300.000 litres d’eau par jour de construction du mur de Trump


Pour le mur frontalier entre les États-Unis et le Mexique Donald Trump à contourné pas moins de 28 lois fédérales. Il peut donc en toute quiétude prendre l’eau douce souterraine sans se soucier des espèces en voie de disparition, des terres sacrées des Amérindiens et de l’environnement en général Tout cela pour ce foutu mur
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300.000 litres d’eau par jour de construction du mur de Trump


La barrière doit s'étendre sur près de 160 kilomètres en Arizona. | Herika Martinez / AFP

La barrière doit s’étendre sur près de 160 kilomètres en Arizona. | Herika Martinez / AFP

Repéré par Robin Tutenges

Repéré sur The Guardian

Le gouvernement contourne des lois environnementales afin d’édifier le mur en drainant les eaux souterraines de l’Arizona, aux dépens de plusieurs espèces.

En Arizona, le grand mur à la frontière du Mexique désiré par le président Trump pourrait supplanter la crise migratoire par une crise environnementale. Sa construction requiert des quantités pharaoniques d’eau, près de 300.000 litres par jour selon un entrepreneur chargé du projet, alors même que les réserves aquatiques de la région sont épuisées, malmenées par une sécheresse prolongée, des températures record et des cultures intensives.

Haute de 9 mètres, la barrière doit s’étendre sur plus de 100 kilomètres en Arizona, dont 30 kilomètres à la lisière du San Bernardino National Wildlife Refuge. Cette réserve est l’une des rares dans la région aride, et l’on y trouve des sources aquatiques où vivent des espèces en voie de disparition. Mais le mur, qui a commencé à être érigé à proximité en octobre, draine toute l’eau douce disponible aux alentours.

Au minimum huit espèces en voie de disparition sont menacées par cette ponction d’eau, dont quatre types de poissons endémiques. Le Yaqui Topminnow, le Chevaine, le Shiner et surtout le poisson Rio Yaqui, dont cette réserve est le seul habitat aux États-Unis, risquent de disparaître.

L’appauvrissement en eau menace également les grenouilles léopards Chiricahuas, la plante semi-aquatique Huachuca Water Umbel, la couleuvre rayée mexicaine ainsi que le faucon Aplomado.

À proximité de la réserve, l’eau d’un puits a déjà été exploitée pour fabriquer du béton et contrôler la quantité de poussière. Près de 230 millions de litres d’eau seront nécessaires pour construire le mur sur la seule partie de prévue en Arizona selon Gary Nabhan, ethnobiologiste et chercheur à l’Université de l’Arizona.

«C’est le genre de mur –pieds de béton, d’une hauteur absurde, avec un éclairage 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7– que Trump a choisi de construire qui causera le plus de perturbations pour les humains, mais aussi pour la faune et la végétation», ajoute Gary Nabhan.

Vingt-huit lois suspendues

Le 9 octobre 2018, l’administration Trump a annoncé qu’elle renoncerait à vingt-huit lois fédérales exigeant une protection et une surveillance des espèces menacées, des terres et des droits des Amérindien·nes afin d’accélérer la construction. En Arizona, treize lois d’État ont été suspendues en plus des lois fédérales.

Parmi elles, on retrouve le National Environnemental Policy Act, qui impose une longue analyse scientifique préalable des projets et induit souvent des coûts supplémentaires avant qu’ils ne soient approuvés. Sans ces lois, l’édification du mur peut aller de l’avant, sans se soucier des contraintes environnementales qu’elle pourrait rencontrer sur son chemin.

«Grâce à ces dérogations environnementales et à des fonds volés, déclare Raúl Grijalva, membre du Congrès de l’Arizona, il [Trump] construit un mur qui épuisera de précieuses ressources en eau, profanera des sites sacrés et détruira les trésors environnementaux des régions frontalières.»

http://www.slate.fr/

Les prix du céleri grimpent en raison de la météo et de la popularité de son jus


Le céleri est un légume passe-partout, mais l’acheter depuis quelques semaines, il faut payer le prix fort. Pourquoi est-ce si cher, On s’en doute que la météo peut avoir sa part de responsabilité, mais il y a aussi sa forte demande, simplement qu’u soi-disant expert a décider que le jus de céleri avait des propriétés exceptionnelles.
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Les prix du céleri grimpent en raison de la météo et de la popularité de son jus


JOHNER IMAGES VIA GETTY IMAGES

Le prix du céleri a presque doublé récemment.

  • La Presse Canadienne

Le prix du céleri a presque doublé récemment, en partie à cause des fortes pluies et d’un régime à la mode vantant les mérites du jus de céleri.

«C’est clair que le céleri est plus dispendieux maintenant qu’il l’est normalement», a souligné Mike von Massow, professeur associé à l’Université de Guelph.

Selon les dernières données de Statistique Canada, un kilo de céleri coûtait en moyenne 3 $ en avril 2018. L’organisme fédéral avait cessé de surveiller le prix du légume le mois suivant.

Dans les années les plus récentes pour lesquelles des données sont disponibles, le prix fluctuait principalement autour de la marque de 3 $, à l’exception de quelques pointes qui l’ont poussé vers les 4 $.

Un grand épicier canadien fait maintenant la publicité de branches de céleri à 5,99 $ en ligne. Un paquet de deux coeurs de céleri coûte 6,99 $, tandis que le céleri-rave coûte 11 $ par kilogramme.

Les légumes frais, dont le céleri, ont connu une forte augmentation de leurs prix ces derniers temps. Les Canadiens ont payé 15,5 pour cent de plus pour les légumes frais en mars dernier, comparativement à mars 2018.

Mauvaises conditions météo

«Nous constatons une pénurie de céleri en raison des conditions météorologiques en Californie, a expliqué M. von Massow. Cela mène à une augmentation des prix.»

Les régions productrices de céleri ont dû composer avec beaucoup de pluie, a-t-il ajouté.

Les régions d’Oxnard, en Californie, et de Yuma, en Arizona, produisent une importante partie des céleris qui sont importés au Canada, a indiqué Emily Theelen, porte-parole de Statistique Canada.

«(Elles) ont connu des températures exceptionnellement froides et de fortes précipitations au cours des derniers mois», a précisé Mme Theelen dans un courriel.

Trop de pluie au mauvais moment peut mener à des problèmes, dont les maladies, a souligné M. von Massow. Et le fait que le céleri soit une culture à faible volume, avec une production seulement dans quelques endroits n’aide pas, a-t-il ajouté.

Un régime basé sur le céleri

M. von Massow a par ailleurs noté qu’un expert autoproclamé avait également loué les vertus pour la santé de la consommation quotidienne d’un verre de jus de céleri, ce qui contribue à stimuler la demande pour une offre déjà limitée.

Aucune donnée scientifique ne permet de suggérer que le céleri est un «super aliment», selon le professeur.

«C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles nous assistons à cette augmentation spectaculaire du prix du céleri, a-t-il soutenu. Un changement de la demande peut affecter de manière importante l’offre et le prix.»

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Un patient traité par radiothérapie provoque une pollution radioactive


 

Personnellement, je ne veux pas être incinéré. Ceux qui par contre choisissent cette méthode lors de la disposition de leur corps, il faut espérer que le personnel du crématorium soit averti si pour cause médicale du défunt, il y a un danger pour eux. Comme le cas de cet homme qui a subit des traitements radioactifs et que son corps n’avaient pas complètement éliminé le produit radioactif alors qu’il était incinéré sans que le personnel en soit averti.
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Un patient traité par radiothérapie provoque une pollution radioactive

Céline Deluzarche

Journaliste

 

Les employés d’un crématorium aux États-Unis ont eu une grosse frayeur lorsqu’ils ont appris avoir été exposés à de très importantes doses de radiation suite à l’incinération d’un patient. Atteint d’un cancer du pancréas, celui-ci avait été traité avec un produit radioactif en intraveineuse quelques jours avant sa mort. Les chercheurs tirent la sonnette d’alarme à la suite de ce cas qui pourrait se multiplier.

Le malheureux patient ne pensait sans doute pas provoquer une telle histoire. Dans l’Arizona, aux États-Unis, un crématorium a été accidentellement contaminé après avoir brûlé le corps d’un défunt traité par radiothérapie avant sa mort. Le cas est rapporté par des médecins de la Mayo Clinic dans une étude publiée par la revue JAMA, le 26 février dernier.

Un produit radioactif administré en intraveineuse

Atteint d’un cancer du pancréas, le patient âgé de 69 ans est traité au Lutétium Lu 177-Dotatate dans un hôpital spécialisé. Ce produit, autorisé aux États-Unis depuis 2018 (et approuvé par la Commission européenne en 2017 sous la marque Lutathéra®) est un anticancéreux administré par radiothérapie interne vectorisée (RIV) : le patient est perfusé avec un peptide irradié par le radioisotope Lutétium-177, qui se lie à la tumeur et relâche son énergie de manière ciblée avant d’être éliminé par les urines.

Deux jours après le début de sa radiothérapie, le patient se sent un peu souffrant et se rend dans un autre hôpital où il va brutalement décéder quelques jours plus tard. Cependant, comme le Lu 177-Dotatate présente une demi-vie de 6,65 jours et que la crémation a lieu à peine 5 jours après la mort, il est encore présent en assez grande quantité dans le corps du patient.

Une dose de radioactivité effarante un mois après la crémation

Le problème est que personne n’a averti le crématorium de la radiothérapie suivie par le défunt. Celui-ci procède donc normalement à sa crémation. Un mois plus tard, les médecins de l’hôpital où le patient avait été traité au 177 Lu-Dotatate sont enfin avertis de sa mort. Ils alertent immédiatement les responsables du crématorium qui procèdent alors à des vérifications. Ils ne vont pas être déçus : plus d’un mois après le décès, le compteur Geiger mesure, au niveau du four et des filtres, une dose de radiation de 7,5 mR/h (équivalent à 0,075 millisievert), alors que la limite maximale fixée par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire français (IRSN) est de 1 mSv pour toute une année.

Le Lutétium Lu 177-Dotatate est un produit de radiothérapie interne injecté en intraveineuse. © filin174 - Fotolia

Le Lutétium Lu 177-Dotatate est un produit de radiothérapie interne injecté en intraveineuse. © filin174 – Fotolia

    Fort heureusement, le niveau de radiation diminue rapidement au fur et à mesure que l’on s’éloigne, ce qui n’a pas mis en danger outre mesure le voisinage. Le personnel, en revanche, a subi un niveau élevé d’exposition et s’est donc vu prescrire des tests urinaires pour vérifier une possible présence de Lutétium, qui s’est avérée finalement négative.

    L’un des employés présentait cependant des traces d’un autre composé radioactif, le technétium 99m, lui aussi, utilisé comme marqueur radioactif dans les radiothérapies. Une présence « sans doute issue de la crémation d’un autre patient ayant eu recours à ce produit », avancent les auteurs de l’étude de JAMA.

    Le personnel des crématoriums plus exposé aux radiations que les patients eux-mêmes

    Les médecins en appellent donc à une meilleure régulation, actuellement inexistante ou très disparate.

    « Si la réglementation en matière d’innocuité est bien établie pour l’administration radiopharmaceutique chez les patients vivants, les produits radiopharmaceutiques présentent un danger souvent négligé en matière d’innocuité post-mortem, mettent ainsi en garde les auteurs de l’étude. La crémation d’un patient exposé volatilise le produit radiopharmaceutique, qui peut alors être inhalé par les travailleurs ou rejeté dans la communauté adjacente, et entraîner une exposition plus importante que celle d’un patient vivant ». Un comble !

    En France, 216.400 personnes atteintes de cancer ont été traitées par radiothérapie en 2017, selon l’Institut national du cancer. Mais la radiothérapie interne, telle que le RIV, ne représente que 0,8 % des cas. Il n’empêche que les crématoriums doivent faire face à de plus en plus de casse-têtes médicaux. En 2016, l’un des fours d’un crématorium de Saint-Étienne avait ainsi explosé lors de l’incinération d’un défunt portant un pacemaker que le médecin avait « oublié » de signaler.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Un patient traité avec un produit radioactif pour son cancer a provoqué la contamination d’un crématorium dans l’Arizona.

  • Le personnel a été directement exposé à d’importantes doses de radiation.

  • Il n’existe pour l’instant aucune règlementation précise concernant la radiothérapie pour la sécurité post-mortem comme c’est, par exemple, le cas pour les pacemakers. 

https://fr.cdn.v5.futura-sciences.com

Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant


Une femme dans un état végétatif demandant des soins et surveillance 24/24 h depuis environs 10 ans, a accoucher d’un bébé. Comment elle a pu être violée ? Comment il se fait que personne n’a remarqué sa grossesse ? Comment un homme peut profiter ainsi de personnes aussi vulnérables ?
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Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant

 

bébé naissance

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Crédits : iStock

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Aux États-Unis, une femme plongée dans un état végétatif depuis une dizaine d’années aurait il y a quelques jours donné naissance à un petit garçon. La police de Phoenix, en Arizona, vient d’ouvrir une enquête pour agression sexuelle.

Une quasi-noyade avait laissé il y a une dizaine d’années cette femme dans un état végétatif. Elle réside depuis au Phoenix Hacienda HealthCare, qui lui prodigue des soins 24 heures sur 24. Une surveillance accrue, et pourtant, quelques jours après Noël, l’impensable s’est produit : la jeune femme a accouché d’un petit garçon en bonne santé. Personne ne la savait enceinte. Une enquête vient d’être ouverte pour agression sexuelle

« Cette affaire fait actuellement l’objet d’une investigation par la police de Phoenix », a confirmé à l’agence Reuters le sergent Tommy Thompson.

Un « incident extrêmement troublant »

« En tant qu’organisation, Hacienda HealthCare est fermement résolue à faire la lumière sur ce qui représente pour nous une affaire sans précédent, a de son côté déclaré David Leibowitz, porte-parole d’Hacienda HealthCare, dans un communiqué, qui prend bien évidemment conscience d’un incident extrêmement troublant » impliquant l’un de ses résidents. « Alors que les lois fédérales et nationales sur la vie privée nous interdisent de discuter publiquement de la santé ou du cas d’un patient, Hacienda a et continuera de coopérer pleinement avec les forces de l’ordre et tous les organismes de réglementation compétents concernant cette affaire », peut-on lire.

Cette affaire a par ailleurs fait émerger certaines voix particulièrement porteuses, dont celle de la militante Tasha Menaker, à la tête d’une association luttant contre les violences sexuelles et domestiques dans l’Arizona. La jeune femme exhorte la police à procéder à des prélèvements d’ADN auprès du personnel de la cliniqueafin d’identifier le coupable de cette agression

«Il n’est pas rare que les agresseurs fassent plusieurs victimes, ce qui nous inquiète, a-t-elle déclaré. De nombreux auteurs d’agression sexuelle recherchent en réalité des situations dans lesquelles des personnes se trouvent dans des positions isolées ou vulnérables».

Il ne s’agit pas d’une première

On note par ailleurs que ce n’est pas la première fois que l’établissement – spécialisé dans les soins de santé en Arizona pour les nourrissons, les enfants, les adolescents et les jeunes adultes souffrant de maladies chroniques et de troubles de développement – se retrouve au centre de ce genre d’affaire. Des cas similaires de maltraitance ont également été signalés en 2013, explique le Washington Post. Une enquête avait en effet révélé qu’un membre du personnel, depuis licencié, avait fait «des déclarations sexuelles inappropriées » à quatre patients.

Source

https://sciencepost.fr/

Une fête pour annoncer le sexe d’un bébé a brûlé 20.000 hectares de forêt


Ce n’est pas fort comme façon d’annoncer le sexe d’un enfant à venir. Juste le fait qu’il soit dans un champ avec des herbes hautes, semble déjà stupide comme idée. Cette explosion a coûté plus de 8 millions de dollars avec 800 pompiers venir contenir les flammes.
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Une fête pour annoncer le sexe d’un bébé a brûlé 20.000 hectares de forêt

 

La «gender reveal party» qui a déclenché le feu. | Capture d'écran via Twitter

La «gender reveal party» qui a déclenché le feu. | Capture d’écran via Twitter

Repéré par Claire Levenson

En Arizona, un agent frontalier avait déclenché un incendie en faisant exploser une poudre bleu pour annoncer un garçon.

 

Repéré sur The Arizona Daily Star

En septembre, un agent frontalier américain a été condamné à payer 220.000 dollars de dommages et intérêt pour avoir accidentellement déclenché un incendie qui avait ravagé 20.000 hectares de forêt en Arizona en 2017. Dennis Dickey avait organisé une «gender reveal party», une fête de dévoilement du sexe de son futur enfant, pendant laquelle il avait tiré au fusil sur une cible qui avait explosé en diffusant une poudre bleu (pour annoncer un garçon).

Plusieurs mois après, le quotidien local Arizona Daily Star a obtenu des images de la fameuse fête, grâce à la loi pour la liberté de l’information (FOIA) qui permet au public américain d’obtenir divers documents et archives administratives. Dans une vidéo de cinquante secondes, on peut donc voir la balle atteindre sa cible –avec les mots «fille» et «garçon» écrits dessus– avant de libérer une poudre bleue qui s’est avérée hautement inflammable.

À la fin, on entend une voix dire: «On remballe tout, on remballe tout». Les personnes filmées avaient été préalablement dissimulées par un rectangle noir, conformément à une loi visant à protéger leur vie privée.

La substance bleue contenait de la tannerite, un explosif qui a déjà causé plusieurs autres feux de forêt dans l’ouest américain. Huit cent pompiers avaient été déployés pour éteindre cet incendie qui avait fini par coûter 8,2 millions de dollars.

Après son procès, Dennis Dickey avait dit:

«Je me sens extrêmement mal. C’était probablement un des pires jours de ma vie».

http://www.slate.fr/

À 11 ans, il refuse de ranger sa chambre, abat sa grand-mère puis se suicide


Oui encore aux États-Unis ! L’enfant aurait probablement explosé un jour ou l’autre, mais avec une arme accessible, il a été impossible de concevoir qu’un enfant de 11 ans aurait tuer sa grand-mère à bout portant et se suicider par la suite.
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À 11 ans, il refuse de ranger sa chambre, abat sa grand-mère puis se suicide

 

Archives Métro

Un garçon de onze ans, qui refusait de ranger sa chambre comme on le lui demandait, s’est saisi d’une arme appartenant à son grand-père, a tué sa grand-mère d’une balle dans la tête puis s’est suicidé, selon des médias locaux en Arizona.

Yvonne Woodard, 65 ans, a été abattue alors qu’elle regardait la télévision avec son époux à leur domicile de Litchfield Park, au nord-ouest de Phoenix.

Le couple, qui avait la garde exclusive de l’enfant, avait passé la journée à lui demander de ranger sa chambre, ce qu’il avait obstinément refusé, a expliqué le grand-père à la police.

Selon un porte-parole du shérif du comté de Maricopa, le couple était assis dans son canapé lorsque le garçon a surgi par derrière, tirant une balle dans la tête de sa grand-mère à l’aide d’une arme de poing appartenant à son grand-père.

Le premier réflexe de ce dernier a été de poursuivre l’enfant mais il s’est ravisé pour porter secours à son épouse. Son petit-fils en a profité pour se suicider avec l’arme.

«Rien ne laissait penser que le petit-fils pouvait être un danger pour lui-même ou autrui», a précisé le porte-parole du shérif.

Une enquête a été ouverte pour préciser les circonstances du drame.

http://journalmetro.com

Grâce à la science, cet alligator a une nouvelle queue imprimée en 3D


Un alligator a eu la queue coupée par des trafiquants qui l’ont laissé dans cet état dans d’atroces souffrances. Heureusement qu’il a été pris en charge et a pu bénéficier de l’imprimante 3 D
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Grâce à la science, cet alligator a une nouvelle queue imprimée en 3D

 

Mr. Stubbs et sa nouvelle queue
Crédits : National Geographic

par  Ulyces

 

Il y a plusieurs années, des trafiquants d’animaux exotiques ont coupé sa queue à un jeune alligator. Il a été retrouvé in extremis à l’arrière d’un camion en 2013 et baptisé Mr. Stubbs par ses sauveteurs. 

National Geographic racontait le 14 août que grâce à la Phoenix Herpetological Society, dans l’Arizona, Mr. Stubbs a désormais une nouvelle queue – imprimée en 3D.

Crédits : National Geographic

Pour y parvenir, les chercheurs de la Phoenix Herpetological Society se sont associés avec Justin Georgi, professeur adjoint d’anatomie à la Midwestern University (AZCOM), et la start-up STAX3D pour créer un appendice sur-mesure pour l’alligator.

« Ils bénéficiaient d’une telle résolution qu’il était possible de modéliser des éléments de moins d’un millimètre », raconte Georgi. « La voir prendre forme en temps réel était incroyable. »

Mr. Stubbs a très vite intégré la prothèse aux mouvements de son corps, depuis qu’elle lui a été posée il y a environ cinq semaines.

Une réussite totale qui laisse espérer à Justin Georgi que la technologie pourra servir à présent à d’autres animaux victimes d’accidents, de malformations ou de mutilations.

Source : National Geographic

http://www.ulyces.co/

Les vastes incendies rendent l’air vicié dans une partie de la Californie


La Californie a des troubles respiratoires du moins sur une partie de son territoire. Avec plusieurs incendies qui durent depuis des semaines, une fumée malsaine enveloppe l’air. Ce qui est le plus terrible, est qu’un de ces feux est fait par un pyromane.
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Les vastes incendies rendent l’air vicié dans une partie de la Californie

 

Les environs de Lake Elsinore sont enveloppés d'une... (PHOTO Patrick Record, AP)

Les environs de Lake Elsinore sont enveloppés d’une fumée dense et toxique.

PHOTO PATRICK RECORD, AP

 

ROBYN BECK, ELODIE MAZEIN
Agence France-Presse
LAKE ELSINORE, WASHINGTON

Près d’un mois après le début de vastes incendies qui perdurent en Californie, l’air est tellement vicié dans une partie de cet État que les autorités conseillent aux personnes les plus sensibles de rester à l’intérieur.

«Les images satellites détectent une fumée étendue ce matin provenant des incendies dans l’ouest des États-Unis, qui se déplacent vers le nord-est à travers les Rocheuses vers l’ouest et le centre du Canada, puis vers le sud à travers les plaines du nord» des États-Unis, a indiqué vendredi matin le service météorologique américain (NWS).

La forêt nationale de Kaibab, en Arizona, signalait vendredi matin que «les incendies dans l’ouest créent un brouillard régional» dans la région.

Mais c’est surtout dans le nord de la Californie et le sud de l’État voisin de l’Oregon que les relevés sur la qualité de l’air étaient les plus mauvais, avec un air «malsain» voire «très malsain» à proximité des brasiers les plus importants, les incendies Mendocino Complex et Carr.

Le premier, détenteur depuis le 6 août du record du plus destructeur en superficie, était circonscrit à 60 %, selon un bilan à 10 h du service des pompiers de Californie Calfire.

Constitué de deux foyers mitoyens au nord de San Francisco, il a réduit en cendres plus de 124 000 hectares depuis le 27 juillet et détruit près de 120 maisons.

Plus au nord, près de la ville de Redding, l’incendie «Carr» était maîtrisé à 51 % vendredi matin et avait détruit plus de 73 400 hectares. Trois pompiers et cinq civils sont morts du fait de cet incendie, qui a démarré le 23 juillet.

Il est à ce stade, pour la Californie, le dixième plus destructeur en superficie et le treizième plus meurtrier.

Un pyromane présumé

Au total, depuis le début mi-juillet de cette vague de gros incendies dans l’État le plus peuplé des États-Unis, au moins dix personnes sont mortes.

L’un des derniers à avoir commencé, lundi, est l’incendie Holy, situé à une centaine de kilomètres au nord de San Diego et qui a rapidement pris de l’ampleur. Selon le dernier bilan disponible, il a quasiment doublé de taille entre jeudi soir et vendredi matin, passant de 4000 hectares à plus de 7300 hectares.

Un homme de 51 ans, Forrest Gordon Clark, a été arrêté et devait être formellement inculpé vendredi devant un juge du comté d’Orange pour notamment incendie volontaire avec circonstances aggravantes, destruction de propriétés habitées, incendie de forêt. Il risque la prison à vie.

Shane Sherwood, chef des pompiers de ce comté, a expliqué que le feu avait commencé «près» de l’habitation du quinquagénaire dans le Holy Jim Canyon. «Nous sommes en train d’enquêter sur la façon dont le feu a débuté».

Selon plusieurs témoignages, les autorités ont découvert des «preuves physiques» sur place ayant conduit à considérer Forrest Gordon Clark comme le suspect numéro un.

Avant son arrestation, il avait affirmé à des journalistes qu’il n’avait rien à voir avec ce sinistre:

«Je n’ai aucune idée» de ce qui s’est passé, avait-il dit. «J’étais endormi. J’avais mis des bouchons d’oreilles».

«Je me suis réveillé et mes affaires brûlaient», avait-il ajouté.

Plus de 7400 maisons et plus de 21 400 personnes ont été évacuées à cause du Holy Fire, d’après les services forestiers. De nouvelles évacuations obligatoires ont été instaurées vendredi matin et des écoles fermées face à l’avancée rapide des flammes.

«Il y a des moyens énormes à travers tout le pays, mais nous sommes en compétition avec un certain nombre de feux du nord au sud de la Californie, mais aussi au niveau national», a remarqué Kate Kramer, porte-parole de la Cleveland National Forest. «Mais au fur et à mesure que ces incendies sont maîtrisés, des pompiers sont libérés et ils peuvent venir ici en renfort».

Vendredi matin, Calfire répertoriait neuf incendies et les prévisions météo faisaient craindre de nouveaux foyers.

«Un système très chaud et sec se maintient au-dessus de l’ouest avant de se déplacer vers le nord des Rocheuses et des plaines ce week-end», a prévenu le NWS. «De nombreux feux continuent de brûler à travers la région et un front froid arrivant dans le nord-ouest pourrait exacerber le problème».

http://www.lapresse.ca/

Créer de l’eau potable à partir de l’air du désert, c’est possible!


Les scientifiques prédisent que 50 % de la population mondiale va manquer de l’eau d’ici quelques années. Les chercheurs améliorent une technique peu coûteuse et plus durable pour amasser l’eau à partir de l’humidité même dans un désert. Pour le moment, il est petit et ne peut ramasser qu’un quart de litre, ils espèrent réussir pour fabriquer l’appareil plus gros et ainsi amasser plusieurs litres d’eau pour les besoins d’une maisonnée
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Créer de l’eau potable à partir de l’air du désert, c’est possible!

 

Le nouveau dispositif permet d'extraire l'humidité d'un air très sec.

Le nouveau dispositif permet d’extraire l’humidité d’un air très sec.  Photo : MIT

Des tests menés sur le terrain en Arizona, aux États-Unis, confirment qu’un dispositif présenté l’an dernier par une équipe américaine est bel et bien capable de créer de l’eau potable à partir de l’air très sec du désert.

Explications.

Un texte d’Alain Labelle

Même dans les régions les plus arides de la Terre, il y a de l’humidité dans l’air. Des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’Université de Californie à Berkeley ont mis au point un appareil capable d’extraire l’eau de l’humidité présente dans l’air, et ce, même si elle est pratiquement inexistante.

Dans un monde où l’eau potable est de plus en plus rare, et où de graves pénuries d’eau affectent déjà plusieurs pays, le potentiel de cette invention est grand. Particulièrement lorsqu’on pense au futur, alors que la population humaine ne cessera d’augmenter dans un monde frappé par les effets du réchauffement du climat.

Créer de l’or bleu

Cette technologie pourrait éventuellement fournir un nouveau moyen d’obtenir de l’eau propre et fraîche presque partout sur Terre, en puisant l’eau directement de l’humidité de l’air, même dans les endroits les plus secs.

L’équipe de recherche, qui inclut des ingénieurs et des chimistes, affirme qu’il reste encore beaucoup de travail à réaliser pour utiliser son concept d’extraction de l’eau de l’air à grande échelle, mais elle se dit encouragée par les résultats des tests réalisés à Tempe, une ville au climat aride située en banlieue de Phoenix.

Vous pouvez vraiment obtenir de l’eau potable directement à partir de l’air le plus sec du désert. Evelyn Wang, MIT

Des technologies existent déjà pour extraire l’eau de l’air très humide, par exemple des systèmes de récolte d’eau à partir du brouillard. Elles ont d’ailleurs été déployées dans un certain nombre de zones côtières. Certaines méthodes permettant de retirer l’humidité de l’air sec existent aussi, mais sont très coûteuses.

La présente invention est toutefois la première qui pourrait être utilisée à grande échelle pratiquement n’importe où, quel que soit le taux d’humidité, et à des coûts moindres.

En fait, la technique permet d’extraire de l’eau dans de l’air n’ayant un taux d’humidité que de 10 %. Par comparaison, les méthodes actuelles exigent des niveaux beaucoup plus élevés, avoisinant les 100 % d’humidité pour les méthodes de récolte du brouillard, et plus de 50 % pour les systèmes à base de rosée. En outre, ces deux méthodes nécessitent de grandes quantités d’énergie pour le refroidissement.

Le nouveau procédé a recours à un genre de matériau en mousse attirant l’humidité et utilise des interactions entre des molécules organiques et une surface métallique. Elle est entièrement alimentée par la chaleur du soleil.

Le détail des tests est publié dans la revue Nature Communications.

Alimenter une maison

La version testée sur le terrain inclut quelques améliorations par rapport au concept initial décrit l’an dernier dans la revue Science. Elle permet même d’extraire l’eau à des températures sous zéro.

Toutes les interrogations soulevées l’an dernier ont été positivement réglées dans nos tests. Evelyn Wang, MIT

Le petit prototype testé n’a servi qu’à prouver la valeur du concept, et sa grosseur devra être augmentée pour réussir à produire un quart de litre d’eau par jour, un rendement jusqu’à trois fois supérieur à celui de l’actuelle version.

De plus, le nouveau système ne nécessite pas de pompes ni de compresseur qui peuvent s’user.

« Il peut être utilisé de manière totalement passive, dans des endroits à faible humidité, mais avec de grandes quantités de lumière du soleil », explique Hyunho Kim du MIT.

La prochaine étape est donc de créer un appareil plus gros et plus efficace capable de produire les litres d’eau nécessaires pour alimenter une maison.

Des tests de qualité de l’eau ont aussi été menés et n’ont montré aucune trace d’impuretés.

http://ici.radio-canada.ca/

Une piétonne tuée par une voiture autonome d’Uber


Les concepteurs automobiles font la course pour offrir une voiture autonome sécuritaire, il faut croire que ce n’est pas encore au point. Car une mort de ce genre de technologie est une mort de trop, surtout qu’il y avait quand même un opérateur dans l’automobile
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Une piétonne tuée par une voiture autonome d’Uber

 

Par Rédaction

TEMPE, Ariz. — Le service de police de la municipalité de Tempe, en banlieue de Phoenix en Arizona, a révélé qu’un véhicule autonome de la compagnie Uber a happé mortellement une piétonne lundi.

Selon les autorités, la voiture était en mode autonome, mais un opérateur se trouvait tout de même derrière le volant lorsque la femme qui marchait à l’extérieur d’un passage pour piétons a été frappée.

Le sergent Ronald Elcock a indiqué, par courriel, que l’accident a eu lieu durant la nuit, mais il n’a pas précisé s’il s’est produit dimanche soir ou lundi matin.

La victime a succombé à ses blessures à l’hôpital. Son identité n’a pas été dévoilée.

Il s’agirait du tout premier décès d’un piéton causé par une voiture autonome.

Uber met à l’essai des voitures en mode autonome dans les villes de Tempe et de Phoenix depuis plusieurs mois.

Le président et directeur général d’Uber, Dara Khosrowshahi, a offert ses condoléances à la famille par un message sur son compte Twitter. L’entreprise dit offrir son entière collaboration à l’enquête.

À la suite de cet accident, Uber a décidé de suspendre tous ses essais. D’autres tests de véhicules autonomes se déroulent à Toronto, Pittsburgh et San Francisco.

Les constructeurs automobiles et les entreprises de haute technologie se font la course pour être les premiers à développer un véhicule autonome efficace et sécuritaire.

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