Combien de minutes dois-je courir pour ce chocolat?


Sur les étiquettes des aliments, il est noté les calories par portions. Je crois que noter le temps qu’il faut pour dépenser ce que l’on mange, cela aiderait sûrement à faire de meilleurs choix.
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Combien de minutes dois-je courir pour ce chocolat?


WIKOSKI VIA GETTY IMAGES

Le calcul des calories : une autre fausse bonne idée.

By Agence Science-Presse

Plutôt que d’écrire le nombre de calories sur une étiquette, ne serait-il pas plus utile d’écrire la quantité d’exercice à faire pour compenser?

Ainsi, « quatre heures de marche » pourrait s’avérer un meilleur avertissement que le nombre de calories d’une pizza. C’est ce qu’allèguent des chercheurs de l’Université Loughborough, en Angleterre. Leur analyse de 14 études sur l’impact des étiquettes leur fait conclure que ce type d’information pourrait réduire la consommation moyenne d’une personne de 200 calories par jour.

L’auteure principale, Amanda Daley, déclare que certains seraient en fait « choqués » d’apprendre combien d’heures d’exercices il leur faudrait pour brûler les calories associées à certains aliments.

L’équation ne sera toutefois pas aussi simple à tous les coups. Les experts en médecine du sport ont découvert ces dernières années qu’une quantité accrue d’exercice ne se traduit pas automatiquement en une réduction de poids, un phénomène dont les racines peuvent être tantôt liées au métabolisme de chacun, tantôt au fait que, passé un certain seuil, un exercice intense ne fait pas plus de différence qu’un exercice léger. Et c’est sans compter la psychologie : un exercice intense le matin peut conduire une personne à marcher beaucoup moins que d’habitude le reste de la journée… même avec un gâteau au chocolat.

https://quebec.huffingtonpost.ca

Contraint de courir sur un tapis roulant, ce chat use d’un stratagème


Cinder est un chat en surpoids. Le vétérinaire lui fait faire un peu d’entraînement physique sur un tapis roulant. Cinder n’est vraiment pas content de cette initiative, malgré tout, il fait un tout petit effort pour satisfaire son tortionnaire. Blague à part c’est triste quand même
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Contraint de courir sur un tapis roulant, ce chat use d’un stratagème

Des exercices pour améliorer l’autonomie des aînés


Suite a des hospitalisation ou quelque chose de similaire, les ainés ont tendance a devenir plus sédentaire et le risque de chute est plus grand. Le fait de prescrire des exercices pour les ainés aidera probablement à les faire qu’une simple recommandation.
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Des exercices pour améliorer l’autonomie des aînés

 

Les exercices sont prescrits au patient par son... (PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE)

Les exercices sont prescrits au patient par son médecin au même titre que la médication qu’il devra prendre. Il ne s’agit pas d’une simple recommandation, et cela ajoute une certaine urgence à la chose.

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

 

JEAN-BENOIT LEGAULT
La Presse Canadienne
Montréal

Les personnes âgées ont souvent tendance à se sédentariser au terme de leur hospitalisation, ce qui les rend encore plus fragiles et augmente leur risque de chutes et donc d’une nouvelle hospitalisation.

Un nouveau programme développé par deux chercheuses montréalaises pourrait toutefois briser ce cercle vicieux en permettant aux médecins de prescrire aisément des exercices physiques à leurs patients âgés au moment de leur congé, de manière à accentuer leur autonomie.

Mylène Aubertin-Leheudre et Marie-Jeanne Kergoat, qui enseignent respectivement au département des sciences de l’activité physique et à la faculté de médecine de l’Université de Montréal, ont mis au point un « arbre décisionnel » basé sur deux « tests » : le lever de la chaise – qui mesure la capacité cardiorespiratoire du patient – et un test d’équilibre qui permet de savoir si le patient est à risque ou non de chuter.

Ces deux tests fournissent un score au physiothérapeute ou au médecin, ce qui mène ensuite à l’un des 27 programmes d’exercices qui ont été créés.

Et c’est là une facette cruciale de cette approche : les exercices sont prescrits au patient par son médecin au même titre que la médication qu’il devra prendre. Il ne s’agit pas d’une simple recommandation, et cela ajoute une certaine urgence à la chose.

« Le médecin dit à son patient, ‘Basé sur votre test, je vous prescris ce programme d’activité physique à faire à la suite de votre séjour hospitalier pour continuer à être autonome et redevenir en forme’ », a précisé Mme Aubertin-Leheudre.

À raison de 15 ou 20 minutes par jour, les patients sont par exemple invités à se lever plusieurs fois d’une chaise d’affilée sans se tenir avec les mains, à faire le balancier sur une jambe et l’autre en se tenant après une table, à se déplacer de côté ou en avant et en arrière, à lever les genoux en alternance en ayant une table à côté d’eux, ou encore à se mettre sur la pointe des pieds ou les talons en alternance.

Les chercheurs espéraient que la vingtaine de participants à leur projet effectueraient leurs exercices trois fois par semaine. Ils les ont plutôt faits quatre ou cinq fois.

D’emblée, l’étude a démontré une amélioration de la vitesse de marche et de l’équilibre des aînés. Aucune augmentation du nombre de chutes n’a été détectée. Les aînés ont aussi fait état d’une meilleure qualité de vie.

La prochaine étape du projet consistera à comparer le recours aux services de santé des patients qui auront fait ces exercices à celui des patients qui ne l’auront pas fait.

https://www.lapresse.ca

Le Saviez-Vous ► Combien d’exercice un chien a-t-il besoin de faire chaque jour ?


On choisit surtout un animal par coup de coeur, cependant on oubli que chaque chien ont des particularités qu’il faut tenir compte. Avoir un chien qui a de l’énergie doit se dépenser pour être heureux. Il faut donc réfléchir sur nos propres activités, notre disponibilité avant de choisir un chien.
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Combien d’exercice un chien a-t-il besoin de faire chaque jour ?

 

chien court content

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Il n’est pas rare que par temps de pluie, le soir en rentrant du travail ou même tôt le matin, vous fassiez au plus vite pour sortir votre chien. Après tout, il aura l’occasion de se dépenser le week-end. Pourtant, d’après les vétérinaires, chaque chien a besoin d’une dose quotidienne d’exercice physique qu’il est absolument nécessaire de respecter.

Pourquoi ? Pour éviter d’éventuels dégâts à la maison, rendre votre toutou heureux, bien dans sa peau et surtout le maintenir en bonne santé. Mais de quelle quantité d’exercice a-t-il besoin ? En réalité, plusieurs facteurs sont à prendre en compte !

Bien que les besoins en matière d’exercice dépendent, comme vous allez le voir, de l’âge, de l’état de santé, de la race et de la taille de votre chien, celui-ci devrait normalement consacrer 30 minutes à 2 heures à une activité physique quotidienne. Au fil du temps, vous serez en mesure de déterminer la quantité d’exercice qui convient à votre chien en fonction de son niveau d’énergie lors des activités sportives et de son comportement durant le reste de la journée.

1. L’âge de votre chien

Dans la plupart des cas, les jeunes chiens ont plus besoin de se dépenser que les chiens plus âgés. En effet, ces derniers nécessitent généralement moins d’exercice, d’autant plus s’ils ont des problèmes de santé.

Une bonne technique pour quantifier la durée d’exercice quotidienne pour un chiot de moins d’un an est d’ajouter 5 minutes à chaque mois sa vie. Par exemple, si votre chiot a 6 mois, il aura besoin de 35 minutes de défoulement quotidien. Et même deux fois par jour s’il est en demande. Mais pas plus ! En effet, trop d’exercice physique pourrait impacter sa croissance.

À noter qu’un chien est considéré comme étant âgé à partir de l’âge de 7 ans. Ou 10 ans pour les petites races.

2. L’état de santé de votre chien

Si l’état de santé de votre chien ne permet pas de l’emmener faire de longues promenades ou de pratiquer des séances de jeux intensives avec lui, n’hésitez pas à mettre le paquet sur la stimulation mentale à la maison ou en extérieur. Pour cela, achetez-lui ou fabriquez-lui des jeux intelligents. Cela lui permettra de faire travailler son flair, son cerveau ou sa vue.

Si votre chien a un problème médical (dysplasie de la hanche, maladie cardiaque ou respiratoire…), il est plus prudent de discuter avec un vétérinaire afin de connaître la routine d’exercice qui l’aidera à rester en bonne santé sans lui causer de gêne. Par ailleurs, pour les chiens qui ont des problèmes d’articulations, la natation peut être une excellente alternative à l’exercice physique.

Attention toutefois, si vous prévoyez de faire reprendre une activité physique à votre chien, notamment pour lui faire perdre du poids, parlez-en toujours au préalable avec un vétérinaire. De plus, veillez à ce que l’effort soit toujours progressif !

3. La taille et la race de votre chien

En règle générale, les chiens qui nécessitent le moins d’activité physique à l’âge adulte sont les races les plus petites (Chihuahua, Yorkshire Terrier…) et les races géantes (Grand Danois, Saint-Bernard…). Ainsi, les plus petits chiens auront généralement besoin de 20 à 40 minutes d’exercice par jour. Contre 40 à 60 minutes pour les plus grands. Il existe cependant quelques exceptions, comme le Jack Russell par exemple, qui déborde bien souvent d’énergie.

Par ailleurs, les races brachycéphales, c’est-à-dire avec le nez écrasé (Carlin, Bouledogue…), exigent également moins d’activité physique à cause des difficultés respiratoires dont ils sont souvent victimes.

Enfin, il existe des races de chiens particulièrement sportives et qui ont un gros besoin d’exercice. C’est notamment le cas du Border Collie, du Husky Sibérien, du Berger Belge Malinois ou encore du Labrador Retriever. Pour rester en bonne santé, ces chiens devraient normalement se dépenser 80 à 120 minutes par jour.

Source

https://animalaxy.fr/

Le Saviez-Vous ►13 conseils pour s’adapter au froid


 

Le froid a des effets positifs et négatifs sur notre corps, notre moral ainsi que notre perception.
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13 conseils pour s’adapter au froid

Hiver froid : le froid est contagieux.

Lightspring/Shutterstock

Par Danielle Groen

En tant que citoyens d’un pays plutôt nordique, il vaut mieux comprendre de quelles façons notre corps et notre esprit réagissent aux basses températures. Voici 13 conseils pour mieux s’adapter au froid et en faire son allié.

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Le froid est contagieux

Des chercheurs britanniques et allemands ont constaté qu’après avoir regardé des vidéos de gens plongeant les mains dans l’eau glacée, la température de celles de leurs sujets avait chuté jusqu’à 0,2°C.

2 / 13

Pour se sauver des virus et bactéries

En hiver, on n’attrape rien en restant dehors. Il faut d’abord avoir croisé une personne contagieuse, explique le Dr. David Proud, professeur en physiologie et en pharmacologie à l’Université de Calgary :

« Vous courez plus de risques dans des lieux exigus et bondés. »

3 / 13

Froid et médication

Les bêtabloquants contre l’hypertension artérielle augmentent la sensibilité au froid. Si vous en prenez, habillez-vous chaudement et évitez d’être trop longtemps dehors par temps glacial.

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Hiver froid : rester dehors.

Newman Studio/Shutterstock

Rester dehors

Songez à demeurer à l’extérieur sans rien faire. Des chercheurs américains ont démontré que grelotter est une forme d’exercice : en contractant les muscles et en accélérant le métabolisme, les frissons convertissent la « graisse blanche » qui conserve l’énergie en « graisse brune » qui la brûle.

5 / 13

Hiver froid : bain nordique

LPOnline/Shutterstock

Bain nordique

Les bains nordiques ne sont pas pour les frileux, mais ils sont tout de même bons pour la santé. En 2004, une étude finlandaise a révélé qu’après quatre mois d’immersion régulière la baignade en eau froide abaissait les niveaux de stress et de fatigue tout en améliorant la mémoire et l’humeur.

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Le froid au travail ou à la maison – Climatisation

La climatisation des lieux de travail est sexiste. D’après un article publié en 2015 par Nature Climate Change, le réglage des thermostats d’immeuble repose sur une formule élaborée dans les années 1960 en fonction, notamment, du métabolisme d’un homme de 40 ans. Or, le métabolisme féminin est plus lent. Voilà pourquoi tant d’employées ont froid en été.

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Avoir froid augmente le risque d’erreurs

Un personnel qui gèle fait plus d’erreurs. En 2004, des chercheurs de l’Université Cornell, dans l’État de New York, ont augmenté la température d’un bureau de 20°C à 25°C. Le mois suivant, le nombre de fautes de frappe a chuté de 44 %.

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Hiver froid : dormir au frais.

kryzhov/Shutterstock

Dormir au frais

En revanche, dormir au froid serait bénéfique pour la santé. Une modeste étude menée en 2014 aux États- Unis a démontré qu’après un mois, cinq sujets qui dormaient dans une pièce chauffée à 19°C avaient presque deux fois plus de tissus adipeux brun. Des chercheurs de l’Institut national de la santé croient qu’à la longue cette habitude rend moins vulnérable aux maladies métaboliques comme le diabète.

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Hiver froid : ambiance glaciale

fizkes/Shutterstock

Ambiance glaciale

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont prouvé que l’expression « battre froid à quelqu’un » n’est pas seulement une métaphore. Lors d’une expérience, les sujets qui repensaient aux circonstances d’un accueil glacial ont donné une évaluation de la température de la pièce plus basse que ceux qui en évoquaient un chaleureux.

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Les réactions du corps et de l’esprit au froid

Autres conseils pour mieux connaître le froid : en 2014, des chercheurs allemands ont découvert que la température a une influence sur l’opinion qu’on se fait d’un criminel. Quand on l’augmente, les sujets ont tendance à considérer l’accusé comme une tête brûlée qui a agi impulsivement ; quand on la baisse, ils sont plutôt enclins à croire que le crime a été prémédité et commis de sang-froid.

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Les extrémités du corps

La croyance populaire voulant que la moitié de la chaleur corporelle se dissipe par la tête est fausse. Selon un article paru dans le British Medical Journal en 2008, la perte est d’au plus 10 %.

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Hiver froid : d'où vient la chair de poule ?

Kvitka Fabian / Shutterstock

D’où vient la chair de poule ?

La chair de poule est un héritage de nos ancêtres poilus. Quand un animal a froid, de petits muscles se contractent sous sa peau, créant des micro-dépressions en surface et provoquant un hérissement qui rend le poil plus isolant.

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Curieux rapport avec l’argent

Si vous voulez vous réchauffer, et faire de votre intérieur un endroit plus douillet chassez les questions d’argent de votre esprit. Au printemps 2015, des chercheurs autrichiens et suisses ont demandé à des volontaires de plonger les mains soit dans un bol rempli de billets de banque, soit dans un autre contenant des bouts de papier. Ceux qui tâtaient les coupures ont trouvé l’air plus frais que ceux qui palpaient le papier. L’argent ne brûle pas les doigts.

https://www.selection.ca/

La solution pour réduire les chutes chez les personnes âgées


La vitamine D et le calcium sont souvent prescrits pour les gens qui avancent en âge, cependant a moins d’être à risque pour l’ostéoporose, il est conseillé de prendre ces suppléments de vitamine. Par contre pour éviter les chutes qui peuvent en plus avoir de graves complications, ainsi que des maladies cardiaques, AVC, diabète, démence, et même certain cancer, il est plus utile de faire de l’exercice
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La solution pour réduire les chutes chez les personnes âgées

 

© thinkstock.

Par: rédaction

Faire de l’exercice est plus efficace pour éviter les chutes, principale cause de décès lié à une blessure chez les plus de 65 ans, qu’ingurgiter des compléments de vitamine D, selon des recommandations publiées mardi aux Etats-Unis.

Le groupe de travail des services préventifs – US Preventive Services Task Force (USPSTF) – a mis à jour les dernières recommandations en la matière qui remontaient à 2012, lorsque l’organisme consultatif médical indépendant avait préconisé la prise de vitamine D par les personnes âgées pour leur éviter de tomber.

Mais le groupe de travail a relevé cette année qu’à moins qu’une personne ne souffre d’une carence en vitamine D ou d’une faible densité osseuse comme l’ostéoporose, les essais cliniques menés sur le sujet « n’ont démontré aucun bénéfice » pour prévenir la chute des personnes vieillissantes et réduire le risque de fracture.

Calculs rénaux

L’USPSTF – qui a même constaté une hausse du risque de développer des calculs rénaux chez celles prenant des compléments de vitamine D et de calcium – a incité à faire de l’exercice, selon les nouvelles recommandations publiées dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Cela devrait inclure des séances « individuelles supervisées et des cours en groupe ainsi que de la thérapie physique« , précisent-elles.

Selon les données les plus récentes, près de 29% des adultes américains de 65 ans et plus ont signalé en 2014 être tombés. Près de 38% ont « nécessité un traitement médical ou ont dû restreindre leurs activités pendant au moins un jour », selon les éléments publiés dans le JAMA.

Quelque 33.000 personnes sont décédées aux Etats-Unis à la suite d’une chute en 2015.

Faire de l’exercice permet également de diminuer le risque de maladie cardiaque, d’accident vasculaire-cérébral, de diabète de type 2, de démence et de cancer, selon un éditorial accompagnant les recommandations.

Cependant, pour les personnes âgées présentant « un risque accru d’ostéoporose, celles souffrant d’une carence en vitamine D, ou les deux, il reste raisonnable de considérer la prise de complément en vitamine D (…) comme étant en adéquation avec les recommandations d’autres organismes professionnels comme la Société américaine d’endocrinologie et la Fondation nationale de l’ostéoporose », a-t-il poursuivi.

http://www.7sur7.be/

Santé cardiaque : il n’est pas trop tard pour les sédentaires!


Pour avoir une meilleure santé cardiaque et ce même si la personne à été sédentaire toute sa vie, il est possible grâce à des activités physiques de redonner une protection au coeur tout aidant pour paraître plus jeune
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Santé cardiaque : il n’est pas trop tard pour les sédentaires!

 

Trois personnes s'entraînent en aérobie.

Plusieurs recherches ont déjà montré que les comportements sédentaires augmentent le risque de maladie cardiaque. Photo : iStock

Les personnes sédentaires reçoivent en cette nouvelle année un puissant incitatif à se remettre en forme. Selon un étude de médecins américains, les personnes inactives âgées entre 45 et 64 ans peuvent réduire de façon significative le risque de souffrir d’insuffisance cardiaque, malgré des décennies de sédentarité, en faisant de l’exercice.

RADIO-CANADA AVEC BBC

Un texte d’Alain Labelle

Pour y arriver, ces personnes doivent cependant investir du temps et de l’énergie. Pour renverser la tendance, elles doivent réaliser des exercices aérobiques de quatre à cinq jours par semaine pendant deux ans.

La clé d’un cœur en meilleure santé à l’âge moyen est une bonne dose d’exercice, au bon moment dans la vie. Dr Benjamin Levine, Institute for Exercise and Environmental Medicine

Le Dr Benjamin Levine et ses collègues ont, dans un premier temps, analysé le cœur de 53 participants en santé de 45 à 64 ans, mais qui ne s’étaient jamais vraiment entraînés sur une base régulière.

Le saviez-vous?

Plusieurs recherches ont déjà montré qu’un style de vie sédentaire augmentait le risque de maladie cardiaque.

Les participants ont été divisés en deux groupes, l’un suivant une routine d’exercices aérobiques qui progressait en intensité au cours des deux années et l’autre faisant du yoga, de l’entraînement d’équilibre et de musculation trois fois par semaine, également pendant deux ans.

Un entraînement correspondait à une session de 30 minutes, sans compter les étirements.

Les résultats montrent que le groupe faisant de l’exercice aérobique a présenté une amélioration de 18 % de son apport maximal en oxygène pendant l’exercice et une amélioration de plus de 25 % de sa plasticité dans le muscle ventriculaire gauche du cœur. Ces deux marqueurs sont reconnus comme des indicateurs d’un cœur en bonne santé.

Toutefois, aucune amélioration notable n’a été observée dans le deuxième groupe.

Nous constatons, d’une certaine manière, qu’il est possible de rajeunir ou de faire en sorte que les cellules du cœur, et aussi dans les vaisseaux sanguins d’ailleurs, ressemblent à des cellules plus jeunes grâce à un programme d’exercice. Dr Richard Siow, King’s College London

Selon les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Circulation, ces résultats ont également des ramifications pour les maladies liées au déclin cognitif, comme la démence, parce que l’amélioration de la fonction cardiaque facilite la circulation sanguine vers le cerveau.

En 2008, une étude britannique avait montré que les personnes actives physiquement durant leurs loisirs paraissaient biologiquement plus jeunes de dix ans que celles qui sont sédentaires.

http://ici.radio-canada.ca

Les femmes préhistoriques plus fortes que les championnes d’aviron d’aujourd’hui


D’après l’analyse des os, on peut se douter qu’une personne a fait au cours de sa vie. Chez les femmes de la préhistoire, très peu d’études sont faites sur ce sujet. Ces femmes avaient une vie beaucoup plus difficile, elles labouraient, récoltaient, broyaient des graines à l’aide de pierres lourdes permettaient de développer une grande force au bras et aux poignets. Cela tente à démontrer qu’elles étaient plus fortes que les championnes en aviron
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Les femmes préhistoriques plus fortes que les championnes d’aviron d’aujourd’hui

 

L’équipe féminine d’aviron de l’Université de Cambridge.

L’équipe féminine d’aviron de l’Université de Cambridge lors d’une compétition en avril 2017. Photo : Alastair Fyfe

Les femmes qui vivaient au néolithique, il y a plus de 7000 ans, en Europe centrale avaient des bras bien plus forts que ceux de la crème des avironneuses actuelles, selon une étude publiée mercredi.

RADIO-CANADA AVEC AGENCE FRANCE-PRESSE ET CBC

Les chercheurs de l’Université de Cambridge, dont les travaux ont été publiés dans le journal Science Advances, avancent que cette force physique serait le résultat d’un style de vie agricole exigeant.

Labourer le sol, récolter les céréales et faire de la farine en broyant des graines à l’aide de lourdes meules en pierre aurait permis à ces femmes de développer la force non seulement de leurs bras, mais aussi de leurs poignets.

« En analysant les os de personnes vivantes qui font régulièrement de l’exercice intensivement et en les comparant aux os anciens, il est possible d’en déduire les types de travaux que nos ancêtres faisaient », explique Alison Macintosh, la principale auteure de l’étude.

Ces femmes labouraient les terres sans charrue et sans appareil mécanique. C’est beaucoup de travail manuel.

Alison Macintosh, chercheure à l’université de Cambridge

Les scientifiques de l’Université de Cambridge ont analysé l’humérus (l’os qui se trouve entre l’épaule et le coude) et le tibia (dans le bas de la jambe) des membres d’une équipe d’aviron sur une période de trois semaines.

Âgées d’une vingtaine d’années, les femmes s’entraînaient deux fois par jour et ramaient en moyenne 120 kilomètres par semaine.

Malgré tout, ce sont les femmes de la préhistoire qui l’emportent haut la main : les résultats de l’étude démontrent que leur humérus était de 11 à 16 % plus puissant que ceux des rameuses.

Ce résultat s’élève à 30 % en comparaison avec d’autres étudiantes de Cambridge, au mode de vie moins actif.

« Ces mouvements répétitifs des bras pour frotter les deux pierres pendant des heures ont probablement eu les mêmes effets que de ramer », avance Mme Macintoch.

Après analyse, la force osseuse des tibias était toutefois similaire.

Les femmes préhistoriques, grandes oubliées

Les travaux de Mme Macintosh et de ses collègues Ron Phinhasi et Jay T. Stock sont en quelque sorte une réplique à une étude antérieure, qui comparait les os des femmes préhistoriques à ceux des hommes de la même époque. Les résultats démontraient alors que la force des hommes était supérieure à celle des femmes.

Aux yeux d’Alison Mactintosh, ce genre d’étude ne permet pas de dresser un juste portrait de la vie que menaient les femmes du néolithique, grandes absentes des études sur la préhistoire.

« Je savais que le rôle des femmes ne se limitait pas à rester assises sur leur derrière, mais j’étais heureuse de pouvoir mettre en lumière, à l’aide de données, cette histoire méconnue du travail des femmes de la préhistoire », souligne-t-elle.

http://ici.radio-canada.ca/

Le Saviez-Vous ► Faire le ménage, est-ce du sport ?


Pour ceux qui déteste le ménage comme moi, sachez qu’il y a des points très positifs pour la santé. La dernière fois que je suis aller faire l’épicerie, j’ai dû arrêter a 3 endroit, bon en automobile, mais les déplacements a pied, ainsi que serrer l’épicerie, j’avais atteint plus de 6 milles. Puis je suis allé à la pharmacie et 2 autres magasins sur le chemin, et au retour j’avais atteint plus de 10 milles pas.
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Faire le ménage, est-ce du sport ?

 

Les taches du quotidien peuvent vous faire perdre des calories. Voici quelques conseils et astuces pour rendre le ménage plus agréable et profitable.

Le ménage est-il un sport ? Presque… Profitez de vos tâches les plus humbles pour vous muscler les jambes, le dos, les bras, les abdominaux… et les fesses. Pour chaque heure de corvées abattues, vous brûlerez entre 25 et 100 calories !

Entretenir son corps en faisant ses courses

Commencez par sortir faire vos emplettes pour remplir le réfrigérateur familial. Vous musclerez vos bras et vos jambes en portant un panier débordant de fruits et légumes frais — pour la ligne — et de produits ménagers — pour la suite des exercices. Il va de soi naturellement que si vous prenez la voiture ou si votre voisin vous aide à décharger le coffre, le bénéfice sera moindre… C’est donc encore mieux d’y aller à pied.

Muscler les jambes en passant l’aspirateur

Chantez tout en passant l’aspirateur, avec énergie et de grands mouvements amples. Si vous fléchissez bien les jambes, mollets et quadriceps seront davantage sollicités et votre dos mieux préservé. Petit plus : le boucan d’enfer de l’aspirateur vous laissera tout loisir de vous époumoner sur votre chanson préférée. Les cordes vocales – et la cage thoracique – aussi ont besoin de se muscler !

Laver les vitres : un très bon exercice pour se muscler les bras. © ronstik, fotolia

Laver les vitres : un très bon exercice pour se muscler les bras. © ronstik, fotolia

Faites de la musculation en lavant les vitres

Laver les vitres, c’est idéal pour se muscler les bras. Dressez-vous sur la pointe des pieds, bras tendus vers le ciel — avec un chiffon dans les mains — puis montez et descendez en étirant au maximum. Pour renforcer encore l’exercice, vous pouvez contracter les abdos et les fessiers.

Des abdos-fessiers en repassant !

Activité honnie par excellence, le repassage peut néanmoins être à la fois productif, sportif et… récréatif. Assis bien droit sur une chaise, les pieds à plat, les omoplates écartées et les épaules relâchées, vous alternerez les séquences d’abdos-fessiers en respirant profondément. Tout cela en repassant chemises et maillots de corps !

http://www.futura-sciences.com