Dans sa bulle


Il est important de s’ouvrir au monde, en restant les pieds sur terre, car vouloir se surélevé par nos jugements, nos œillères, on fini toujours par retomber et notre orgueil en prend un coup
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Dans sa bulle

 

Quand tu flottes dans une bulle, la bulle finit toujours par éclater. Et plus la bulle t’a emmené haut, plus la chute est douloureuse.
 
Malorie Blackman

L’avenir


L’avenir que de questions peuvent surgir, c’est normal mais pas en s’en rendre malade … Apprendre a vivre aujourd’hui, car il est impossible de tout prévoir
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L’avenir

S’inquiéter pour son avenir est une tendance naturelle. En revanche, les inquiets chroniques ont un besoin de tout contrôler.

Passer trop de temps à s’inquiéter sape le moral, réduit votre capacité à réagir au stress, affaiblit le système cardio-vasculaire et perturbe les émotions.

Recadrez vos inquiétudes et apprenez  à accepter l’incertitude. Autorisez-vous à vivre aussi dans l’instant et détendez-vous

Michel Poulaert (belge)

Le saviez-vous ► expression : Malin comme un singe


Aujourd’hui, être malin comme un singe est d’être rusé alors qu’avant, sa connotation était plus obscur
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Malin comme un singe

 singe ou démon ?
 

Cette locution se comprend aujourd’hui aisément du fait de l’habileté et la malice du singe. Il faut toutefois savoir que dans son usage d’origine, elle ne faisait pas compliment :

L’adjectif malin est emprunté au latin malignus « de nature mauvaise, perfide, méchant » dérivé de malus (mal). Dans la culture chrétienne, jusqu’à la fin du XVIIe s., malin caractérisait un être maléfique. Depuis le Moyen-âge, le singe était considéré comme l’incarnation du démon.

Le malin était ainsi une autre manière de nommer le diable et dire de quelqu’un qu’il était malin comme un singe revenait ainsi à le comparer au démon…

Le sens de malin a évolué depuis pour dénoter des qualités plus positives (ingéniosité, ruse…)… Notre vision du singe également… 
 
http://www.francparler.com

Jets lumineux géants : de l’ombre à la lumière


Un phénomène atmosphérique impressionnant et pour la première fois filmé . On se croirait dans le film La guerre des mondes .. avec Tom Cruise, Dakota Fanning et Justin Chatwin
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Jets lumineux géants : de l’ombre à la lumière

Un jet géant filmé sur l’île de La Réunion

Par Viviane Thivent

Grâce à des films d’une qualité inédite, une équipe internationale donne la première description précise d’un phénomène atmosphérique mystérieux : les jets géants.

Le 7 mars 2010, sur l’île de La Réunion, un chasseur d’orage filmait cinq jets lumineux géants situés à une cinquantaine de kilomètres de l’endroit où il se trouvait. Une première, car jamais ces phénomènes météorologiques n’avaient été observés d’aussi près.

Découverts en 2001 par des Américains, ces événements restaient très mystérieux. Tout ce que l’on savait d’eux, c’est qu’il s’agissait de connexions électriques très furtives – de quelques millisecondes – entre un nuage d’orage et l’ionosphère – une partie relativement conductrice de l’atmosphère – située à 90 kilomètres d’altitude.

Au cœur des pulses lumineux…

Aujourd’hui, grâce à ces vidéos, aux images satellitaires de Meteosat7 et aux données du réseau mondial de surveillance des éclairs, une équipe internationale a pu décrire ces manifestations électriques (S. Soula et al., J. Geophys. Res., in press).

Les résultats montrent que les jets géants naissent dans la zone convective de l’orage, là où l’activité électrique est la plus élevée. Chaque jet est précédé, au cœur du nuage, de pulses lumineux très intenses. En outre, la charge électrique transportée lors de chaque jet est très importante et représenterait plusieurs centaines de coulombs (unité de charge électrique).

À titre comparatif, la foudre ne transporte que 10 coulombs vers le sol. Les jets géants joueraient donc un rôle majeur dans le circuit électrique planétaire.

http://www.universcience.fr

Violence envers les profs Un véritable fléau


On sait qu’à l’école ce n’est pas toujours rose, que la violence existe, On s’imagine surtout que cette violence est axée entre étudiants, mais il y a aussi une autre réalité qui est tout aussi inquiétante celle de la violence des élèves envers les professeurs. Des parents qui s’en foutent complètement mais sont prêt a montré les dents s’ils soupçonnent des professeurs violents auprès de leur rejeton .. Je crois qu’il y a plusieurs facteurs tel que les parents ont délaissé l’éducation quasi totale aux professeurs, la violence dans les films, vidéo, jeux, les enfants laissés trop souvent a eux même .. le délaissement du vouvoiement, les gangs etc …
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Violence envers les profs  Un véritable fléau

Violence envers les profs - Un véritable fléau

Les actes de violence sont fréquents dans certaines écoles du Québec où des élèves se présentent parfois armés en classe.

© Pierre-Paul Poulin / Agence QMI

Sarah-Maude Lefebvre

Des centaines d’enseignants québécois sont victimes chaque année d’actes de violence de la part de leurs élèves, a appris le Journal. De l’agression physique aux menaces de mort, les «profs» en voient de toutes les couleurs et se taisent bien souvent, par peur de représailles.

Au fil d’une enquête s’étendant sur plusieurs semaines, le Journal a réussi à dresser un portrait inédit de la violence dans le système scolaire québécois.

Une tâche pas toujours facile, car malgré les demandes répétées du milieu de l’éducation et même l’intervention du Vérificateur général du Québec, en 2005, aucune statistique récente sur la violence dans les écoles n’est disponible.

Les données inédites obtenues par le Journal sont troublantes. L’an dernier, plus de 2 000 agressions contre des enseignants ont été documentées à Montréal, à Québec ainsi qu’en Montérégie. Uniquement dans la métropole, plus de 400 agressions physiques et verbales ont été recensées, en 2010-2011, par l’Alliance des professeurs de Montréal.

Au cours des deux dernières années, 2 871 élèves de la Commission scolaire de Montréal ont d’ailleurs fait l’objet d’une sanction, comme une suspension, en raison de leur comportement violent.

 

Le portrait n’est guère plus reluisant ailleurs au Québec (voir image ci-contre) et le Journal a recueilli de nombreux témoignages d’enseignants vivant dans la peur.

Michel*, un professeur cumulant plus de 20 ans d’expérience, a été agressé à plusieurs reprises durant sa carrière.

«La population ne se doute pas, à quel point on vit, des choses difficiles, confie-t-il. J’ai été battu par un gang de rue et frappé en plein corridor. J’ai aussi été victime de cyberintimidation. Ce n’est pas toujours rose dans nos écoles.»

Des rapports n’ont rien changé

En 2009, le directeur du Groupe de recherche sur les environnements scolaires, Michel Janosz, avait sonné l’alarme lorsqu’il avait remis au ministère de l’Éducation deux rapports sur la violence dans les écoles primaires et secondaires.

«Ce rapport confirme une évidence: il y a de la violence dans les écoles […] violence envers les élèves, violence envers les enseignants, la violence se présente sous diverses formes», écrivait-il à l’époque, déplorant «l’inexistence au Québec d’une base de données fiable» sur le phénomène.

Deux ans plus tard, rien n’a changé, dénonce-t-il.

«Nous avons pourtant proposé au ministère de l’Éducation de faire un monitorage de la situation dans les établissements scolaires, dit-il. Ce sont plutôt les écoles qui ont hérité de cette tâche, sans les outils nécessaires. J’avais prévenu le ministère que ça ne marcherait pas.»

La peur au ventre

Pendant ce temps, les enseignants sont «laissés seuls à eux-mêmes» et ont «peur», dénoncent plusieurs syndicats d’enseignement.

«Nous ne sommes même pas capables d’avoir un portrait juste de la situation», critique Luc Ferland du Syndicat de l’enseignement de la Pointe-de-l’Île, à Montréal.

«Les enseignants craignent que la direction d’école ne les prenne pas au sérieux ou qu’elle remette en question leur capacité de gestion de classe. Bon nombre de profs préfèrent donc se taire et vivre dans la peur», dit-il.

*: nom fictif

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Des témoignages troublants

MONTRÉAL: Agressée devant sa classe

Cinthia n’en croyait pas ses yeux lorsque son élève, un grand gaillard de secondaire V, l’a empoignée devant sa classe l’an dernier, furieux qu’elle lui ait confisqué son iPhone. «Il m’a tiré par le bras et je me suis retrouvée prise entre lui et mon bureau. Il m’a alors demandée en riant si j’avais peur, son visage n’étant qu’à quelques centimètres du mien», raconte-t-elle. Après l’avoir «engueulée», ce dernier a finalement quitté la classe, sous les yeux ébahis des autres élèves. Cinthia en a été quitte pour l’inflammation d’un nerf cervical ainsi qu’une bonne frousse. Son élève ne s’est toutefois pas arrêté là et a commencé à l’intimider sur Facebook. Ce n’est qu’après plusieurs demandes de Cinthia que la direction de l’école a finalement suspendu le jeune homme…pendant la période du temps des Fêtes.

THETFORD MINES: Poignardée avec un crayon

Fatigué d’attendre son tour pour pouvoir poser une question, un adolescent de Thetford Mines a poignardé son enseignante de trois coups de crayon, en octobre 2010. L’affaire a fait grand bruit à l’époque et l’enseignante ne s’en est toujours pas remise, malgré un long congé de maladie. Son syndicat a dû argumenter pendant des semaines avec la direction avant que l’élève ne soit changé d’école. Finalement, une plainte déposée à la police a accéléré le processus. Selon l’enseignante, la douleur ressentie a été si vive, qu’elle a cru sur le coup être frappée à l’aide d’un «couteau X-Acto». Encore aujourd’hui, elle éprouve des difficultés à enseigner.

MONTRÉAL: Battu par un gang de rue

Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans le monde de l’éducation, Michel a été témoin à plusieurs reprises d’actes de violence au cours de sa carrière. Néanmoins, il ne pensait jamais un jour être victime d’un gang de rue. Un après-midi, à la sortie des classes, il surprend un groupe de jeunes qu’il ne connaît pas en train de passer à tabac un élève de l’école. Il s’interpose immédiatement. «J’ai tenté de leur faire peur avec ma grosse voix, mais ça n’a pas fonctionné. Je me suis couché sur l’élève pour le protéger et j’ai été frappé à sa place. Je n’ai jamais eu aussi peur.» Une fois sa triste besogne achevée, le gang a quitté la cour d’école et n’est jamais revenu.

OUTAOUAIS: Il casse le nez d’un autre élève

Enseignante au primaire, Valérie a perdu tous ses moyens lorsqu’un élève aux prises avec un grave trouble de comportement a pris le contrôle de sa classe. «Les parents refusaient toutes formes d’évaluations. Il faisait des crises toutes les semaines. Il frappait, grognait et lançait des chaises ou des pupitres. Il a même cassé le nez d’un autre élève», raconte-t-elle. L’élève a été retourné à la maison en milieu d’année scolaire, lorsqu’il a mordu le directeur qui tentait de le maîtriser pendant une de ses crises.

Hausse des demandes à la CSST

Deuxième groupe en importance au Québec en matière de violence en milieu de travail, les enseignants multiplient les demandes d’aide à la Commission de la santé et de la sécurité au travail (CSST), depuis dix ans, observe un chercheur qui s’inquiète de l’importance du phénomène.

Le personnel du secteur de l’éducation est en effet celui qui fait le plus de réclamations à la CSST pour des lésions attribuables à la violence en milieu de travail, après le secteur de la santé.

«C’est très inquiétant», soupire Angelo Soares, professeur de sociologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM).

Celui qui a mené plusieurs recherches sur le harcèlement psychologique affirme que le phénomène est «troublant», voire «choquant», et il presse les autorités "d’intervenir".

La pointe de l’iceberg

«On nous dit de ne pas nous inquiéter, car le nombre de réclamations a baissé depuis deux ans, mais, sur dix ans, la tendance est à la hausse et on reste les bras croisés», dénonce-t-il.

«En plus, ce n’est que la pointe de l’iceberg. Les données de la CSST ne montrent pas l’ampleur du phénomène. Beaucoup d’enseignants se taisent sur ce qu’ils vivent et ne vont pas contacter la CSST après une agression, car ils croient que c’est trop compliqué.»

«La population a de la misère à s’imaginer qu’il y a de la violence au primaire et au secondaire. Mais ça existe. Il faut faire de la prévention. Oui, les profs ont accès à des programmes d’aide aux employés quand ils sont victimes d’une agression. Mais quand ça arrive, le mal est déjà fait et c’est la preuve que la prévention n’a pas fonctionné.»

http://fr.canoe.ca

16% des téléphones mobiles contaminés par la bactérie E.


Les objets que nous utilisons régulièrement et que nous passons a d’autres personnes peuvent devenir des contaminants. Que ce soit le cellulaire, Ipod, clavier d’ordinateur ou autre doivent être nettoyer souvent, sans oublier que nos mains sont porteur de gènes qui seraient réduit si nous prenions le temps de se laver souvent les mains
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16% des téléphones mobiles contaminés par la bactérie E.

image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/ecoli_1.jpg

C’est l’étonnante conclusion à laquelle la London School of Hygiene & Tropical Medicine et l’institut Queen Mary, de l’Université de Londres, en sont venue. L’étude démontre que 16% des mains et 16% des téléphones portables des participants portaient des traces de la bactérie Escherichia coli, également appelé colibacille et abrégé en E. coli.

En fait, 92% des appareils mobiles seraient contaminés par différentes bactéries, mais 16% d’entre eux le sont par E.coli.

La dite étude, menée dans douze villes du Royaume-Uni, tend cependant à démontrer la nécessité d’une bonne hygiène des mains, porteuses de plusieurs microbes, virus et bactéries. Ainsi, et comme pour beaucoup d’autres maladies infectieuses, la prévention passe surtout par l’hygiène des mains.

Les scientifiques constatent que les personnes qui ont des bactéries sur leurs mains sont trois fois plus susceptibles, logiquement, d’avoir des bactéries sur leur téléphone.

La bactérie E.coli, d’origine fécale, possède la capacité de survivre sur les mains et sur différentes surfaces durant des heures, et peut se transmettre facilement par contact avec les poignées de porte, par exemple. Certaines souches peuvent entraîner des gastro-entérites, des infections urinaires, des méningites ou des septicémies

http://www.branchez-vous.com

Happé par un véhicule Un bébé de 2 ans ignoré par les passants


Coeur sensible s’abstenir de regarder la vidéo … c’est épouvantable, le comble de l’indifférence .. C’est sur qu’on se demande comment se fait-il qu’un si jeune enfant soit seul dans une ruelle passante mais voir ce qui se passe après est incompréhensible
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Happé par un véhicule

Un bébé de 2 ans ignoré par les passants

Un bébé de 2 ans ignoré par les passants

Crédit photo : YouTube

TVA Nouvelles

Une vidéo tirée d’une caméra de sécurité cause tout un tollé en Chine.

La vidéo en question, filmée dans une ruelle commerçante de la ville de Foshan, dans le sud du pays, montre un bébé âgé de seulement deux ans être happé par un véhicule. L’enfant semble être alors gravement blessé.

Les images montrent que lors des minutes qui ont suivi l’accident, de nombreux passants et commerçants passent à côté de la petite fille, sans jamais lui porter assistance ou même s’intéresser à son sort. Un deuxième véhicule percute ensuite l’enfant.

Finalement, un éboueur transporte le bébé sur le trottoir et avertit ses parents.

Les médias chinois ont affirmé que l’enfant se trouvait en état de mort cérébrale suite à l’accident. Certains ont indiqué lundi que la fillette aurait succombé à ses blessures.

http://tvanouvelles.ca