supprimant votre appétit tout en vous donnant impression d’énergie accrue et une légère euphorie. Lorsque vous cessez d’en prendre, vous vivrez également des symptômes de manque similaires à ceux de la cocaïne. Ça, c’est moins tentant. Disons qu’une alimentation équilibrée et de l’exercice sont un choix beaucoup plus intelligent.
Il arrive que les enfants aient un trou au coeur, mais souvent, il se résorbe, alors que d’autres ont besoin d’une intervention à coeur ouvert. Une nouvelle technique pourrait peut-être bientôt diminuer de beaucoup les interventions pour boucher un trou au coeur.
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Un cathéter à double ballonnet délivre un patch imprégné à sa base d’un adhésif activable par la lumière ultraviolette (© 2015 Annual Metting American Association for Thoracic Surgery).
Par Marc Gozlan
Deux ballons, de la colle et de la lumière. Tels sont les ingrédients nécessaires à l’ingénieuse procédure mise au point par des chercheurs pour réparer une communication anormale entre deux cavités cardiaques. Impressionnant.
COLMATAGE. Des chercheurs américains, italiens et irlandais ont conçu et développé un système mini-invasif par cathéter capable de déposer un patch et une colle chirurgicale pour obstruer une communication anormale – un « trou » – entre deux ventricules cardiaques. Réparer un orifice faisant communiquer de façon anormale deux ventricules ou deux oreillettes (malformations cardiaques les plus fréquentes chez un jeune patient) nécessite de recourir à une circulation extracorporelle, en d’autres termes, un dispositif qui, en dérivant la circulation sanguine en dehors du corps, court-circuite le cœur et les poumons. Une intervention chirurgicale à cœur ouvert est nécessaire, sans compter l’utilisation d’instruments métalliques qui peuvent éroder les parois cardiaques.
Le dispositif médical, particulièrement ingénieux développé par des chercheurs de l’université Harvard (Cambridge, Massachusetts, États-Unis), de l’Institut Wyss (Boston), et leurs collègues italiens et irlandais, permet d’obstruer l’orifice anormal (les spécialistes utilisent le terme de « défect », dérivé de l’anglais) en appliquant un patch élastique biodégradable et un adhésif activable par la lumière, en l’occurrence des rayons ultraviolets.
Un adhésif activé par ultraviolets
Le système est composé de deux ballons, gonflables et dégonflables. Le premier permet d’appliquer sur les contours de l’orifice un patch, tandis que le second exerce une contrepression permettant son ancrage solide. Un adhésif est fixé sur la base du premier ballon. Une fois le système en place de part et d’autre de l’orifice à réparer, cette colle est activée par des ultraviolets provenant d’une fibre optique. La forme conique du premier ballon, une fois gonflé, permet de diffuser de façon uniforme le rayonnement UV sur toute la surface de défect circulaire.
Ce cathéter mini-invasif, muni de ballons et d’une source de lumière, a été testé avec succès sur le cœur battant de trois porcs, ainsi que sur la paroi abdominale et d’estomac isolés (ex vivo) de ces suidés, rapportent les chercheurs dans la revue Science Translational Medicine. Chez les trois porcs opérés, aucune complication au cours de la procédure, ni d’hémorragie excessive ou de trouble de rythme, n’a été observée, précisent Conor Walsh et ses collègues. Dans un cas, la paroi ventriculaire droite a été artificiellement perforée et ensuite réparée chez un animal. L’orifice a pu être réduit de 5,5 mm à 1,4 mm de diamètre. Chez l’homme, en chirurgie cardiaque, on considère comme adéquate une réduction de la taille de la communication anormale inférieure à 1,6 mm, sachant que les orifices de moins de 2 mm se referment spontanément au cours de l’année qui suit.
Une approche révolutionnaire
Cette approche est révolutionnaire dans la mesure où elle permettrait de réparer des orifices anormaux situés dans des organes profonds, sans utiliser d’instruments métalliques, mais aussi sans avoir à implanter à demeure du matériel chirurgical étranger (sutures, prothèse). Par ailleurs, le déroulement de l’intégralité de la procédure peut être contrôlé par échographie cardiaque 3D, ou sous le contrôle de la vue par endoscopie en cas de hernie abdominale ou de perforation d’ulcère digestif. Enfin, le cathéter ne reste à l’intérieur du corps que moins de 5 minutes. Aucune complication à long terme n’a été notée chez des rongeurs sur lesquels cette procédure a également été expérimentée, les chercheurs rapportant un taux de survie de 100 %.
Une technique d’avenir ?
Jusqu’à présent, les dispositifs expérimentés n’avaient pu empêcher que que le patch ne migre dans certains cas. D’autres systèmes nécessitaient un délai de 45 minutes avant que la colle chirurgicale ne prenne. Rien de tel avec ce nouveau cathéter doté d’un biomatériau innovant : l’activation de l’adhésif ne prend au maximum que 2 minutes.
Il est évidemment trop tôt pour savoir si ce dispositif, dont la preuve de concept vient d’être rapportée, s’imposera comme une procédure alternative à la fermeture chirurgicale d’une communication anormale entre ventricules ou entre oreillettes. Cela dit, qui aurait pu prédire le succès de l’angioplastie coronaire en novembre 1976 lorsqu’un médecin de l’hôpital universitaire de Zurich (Suisse), Andreas Gruentzig, présenta au congrès de l’American Heart Association (AHA) un poster décrivant le principe de cette procédure réalisée sur… un chien. À l’époque, le concept avait été accueilli avec un certain pessimisme de la part des participants. Pas grand monde n’avait cru en lui. Aujourd’hui, l’angioplastie coronaire par ballonnet est pratiquée en routine dans tous les services de cardiologie à travers le monde pour déboucher les artères coronaires.
Quand on attend un bébé, on espère qu’il soit en santé, mais la nature est parfois capricieuse. Les parents qui acceptent qu’un enfant soit fragile et très différent vivent vraiment au jour le jour. Car pour eux rien n’est acquis
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Crédit photo : Courtoisie
Le petit Jaxon est né avec une malformation des plus navrantes, et les médecins croyaient qu’il ne survivrait pas longtemps. Il vient de faire mentir les experts, en célébrant son premier anniversaire de naissance.
Jaxon est atteint de micro-anencéphalie, c’est dire que la plus grande partie de son cerveau et de son crâne est absente. Un enfant sur 4,859 en est atteint aux États-Unis, et la plupart de ces enfants meurent rapidement.
Ses parents, Brandon et Brittany Buell, sont des Floridiens fervents chrétiens, et il n’était pas question d’avortement quand ils ont su que leur bébé serait très handicapé.
(Photo courtoisie)
Jaxon a passé les premières semaines de sa vie aux soins intensifs, souffrant de multiples convulsions, et poussant constamment des cris perçants.
Jaxon vit à la maison avec ses parents. Des médicaments soulagent ses malaises. Son pronostic est incertain, et ses parents tentent de rester positifs, vivant chaque journée à la fois.
(Photo courtoisie)
On leur a dit que leur enfant ne marcherait pas, ne parlerait pas, serait dans un état quasi-végétafif.
L’enfant qui est surnommé «Jax Strong» a sa propre page Facebook, avec près de 90 000 mentions «j’aime».
C’est une vraie phobie aux araignées, il a agi avec une grande imprudence à cause de cet insecte
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Crédit photo : capture d’écran, YouTube de LiveLeak
TVA Nouvelles
Un automobiliste visiblement effrayé par les araignées a voulu en tuer une alors qu’il était en train de faire le plein a mis le feu dans une station-service de Detroit au Michigan.
Selon ce que Fox News rapporte, l’homme a voulu tuer l’insecte avec un allume-cigarette et a accidentellement mis le feu qui se répand rapidement.
(Crédit photo: capture d’écran, YouTube de LiveLeak)
Il embarque rapidement derrière son volant pour enlever sa voiture du brasier et revient finalement avec un extincteur.
Il a raconté aux autorités qu’il a vu une araignée près de son réservoir à essence et a sorti son briquet pour s’en débarrasser. Il a ajouté qu’il était effrayé à mort par les araignées.
Le feu a détruit la pompe à essence et a endommagé le véhicule de l’homme.
Ceux qui aiment les séries médico-légales savent que les insectes ont une grande importance dans cas de meutre pour donner un moment approximatif de la mort, mais quand la victime est mis dans un contenant, cela peut changer beaucoup de chose. Une étude menée au Canada et simultanément en Allemagne donne des outils qui aideront sûrement les techniciens en médico-légal
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Des insectes étudiés dans le cadre des expériences du professeur Moreau et de son équipe. Photo : ICI Radio-Canada/Nicolas Steinbach
Un texte de Nicolas Steinbach
Les données recueillies par une équipe de l’Université de Moncton confirment l’utilité des insectes lors de l’étude de scènes de crimes par les services policiers.
L’expérience du professeur d’écologie Gaétan Moreau et de ses étudiants aura duré une centaine de jours cet été. Ils ont déposé 15 carcasses de porc dans des contenants de différentes tailles avec différents degrés d’étanchéité, soit des valises, des poubelles et des barils. Les chercheurs ont ensuite progressivement ouvert les contenants pour recueillir les populations d’insectes à l’intérieur et à l’extérieur des contenants.
L’étude est effectuée en collaboration avec l’Université de Francfort, en Allemagne. L’expérience du côté allemand a particulièrement porté sur les insectes à l’intérieur des contenants, tandis que l’équipe de l’Université de Moncton s’est surtout intéressée aux insectes qu’on retrouve à l’extérieur des contenants, ce qui révèle des données inédites.
On a établi différents groupes d’insectes pour différentes scènes de crimes impliquant des corps reposant dans des contenants. Cela a permis aussi à Gaétan Moreau et à son équipe de mieux établir le temps de colonisation par rapport à la durée et la température. Selon le professeur, les techniciens en identité judiciaire, en scènes des crimes, et les enquêteurs seront mieux préparés avec les données recueillies.
« On a une étude assez détaillée, assez complexe et qui amène quand même à des résultats assez clairs et qui est proactive. […] Si on ne fait pas attention, on pourrait perdre des informations qui sont cruciales pour régler un cas médico-légal. Par exemple, si on a eu un type de larves qui a été très abondant et que c’était imprévu sur les valises, si on approche cette valise-là , qu’on l’ouvre, les larves vont tout simplement se sauver. Ce sont des larves qui sont très timides, donc elles vont disparaître, on va perdre cette information-là et à ce moment-là notre capacité à déterminer le moment du décès vient de disparaître », explique le professeur Moreau.
Les données ont une portée internationale
Lors d’enquêtes sur des meurtres, il arrive de plus en plus que les policiers retrouvent le cadavre dissimulé dans une poubelle ou des valises. Il y a eu par exemple l’affaire Magnotta il y a quelques années. Des membres avaient été envoyés dans des valises et des boites à différents endroits.
Le fait que l’étude ait produit des données avec autant de répétitions sur une aussi longue période et sur deux continents est inédit, selon Gaétan Moreau.
« Les expérience faites sur plus d’un continent, ce n’est pas commun dans le médico-légal. En fait, ça ne se fait pas. Personne ne fait ça. Les gens vont généralement faire des données au niveau local. Là, on le voit quand on décidé de faire l’expérience à des endroits différents, on est capable de voir des similitudes assez importantes pour faire des conclusions, pour faire ce qu’on appelle de l’inférence, et ça, c’est quelque chose qui manque terriblement en cour. L’ensemble des conditions qu’on retrouve dans cette expérience en sciences médico-légales, c’est inédit », souligne le professeur Moreau.
Le professeur Gaétan Moreau et une étudiante examinent des échantillons d’insectes. Photo : ICI Radio-Canada/Nicolas Steinbach
Des projets avec les services policiers
Gaétan Moreau et son équipe ont de plus en plus de rapprochements avec la GRC. Les expériences effectuées se retrouvent de plus en plus dans les bases de données des policiers. M. Moreau dit qu’il leur offre des outils, des modèles qui permettent d’établir des probabilités, d’être plus précis sur les intervalles de la mort.
Un premier entomologue médico-légal dans la GRC a été nommé en Alberta. Il s’agit de Jean-Philippe Michaud, un ancien étudiant de Gaétan Moreau. Avant, on devait souvent faire appel à des spécialistes qui viennent de l’extérieur du pays, ce qui donnait des résultats mitigés. Il n’y en pas encore en Atlantique parce qu’il s’y commet peu de crimes graves impliquant des corps dans des contenants, selon le professeur Moreau.
Il s’est développé une expertise unique dans le domaine de l’entomologie médico-légale à l’Université de Moncton. Ces travaux sont suivis dans le monde pour leur rigueur scientifique.
Dès janvier, l’Université de Moncton offrira un premier cours de biologie médico-légale. Gaétan Moreau explique qu’on veut développer et transmettre une expertise. Selon lui, le sujet suscite beaucoup d’intérêt chez les étudiants. Les expériences menées durant l’été vont faire partie du matériel du cours.
Un petit aperçu des choses que nous devons savoir pour mieux gérer notre santé et répondre aux questions des médecins
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Par Lindsay Holmes
Quand vous êtes enfant, la vie est simple. Vous devez faire la sieste à certaines heures. Vous pouvez manger des cochonneries sans qu’on vous en fasse le reproche. Sans oublier l’un des avantages les plus sous-estimés : ceux qui s’occupent de vous vous conduiront à vos rendez-vous.
Mais maintenant que vous êtes devenu adulte (même si vous n’avez pas encore l’impression de l’être), vous avez laissé derrière vous l’époque où vous ne vous souciiez pas de savoir quand vous aviez pris une douche ou vous vous étiez lavé les dents pour la dernière fois.Voici 13 choses que vous devez savoir sur votre santé maintenant que vous êtes sorti de l’enfance.
1. Votre groupe sanguin.
Vous êtes du groupe A? O? Le savoir vous permet d’appréhender votre état de santé. Comme le rapporte le Reader’s Digest, des études suggèrent qu’il existe un lien entre certains groupes sanguins et une légère augmentation des risques de maladies cardiaques, par exemple. Il est en outre important de garder ce type d’informations essentielles dans un coin de votre tête au cas où un médecin vous le demanderait.
2. L’activité physique que vous pratiquez.
Vous pratiquez la méthode Pilates? Du vélo dans une salle de sport? Du yoga? Le type de sport importe peu, du moment que vous faites de l’exercice. Cela permet non seulement de se maintenir en bonne santé physique, mais c’est également bon pour le moral. Selon des études, le sport (ne serait-ce qu’une petite balade) aurait une influence positive sur notre humeur, réduirait les risques de maladies cardiovasculaires et bien plus encore.
3. Vos antécédents familiaux.
Votre bagage génétique est une information cruciale pour mieux vous connaître et ainsi savoir à quels signes porter une attention particulière. Votre grand-mère a eu un cancer du sein? Votre oncle était toxicomane? Toute information est bonne à prendre, notamment si vous êtes à la recherche d’un nouveau médecin. Lors d’une première consultation, un professionnel de la santé vous demandera sans doute s’il y a eu des cancers, des maladies cardiaques ou des problèmes psychologiques dans votre famille. Alors, autant vous y préparer.
4. La détection des grains de beauté et les problèmes de peau.
On estime qu’environ 73 000 nouveaux cas de mélanomes, le plus grave des cancers de la peau, seront diagnostiqués en 2015. Les individus concernés sont de plus en plus nombreux chez les moins de 40 ans. Un dermatologue peut vous faire un bilan complet afin de vérifier qu’il n’y a aucun souci. Mieux vous connaîtrez votre corps, plus vous serez capable de remarquer un quelconque changement et de tirer le signal d’alarme.
5. La surveillance de votre tissu mammaire.
L’autopalpation est le meilleur moyen de dépister de manière précoce un cancer du sein. Selon l’American Cancer Society, il est conseillé de surveiller toute grosseur ou anomalie mammaire dès l’âge de 20 ans (précisons que les hommes doivent également faire attention à ces signes précurseurs, le cancer du sein pouvant toucher les deux sexes.)
6. Vos allergies.
Cela ne concerne pas uniquement les personnes victimes d’allergies sévères au printemps ou quand elles goûtent un nouveau plat. Il existe plusieurs niveaux de gravité. Qui plus est, certaines allergies apparaissent avec l’âge. La meilleure façon d’agir est de consulter de temps à autre un médecin afin de vérifier que votre système immunitaire supporte toujours le chat de votre colocataire ou le pollen dans l’air. Pour vous prémunir des allergies, mieux vaut être au fait des traitements disponibles et rester attentif à la nourriture ou tout ce qui peut provoquer chez vous une réaction allergique.
7. Ce qui vous détend quand vous êtes stressé.
Pour les uns, c’est un long jogging. Pour les autres, un coup de fil à leur mère. Ce qui vous soulage lorsque vous êtes stressé est aussi ce qui vous permet de vous sentir bien. Des études ont démontré que l’excès de stress pouvait entraîner des problèmes cardiaques ou d’autres soucis de santé. En panne d’idées? Jetez un œil à cette liste de conseils pour déstresser.
8. Vos carences en vitamines.
Vous pouvez vous sentir bien, même si votre corps est en manque de quelque chose. Des carences peuvent avoir des conséquences sérieuses. Un manque de fer, par exemple, peut être un signe d’anémie et les carences en vitamine D sont associées à des problèmes psychologiques. Consultez votre médecin pour vous assurer que vous ingurgitez suffisamment de vitamines, dans l’idéal au cours des repas. Dans le cas contraire, un complément alimentaire pourra vous être prescrit.
9. Le bon médecin.
L’attitude d’un médecin au chevet du patient est un élément clé dans le choix d’une personne de confiance. Si vous n’êtes pas détendu, il vaudra mieux trouver quelqu’un qui vous corresponde davantage et qui vous mettra à l’aise (au final, l’objectif est d’aller voir le médecin et non pas de l’éviter). Cela ne s’applique pas uniquement aux généralistes, mais également aux thérapeutes, gynécologues, dentistes, etc.
10. Vos allergies alimentaires.
Que la caféine ait des effets négatifs sur vous peut avoir l’air de la pire des injustices. Mais il est indispensable de savoir quelle est l’influence de ce genre de substances sur votre bien-être ou votre comportement. Il en va de même pour l’alcool. La vie d’étudiant n’a (malheureusement) qu’un temps. Le moment est venu pour vous de connaître vos limites.
11. Une connaissance de base de l’assurance maladie.
CPAM, franchise, déduction: à elle seule, cette terminologie peut vous donner mal à la tête. Prenez le temps de vous documenter afin de mieux comprendre le fonctionnement de votre assurance maladie. Ce sera d’autant plus facile quand vous chercherez un spécialiste et d’autant moins étonnant au moment de mettre la main au portefeuille à la fin d’une consultation.
12. Les vaccins pour lesquels vous êtes à jour.
J’espère que la réponse est « tous ». Savoir contre quoi vous avez été vacciné vous sera utile, mais cela aidera aussi votre médecin à savoir quelle dose ou rappel vous prescrire. Des maladies comme la méningite sont mortelles, alors qu’elles peuvent tout à fait être évitées grâce à un vaccin.
13. La quantité de sommeil nécessaire à votre corps.
Il est recommandé de dormir au moins sept à neuf heures par nuit. Cela dit, chaque organisme réagit différemment. Et l’heure à laquelle vous allez vous coucher doit aussi être prise en compte. Vous devez aller au lit à 22h pour être sûr d’être dans les bras de Morphée à 23h? Faites ce qui est bon pour vous.
En fin de compte, vous savez mieux que quiconque comment fonctionne votre organisme. Être en accord avec votre corps et votre esprit? C’est cela, devenir adulte.