Un bébé à deux têtes et trois bras est né en Inde


Un cas rare de jumeaux sont nés en Inde. Des jumeaux conjoints, un corps à 2 têtes et 3 bras. Il est clair que ces enfants ne pourront jamais être séparés par chirurgie à cause des organes qu’ils partagent. Leur espérance de vie va dépendre de leur santé, mais des jumelles siamoise américaines ont réussit à devenir enseignante dans une école primaire Pour voir la vidéo d’Abigaïl et Brittany cliquer ici. Au moment de cette vidéo a été tournée en 2017, elles avaient 27 ans.
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Un bébé à deux têtes et trois bras est né en Inde

Les enfants siamois représentent une naissance sur 50.000 à 100.000. © Cater News

Les enfants siamois représentent une naissance sur 50.000 à 100.000. © Cater News

Naissance rare. Un enfant siamois vient de naître en Inde. Le premier cas d’enfant à deux têtes connu date du XIIe siècle. Depuis, bien que la science n’ait toujours pas dévoilé l’origine de leurs naissances, une théorie semble l’emporter.

Un couple du village de Basauda, en Inde, vient d’accueillir un bébé rare dans leur famille. Celui-ci est pourvu de deux têtes et trois bras. Initialement, l’échographie laissait penser que la mère donnerait naissance à des jumeaux. Siamois, l’enfant souffre d’une pathologie appelée Dicephalic parapagus, ce qui signifie que deux cerveaux partagent le même corps, et sont liés par un pelvis et un abdomen communs. Plus exactement, on parle de Dicephalic parapagus tribrachius, puisqu’il a développé trois bras : « tri » pour « trois » et « brachius » pour « bras ».

Les enfants siamois ne représentent qu’une naissance sur 50.000 à 100.000. Parmi eux, les jumeaux à deux têtes ne sont que 11 %. L’extrême rareté de ce phénomène induit que les scientifiques n’ont pas la possibilité de l’étudier correctement. Ainsi, on n’en connaît pas la cause exacte. La théorie la plus plébiscitée stipule que cela viendrait d’un échec de la séparation des embryons. 

Plus que de l’ADN en commun…

Chez les humains, il existe trois types de jumeaux : dizygotes, monozygotes, sesquizygotes. Les dizygotes sont issus d’une double ovulation, qui conduit à une double fécondation, et à des « faux jumeaux ». Les monozygotes proviennent d’une seule ovulation avec une seule fécondation, mais la cellule œuf se sépare en deux, formant par la suite deux individus parfaitement identiques. Tandis que les sesquizygotes, encore plus rares, ont le même ADN maternel mais un ADN paternel distinct car un seul ovule a été fécondé par deux spermatozoïdes.

Dans le cas des jumeaux conjoints, on assisterait donc à des jumeaux monozygotes. Et pour une raison que l’on ignore, la cellule œuf ne se séparerait que partiellement, aboutissant à deux individus qui partagent une partie de leur corps. Selon l’endroit où les corps sont fusionnés, ainsi qu’en fonction des organes et membres partagés, une opération chirurgicale peut permettre de séparer les deux bébés. Malheureusement, pour les jeunes Indiens, cela sera impossible. En effet, ils ont plusieurs organes vitaux en commun, en particulier le cœur… Ce qui n’est pas bon signe pour leur espérance de vie. Ils sont actuellement sous observation 24 h/24 à l’hôpital Vidisha Sadar.

https://www.futura-sciences.com/

Aucun garçon n’est né dans ce village polo­nais depuis 10 ans


Dans un village en Pologne, il manque des garçons. En effet, parmi les naissances, aucun garçon est né. De quoi à faire creuser les manèges des scientifiques.
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Aucun garçon n’est né dans ce village polo­nais depuis 10 ans

Crédits : commune de Miejsce Odrzańs­kie

par  Nicolas Pujos

Depuis pratique­ment une décen­nie, aucun garçon n’est né dans le village de Miejsce Odrzans­kie, dans le sud de la Pologne. Si bien que les filles ont pris la relève, formant notam­ment une brigade de pompiers exclu­si­ve­ment fémi­nine, rela­tait le New York Times le 6 août dernier.

Alors que des cher­cheurs tentent de comprendre le phéno­mène, pour l’heure inex­pliqué, le maire de la ville de Cisek, qui comprend le village de Miejsce Odrzans­kie, promet d’of­frir un cadeau au prochain couple qui aura un garçon.

« Les médias ont telle­ment parlé de nous que pendant une minute, j’ai envi­sagé de nommer une rue après le prochain garçon né ici », a déclaré Rajmund Frischko. « Il va certai­ne­ment avoir un très beau cadeau. Et nous plan­te­rons un chêne que nous bapti­se­rons d’après son nom. »

En atten­dant qu’il se décide à naître, les jeunes filles doivent prendre en charge toutes les acti­vi­tés du village de 272 habi­tants. Elles sont notam­ment pompiers volon­taires et travaillent dans les champs.

Pour mettre fin à cette étrange absence, reste les méthodes de grand-mère.

« Les monta­gnards polo­nais ont toujours fait preuve de ruse : si vous voulez un garçon, gardez une hache sous votre lit matri­mo­nial », suggère le maire en riant.

Jusqu’ici, ça n’a pas marché.

Source : The New York Times

https://www.ulyces.co/

La forme de l’oreille interne, révélatrice du sexe ?


Une découverte qui sera d’une grande utilité en archéologie ou même en médecine légale. Dans l’oreille, nous avons ce qui s’appelle la cochlée. C’est formation osseuse qui ressemble à un escargot et qui peut aider a savoir le sexe de la personne. Une aubaine, car c’est un os qui est le plus commun en archéologie.

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La forme de l’oreille interne, révélatrice du sexe ?

La forme de l’oreille interne, révélatrice du sexe

PM IMAGES VIA GETTY IMAGES

Une équipe franco-sud-africaine a fait des découvertes très intéressantes!

Une équipe franco-sud-africaine a découvert que la forme de la cochlée permet de déterminer le sexe d’un individu dès la naissance.

Les scientifiques expliquent avoir observé, sur un large échantillon de squelettes de diverses origines, une différence sexuée dans la torsion de la spirale cochléaire, ce qui offrirait une première méthode fiable de détermination du sexe d’un squelette, même en l’absence de tissus osseux sexuellement déterminés, comme la forme du bassin, ou de traces d’ADN.

La cochlée, une petite formation osseuse de l’oreille interne, est rattachée à l’os temporal qui est l’un des os les plus solides du squelette.

De ce fait, il s’agit de « l’un des os les plus communs dans les vestiges archéologiques », expliquent les auteurs de l’étude parue dans Science Reports. « La forme sexuée de la cochlée dès la naissance est vraisemblablement associée à un processus d’évolution complexe chez les humains modernes dont nous ignorons les raisons », ajoutent les scientifiques qui soulignent le « dimorphisme sexuel unique » des humains en matière auditive.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Un bébé naît deux mois après son jumeau


Des jumeaux nés a 2 mois d’intervalle. Le petit garçon est né seulement à 24 semaines alors que sa petite soeur est né à 33 semaines.. Grâce à l’équipe médicale qui a pu laisser intacte le placenta qui a permis a cette petite fille de poursuivre sa croissance jusqu’à sa naissance
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Un bébé naît deux mois après son jumeau

 

KAMSING VIA GETTY IMAGES

Dénouement heureux pour une situation plutôt complexe!

Une maman italienne a d’abord donné naissance à Alessandro le 24 décembre dernier, puis à Andrea le 22 février, événement rarissime pour des jumeaux, a indiqué jeudi à l’AFP une responsable de la maternité du nord de l’Italie où ont eu lieu les deux accouchements.

La mère de 40 ans avait dû être hospitalisée d’urgence en décembre 2018 et avait accouché d’Alessandro, bébé prématuré de 800 grammes âgé de moins de 6 mois (24 semaines).

Grâce à l’équipe médicale, le placenta est resté intact et l’autre jumeau a pu poursuivre sa croissance dans le ventre de sa mère.

L’histoire, très compliqué d’un point de vue médical, a eu un dénouement heureux lorsque 60 jours plus tard, Andrea, 3 kilos, a vu le jour à 33 semaines (8 mois).

« Toute la famille va bien, elle devrait sortir d’ici quelques jours », a précisé la responsable de la « Fondation pour l’Enfant et sa Mère » de la ville de Monza (près de Milan), qui gère la maternité. « C’est la première fois que nous voyons un cas de ce type », a-t-elle souligné.

Les deux jumeaux n’auront paradoxalement pas le même âge, ce qui a suscité la perplexité des services administratifs au moment de rédiger le certificat de naissance, raconte le père.

« Doit-on écrire que c’est le jumeau d’un autre qui n’est pas encore né? », se sont-ils demandés.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Il y a plus de 1000 ans, cette femme a accouché dans sa tombe


Quelle horreur ! Heureusement que la médecine obstétrique à évoluer depuis le Moyen-âge. Cette femme souffrait probablement d’éclampsie. Elle a donc subit un traitement, la trépanation et elle survécue au moins 1 semaine avant de mourir. Dans sa tombe, elle aurait accouché dû au gaz de la décomposition de son corps.
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Il y a plus de 1000 ans, cette femme a accouché dans sa tombe

 

image de l'article principal

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Une ancienne tombe médiévale retrouvée près de Bologne, en Italie, contenait une femme enceinte blessée à la tête avec un fœtus entre ses jambes. Grâce au positionnement des os, les chercheurs ont conclu qu’il s’agissait d’une « naissance de cercueil », quand un bébé est expulsé de force du corps de sa mère après sa mort.

La tombe, datant du VIIe-VIIIe siècle après J.-C., était retrouvée en 2010 à Imola, au nord de l’Italie. C’est parce que le squelette adulte avait été retrouvé face visible et intact que les archéologues ont déterminé qu’il s’agissait d’une sépulture. Le fœtus entre ses jambes et la blessure à la tête, cependant, ont demandé une enquête approfondie, récemment publiée dans la revue World Neurosurgery par des chercheurs des universités de Ferrare et de Bologne.

En se basant sur la longueur de l’os du fémur, les chercheurs ont tout d’abord déterminé que le fœtus était à environ 38 semaines de gestation. La tête et le haut du corps du bébé se trouvaient sous la cavité pelvienne, alors que les os de la jambe étaient toujours à l’intérieur. Cela signifie qu’il commençait à se préparer à la naissance. Bien que rare dans la littérature médico-légale contemporaine – et encore plus dans le dossier bioarchéologique – il pourrait s’agir ici d’un cas d’expulsion fœtale post-mortem, ou naissance de cercueil. La bioarchéologue Siân Halcrow, de l’Université d’Otago (Nouvelle-Zélande), explique que dans le cas de la mort d’une femme enceinte, le gaz produit lors de la décomposition normale du corps s’accumule parfois au point que le fœtus est expulsé de force.

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Crédits : Pasini et al. / World Neurosurgery

Cet exemple de naissance est intéressant d’un point de vue archéologique, mais l’état de santé de la mère le rend tout à fait unique : elle avait une petite marque sur son front et un trou circulaire de 5 mm juste à côté. Ce pourrait être, selon les chercheurs, les signes d’une trépanation, une ancienne forme de chirurgie du crâne. Non seulement la femme enceinte a été trépanée, mais elle a aussi vécu au moins une semaine après la chirurgie primitive. Dans l’article, les chercheurs italiens proposent une corrélation entre la chirurgie de la mère et sa grossesse : l’éclampsie.

« Parce que la trépanation était autrefois utilisée dans le traitement de l’hypertension pour réduire la pression artérielle dans le crâne, écrivent-ils, nous avons émis l’hypothèse que cette lésion pourrait être associée au traitement d’un trouble de grossesse hypertensive ».

L’éclampsie est l’apparition de crises chez une femme enceinte souffrant d’hypertension artérielle liée à la grossesse. Et particulièrement il y a quelques siècles, cette affection était probablement une cause fréquente de décès maternel. Une femme enceinte qui souffre de fièvres, de convulsions et de maux de tête au début du Moyen Âge pourrait très bien avoir été trépanée.

« Compte tenu des caractéristiques de la plaie et de la grossesse tardive, notre hypothèse est que la femme enceinte a subi une éclampsie, et qu’elle a ensuite été traitée avec une trépanation frontale pour soulager la pression intracrânienne », notent les chercheurs.

Si les conclusions des chercheurs sont correctes, l’état de la mère ne s’est malheureusement pas amélioré, et elle a été enterrée toujours enceinte dans une tombe bordée de pierres. Son corps se décomposant, son fœtus décédé a ensuite été partiellement expulsé.

Source

https://sciencepost.fr/

Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant


Une femme dans un état végétatif demandant des soins et surveillance 24/24 h depuis environs 10 ans, a accoucher d’un bébé. Comment elle a pu être violée ? Comment il se fait que personne n’a remarqué sa grossesse ? Comment un homme peut profiter ainsi de personnes aussi vulnérables ?
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Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant

 

bébé naissance

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Crédits : iStock

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Aux États-Unis, une femme plongée dans un état végétatif depuis une dizaine d’années aurait il y a quelques jours donné naissance à un petit garçon. La police de Phoenix, en Arizona, vient d’ouvrir une enquête pour agression sexuelle.

Une quasi-noyade avait laissé il y a une dizaine d’années cette femme dans un état végétatif. Elle réside depuis au Phoenix Hacienda HealthCare, qui lui prodigue des soins 24 heures sur 24. Une surveillance accrue, et pourtant, quelques jours après Noël, l’impensable s’est produit : la jeune femme a accouché d’un petit garçon en bonne santé. Personne ne la savait enceinte. Une enquête vient d’être ouverte pour agression sexuelle

« Cette affaire fait actuellement l’objet d’une investigation par la police de Phoenix », a confirmé à l’agence Reuters le sergent Tommy Thompson.

Un « incident extrêmement troublant »

« En tant qu’organisation, Hacienda HealthCare est fermement résolue à faire la lumière sur ce qui représente pour nous une affaire sans précédent, a de son côté déclaré David Leibowitz, porte-parole d’Hacienda HealthCare, dans un communiqué, qui prend bien évidemment conscience d’un incident extrêmement troublant » impliquant l’un de ses résidents. « Alors que les lois fédérales et nationales sur la vie privée nous interdisent de discuter publiquement de la santé ou du cas d’un patient, Hacienda a et continuera de coopérer pleinement avec les forces de l’ordre et tous les organismes de réglementation compétents concernant cette affaire », peut-on lire.

Cette affaire a par ailleurs fait émerger certaines voix particulièrement porteuses, dont celle de la militante Tasha Menaker, à la tête d’une association luttant contre les violences sexuelles et domestiques dans l’Arizona. La jeune femme exhorte la police à procéder à des prélèvements d’ADN auprès du personnel de la cliniqueafin d’identifier le coupable de cette agression

«Il n’est pas rare que les agresseurs fassent plusieurs victimes, ce qui nous inquiète, a-t-elle déclaré. De nombreux auteurs d’agression sexuelle recherchent en réalité des situations dans lesquelles des personnes se trouvent dans des positions isolées ou vulnérables».

Il ne s’agit pas d’une première

On note par ailleurs que ce n’est pas la première fois que l’établissement – spécialisé dans les soins de santé en Arizona pour les nourrissons, les enfants, les adolescents et les jeunes adultes souffrant de maladies chroniques et de troubles de développement – se retrouve au centre de ce genre d’affaire. Des cas similaires de maltraitance ont également été signalés en 2013, explique le Washington Post. Une enquête avait en effet révélé qu’un membre du personnel, depuis licencié, avait fait «des déclarations sexuelles inappropriées » à quatre patients.

Source

https://sciencepost.fr/

Naissance du premier bébé grâce à une greffe d’utérus d’une donneuse décédée


C’est un bel exploit ! Même si l’utérus est enlevé en même temps que la césarienne, a cause du traitement d’anti-rejet, c’est un espoir pour certaines femmes infertiles
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Naissance du premier bébé grâce à une greffe d’utérus d’une donneuse décédée

 

C'est la première fois qu'une transplantation d'utérus à... (PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE)

C’est la première fois qu’une transplantation d’utérus à partir d’une donneuse décédée aboutit à une naissance, et c’est aussi la première naissance avec greffe d’utérus en Amérique latine.

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

MARIE-PIERRE FEREY
Agence France-Presse
Paris

 

Le premier bébé conçu grâce à un utérus transplanté chez une femme infertile à partir d’une donneuse décédée est né il y a un an au Brésil, selon une étude publiée mercredi dans la revue The Lancet.

Sept mois après la naissance, le bébé – une petite fille – allait bien, pesait 7,2 kg et était toujours nourrie au sein par sa maman, également en bonne santé, précise l’étude de l’Hôpital universitaire de São Paulo qui a conduit la greffe en 2016.

C’est la première fois qu’une transplantation d’utérus à partir d’une donneuse décédée aboutit à une naissance, et c’est aussi la première naissance avec greffe d’utérus en Amérique latine.

Depuis la première greffe d’utérus d’une donneuse vivante, en 2013 en Suède, 39 transplantations ont été opérées dans le monde, dont 11 ont conduit à une naissance.

Toutes les greffes d’utérus prélevés post-mortem, soit une dizaine aux États-Unis, en République tchèque et en Turquie, avaient échoué avant cette première mondiale.

« Le recours à des donneurs décédés pourrait élargir considérablement l’accès à ce traitement, nos résultats apportent la preuve que cela peut fonctionner, pour offrir une nouvelle option aux femmes frappées par une infertilité d’origine utérine », a déclaré le Dr Dani Ejzenberg, qui a dirigé l’étude à l’Hôpital universitaire de São Paulo, cité par le Lancet.

« La seule grossesse survenue après une greffe d’utérus prélevé post-mortem date de 2011 en Turquie » et s’était soldée par une fausse couche, observe le Dr Srdjan Saso, du département obstétrique de l’Imperial College de Londres.

« Cette démonstration réussie présente plusieurs avantages par rapport à la greffe à partir de donneur vivant : elle s’appuie sur un réservoir de donneurs potentiel plus vaste, coûte moins cher et évite les risques pour le donneur vivant », ajoute-t-il.

Pour le professeur Andrew Shennan, obstétricien à Kings College London, l’opération réussie « ouvre la voie au don d’utérus post-mortem, comme c’est le cas pour d’autres organes » ce qui « permettrait aux femmes qui ne peuvent concevoir un bébé du fait d’un utérus défaillant de porter leur propre enfant, plutôt que de dépendre de donneurs vivants, ou de recourir à l’adoption ou à une mère porteuse ».

2,5 kg à la naissance

L’opération s’est déroulée en septembre 2016. La maman qui a reçu l’utérus avait 32 ans et était née sans utérus (syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser).

L’utérus greffé provenait d’une femme de 45 ans décédée d’un AVC et donneuse de plusieurs organes (coeur, foie et reins).

L’opération a duré au total 10 h 30 et a été suivie d’un traitement immunosuppresseur pour éviter le rejet du greffon.

Cinq mois après la greffe, la patiente avait des règles normales. La grossesse est survenue après le premier transfert d’embryon unique (obtenu par fécondation in vitro) sept mois après la greffe. 

La grossesse s’est déroulée sans encombre jusqu’à la naissance par césarienne à 36 semaines de gestation, le 15 décembre 2017. Les médecins ont préféré un accouchement légèrement prématuré par césarienne pour plus de sécurité.

Le bébé pesait 2,550 kilos à la naissance et était en parfaite santé. L’utérus greffé a été retiré pendant la césarienne, de façon à arrêter le traitement immunosuppresseur, très lourd, et l’enfant et la maman ont quitté l’hôpital au bout de trois jours.

Les auteurs de l’étude soulignent que la greffe d’utérus post-mortem peut ouvrir de nouvelles possibilités d’autant que beaucoup de pays ont déjà des systèmes de régulation des dons d’organes post-mortem.

En France, sur les 6105 greffes réalisées en 2017, l’essentiel provenait de donneurs post-mortem, et seulement 629 greffes de donneurs vivants (rein et foie). En 2017, 23 828 patients ont été en attente d’un organe.

On estime que l’infertilité affecte 10 à 15 % des couples en âge de procréer dans le monde. Parmi les femmes touchées, on estime qu’une femme sur 500 présente une anomalie de l’utérus. Pour ces femmes, l’adoption et le recours à une mère porteuse sont les seules solutions en l’absence de greffe.

https://www.lapresse.ca/

Ce Néerlandais de 69 ans se bat en justice pour avoir 20 ans de moins


Pauvre monsieur avec ses 69 ans, il n’a pas de réponse sur Tinder dans les sites de rencontre. Franchement ! Se faire rajeunir de 20 ans légalement et quoi encore ! Pour les autre raisons qu’il donne, ce n’est pas l’âge qui cause problème, mais bon. De toute façon, je trouve cet homme très arrogant prétendant que son corps est comme un jeune dieu.. Alors, comment se fait-il qu’il utilise un site de rencontre !!!
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Ce Néerlandais de 69 ans se bat en justice pour avoir 20 ans de moins

 

rédits : Roland Heitink/AFP

par  Dylan Kuperblum

 

Pour avoir subi, entre autre, des discriminations sur une application de rencontres, ce Néerlandais de 69 ans se lance dans un combat pour pouvoir légalement « perdre 20 ans » rapporte The Guardian ce jeudi 8 novembre.

Il affirme également ne pas ressentir son âge réel. L’homme qui travaille en tant que motivateur, une sorte de « gourou de la positivité », mais aussi en tant que formateur en

Devant un tribunal d’Arnhem, aux Pays-Bas, Ratelband a déclaré qu’il ne se sentait pas à l’aise avec sa date de naissance biologique, pour ensuite comparer son souhait de rajeunir légalement à celui de personnes qui changeraient de genre. En raison de son âge « officiel », qui ne reflète pas son état émotionnel, il avoue éprouver des difficultés à trouver du travail mais aussi l’amour. C’est pourquoi, il aimerait qu’on modifie sa date de naissance du 11 mars 1949 au 11 mars 1969. Ratelband affirme également être prêt à renoncer à son droit à une pension.

« À 69 ans, je suis limité. Si j’avais 49 ans, je pourrai acheter une nouvelle maison ou même conduire une voiture différente », explique-t-il. « Quand je suis sur Tinder, avec mes 69 ans, je n’obtiens pas de réponse. »

Il ajoute que, selon certains médecins, son corps ressemble à celui d’un homme de 45 ans. Il se décrit donc comme un jeune dieu.

« Ce n’est vraiment qu’une question de libre arbitre » s’est-il exclamé, à la fin des 45 minutes d’audience.

Source : The Guardian

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Le bébé naît avec des points rouge sang


Les enfants qui ont des maladies congénitales sont souvent des enfants admirables avec une force en eux qui nous donnent des leçons d’humilité, d’espoir et de persévérance. Ce garçon est né avec naevus mélanocytaire congénital, il a subi plusieurs opérations et transplantations de peau pour éviter un cancer de la peau. Toute sa vie, il devra être aux aguets de toutes taches sur son corps.
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Le bébé naît avec des points rouge sang

 

© Facebook/Dylan’s Amazing Journey

Le fait qu’un parent entende que « quelque chose ne va pas » chez votre nouveau-né est probablement l’une des choses les plus dures qu’une personne puisse entendre.

Mais peu importe à quel point les choses semblent être en votre défaveur, les enfants trouvent habituellement un moyen de s’en sortir et de surprendre même les plus sceptiques d’entre nous.

Leur courage et leur combattivité ont prouvé à maintes reprises que nous pouvons tous en tirer des leçons et en être inspirés.

Quand Dylan est né il y a cinq ans, ses médecins se sont vite rendu compte que quelque chose n’allait pas. La peau de son dos était rouge foncé et le reste de son corps était couvert de grandes taches noires.

Il s’est avéré que Dylan souffrait d’une maladie grave appelée naevus mélanocytaire congénital. Environ 80 % de son corps était couvert de taches de naissance.

Les médecins ont expliqué à la mère de Dylan, Kara, que son fils devrait subir plusieurs opérations au cours des premières années de sa vie.

Les patients souffrant de naevus mélanocytaire congénital présentent un risque élevé de cancer de la peau. Il est donc très important qu’ils gardent constamment un œil sur leurs taches de naissance.

La tâche gigantesque qui recouvrait la plus grande partie du dos de Dylan était si grosse que les médecins ont voulu l’enlever chirurgicalement. Mais ce ne serait pas une opération facile, car il fallait transplanter de la peau d’autres parties du corps du bébé.

© Facebook/Dylan’s Amazing Journey

Au fur et à mesure que Dylan grandissait, ses médecins décidèrent de procéder aux opérations les plus compliquées. Pour être en mesure de produire suffisamment de peau pour les greffes, les médecins devaient insérer des implants, semblables aux implants mammaires, dans le corps de l’enfant.

Dylan a porté les implants pendant trois mois et sa peau a grossi pendant cette période. L’idée était qu’il y aurait assez de peau en excès pour couvrir la zone de la tache gigantesque sur le dos du petit garçon quand elle serait enlevée.

© Facebook/Dylan’s Amazing Journey

Le nombre d’opérations que Dylan a subies jusqu’à présent est loin d’être négligeable. Après 26 opérations, environ la moitié de la gigantesque tâche du garçon a été enlevée.

« Nous gardons l’espoir que les taches ne deviennent jamais cancéreuses, mais il pourrait développer un cancer à tout moment « , a déclaré sa mère, Kara, au Telegraph. « Il se fait opérer tous les trois à six mois, selon la partie du corps. »

Malgré toutes les interventions chirurgicales et le temps passé en convalescence, Dylan est un petit garçon heureux.

© Facebook/Dylan’s Amazing Journey

« Nous essayons de faire ce qu’il y a de mieux pour lui, nous voulons lui donner la vie la plus longue possible, » a dit Kara au Telegraph. « Dylan m’étonne constamment, il a toujours le sourire aux lèvres et a l’impression que l’hôpital lui appartient, toutes les infirmières le connaissent et l’aiment. »


© Facebook/Dylan’s Amazing Journey

Dylan est bien conscient qu’il a l’air différent de la plupart des enfants. Les inconnus s’arrêtent souvent et le fixent quand il est en public. Quand cela arrive, Dylan leur explique simplement pourquoi il a l’air comme ça.

En général, les gens sont juste curieux et pas trop méchants. Il y a cependant des moments où les gens ont été vraiment méchants.

« Une fois dans un supermarché, un directeur de magasin nous a demandé de partir parce qu’un de ses clients était contrarié d’avoir vu notre enfant, ce qui était très bouleversant, » dit Kara.

Mais la mère refuse de se cacher ou d’avoir honte de son fils.

« Je n’ai pas du tout peur de sortir avec lui et je ne veux pas qu’il s’inquiète ou pense qu’il devrait avoir honte de quelque chose. »

Les parents de Dylan ont créé une page Facebook pour les personnes qui veulent suivre son cheminement vers le rétablissement. Veuillez cliquer sur ce lien pour plus d’informations.

Dylan est un petit garçon courageux et absolument adorable malgré ses taches de naissance. Nous espérons vraiment que le reste de ses opérations se déroulera bien.

https://fr.newsner.com/

Aucune femme n’avait accouché sur cette île depuis 12 ans: logique


Un premier bébé en 12 ans est né sur une île ou il est interdit de mettre au monde des enfants, tout simplement qu’il n’y a pas de maternité. Les mamans doivent rejoindre le continent pour accoucher. Sauf une qui ne savait pas qu’elle était enceinte. Cela veut sans dire que les mamans doivent quitter l’île au cours de la grossesse pendant plusieurs semaines. Il devrait avoir au moins des sage-femme avec un dispensaire.
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Aucune femme n’avait accouché sur cette île depuis 12 ans: logique,

 

 

© thinkstock.

Fernando de Noronha, petite île du Brésil, ne comporte pas de maternité. Les futures mamans sont priées de rejoindre le continent pour accoucher. Un impératif que n’a pu respecter une femme en déni de grossesse.

Pas de maternité, pas de bébé. Sur l’île de Fernando de Noronha (Brésil), aucune structure n’existe pour accueillir les mamans sur le point de donner la vie. Les accouchements sont donc interdits sur lîle et les femmes enceintes doivent obligatoirement rejoindre le continent.

Mais le week-end dernier, une jeune mère de 22 ans n’a pu se plier à cette règle. Et pour cause, elle n’était pas consciente de sa grossesse.

« Le vendredi soir, j’ai ressenti des douleurs et quand je suis allée à la salle de bain, j’ai aperçu quelque chose entre mes jambes. Le père de l’enfant est venu et l’a récupéré. C’était un bébé, une fille. J’étais stupéfaite », confie-t-elle anonymement au média brésilien O Globo.

Le bébé a rapidement été transféré à l’hôpital local. Une « naissance surprise » confirmée par l’administration locale. Une première depuis 12 ans. Plusieurs habitants de l’île ont salué cette  arrivée en offrant des cadeaux aux heureux parents.

http://www.7sur7.be/