Un constat surtout qui n’est toujours pas résolu pour la plupart. C’est pire quand il y a plusieurs grandeurs de bas. Mystère
Nuage
Les chaussettes
Le taux de divorce chez les chaussettes ne cesse d’augmenter
Foozine
Un constat surtout qui n’est toujours pas résolu pour la plupart. C’est pire quand il y a plusieurs grandeurs de bas. Mystère
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Les chaussettes
Le taux de divorce chez les chaussettes ne cesse d’augmenter
Foozine
Cela se passe en 2016 quelque part dans le Tennessee aux États-Unis. Les parents installés sur la balançoire en observant leur fils de 18 mois jouer avec son inséparable ami Shiloh, leur chien. Puis tout à coup, Shiloh se jette sur le bambin pour le jeter parterre. Les parents accourent l’enfant n’est pas blessé, mais le chien a plutôt protéger leur fils d’un serpent très dangereux. Malheureusement, le chien courageux a été mordu. Ils ont vite été chez le vétérinaire qui a pu soigner et Shiloh s’en est remis. Il va très bien maintenant
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Avec l’urbanisation, certains animaux ayant perdu leur territoire ont quand même réussit à s’adapter au milieu urbain. Leur physionomie a changé pour s’accommoder à la pollution, aux espaces sans arbres … Et cela a permis de transmettre ces nouveaux gènes à leurs descendants
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Par Daniel Casillas
Metro World News
L’urbanisation, qui avance à vitesse grand V partout sur la planète, affecte l’environnement et force les animaux à s’adapter ou à disparaître à jamais.
Voici qui quatre exemples d’espèces qui résistent.
L’anolis
À Porto Rico, l’anolis, un lézard, a désormais des membres plus longs et de nouvelles écailles qui lui permettent de se déplacer plus facilement sur les murs. Avant l’urbanisation, il vivait principalement dans les arbres et dans les buissons.
Le poisson killi
Le petit poisson killi, qui vit dans plusieurs cours d’eau du nord-est des États-Unis, a développé une résistance génétique aux PCB, des polluants chimiques.
Le roselin familier
À Tucson, en Arizona, le roselin a développé un bec plus long, plus profond et plus fort que son cousin du désert de Saguaro, une région rurale.
La phalène du bouleau
Les ailes noir et blanc de cet insecte l’aidaient à se camoufler dans certains arbres. Mais la révolution industrielle a couvert ces arbres de suie et certains représentants de l’espèce se sont transformés : ils ont maintenant des ailes toutes noires, ce qui les aide à survivre. Ils transmettent ce gène à la génération suivante.
J’ai l’impression que la France se retourne au Moyen-âge avec l’exorcisme, sauf qu’au lieu de prêtres, se sont diverses personnes qui se donnent le pouvoir traiter le mal Ou encore une sorte de chasse aux sorcières. .Je ne nie pas qu’il peut se passer des choses étranges, mais l’exorcisme …. !!! On peut s’imaginer combien de charlatans vont profiter de cette manne avec la peur des gens. Au moins parmi eux, sont un peu plus lucide en recommandant de voir un médecin ou un psychologue
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Extrait de «L’Exorciste» | DR. via Allo Ciné
Repéré par Aurélie Rodrigues
Repéré sur The Economist
Quand on prononce le terme d’«exorcisme», on pense souvent aux séries et aux films dans lesquels des prêtres lancent des incantations en latin afin d’extraire le mal d’une personne possédée.
En France, outre la centaine d’exorcistes mandatés par l’Église catholique, des indépendants, soigneurs, médiums, kabbalistes ou encore shamans proposent désormais leurs services, pour plusieurs centaines d’euros par séance. Certains gagnent jusqu’à 12.000 euros par mois. L’Église, elle, ne prend pas d’argent pour les mêmes services.
Selon l’Association internationale des exorcistes, l’afflux de demandes à traiter est trop important pour les prêtres agréés. La BBC relate que près de 2.500 personnes font appel à des séances d’exorcisme chaque année en Île-de-France.
Autre raison à l’engouement pour l’exorcisme indépendant: la vocation se tarit au sein de l’Église catholique, les plus jeunes prêtres se disant «effrayés» par les séances.
Des attaques terroristes à la magie noire
Dans une interview réalisée par The Economist, Philippe Moscato, médium-guérisseur à Paris, explique que les attaques terroristes de 2015 ont provoqué un déluge de demandes de séances d’exorcisme.
L’exorcisme est également fréquent dans les mafias locales de Paris, de Lyon et de la Côte d’Azur pratiquant la magie noire, tout comme chez les immigrants –en particulier africains. Ces derniers se tournent plus volontiers vers des exorcistes indépendants que vers des prêtres agréés.
«L’Église a négligé l’exorcisme depuis bien trop longtemps, malgré une forte demande du public», conclut Alessandra Nucci, écrivaine et journaliste italienne.
Comme pour toute pratique alternative, la porte est ouverte aux charlatans: les arnaques financières ou morales ne manquent pas. Il arrive régulièrement que des enfants «possédés» soient blessés au cours d’une séance.
La plupart des exorcistes indépendants conseillent malgré tout aux clients de consulter un médecin ou un psychologue avant de participer à une séance d’exorcisme.
Une sous-espèce d’un rhinocéros, le rhinocéros blanc du Nord, est en danger critique d’extinction, car un seul mâle existe et il est agé et est victime d’une infection. Malgré les techniques actuelles pour une procréation assistée, il n’y a pas de descendant, mais sa semence est conservée quand la technologie aura évolué pour espérer de préserver le rhinocéros blanc du Nord
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Sudan est le dernier mâle rhinocéros blanc du Nord encore en vie.
© JANSTEJSKAL/BNPS/SIPA
Par Anne-Sophie Tassart
L’ONG Ol Pejeta Conservancy a annoncé que son « petit » protégé, le dernier mâle rhinocéros blanc du Nord, souffre d’une sévère infection.
En avril 2017, il y a presque un an jour pour jour, Sudan, le dernier mâle rhinocéros blanc du Nord était présenté sur Tinder pour une nouvelle campagne de sensibilisation sur la conservation de la sous-espèce Ceratotherium simum cottoni. Baptisée « le célibataire le plus convoité du monde », cette opération de communication était destinée à faire connaître le dernier mâle encore en vie de cette sous-espèce. Malheureusement, le 1er mars 2018, l’organisation à but non lucratif Ol Pejeta Conservancy impliquée dans sa conversation, a annoncé que Sudan est désormais malade.
Des soins « 24 heures sur 24 »
« Beaucoup de personnes ont soutenu le dernier mâle rhinocéros blanc du Nord depuis son arrivée à OI Pejeta en 2009, et il nous semblait important de vous informer que Sudan (…) commence à montrer des signes de souffrance », explique dans un communiqué l’ONG.
Désormais âgé de 45 ans, la santé de l’animal se dégrade petit à petit.
« Son avenir ne semble pas radieux », s’inquiète OI Pejeta.
A la fin de l’année 2017, le rhinocéros a développé une infection au niveau de sa patte arrière droite qui a été soignée avec succès grâce aux soins « de vétérinaires provenant du monde entier ». Mais dernièrement, Sudan a souffert d’une nouvelle infection plus profonde découverte sous la première.
« Elle a été traitée mais malheureusement, elle prend plus de temps pour être soignée malgré les efforts de l’équipe de vétérinaires qui lui apporte des soins 24 heures sur 24 et alors que tout est fait pour l’aider à se rétablir », ajoute l’ONG qui précise qu’elle ne souhaite pas le faire souffrir inutilement.
La procréation médicalement assistée comme dernier espoir
La sous-espèce Ceratotherium simum cottoni est « en danger critique d’extinction » selon l’Union international pour la conservation de la nature. La campagne menée conjointement par Tinder et OI Pejeta Conservancy avait pour but de récolter 9 millions de dollars (environ 8,3 millions d’euros) afin de sauver ces animaux de l’extinction. Les fonds recueillis étaient destinés à améliorer les techniques de procréation médicalement assistée qui pourront servir à pratiquer des fertilisations in vitro afin de reconstituer une harde viable de rhinocéros blancs du Nord. En effet, à cause de son âge, Sudan s’est révélé incapable de féconder naturellement l’une des deux femelles encore en vie. Mais il reste encore l’espoir que sa semence permette un jour de sauver cette sous-espèce grâce à l’amélioration des techniques de PMA.
Croirait vous que des gens veulent des chirurgies plastiques pour refaire le nez pour mieux paraître dans les égoportraits ? Ils pensent que le nez est trop gros alors que la réalité les égoportraits sont pris trop proche et augmente les défauts du visage.
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Nose Chapendra via Flickr CC License by
Repéré par Aurélie Rodrigues
Repéré sur Vox
Selon une équipe de chirurgiens, les selfies font apparaître votre nez comme 30% plus large qu’il ne l’est en réalité.
Selfie devant le miroir, dans les transports en commun, dans la rue… ces autoportraits dont envahi TOUS les réseaux sociaux. Pour certains, ils sont un gage de confiance en soi, pour d’autres ils font ressortir leurs pire défauts.
Une étude publiée dans la revue médicale JAMA Facial Plastic Surgery alerte sur les déformations causées par la lentille de l’appareil photo des smartphones. Plus il est près, plus votre visage sera déformé. Boris Paskhover, chirurgien plastique à l’université de Rutgers –au New Jersey– a déclaré dans une interview pour Vox que ses patients venaient le voir pour se faire opérer parce que leur nez semblait trop gros sur les selfies.
Même constat pour The American Academy of Facial Plastic and Reconstructive Surgery, association spécialisée en chirurgie plastique faciale. En 2017, un sondage révélait que 55% des chirurgiens recevaient des patients qui leur demandait de les aider à améliorer leur apparence sur les selfies –13% de plus qu’en 2016.
«J’essayais de dire aux gens que leur nez ne paraissait pas trop gros, que l’appareil photo du portable le déformait», reconnnait le Dr Paskhover.
Paskhover et les co-auteurs de l’étude ont mis en place un système afin de déterminer à quelle distance l’appareil photo déforme le visage de l’utilisateur. Quand l’appareil photo est à environ trente centimètres du visage, le nez parait 30% plus large comparé au reste du visage.
À gauche: selfie prise à trente centimètres du visage. À droite: selfie prise à 1,5 mètres du visage. Crédit photo: JAMA Facial Plastic Surgery
Une question de perspective
Pourquoi les visages se déforment-ils quand on prend une photo de près? La façon dont nous percevons un objet dépend de l’angle et de la distance exercée sur ce même objet. Quand vous êtes tout en bas d’un un immeuble, il apparait beaucoup plus large qu’il ne l’est en réalité.
À contrario, les autres immeubles à ses côtés ont l’air plus petits. Par contre, quand on prend du recul, tous ces immeubles paraissent être de la même taille. Pour votre visage c’est la même chose. Le nez étant placé en plein milieu de la figure, il subira les plus grandes déformations. Toute est une question de perspective.
Il existe un verrou dans le tronc cérébral qui bloque les muscles quand nous rêvons. Certains par contre, l’on perdu avec les années. Ce que cela change est lors de cauchemar, notre corps réagit et on peut par exemple tomber en bas de son lit pour s’enfuir comme dans le rêve. Vers la cinquantaine, ces rêves sans verrou peuvent être un signe avant-coureur de la malade de Parkinson. Ce qui est aussi étonnant, c’est que chez les Parkinson lors d’un cauchemar, ils réussissent a faire des gestes et parler clairement, alors que le jour c’est tout le contraire. Ce qui semble dire que dans le cerveau, les rêves auraient la clé pour un traitement efficace et peut-être même une guérison
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Ce que les dormeurs «agités» nous apprennent sur les rêves
Sweet dreams? | Annie Spratt via UnsplashLicense by
Isabelle Arnulf
Durant le sommeil, un «verrou» dans le cerveau nous empêche de réaliser pour de bon les actions que nous effectuons en rêve. Chez certains patients, celui-ci ne fonctionne plus.
«Docteur, j’ai fait un rêve cette nuit. Dans ce rêve, j’étais assis à l’arrière d’un bus. Et voilà que monte un grand type, méchant, costaud… Il s’avance, va au premier rang et étrangle le premier passager. Puis il va au second rang et tue le passager suivant. Moi je suis au fond, j’ai peur, je me cache derrière mon siège. Je me dis que je vais mourir. Je me glisse entre ses jambes, la porte du bus s’ouvre, je saute. Je me réveille sur ma descente de lit, par terre. Je me suis fracturé le poignet.»
Ce rêve nous a été raconté par un patient, dans notre service des pathologies du sommeil, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Est-il normal de faire un tel cauchemar? Oui. Contrairement à ce qu’on peut penser, nos rêves dramatisent beaucoup notre quotidien, ils simulent souvent des menaces –on pense même qu’ils servent aussi à ça, anticiper les épreuves et nous y préparer.
Ce qui n’est pas normal, en revanche, c’est de tomber du lit. Habituellement quand on dort, on est calme, on ne bouge pas. Mais alors que se passe-t-il? Prenons l’exemple d’un autre patient, endormi dans notre laboratoire et filmé durant son sommeil. Il rêve qu’il est attaqué par des ptérodactyles. Il protège son visage avec ses bras, puis il se défend avec son oreiller.
Ce patient est dans le sommeil paradoxal, celui où on fait des rêves déjantés. Le sommeil paradoxal a été découvert par Michel Jouvet, grand scientifique qui nous a quittés l’an dernier. On l’appelle «paradoxal» car normalement, durant cette phase, le cerveau demeure en ébullition alors que les muscles, eux, sont activement bloqués. Cette phase dure au plus vingt minutes, sur un cycle de sommeil de quatre-vingt-dix minutes.
Les réactions de l’individu sont alors inhibées. Dans le cerveau, une sorte de «verrou» paralyse les muscles et empêche le dormeur d’extérioriser son rêve. Ce verrou a été identifié en 2016 par notre équipe à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM). Il est situé au milieu du tronc cérébral, dans la partie basse du cerveau, et permet que nos rêves restent dans notre tête.
Chez certaines personnes, ce verrou ne fonctionne plus. On ne sait pas encore le réparer, mais on peut malgré tout apaiser leurs nuits, éviter qu’elles se blessent ou blessent leur conjoint.
Des cauchemars agités vers la cinquantaine
Depuis vingt ans, nous suivons ces personnes qui ont des cauchemars agités vers l’âge de la cinquantaine. Dans la journée elles sont très bien, et aussi très bien dans leur peau. Ce que l’on a découvert, c’est que quelques années après, une partie d’entre elles développe la maladie de Parkinson, caractérisée par la destruction d’une population spécifique de neurones. Celle-ci se manifeste généralement par une lenteur des mouvements et des tremblements.
Dans les six ans qui suivent le diagnostic de ces cauchemars agités, la moitié des patients déclare une maladie de Parkinson, selon l’étude publiée par une équipe de Barcelone en 2014.
D’un côté, c’est une mauvaise nouvelle, car ça veut dire que le trouble est souvent annonciateur de cette maladie. Mais de l’autre, c’est une bonne nouvelle, car on va avoir une fenêtre de six ans environ pour essayer tout ce qui peut protéger la personne concernée du développement de cette maladie, par exemple de l’exercice physique. Les chercheurs testent un anticorps pour essayer d’attraper le produit toxique –l’alpha-synucléine– qui s’accumule dans le cerveau et provoque la maladie.
Attaqué par des caïmans, il brandit sa table de nuit
Une fois que cette maladie est installée, les cauchemars agités continuent. Six Parkinsoniens sur dix crient dans leur sommeil, bougent, vivent leurs rêves, comme montré dans l’article que j’ai publié en 2012. En interrogeant et en examinant ces patients, nous avons eu une autre surprise.
Dans mon bureau, un patient parkinsonien m’a raconté son rêve, dans lequel il était attaqué par des caïmans.
«J’étais sur un canoë et je tapais avec ma pagaie pour me défendre», m’a-t-il rapporté.
Assise à ses côtés, sa femme m’a dit:
«C’est incroyable, il était dans le lit, il criait: “il y a des caïmans!” Il a pris la table de nuit en chêne, il l’a brandi. Mais ça, il n’est pas capable de le faire dans la journée! Et même pour parler… Avec son niveau de Parkinson, il a une toute petite voix. Tandis que là, il criait distinctement.»
Ce phénomène de guérison transitoire, nous l’avons exploré chez une centaine de patients: c’est toujours vrai! Quand on les examine la nuit, au moment de ces comportements, la maladie de Parkinson a disparu…
L’espoir de faire disparaître les symptômes de Parkinson
Vous imaginez l’espoir que ça représente. Cela veut dire qu’il y a dans le cerveau un circuit alternatif qui là est démasqué –avec la perte du verrou. Ce circuit fait que le système moteur refonctionne correctement pour un moment. Il ne s’agit pas d’un miracle, simplement de la preuve qu’il existe d’autres voies de signalisation motrice qui ne sont pas affectées par la maladie de Parkinson.
Si on réussissait à activer ce système volontairement, on pourrait peut-être faire disparaître les symptômes de la maladie. Ainsi, avec cette nouvelle neurologie des rêves, on a un espoir immense de réussir à protéger des personnes contre l’arrivée de la maladie, et peut être à les guérir.
Nous avons filmé un autre de nos patients durant son sommeil. On voit cet homme en train de mimer le fait qu’il mange un sandwich. On voit à quoi il rêve, même si lui ne s’en rappelle pas au réveil. Ces comportements nocturnes nous apportent, pour la première fois dans l’histoire de la recherche, la vision en direct de l’action du rêve.
De plus, l’imagerie cérébrale, l’électro-encéphalogramme et le récit du rêve par le patient à son réveil sont utilisés pour ces recherches en psychologie cognitive et neurosciences dont les implications vont bien au-delà du traitement des pathologies du sommeil.
Les «non-rêveurs» rêvent mais ne s’en souviennent pas
On pourrait donc, grâce à ces patients, découvrir beaucoup de choses sur les rêves, par exemple savoir s’il existe vraiment des personnes qui ne rêvent jamais ou bien si ces personnes rêvent mais ne s’en rappellent pas une fois réveillées. C’est plutôt la deuxième hypothèse qui serait la bonne. En effet, nous avons observé chez nos patients que mêmes ceux qui se disent «non rêveurs» ont des comportements agités la nuit.
On espère aussi savoir, un jour, à quoi servent les rêves. Est-ce qu’ils servent à consolider nos apprentissages de la journée? Pour cela, on pourrait faire apprendre quelque chose aux patients avant de dormir et voir si ils refont les mêmes gestes dans leur sommeil. Nous avons fait apprendre un texte avant de dormir à dix-huit patients et l’un d’entre eux en a intégré des éléments dans l’un de ses rêves agités filmé la nuit même, comme rapporté dans notre article.
Autre piste: est-ce que les rêves servent à mémoriser et à nous constituer des souvenirs? Les mimes nocturnes de nos patients sont, en tout cas, un outil fantastique pour essayer de comprendre leur fonction.
La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.