En mémoire


Je pense qu’un des plus grands obstacles au bonheur, ce que l’on retient du passé de ce qui est négatif. Pourtant, il y a eu de bons moments qui restent cacher au fond de notre mémoire
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En mémoire

 

Nous pensons trop souvent qu’à ce que nous avons manqué, raté.

Jean Guehenno

Ils ont présenté leur enfant, presque «sans vie», à un chien.


Quand on voit au début de la vidéo, comment l’enfant est mal au point et tout le long, on se demande si les parents n’ont pas mis trop haut leur espoir envers la thérapie avec le chien. Pourtant, c’est extraordinaire tout le cheminement de l’enfant grâce au chien
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Ils ont présenté leur enfant, presque «sans vie», à un chien.

 

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Le Saviez-Vous ► Quels sont les endroits les plus sales dans un avion ?


Vous prenez l’avion ? N’oubliez pas que vous n’êtes jamais seul. Bien sûr, il y a d’autres voyageurs, mais aussi 80 million environ de bactéries qui avec vous veulent profiter des aéroports et avions. Alors, bon vent !!!
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Quels sont les endroits les plus sales dans un avion ?

 

Hygiène : quels sont les endroits les plus sales dans un avion ?

© Thinkstock

Des microbiologistes américains ont passé des avions et des aéroports au peigne fin. Résultat : les bactéries y pullulent… Découvrez leurs conclusions.

Vous prenez souvent l’avion ? Vous avez prévu un vol dans les prochaines semaines ? Attention : d’après une récente étude menée par le site de voyage américain Travel Math, les avions et les aéroports seraient « plus sales encore que nos maisons ». Ce sont des microbiologistes qui le disent : les bactéries y pullulent. Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont passé au peigne fin 5 aéroports et 4 avions pour y récolter 26 échantillons.

Résultat ? Des germes et des bactéries en pagaille.

« Au cours de votre voyage – depuis votre entrée dans l’aéroport jusqu’à votre atterrissage – vous entrerez en contact avec environ 80 millions de bactéries » affirment les microbiologistes.

Un chiffre qui fait peur !

La course aux bactéries commence d’abord dans l’aéroport.

 « Essayez de ne pas toucher les poignées de portes, notamment celles des salles de bain. Évitez également le contact direct avec les robinets, conseillent les scientifiques. Cependant, nous avons remarqué que les toilettes y étaient globalement plus propres que celles de nos maisons. »

Dans l’avion, ensuite.

L’endroit le plus sale ?

Bizarrement, ce ne sont pas les toilettes, mais la tablette, qui se trouve sur le dossier du siège avant.

« Si vous devez manger dans l’avion, évitez au maximum le contact entre le plastique de votre tablette et les aliments, pour limiter la propagation des germes » conseillent les professionnels.

Vient ensuite le bouton des toilettes (celui que l’on presse pour tirer la chasse d’eau) puis la boucle de la ceinture de sécurité (l’élément en métal) et le système de ventilation.

« Nous avons surtout répertorié des escherichia coli (des bactéries responsables d’infections alimentaires) et des staphylocoques dorés (qui peuvent causer des infections cutanées, parfois graves. Nous recommandons donc la prudence : pensez à vous laver les mains régulièrement pendant votre voyage. »

http://www.topsante.com/

Découverte d’un nouveau cousin lointain de l’Homme


Homo naledi est une nouvelle espèce dans la famille humaine. Les ossements ne sont pas encore dater mais ces ossements montrent des particularités propres à l’homme moderne
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Découverte d’un nouveau cousin lointain de l’Homme

 

Les ossements exhumés en Afrique du Sud représentent... (PHOTO JOHN HAWKS, AGENCE FRANCE-PRESSE)

Les ossements exhumés en Afrique du Sud représentent un défi pour les chercheurs. Ils compliquent un peu plus le tableau des hominidés, car l’espèce découverte présente à la fois des caractéristiques propres aux hominidés modernes et anciens.

PHOTO JOHN HAWKS, AGENCE FRANCE-PRESSE

BÉATRICE DEBUT
Agence France-Presse
MAROPENG

 

Une ancienne espèce humaine a été mise au jour dans une grotte d’Afrique du Sud où ont été exhumés les ossements de 15 hominidés, ont annoncé jeudi des chercheurs, avançant l’hypothèse que ce lointain cousin de l’homme pratiquait déjà des rites funéraires.

La nouvelle espèce a été baptisée Homo naledi – «étoile» en sesotho, une langue locale sud-africaine – et classée dans le genre Homo, auquel appartient l’homme moderne.

Les fossiles ont été trouvés dans une grotte profonde et extrêmement difficile d’accès, à Maropeng, près de Johannesburg, sur le très riche site archéologique du «Berceau de l’humanité», classé au patrimoine de l’UNESCO.

«Nous avons découvert une nouvelle espèce de notre ancêtre», a annoncé avec enthousiasme Lee Berger, qui a dirigé des explorations physiquement éprouvantes. «C’est un événement qui marquera l’histoire», a ajouté Terry Garcia de la National Geographic Society, lors d’une conférence de presse à Maropeng.

En 2013 et 2014, des scientifiques internationaux ont exhumé plus de 1550 os appartenant à au moins 15 individus, parmi lesquels des bébés, de jeunes adultes et des personnes plus âgées. Les ossements n’ont pas encore été datés, mais cette découverte représente le plus grand échantillon de fossiles hominidés jamais exhumés en Afrique.

À quoi ressemblait l’Homo naledi ?

«Il avait un cerveau minuscule de la taille d’une orange et un corps très élancé», selon John Hawks, chercheur à l’université américaine de Wisconsin-Madison et auteur d’un article publié jeudi dans le magazine scientifique eLife.

Il mesurait en moyenne 1,5 mètre et pesait 45 kilos.

Ses mains «laissent supposer qu’il avait la capacité de manier des outils», tandis qu’«il est pratiquement impossible de distinguer ses pieds de ceux d’un homme moderne», précise un communiqué conjoint de l’université du Witwatersrand, la National Geographic Society et du ministère sud-africain des Sciences.

Rites funéraires

Les chercheurs, soucieux de comprendre les raisons pour lesquelles les ossements se trouvaient dans cette grotte quasi inaccessible, n’étaient cependant pas au bout de leur surprise.

Cette chambre isolée «n’a jamais été contact avec la surface», notent-ils.

Le tunnel pour y accéder est extrêmement raide et tellement étroit que seuls des chercheurs à la morphologie menue ont réussi à se rendre sur les lieux de cette découverte majeure.

«Nous avons imaginé plusieurs scénarios, y compris la possibilité de l’attaque d’un super prédateur, une catastrophe, une mort accidentelle ou encore un traquenard», avant finalement d’éliminer toutes ses hypothèses, a raconté Lee Berger.

En fait, «nous avons découvert une nouvelle espèce du genre humain qui pratiquait des rites funéraires», a-t-il conclu. «Jusqu’à présent, nous pensions que le recours aux rites funéraires était unique à l’Homo sapiens. Nous nous considérions comme différents. Nous avons désormais découvert – en tout cas nous le croyons – une espèce qui avait cette même capacité, et cela est une découverte extraordinaire», a-t-il estimé dans une salle de presse bondée.

Les ossements exhumés en Afrique du Sud représentent un défi pour les chercheurs. Ils compliquent un peu plus le tableau des hominidés, car l’Homo naledi présente à la fois des caractéristiques propres aux hominidés modernes et anciens.

«Ses mains, ses poignets et ses pieds sont très proches de celles de l’homme moderne. Dans le même temps, son petit cerveau et la forme de la partie supérieure de son corps sont plus proches du groupe préhumain des australopithèques», explique le professeur Chris Stringer du Musée d’histoire naturelle de Londres.

Cette découverte pourrait donc permettre d’en apprendre davantage sur la transition, il y a environ 2 millions d’années, entre l’australopithèque primitif et le primate du genre homo, notre ancêtre direct.

Une importante quantité des fossiles exhumés seront exposés au public à partir de vendredi et pour un mois au «Berceau de l’humanité».

Depuis des années, ce site, truffé de grottes et de fossiles de pré-humains et véritable mine d’informations sur nos ancêtres, est un trésor pour les archéologues et paléontologues.

Et Lee Berger l’assure:

«la chambre aux étoiles» où a été trouvé l’Homo naledi «n’a pas encore révélé tous ses secrets, car il pourrait y avoir encore des centaines, voire des milliers de fossiles d’Homo naledi».

http://www.lapresse.ca/

Lydia, 12 ans, a battu Einstein au test de QI


J’imagine la fierté des parents que leur fille puissent être au niveau, même plus élevé que Stephen Hawking et Albert Einstein. Espérons que cette jeune fille fera des bons choix, car toutes les portes sont ouvertes pour avoir un avenir prometteur … Tout en accordant un temps pour être un enfant de son âge
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Lydia, 12 ans, a battu Einstein au test de QI

 

A seulement 12 ans, elle surclasse Einstein au test de QI. 

A seulement 12 ans, elle surclasse Einstein au test de QI.

GENIE – Une jeune fille a réussi un test de QI avec la note maximale possible. Bonne nouvelle : vous pouvez essayer de la battre.

 

« Il a le QI d’Einstein ! » Peut-être vous êtes-vous exclamé ainsi, admiratif, de la célérité d’un ami ou d’un collègue. Peut-être devriez-vous changer de référence pour Lydia Sebastian, seulement 12 ans.

Cette jeune fille, vivant dans l’Essex, en Grande Bretagne a en effet surclassé le savant à l’origine de la théorie de la relativité. Elle a obtenu un résultats de 162 au test de QI supervisé par l’institut Mensa. Là où on estime qu’Albert Einstein ou Stephen Hawking ont atteint (seulement) 160. A titre indicatif, vous et moi devrions être autour de 100.

QI : faites le test

Cela faisait un an que Lydia claironnait son envie de participer à ce test. Au yeux de la petite fille qui écumait les tests de QI sur Internet, celui de l’institut Mensa représentait une sorte de graal et ses parents ont fini par lui offrir le voyage vers le grand défi. Il faut dire que ce club regroupe la crème des génies. Parmi eux, seulement 1% atteint le niveau maximal.

Bien entendu, l’intelligence ne se mesure pas qu’à l’aune du QI, qui mesure une forme de logique de l’esprit (la mémoire, l’aptitude mathématique, le raisonnement). L’intelligence sensible est aussi essentielle dans le devenir des individus. Mais en attendant de voir ce qu’accomplira Lydia quand elle sera grande, vous pouvez déjà tenter de vous confronter à elle en passant un premier test ici. 

http://www.metronews.fr/

Les lettres de suicide parlent trop tard


La journée s’achève, mais sachez que c’est la Journée mondiale de prévention du suicide, et le mouvement Movember oeuvre pour que les hommes mettent de côté leur ego de côté et puissent parler de leurs émotions, de leurs craintes, leurs difficultés, bref ce qui pourraient pousser à la dépression voir même le suicide
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Les lettres de suicide parlent trop tard

 

Adam Garone

PDG et cofondateur de la Fondation Movember

    Le 10 septembre est la Journée mondiale de prévention du suicide. Le suicide est un problème mondial de santé publique, et les hommes sont au moins trois fois plus susceptibles que les femmes de s’enlever la vie.

    Tous les ans, 510 000 hommes se suicident, soit un toutes les minutes. Pourtant, ce grave problème reste dans l’ombre, dissimulé par les préjugés. Movember s’est donné pour mission d’en faire une priorité mondiale et de prendre des mesures pour le résoudre.

    Il est impossible de parler de suicide sans parler de santé mentale, car environ 90% des personnes qui mettent fin à leurs jours vivent un trouble de santé mentale.

    Les problèmes de santé mentale touchent les hommes et les femmes de tous âges. Les femmes ont cependant plus tendance à aller chercher de l’aide pour les résoudre, alors que nous, les hommes, sommes très bons pour prétendre que tout va bien, même si notre situation est très pénible. Nous nous croyons invincibles et pensons que d’une certaine manière, tout va s’arranger le lendemain. C’est là un problème grave, car l’inaction peut entraîner sur des chemins bien sombres et inciter à commettre l’irréparable.

    Le suicide est un sujet compliqué et délicat à aborder, aussi faut-il l’envisager de multiples points de vue. Nous savons cependant qu’aider les hommes à rester en bonne santé mentale est un aspect important, et que de les inciter à parler des sujets «graves» contribuera à améliorer leur santé mentale et à réduire leur comportement suicidaire.

    Nous excellons pour parler de sport, de travail, du dernier gadget, du dernier film, mais nous, les hommes, devons aussi parvenir à parler davantage des événements marquants qui surviennent dans nos vies: la perte d’un emploi, la fin d’une relation, un revers important, ou devenir père pour la première fois.

    Nous vivons tous des moments comme ceux-là et pour certains, ils peuvent être déroutants, ou simplement plus éprouvants que ce que nous aurions pu imaginer. Une conversation peut alors aider à ne pas perdre pied.

    Je suis bien placé pour savoir qu’il n’est pas toujours facile de parler, nous avons été élevés dans un monde où les hommes doivent être maîtres d’eux-mêmes, toujours forts, jamais faibles, toujours gagnants. En tant qu’homme, je ne veux pas faire porter à d’autres le fardeau de mes problèmes. Il est plus facile de répondre «Oui, ça va» quand on me demande de mes nouvelles.

    Pour cette raison malheureusement, la famille et les amis découvrent souvent qu’un homme vivait des moments difficiles en lisant sa lettre de suicide. Il est trop tard et cela me bouleverse.

    Il est naïf de penser qu’une conversation sauvera toutes les vies, mais comme nous savons qu’il existe un lien étroit entre le suicide et la santé mentale, de parler aide réellement les hommes à rester en bonne santé mentale. Il est temps de briser notre silence et de reconnaître que pour surmonter les difficultés même les plus grandes, il faut s’ouvrir et parler.

    Mon message est simple: les gars, parlons donc, en particulier lorsque nous vivons des moments éprouvants.

Êtes-vous dans une situation de crise? Besoin d’aide? Si vous êtes au Canada, trouvez des références web et des lignes téléphoniques ouvertes 24h par jour dans votre province en cliquant sur ce lien.

Un dauphin rose d’une immense rareté a été repéré en Louisiane !


Comment se passe la vie pour un dauphin rose (albinos), que sa particularité ne lui permet pas de se camouffler ? Il semble que ce dauphin mène une vie normale vue qu’elle va probablement avoir des petits
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Un dauphin rose d’une immense rareté a été repéré en Louisiane !

 

@Capture d’écran WGNO.com

Larges étendues d’eau salée, rivières d’eau douce… Les dauphins sont partout à travers le monde.Mais c’est en Louisiane (États-Unis) qu’un spécimen très rare a été repéré pour la première fois depuis 8 ans.

Et de fait, sa peau rose ne lui permet pas de se camoufler.

Pinky la delphine est une véritable célébrité locale. Elle a été repérée pour la première fois en 2007, au beau milieu d’un banc de dauphins, par le capitaine Erik Rue qui naviguait alors sur le lac Calcasieu en Louisiane, aux Etats-Unis.

Comme vous l’aurez sans doute deviné, elle doit son prénom à son étonnante pigmentation, rose.

@Hitek.fr

Rarement vue depuis, elle a pourtant récemment décidé de refaire surface. Elle serait d’ailleurs porteuse d’une bonne nouvelle…

«Nous l’avons beaucoup vue au cours de ses dernières semaines. Elle semble heureuse et en bonne santé. Pinky aurait même été vue en train de s’accoupler donc il est possible qu’elle soit pleine et mette bas très prochainement», a en effet révélé Erik Rue au site Weather.com.

Une excellente nouvelle pour cet animal albinos qu’il ne faut cependant pas confondre avec son cousin le Boto, aussi appelé dauphin rose d’Amazonie.


 

http://www.demotivateur.fr/

Vos empreintes digitales révèleront bientôt tous vos petits secrets Repéré par


Les empreintes digitales peuvent être très bavardes pour donner des informations à qui veut bien entendre, et ce, sans nécessairement avoir le consentement de la personne à qui appartiennent ces empreintes.
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Vos empreintes digitales révèleront bientôt tous vos petits secrets

 

Empreintes digitales prises pars William Herschel vers 1859/60 / William James Herschel via Wikimedia License by

Empreintes digitales prises pars William Herschel vers 1859/60 / William James Herschel via Wikimedia License by

Repéré par Vincent Manilève

Drogues, tabac, sexe, et même explosifs… une simple empreinte digitale suffit désormais à collecter un grand nombre d’informations sur vous.

L’apport des empreintes digitales dans les enquêtes policières a été énorme. Grâce à elles, on peut prouver par exemple qu’une personne, dont les empreintes sont déjà connues, était présente sur le lieu d’un crime.

Et pourtant, de nombreuses entreprises et chercheurs veulent aller plus loin et tentent de perfectionner notre usage de ces empreintes. En 2007 par exemple, Live Science évoquait déjà un système de «photographie chimique» qui affirmait pouvoir détecter le sexe, l’origine ethnique et même le régime alimentaire du propriétaire des empreintes analysées. Depuis, des chercheurs viennent régulièrement proposer de nouvelles techniques, mais aucune ne s’est encore imposée.

Sexe, drogues… et explosifs

Aujourd’hui, on apprend que nos empreintes livrent bien plus d’informations qu’on ne le pensait. Le site Popular Mechanics explique que l’équipe du shérif du comté de Guilford, en Caroline du Nord aux États-Unis, est actuellement en train de tester une nouvelle technologie afin d’obtenir des données supplémentaires. Cette technologie créée par l’entreprise ArroGen et appelée FMID (Fingerprint Molecular Identification) utilise une poudre contenant des particules submicroniques [de taille inférieure à un micron, ndlr] qui s’accrochent aux aminés et aux acides gras des résidus d’empreintes lorsqu’on en saupoudre dessus.

Une fois relevée et analysée en laboratoire, les inspecteurs sont capables de connaître«le sexe de la personne, raconte le site,mais aussi si elle a consommé de la drogue comme de la cocaïne, de la marijuana, de l’héroïne ou de la méthamphétamine, si elle mâche de la nicotine, si elle fume, ou même si elle a touché une arme ou des explosifs». 

Des informations évidemment très utiles quand il s’agit de déterminer le profil du meurtrier et de rassembler des preuves à son encontre. L’entreprise qui produit ce procédé affirme par ailleurs que sa technique marche pour des empreintes vieilles d’un mois.

Des tests sans autorisation

Et selon elle, les applications du FMID sont infinies. La détection des drogues pourra remplacer les tests qui jusque-là reposaient sur l’analyse de l’urine ou des cheveux, et les aéroports pourront tester le personnel de bord et les passagers pour savoir s’ils ont été en contact avec des explosifs.

Bien sûr, Popular Mechanics rappelle la faille de cette nouvelle technologie: pas besoin d’autorisation pour mener ces tests. À partir de rien ou presque, les enquêteurs peuvent en apprendre énormément sur ce que contient notre corps, et ce sans demander votre accord. Le FMID, aussi utile soit-il pour les forces de police, devrait être vite contesté par les associations de défense des libertés individuelles. 

http://www.slate.fr/