On ne sait jamais


Nous avons tous eu des personnes qui sont disparus et les regrets de ne pas avoir dit comment nous les aimions. Pourtant, nous continuons à croire que nous ou ceux que nous apprécions sont éternelle et que nous avons le temps d’exprimer notre gratitude, notre amour pour eux
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On ne sait jamais

 

Il faut toujours dire aux gens qu’on les aime, car on n’est jamais sûr de les revoir.
La vérité, c’est que tu ne sais jamais ce qu’il va t’arriver demain. La vie est un manège fou, rien n’est garanti

Inconnu

Mystérieux squelette d’Atacama : non, ce n’est pas un extraterrestre !


Le squelette d’Atacama au Chili n’est pas un extraterrestre, même si sa morphologie est étrange. En fait, cette fille avait une mutation génétique qui explique sa petite taille de 15 cm Elle est morte soit mort-née ou après sa naissance.
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Mystérieux squelette d’Atacama : non, ce n’est pas un extraterrestre !

 

 

AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Des chercheurs ont réussi à comprendre la morphologie insolite d’Ata, un squelette retrouvé dans le désert d’Atacama en 2003.

ETONNANT. Un crâne très allongé. Surmonté d’une crête. Sur un corps ne mesurant que 15 centimètres. En 2003, le monde était ébahi devant ce squelette retrouvé dans le désert d’Atacama, au Chili. Etait-ce un primate non humain ? Un extraterrestre ? La réponse, apportée une décennie plus tard, fut sans appel : l’ADN prélevé dans la moelle osseuse était bien celui d’un humain. Ce premier mystère résolu, les chercheurs ont pu s’intéresser plus en profondeur aux causes de cette morphologie insolite. Une équipe a publié le 23 mars 2018 ses résultats : Ata – du nom du petit être – est une fille qui présente des mutations génétiques rares associées au nanisme

« Nous savons maintenant qu’il s’agit d’un enfant, sans doute mort-né ou décédé après sa naissance », a déclaré à l’AFP Garry Nolan, auteur principal de l’étude et professeur de microbiologie et immunologie à l’université de Stanford, en Californie.

Comme le rappelle l’étude, publiée le 23 mars 2018 dans la revue Genome Research (lien en anglais), les experts estimaient auparavant que les os appartenaient à quelqu’un âgé de six à huit ans.

 

Une fille de l’île de Chiloé

Le squelette momifié a été retrouvé il y a 15 ans, derrière une église du désert le plus aride du monde, glissé dans une pochette en cuir. Le bon état de ces restes laisse imaginer qu’il date de quarante ans tout au plus. Les chercheurs ont pu analyser de plus près les chromosomes sexuels de cet humain.

« Ces résultats nous ont conduit à déduire que l’Ata était une fille avec deux chromosomesX », écrivent-ils dans leur étude.

Ils ont également séquencé le génome et l’ont comparé aux génomes de cinq « super-populations » : Africains, Américains, Est-asiatiques, Européens et enfin Sud-asiatiques. Grâce à ce procédé, l’équipe a pu déterminer qu’Ata était originaire d’Amérique du Sud, de l’île de Chiloé au Chili.

Des études antérieures avaient déjà démontré la présence de mutations génétiques qui auraient causé l’apparence spectaculaire du squelette. Ici, les chercheurs ont identifié dans l’ADN de nouvelles zones présentant des anomalies. Selon eux, il est tout à fait probable que l’association de mutations déjà connues avec cette nouvelle découverte soit responsable de « la petite taille d’Ata, le nombre de côtes inapproprié, [des] caractéristiques crâniennes anormales ».

« Je pense qu’il devrait être remis au pays d’origine et enterré selon les coutumes de la population locale »

Par la gravité de ces mutations et les quelque 15 centimètres de taille du squelette, les chercheurs estiment qu’il « semble probable que l’échantillon était une naissance prématurée ». L’équipe s’avance même sur la raison de l’apparition de ces mutations génétiques :

 « Le spécimen a été trouvé à La Noria, l’une des nombreuses villes minières abandonnées du désert d’Atacama, suggérant un rôle possible pour l’exposition prénatale au nitrate. »

Elle reconnaît cependant que de futures études génétiques devront approfondir la cause de cette morphologie, tant au niveau moléculaire que de la population.

Cette la découverte pourrait mener, un jour, à des traitements pour les personnes souffrant de problèmes osseux, estime Garry Nolan. Pour l’instant, il souhaite que le squelette – propriété d’un collectionneur espagnol – retourne au Chili.

« Je pense qu’il devrait être remis au pays d’origine et enterré selon les coutumes de la population locale ».

Avec AFP

https://www.sciencesetavenir.fr/

L’endroit où nous vivons conditionne la façon dont fonctionne notre cerveau


La façon de voir la psychologie est en train d’évoluer. Généralement, il y a des bases qu’on peut relier à un groupe de personne. Aujourd’hui, on comprend maintenant, que d’ou l’on vient, notre héritage culturel influence beaucoup notre perception, la mémorisation, le cognitif, et même certains syndromes en psychiatrie. Un Occidental n’aura pas la même réponse sur une question, comme par exemple se décrire soi-même. Il est même prouver que ce ne sont même pas les mêmes régions du cerveau qui s’active… Une avancée en psychologie qui semble intéressante
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L’endroit où nous vivons conditionne la façon dont fonctionne notre cerveau

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Méandres de la psyché | Daniel Hjalmarsson via Unsplash License by

Nicolas Geeraert

Les Japonais mémorisent différemment des Américains, et les Occidentaux ne se décrivent pas de la même manière que les Africains ou les Asiatiques.

La psychologie, en tant que discipline universitaire, a largement été développée en Amérique du Nord et en Europe. D’aucuns considèrent qu’elle nous permet de comprendre ce qui motive nos comportements et nos processus mentaux, que l’on a longtemps considérés comme universels.

Au cours des dernières décennies, certains chercheurs ont commencé à remettre en question cette approche, faisant valoir que de nombreux phénomènes psychologiques sont façonnés par la culture dans laquelle nous vivons.

Échantillons non représentatifs

Bien sûr, les humains, où qu’ils vivent, sont très semblables –après tout, nous partageons la même physiologie et éprouvons les mêmes besoins, qu’il s’agisse d’alimentation, de sécurité ou de sexualité. Quelle influence la culture peut-elle bien avoir sur les aspects fondamentaux de notre psychisme, tels que la perception, la cognition et la personnalité?

Les chercheurs en psychologie, à travers leurs expériences, étudient généralement le comportement d’un petit groupe de personnes, en partant du principe qu’il peut être généralisé à l’ensemble de la population humaine. Si l’on considère que la population est homogène, de telles inférences peuvent effectivement être faites à partir d’un échantillon aléatoire.

Ce n’est pourtant pas le cas. La plupart du temps, les chercheurs en psychologie mènent leurs études en expérimentant sur des groupes composés d’étudiantes et étudiants de premier cycle, tout simplement parce qu’ils sont une ressource proche et disponible. Plus important encore, plus de 90% des personnes participant à des expériences en psychologie viennent de pays occidentaux, éduqués, industrialisés, riches et démocratiques. Il est évident qu’elles ne représentent un échantillon ni aléatoire ni représentatif de la population humaine.

Styles de pensée

Un panda, un singe et une banane: d’après vous, dans cette liste, quels éléments font la paire? Les répondants des pays occidentaux choisissent couramment le singe et le panda, parce que les deux sont des animaux. Il s’agit d’un style de pensée analytique, dans lequel les objets sont perçus indépendamment de leur contexte.

Les participants des pays orientaux, quant à eux, retiennent souvent le singe et la banane, parce que ces objets appartiennent au même environnement et partagent une relation –les singes mangent des bananes. Il s’agit d’un style de pensée holistique, dans lequel l’objet et le contexte sont perçus comme étant interconnectés.

Dans une étude bien connue des différences culturelles associées à différents styles de pensée, on a présenté à des Japonais et à des Américains une série de scènes animées. D’une durée d’environ vingt secondes, chaque scène montrait diverses créatures aquatiques, de la végétation et des roches, dans un décor sous-marin.

On demandait ensuite aux deux groupes de se remémorer ce qu’ils avaient vu: les participants se souvenaient tous des objets les plus marquants, à savoir les plus gros poissons, mais les Japonais étaient plus aptes à se remémorer des éléments de l’arrière-plan que les Américains. Ils avaient noté, par exemple, la couleur de l’eau: leur style de pensée holistique se concentre à la fois sur l’arrière-plan et le contexte, et sur le premier plan.

L’expérience démontre clairement comment les différences culturelles peuvent affecter quelque chose d’aussi fondamental que notre mémoire –toute théorie sur la mémoire devrait logiquement en tenir compte.

Des études ultérieures ont montré que les différences culturelles qui influencent les styles de pensée sont omniprésentes dans la cognition: elles affectent la mémoire, l’attention, la perception, le raisonnement et la façon dont nous parlons et pensons.

Description de soi et des autres

Si on vous demandait de vous décrire, que diriez-vous? Avanceriez-vous des caractéristiques personnelles –intelligence, humour– ou mentionneriez-vous des préférences, comme

«J’adore la pizza»? Peut-être parlierez-vous de votre position sociale, en disant «J’ai un enfant»?

Les psychologues sociaux soutiennent depuis longtemps que les gens sont beaucoup plus susceptibles de se décrire et de décrire les autres en termes de caractéristiques personnelles stables. Leur méthode de description semble néanmoins étroitement liée à leur culture.

Les individus du monde occidental sont plus susceptibles de se considérer comme des individus libres, autonomes et uniques, possédant un ensemble de caractéristiques fixes. Dans de nombreuses autres parties du monde, les gens se décrivent avant tout comme faisant partie intégrante de différents cercles sociaux et fortement liés les uns aux autres. Ce phénomène est plus répandu en Asie, en Afrique et en Amérique latine; il renvoie à d’autres manières d’aborder les relations sociales, la motivation et l’éducation.

Cette différence dans la construction de l’identité a même été démontrée au niveau du cerveau. Dans une étude par imagerie cérébrale (IRMf), les chercheurs ont montré des qualificatifs à des participants chinois et américains et leur ont demandé dans quelle mesure ils se reconnaissaient dans ces traits de caractère. On les a également incité à réfléchir à la façon dont ils se représentaient leur mère, tandis que leur activité cérébrale était observée grâce au scanner.

Dans les réponses cérébrales des participants américains, on observait dans le cortex préfrontal médian –une région du cerveau habituellement associée aux représentations de soi– une nette différence entre la représentation de soi et la représentation de leur mère. Chez les participants chinois, il y avait peu ou pas de différence entre les deux représentations –ce qui signifie que la représentation de soi recoupe en grande partie la représentation que l’on se fait du proche parent.

Syndromes spécifiques

La culture peut également affecter notre compréhension de la santé mentale. En raison de l’existence de différences culturelles, notre cadre de réflexion habituel –fondé sur la détection des comportements déviants ou non normatifs– est incomplet. Ce qui peut être considéré comme normal dans une culture –par exemple la modestie– peut être considéré comme s’écartant de la norme dans une autre –et qualifié, à la place, de phobie sociale.

Un certain nombre de syndromes sont d’ailleurs spécifiques à une culture donnée. En Asie, le syndrome de Koro touche des hommes –surtout en Asie– qui croient à tort que leur pénis se rétracte et va disparaître. Au Japon, le terme de Hikikomori décrit les individus solitaires qui se retirent de la vie sociale. Dans les pays méditerranéens, le syndrome du mauvais œil consiste à croire que la jalousie ou le simple fait d’envoyer un regard noir à autrui peut causer des malheurs à la personne qui en fait les frais.

L’Organisation mondiale de la santé et l’Association américaine de psychiatrie ont récemment reconnu l’existence de certains de ces syndromes liés à une culture particulière, en les incluant dans leurs classifications des maladies mentales.

Distinguer le culturel de l’universel

Il est évident que la culture joue un rôle dans la façon dont nous nous percevons nous-mêmes et dont nous sommes perçus par les autres –pour l’instant, nous avons à peine commencé à explorer ce champ de connaissances.

Ce domaine, connu sous le nom de «psychologie interculturelle comparative» cross-cultural psychology»), est de plus en plus enseigné dans les universités du monde entier. La question est de savoir dans quelle mesure elle changera la psychologie telle que nous la connaissons aujourd’hui –certains la considèrent en effet comme une dimension supplémentaire, tandis que d’autres la voient comme un élément central de l’élaboration de la théorie en psychologie.

En poussant plus loin nos investigations dans cette direction, nous pourrions bien constater que les différences culturelles s’étendent à de nombreux autres domaines dans lesquels le comportement humain était auparavant considéré comme universel. C’est à cette seule condition que nous serons peut-être capables, un jour, d’identifier ce qui relève de l’universel dans l’esprit humain.

http://www.slate.fr/

Créer de l’eau potable à partir de l’air du désert, c’est possible!


Les scientifiques prédisent que 50 % de la population mondiale va manquer de l’eau d’ici quelques années. Les chercheurs améliorent une technique peu coûteuse et plus durable pour amasser l’eau à partir de l’humidité même dans un désert. Pour le moment, il est petit et ne peut ramasser qu’un quart de litre, ils espèrent réussir pour fabriquer l’appareil plus gros et ainsi amasser plusieurs litres d’eau pour les besoins d’une maisonnée
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Créer de l’eau potable à partir de l’air du désert, c’est possible!

 

Le nouveau dispositif permet d'extraire l'humidité d'un air très sec.

Le nouveau dispositif permet d’extraire l’humidité d’un air très sec.  Photo : MIT

Des tests menés sur le terrain en Arizona, aux États-Unis, confirment qu’un dispositif présenté l’an dernier par une équipe américaine est bel et bien capable de créer de l’eau potable à partir de l’air très sec du désert.

Explications.

Un texte d’Alain Labelle

Même dans les régions les plus arides de la Terre, il y a de l’humidité dans l’air. Des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’Université de Californie à Berkeley ont mis au point un appareil capable d’extraire l’eau de l’humidité présente dans l’air, et ce, même si elle est pratiquement inexistante.

Dans un monde où l’eau potable est de plus en plus rare, et où de graves pénuries d’eau affectent déjà plusieurs pays, le potentiel de cette invention est grand. Particulièrement lorsqu’on pense au futur, alors que la population humaine ne cessera d’augmenter dans un monde frappé par les effets du réchauffement du climat.

Créer de l’or bleu

Cette technologie pourrait éventuellement fournir un nouveau moyen d’obtenir de l’eau propre et fraîche presque partout sur Terre, en puisant l’eau directement de l’humidité de l’air, même dans les endroits les plus secs.

L’équipe de recherche, qui inclut des ingénieurs et des chimistes, affirme qu’il reste encore beaucoup de travail à réaliser pour utiliser son concept d’extraction de l’eau de l’air à grande échelle, mais elle se dit encouragée par les résultats des tests réalisés à Tempe, une ville au climat aride située en banlieue de Phoenix.

Vous pouvez vraiment obtenir de l’eau potable directement à partir de l’air le plus sec du désert. Evelyn Wang, MIT

Des technologies existent déjà pour extraire l’eau de l’air très humide, par exemple des systèmes de récolte d’eau à partir du brouillard. Elles ont d’ailleurs été déployées dans un certain nombre de zones côtières. Certaines méthodes permettant de retirer l’humidité de l’air sec existent aussi, mais sont très coûteuses.

La présente invention est toutefois la première qui pourrait être utilisée à grande échelle pratiquement n’importe où, quel que soit le taux d’humidité, et à des coûts moindres.

En fait, la technique permet d’extraire de l’eau dans de l’air n’ayant un taux d’humidité que de 10 %. Par comparaison, les méthodes actuelles exigent des niveaux beaucoup plus élevés, avoisinant les 100 % d’humidité pour les méthodes de récolte du brouillard, et plus de 50 % pour les systèmes à base de rosée. En outre, ces deux méthodes nécessitent de grandes quantités d’énergie pour le refroidissement.

Le nouveau procédé a recours à un genre de matériau en mousse attirant l’humidité et utilise des interactions entre des molécules organiques et une surface métallique. Elle est entièrement alimentée par la chaleur du soleil.

Le détail des tests est publié dans la revue Nature Communications.

Alimenter une maison

La version testée sur le terrain inclut quelques améliorations par rapport au concept initial décrit l’an dernier dans la revue Science. Elle permet même d’extraire l’eau à des températures sous zéro.

Toutes les interrogations soulevées l’an dernier ont été positivement réglées dans nos tests. Evelyn Wang, MIT

Le petit prototype testé n’a servi qu’à prouver la valeur du concept, et sa grosseur devra être augmentée pour réussir à produire un quart de litre d’eau par jour, un rendement jusqu’à trois fois supérieur à celui de l’actuelle version.

De plus, le nouveau système ne nécessite pas de pompes ni de compresseur qui peuvent s’user.

« Il peut être utilisé de manière totalement passive, dans des endroits à faible humidité, mais avec de grandes quantités de lumière du soleil », explique Hyunho Kim du MIT.

La prochaine étape est donc de créer un appareil plus gros et plus efficace capable de produire les litres d’eau nécessaires pour alimenter une maison.

Des tests de qualité de l’eau ont aussi été menés et n’ont montré aucune trace d’impuretés.

http://ici.radio-canada.ca/

Découverte d’une protéine anti-cancer du foie


Le cancer du foie souffrant touche surtout les hommes souffrant déjà d’une cirrhose et cette maladie est souvent découverte trop tard. Un espoir cependant avec la découverte d’une protéine. Elle a l’avantage d’empêcher la prolifération des cellules cancéreuses. Son absence donne une espérance de vie de 2 ans. Cette découverte peut permettre de meilleurs traitements
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Découverte d’une protéine anti-cancer du foie

 

Découverte d'une protéine anti-cancer du foie

Photo Fotolia

Paris | Une protéine ayant le potentiel de ralentir le développement du cancer du foie a été découverte, promettant un diagnostic plus rapide et une survie meilleure, a annoncé mercredi l’université de Bâle (Suisse).

Ce type de cancer touche majoritairement des hommes plutôt âgés qui souffrent déjà d’une cirrhose. Et il n’est souvent repéré qu’à un stade très avancé, amoindrissant l’espérance de vie.

« La protéine, appelée LHPP, empêche la prolifération incontrôlée des cellules cancéreuses dans le foie », a indiqué l’université helvétique dans un communiqué.

L’absence de cette protéine diminue de deux ans la durée de vie des patients. Le traitement à développer consisterait donc à rétablir, par la génétique, la production de cette protéine, chez ceux qui ne l’ont pas.

Autre avantage maintenant que nous la connaissons, d’après les chercheurs:

la détecter « comme biomarqueur pourrait permettre aux cliniciens d’offrir de meilleurs choix de traitement ».

La découverte, publiée dans la revue Nature, a été faite grâce à l’analyse de 4.000 protéines, en comparant tissus sains et tumeurs du foie chez des souris.

L’une d’entre elles s’est dégagée: la LHPP, une enzyme de la famille des phosphatases d’histidine.

« Il est frappant que la LHPP soit présente dans les tissus sains et complètement absente dans les tissus tumoraux », a commenté l’auteur principal de l’étude, Sravanth Hindupur. « De la même manière que sur le modèle de la souris, nous avons également vu une chute frappante des niveaux de LHPP sur les tumeurs des patients atteints d’un cancer du foie », a-t-il ajouté.

http://fr.canoe.ca/