Et le mot de l’année 2018 est… «nomophobie»


Le Cambridge Dictionary a invité les membres de son blog, ainsi que toutes personnes qui le suivent dans les réseaux sociaux à voter pour le mot de l’année qui en principe n’est pas encore dans les dictionnaires, mais sont quand même utilisé dans le langage
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Et le mot de l’année 2018 est… «nomophobie»

 

Le mot «nomophobie» succède à «populisme» au palmarès | Park Van Ness via Flickr CC License by

Le mot «nomophobie» succède à «populisme» au palmarès | Park Van Ness via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Repéré sur The Independent

Une décision qui émane du comité du Cambridge Dictionary.

Après paranoid (paranoïaque) en 2016 et populism(populisme) en 2017, le Cambridge Dictionary a récemment élu son mot de l’année 2018. Il s’agit de nomophobia, un mot dont la traduction française (nomophobie) ne figure pas encore dans nos dictionnaire.

Le mot est méconnu par chez nous mais il est pourtant utilisé depuis des années, notamment dans la presse.

La nomophobie désigne «la peur ou l’inquiétude ressentie à l’idée de se trouver sans téléphone mobile ou d’être dans l’impossibilité de s’en servir».

Le préfixe nomo– consiste tout simplement en une contraction des mots no mobile phone (pas de téléphone mobile).

Comme le raconte The Independent, le comité du Cambridge Dictionary a invité les membres du lectorat de son blog, ainsi que les internautes qui la suivent sur les réseaux sociaux, à choisir le mot le plus emblématique de 2018 parmi une liste de quatre mots préselectionnés. Sur le blog, on peut lire ce commentaire émanant du comité:

«Votre choix montre que, tout autour du monde, les gens ont tellement l’habitude de ce type d’anxiété qu’il était réellement nécessaire de lui donner un nom».

Devant «ecocide», «no-platforming» et «gender gap»

La nomophobie a donc été plus forte que les termes ecocide (qui désigne la destruction délibérée et complète d’un écosystème), no-platforming (pratique consistant à empêcher une personne de rendre ses idées publiques dans la mesure où l’on estime que celles-ci sont dangereuses ou inacceptables) et gender gap (la différence entre les façons dont la société traite les hommes et les femmes). Des idées dont on devrait continuer à entendre parler plus d’une fois en 2019.

Amazon Go, l’épicerie sans caisse enregistreuse


Non merci ! Je ne voudrais pas aller dans ce genre de commerce. Il me semble que nous sommes à la merci des entreprises alimentaires. Même si les files d’attente ne sont pas toujours idéales quand il y a beaucoup de monde, cela demeure quand même une liberté de notre consommation
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Amazon Go, l’épicerie sans caisse enregistreuse

 

 

BIG BROTHER

– LAURENT LASALLE

Le géant du commerce en ligne a dévoilé cette semaine son concept d’épicerie sans caisse enregistreuse qui tire profit d’une toute nouvelle technologie liée au téléphone mobile de ses clients.

À défaut de concurrencer Netflix en lançant son service Prime Video au Canadacomme le suggérait les rumeurs, Amazon a plutôt choisi de dévoiler cette semaine son projet d’établir une chaîne de supermarchés d’un nouveau genre à travers les États-Unis.

Le concept? Visiter le commerce en question, prendre ce que l’on souhaite, et quitter les lieux sans perdre son temps à faire la queue ou à faire la conversation avec qui que ce soit en attendant de payer. Une expérience d’achat accélérée, judicieusement nommée Amazon Go.

Si cette formule donne l’impression de commettre un vol à l’étalage, c’est sans compter la technologie exploitée par Amazon dans ce contexte.

 

«Nous utilisons la vision artificielle, l’apprentissage profond, et la combinaison de capteurs, très similaires à ce que l’on retrouve dans les voitures autonomes», explique Amazon dans sa vidéo. «Nous nommons cette technologie Just Walk Out

Car avant de pénétrer un commerce, il faut bien entendu numériser l’application Amazon à l’entrée. Ce sont les capteurs à la sortie du magasin qui identifieront ce que vous avez en votre possession afin de les facturer automatiquement à votre compte.

Du point de vue de consommateur, il va de soi que le bénéfice est de parvenir à réaliser ses emplettes plus rapidement. Pour Amazon, on compte certainement traquer ce que vous achetez régulièrement pour vous améliorer son système de recommandations. Qui vous incitera, peut-être, à consommer plus. D’autant plus que la barrière psychologique de «passer à la caisse», l’étape où l’on est informée du prix de nos achats, est essentiellement reléguée aux oubliettes. À moins de faire comme la cliente dans la vidéo et de prendre soin de vérifier le montant de la facture à votre sortie du supermarché.

Le premier commerce Amazon Go devrait ouvrir ses portes au début 2017 à Seattle, à Washington, non loin de la maison-mère d’Amazon. La boutique d’une superficie de 1 800 pi2 (environ 170 m2) est actuellement mise à l’essai par des employés de l’entreprise.

http://branchez-vous.com/

«À quoi ça sert, aller dans l’espace?»


On a tous fait cette réflexion sur l’argent destinée à l’exploration spatiale. Moi aussi à certains moments comme le projet de Mars One que je trouve pour le moment, peut-être possible un jour, mais pour le moment, il y aurait d’autres priorités. Cependant, il est clair que personne ne voudrait se passer de son téléphone portable, son ordinateur, sa calculatrice à énergie solaire, les micro-ondes, et encore bien des choses dans divers domaines, qui pourtant, ont été possible grâces aux explorations spatiales
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«À quoi ça sert, aller dans l’espace?»

«À quoi ça sert, aller dans l’espace?»

Jean-Pierre Urbain

«Explorer l’espace, quel beau gaspillage. Imaginez tout ce que l’on pourrait faire avec cet argent dilapidé pour visiter des comètes qui puent et des planètes froides et désertiques.»

Ce sont des propos que l’on entend fréquemment.

Même les jeunes, en classe, se font les porte-paroles des adultes de leur entourage.

Mais de quoi en retourne-t-il?

D’abord la question de l’argent.

Regardons cela d’un peu plus près.

Le budget militaire des É.-U. est d’environ 20% des dépenses totales du pays. Le budget de la NASA est d’à peine un demi-pour cent (0,5%). Le Canada consacre 8% de ses dépenses à la Défense et l’Agence spatiale canadienne ne reçoit 0,14%.

Ce qui veut dire qu’en moyenne les dépenses militaires américaines coûtent à un Américain 6,40$ par jour et l’exploration spatiale 15 cents. Au Canada, chacun d’entre nous, en moyenne, paye chaque jour 1,60$ pour l’armement et 3 cents pour les activités spatiales. Si on devait récupérer des argents quelques parts, pour des causes humanitaires, c’est bien du côté militaire qu’il faudrait gruger. Les dépenses consacrées à l’exploration spatiale, au-delà de la découverte, engendrent de nombreuses retombées qui profitent à l’humanité dans son ensemble.

Les retombées

J’ai dressé une liste sommaire de ces retombés (économiques et pratiques) de l’exploration spatiale. De l’argent, ne l’oublions pas dépensé sur Terre.

Guidage des véhicules

Le GPS (Global Positionning System) est un système de navigation par satellite. Développé à la fin des années 1970, il mesure à tout moment et n’importe où sur la surface du globe les coordonnées (latitude, longitude et altitude) du porteur d’un appareil de réception.

De nos jours, le système GPS est utilisé pour le guidage automobile, la régulation du trafic des bus, du transport ferroviaire, de la navigation maritime et de la téléphonie mobile. Les services d’Urgences-santé et les pompiers abrègent leur temps de déplacement grâce aux informations précises de localisation du système GPS.

Couverture de survie

En 1960, les Américains mettent en orbite le ballon satellite Echo 1. Son but: réfléchir des ondes radio entre deux continents. Le ballon est recouvert d’un film de plastique aluminisé en Mylar, un isolant thermique. Aujourd’hui, ce matériau est le principal composant des couvertures de survies aux reflets dorés et argentés.

Les freins des trains à haute vitesse

Les composites en carbone utilisés pour les tuyères des propulseurs d’appoint des fusées entrent aujourd’hui dans la fabrication des disques de freins aux performances inégalées.

On retrouve ces disques sur nos voitures, augmentant d’autant la sécurité des déplacements.

Des textiles ignifugés

Mise au point d’un textile pare-flamme en fibres de Kevlar pour protéger les astronautes des effets calorifiques et des rayonnements thermiques. On utilise ces textiles dans l’équipement des pompiers.

Les ballons gonflables, les airbags

Cette technologie déclenchant le gonflage d’un ballon situé sous le tableau de bord du conducteur d’une voiture est née des systèmes spatiaux. On utilise cette technologie pour l’atterrissage de robots sur Mars (Sojourner, Spirit, Oportunity, Beagle2).

Le téléphone mobile

Le téléphone mobile via les relais satellites permet de contacter n’importe qui, n’importe où, même dans des zones géographiquement isolées.

La médecine à distance

Grâce aux communications par satellites, des spécialistes pourront à distance venir en aide à des médecins des régions éloignées et permettre efficacement d’établir des diagnostics précis et éclairés.

Simulateurs cardiaques

La mise au point de simulateurs cardiaques informatisés découle directement du développement des capteurs fixés aux astronautes pour observer l’évolution de leur métabolisme.

Nouvelles molécules pharmaceutiques

Les études sur la croissance des cristaux de protéines permet de mieux comprendre les interactions entre leurs différentes composantes, et permet de développer des médicaments plus efficaces, comportant moins d’effets secondaires pour le traitement des maladies telles le diabète, le cancer du sein, de la prostate. La recherche, entre autres sur les protéines, aidera à protéger les récoltes contre les maladies ou à atténuer la résistance des bactéries aux antibiotiques.

Imagerie médicale

On utilise l’effet Doppler pour mesurer la vitesse de circulation du sang dans les vaisseaux.

D’autres techniques comme la résonance magnétique, dérivée de l’imagerie spatiale, ont contribué à l’évolution des images médicales. La résonance magnétique a énormément bénéficié des progrès de l’imagerie spatiale.

Étude de l’évolution osseuse

Après quelques semaines dans l’espace, les os des astronautes s’affaiblissent. Ils sont comparables à ceux des personnes soufrant d’ostéoporose. En observant cette dégénérescence sur une courte période de temps, on peut bien comprendre le phénomène et développer des médicaments ou des traitements pour les personnes souffrant de cette cruelle maladie. Fort heureusement pour les astronautes, la détérioration osseuse est réversible. Quelques semaines après leur retour sur terre, leurs os sont revenus à leur état normal.

Recherche sur les protéines

Ces recherches effectuées dans l’espace pourront aider à protéger les récoltes contre les maladies ou atténuer la résistance des bactéries aux antibiotiques.

La météo

Les premiers satellites de prévision météorologique ont été lancés en 1960. Ils photographient les nuages, repèrent les cyclones, mesurent la température de l’atmosphère et la vitesse des vents. Ils contribuent à alerter les populations des zones que visiteront les tornades ou les cyclones et contribuent ainsi à sauver de nombreuse vies.

Satellites agricoles

Une gamme de capteurs opérant sur des longueurs d’onde judicieusement choisies permet d’identifier la végétation de façon sûre.

Cartographie

Les cartes géographiques établies à l’aide des photos satellites font apparaître de nombreuses formations dont les géographes ignoraient l’existence.

Recherche de l’eau

Repérer en infrarouge les courants souterrains.

La neige

Évaluer l’épaisseur des précipitations selon une échelle de brillance.

Balise de détresse Sarsat

Système de repérage des bateaux ou un avion en détresse initié en 1982. Ce système est le résultat de la collaboration du Canada, de la France, des États-Unis et de la Russie. Des centaines de milliers de balises de détresse équipent avions et navires de par le monde.

Des centaines de chaînes télévision

Des paraboles familiales permettent de capter des signaux satellites en provenance de la planète entière.

Dans la cuisine

À l’origine, le Teflon a été inventé pour protéger les satellites des différents chocs dans l’environnement spatial. Aujourd’hui, personne ne peut se passer de ces poêles ou casseroles à revêtement antiadhésif.

Les couches-culottes

Pour satisfaire des besoins naturels, les premiers cosmonautes étaient revêtus de combinaisons incluant des matériaux absorbants. Les entreprises de couches-culottes s’en sont inspirées pour protéger les fesses des bébés.

Le Velcro

Qui ne connaît pas le Velcro? Un système de fermeture composé de deux rubans qui peuvent s’agripper ensemble par contact. Bien qu’antérieur à l’exploration spatiale, le velcro a été rendu célèbre dans l’espace.

Les fauteuils roulants

Grâce aux matériaux composites développés pour la construction des engins spatiaux, le poids des fauteuils s’est allégé, passant de 50 kilos à 12 kilos.

Nouveaux alliages

On développe toutes sortes de nouveaux alliages pour construire des engins spatiaux. Ces alliages allient légèreté et robustesse. On les retrouve ensuite un peu partout dans nos automobiles, dans les appareils électroménagers, dans la composition de nos maisons.

Procédures de gestion nouvelles

Le programme Apollo nécessita la mise au point de concept de gestion novateur. Des milliers d’entreprises furent mises à contribution pour produire les différentes composantes. Il était crucial que toutes ces pièces soient prêtes à temps et livrées au bon endroit, intactes. La gestion de toutes ces activités disparates et réparties sur une très grande zone géographique a nécessité le développement d’outils de gestion fiables et performants. À titre d’exemple, les pieds des LEMS lunaires, avec des équipages, ont été fabriqués en banlieue de Montréal et ont été livrés conformes aux spécifications juste à temps.

Les outils sans fil

Tournevis, perceuse, couteau électrique, tous ont pour «parents» les outils qui servent à travailler en impesanteur. Au cours des sorties dans l’espace, les astronautes utilisent des équipements alimentés par des piles rechargeables. Pas de fil!

Les calculatrices de poche

Ces précieux assistants de la vie de tous les jours sont le résultat de la miniaturisation des appareils spatiaux. De plus celle qui fonctionne à l’énergie solaire profite des recherches déployées pour alimenter en énergie les véhicules spatiaux.

Les ordinateurs

Les ordinateurs à la maison ou en classe sont des milliers de fois plus puissants que ceux qui ont dirigé les hommes vers la Lune et les ont ramenés sains et saufs sur Terre. Nos maisons sont maintenant remplies de petits ordinateurs destinés à nous faciliter la vie ou à nous divertir. Cuisinières électriques, laveuses, téléviseurs, magnétoscopes, consoles de jeux contiennent de minuscules «puces» qui règlent leurs bons fonctionnements.

Les manette de jeux

Les manettes de jeu découlent directement des dispositif de contrôle des engins spatiaux.

Les détecteurs de fumée

Les détecteurs de fumée ont d’abord été mis au point pour les vols spatiaux habités.

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Elle reçoit un texto de "maman"… enterrée depuis 3 ans !


Ceux qui me connaissent savent que je ne crois pas aux revenants, fantômes ou qu’importe comment les gens les appellent, alors une telle histoire, surtout à cette époque de l’année m’a fait sourciller et pourtant, elle n’est que trop plausible Pour cette fois, oui, c’est sûrement un vrai fait vécu
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Elle reçoit un texto de « maman »… enterrée depuis 3 ans !

 

Elle reçoit un texto de "maman"... enterrée depuis 3 ans !

Photo : KATERINA SULOVA/AP/SIPA

INSOLITE – La famille de Lesley Emerson, enterrée avec son téléphone depuis 2011, avait l’habitude de lui envoyer des textos pour faire face à la douleur. Hier, la petite-fille de la défunte a reçu une réponse.

 

« Vous avez un nouveau message. » Quand Sheri Emerson, 22 ans, découvre l’auteur de son dernier texto, son sang ne fait qu’un tour. Il s’agit de sa grand-mère, Lesley, enterrée 3 ans plus tôt.

La famille avait choisi de placer le téléphone de la défunte dans son cercueil, enterré à South Shield en Angleterre. Une manière de rester connectés en envoyant occasionnellement des textos.

Seulement hier, après avoir envoyé quelques mots à sa grand-mère, Sheri reçoit une réponse hantée le lendemain :

« Je veille sur vous. Vous allez y arriver, tout va bien se passer. »

Puis un second message :

 « Je veille sur vous. Tout va s’arranger. Tenez le coup. »

A quelques jours d’Halloween, une réponse d’outre-tombe serait de circonstance.

« Un végétarien inquiétant » au bout du fil

En réalité, l’opérateur a réattribué le numéro à un autre utilisateur, bien que la famille avait explicitement demandé qu’il reste hors-service.

« Je me suis sentie malade quand j’ai lu ça, j’étais choquée et je ne savais pas quoi penser », a expliqué Sheri au Dailymail.

Quand la jeune femme a questionné son mystérieux interlocuteur à propos de son identité, celui-ci s’est alors défini comme « un végétarien inquiétant »… avant de s’excuser pour cette supercherie de mauvais goût.

Espérons pour la famille de Lesley qu’une boîte aux lettres a également été installée dans sa tombe, la technologie n’ayant pas fait ses preuves.

Justine Knapp

http://www.metronews.fr

Diagnostiquer une pneumonie avec son téléphone mobile


J’ai comme l’impression que les applications qu’on peut avoir sur les téléphones mobiles vont servir de plus en plus dans le domaine de la santé et qui pourraient peut-être une aide qui feraient diminuer l’occupation des urgences, qui sait !!
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Diagnostiquer une pneumonie avec son téléphone mobile 

 

Mesurer le niveau d’oxygène dans les vaisseaux sanguins? Il y a désormais une application mobile pour ça.

Des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique ont inventé l’oxymètre, un détecteur qui permet d’envoyer des données médicales directement sur son téléphone portable, lesquelles seront ensuite déchiffrées par une application.

Pour le professeur Mark Ansermino, l’une des plus grandes difficultés des pays en développement est la distance qui sépare les malades d’un médecin. Les téléphones mobiles, de plus en plus communs, pourraient en partie pallier cet obstacle.

« Les patients ne meurent pas à l’hôpital. Ils meurent à la maison. » Le Pr Mark Ansermino

À la suite de la lecture des données envoyées par l’oxymètre, l’application développée par le professeur Ansermino et l’ingénieur Guy Dumont proposerait une série de questions permettant à celui qui assiste le malade d’agir plus rapidement.

« Les gens meurent des difficultés de poser un diagnostic, de traiter les patients, de les trier – c’est-à-dire prendre la décision de les amener quelque part d’autre – et des obstacles au transport. Le téléphone surmonte tous ces éléments. »— Le Pr Mark Ansermino

L’un des exemples utilisés par les chercheurs est celui de la pneumonie, une inflammation qui tue deux millions d’enfants chaque année. La série de questions proposées a pour objectif de différencier une grippe d’une pneumonie. « L’enfant respire-t-il rapidement? Est-ce qu’il fait de la fièvre? »

« Il y a de grandes inégalités en matière de soins de santé. Je suis convaincu que la technologie peut réduire cet écart.   » — Le Pr Mark Ansermino

http://ici.radio-canada.ca

44 faux appels au 911 avec le vieux cellulaire de ses parents


Les enfants aiment faire comme leur parent, et le cellulaire fait partie du rôle qu’ils font … (j’ai essayé de trouver le téléphone jouet avec des roues, des yeux et une corde, c’est en voie de disparition, maintenant, c’est tous des cellulaires jouets) C’est important si on donne un vieux cellulaire a un enfant d’enlever la batterie ainsi évité toutes fausses urgence
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44 faux appels au 911 avec le vieux cellulaire de ses parents

 

La Presse Canadienne
GRANDE PRAIRIE, Alberta

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) en Alberta a révélé mardi qu’elle recevait beaucoup de faux appels d’urgence provenant de téléphones mobiles désactivés que des parents ont donné à leurs enfants.

Selon la GRC de Grande Prairie, l’un de ces enfants a fait 44 faux appels au 911 en une seule journée.

La police a expliqué que même si ces appareils n’étaient plus en service, tant qu’ils avaient une pile et qu’ils étaient chargés, il était possible de les utiliser pour effectuer des appels d’urgence.

Les autorités doivent ouvrir un dossier et enquêter sur chaque appel au 911 afin de s’assurer qu’il n’y a pas de réelle urgence et que personne n’est en détresse.

La GRC a fait valoir que ces faux appels monopolisaient des ressources qui pourraient servir à régler de vrais problèmes.

Elle a exhorté les parents à s’assurer que leurs enfants ne puissent pas activer le bouton d’urgence des vieux cellulaires avec lesquels ils leur permettent de jouer.

http://www.lapresse.ca

L’avenir des téléphones publics au Canada menacé


Malgré la baisse d’utilisation des téléphones publics, ils doivent rester accessible a beaucoup d’endroit. Les cellulaires, téléphones sans fils ont des lacunes en cas de panne d’électricité prolongée ou lors d’une catastrophe comme ce fut le cas aux USA au passage de l’ouragan Sandy. Cela prouve que malgré les avancements de la technologie … nous sommes toujours vulnérables
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L’avenir des téléphones publics au Canada menacé

TORONTO – Les dommages causés par l’ouragan Sandy soulèvent des questions concernant l’importance des téléphones publics dans les situations d’urgence au moment même où deux des plus grandes entreprises de télécommunications canadiennes demandent la permission de hausser les tarifs de leurs appareils publics sous peine d’en réduire le nombre.

Les New-Yorkais ont été forcés de se tourner vers les téléphones publics de leur quartier la semaine dernière après que des inondations eurent provoqué des pannes de courant et altéré la réception des téléphones mobiles dans les régions ravagées par Sandy, la puissante tempête qui a balayé la côte est des États-Unis.

Mais une requête déposée plus tôt cette année par Bell Canada (TSX:BCE) et Bell Alliant (TSX:BA) auprès du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes pourrait entraîner une diminution du nombre d’appareils publics au Canada et donc les rendre plus difficiles à trouver en cas d’urgence.

Les deux entreprises veulent pouvoir doubler leurs tarifs, ce qui ferait passer le prix d’un appel local de 50 cents à 1 $. Elles soutiennent que, sans cette augmentation, elles seront obligées de se débarrasser de leurs téléphones publics les moins rentables. Cela pourrait mener à la disparition de jusqu’à 25 pour cent des appareils au Québec et en Ontario.

«Bell a besoin de la flexibilité nécessaire pour hausser le prix actuel de 50 cents jusqu’à 1 $ afin de permettre aux téléphones publics d’être rentables à long terme», a écrit le porte-parole de Bell, Mark Langton, dans un courriel.

Le public peut soumettre ses commentaires sur la demande de Bell Canada et Bell Alliant jusqu’au 14 décembre et les deux entreprises devront fournir des réponses avant la mi-janvier.

Cela fait des années que les téléphones publics agonisent. Les centres commerciaux ont retiré la majorité de leurs appareils pour les remplacer par des bancs et, dans les bars, les téléphones publics sont davantage utilisés comme supports pour des autocollants publicitaires ou des graffitis que comme moyens de communication.

Même si ces appareils sont considérés comme archaïques par bien des Canadiens qui les ont remplacés par des téléphones mobiles depuis belle lurette, Sandy a rappelé que les téléphones publics avaient encore leur utilité dans les situations d’urgence.

Selon Kim McKinnon, responsable des relations avec les médias pour les Services médicaux d’urgence de Toronto, en dépit de la chute du nombre d’appels effectués avec les téléphones publics, de nombreuses personnes y ont encore recours en cas d’urgence.

À New York, de longues files d’attente se sont formées devant les appareils publics alors que les résidants téléphonaient à leurs proches pour leur dire qu’ils avaient survécu à l’ouragan. Un scénario similaire s’était produit après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque les réseaux de téléphonie mobile avaient flanché en raison du trop grand nombre d’appels.

Quand une grosse tempête s’abat sur une ville et que l’électricité est coupée, l’utilité d’un téléphone mobile se mesure en fonction de la durée de sa batterie et de la qualité de sa réception.

Plusieurs groupes communautaires ont aussi manifesté de l’inquiétude quant à l’impact qu’aurait la disparition partielle ou totale des téléphones publics sur la population, plus particulièrement sur les personnes à faible revenu pour qui ces appareils constituent un moyen de communication important.

http://actualites.ca.msn.com/

La «nomophobie», l’angoisse d’être privé de son téléphone


Tout va vite aujourd’hui, depuis l’avenu d’internet tout a changer dans notre vie, nous devons accrocher au monde en un clin d’oeil mais jusqu’à quel point cela peut nous rendre dépendant et de cette dépendance devient un trouble social  avec les téléphones intelligents, la facilité de tout trouver en un seul clic Je me souviens adolescence j’avais lu un article qui disait que nous étions moins patients a cause des télé-séries ou tout gros problèmes se règlent en dedans de 30 a 60 minutes … alors qu’avec internet c’est une question de seconde Les problèmes ne se règlent pourtant pas aussi vite et en réalité cela en crée d’autres
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La «nomophobie», l’angoisse d’être privé de son téléphone

 

Étude - La «nomophobie», l'angoisse d'être privé de son téléphone

En février, une étude menée auprès d’un millier d’utilisateurs de téléphones mobiles au Royaume-Uni révélait que 66 % d’entre eux se disaient «très angoissés» à l’idée de perdre leur téléphone.

© Shutterstock

Se sentir «très angoissé» à l’idée de perdre son téléphone mobile ou être incapable de s’en passer plus d’une journée: la «nomophobie», contraction de «no mobile phobia», touche principalement les accros aux réseaux sociaux qui ne supportent pas d’être déconnectés.

En février, une étude menée auprès d’un millier d’utilisateurs de téléphones mobiles au Royaume-Uni (pays où le terme de «nomophobie» est apparu en 2008) révélait que 66 % d’entre eux se disaient «très angoissés» à l’idée de perdre leur téléphone.

La proportion atteint 76 % chez les jeunes de 18-24 ans, selon ce sondage réalisé par l’entreprise de solutions de sécurité pour téléphone mobile SecurEnvoy. 40 % des personnes interrogées indiquaient en outre posséder deux téléphones.

«Le phénomène s’est amplifié avec l’arrivée des téléphones intelligents et des forfaits illimités. Chacun a accès à une panoplie de services: Où suis-je? Y a-t-il des restaurants à proximité? J’achète mon billet de train pour cette fin de semaine, je planifie ma soirée, etc.», résume à l’AFP Damien Douani, expert en nouvelles technologies de l’agence FaDa.

«Il y a quelques années, le SMS était déjà une forme de nomophobie. On parlait même de la «génération des pouces» pour décrire ceux qui tapaient sans arrêt des textos. Mais l’internet mobile via un téléphone intelligent, c’est le SMS puissance 10», selon lui.

«Le réflexe Google a été transposé au téléphone mobile: j’ai besoin d’une information, et je trouve réponse à tout, c’est la facilité incarnée», souligne Damien Douani.

22 % des Français avouent qu’il leur est «impossible» de passer plus d’une journée sans leur téléphone mobile, selon un sondage en ligne réalisé en mars par la société Mingle auprès de 1500 utilisateurs, et un pourcentage qui grimpe à 34 % s’agissant des 15-19 ans.

29 % des personnes interrogées indiquent qu’elles pourraient se passer de leur téléphone plus de 24 heures «mais difficilement», contre 49 % qui estiment qu’elles y arriveraient «sans problème».

«On peut comprendre que les gens soient accros à leur téléphone intelligent car ils ont toute leur vie dedans, et si par malheur ils le perdent ou qu’il est en panne, ils se sentent totalement coupés du monde», souligne l’écrivain Phil Marso, organisateur depuis une dizaine d’années des Journées mondiales sans téléphone mobile les 6, 7 et 8 février de chaque année.

«C’est un outil qui déshumanise. Un jour dans la rue, une personne qui cherchait son chemin m’a tendu son téléphone intelligent avec le plan du quartier sur l’écran au lieu de me demander où se trouvait la rue qu’elle cherchait», raconte-il.

«Parallèlement à tout cela, les réseaux sociaux créent des liens avec des communautés et font qu’il y a un besoin de mise à jour constante et de consultation en permanence. S’il y avait un petit compteur sur chaque téléphone comptabilisant le nombre de fois où on le vérifie, on serait surpris», souligne Damien Douani.

Cet expert parle de «véritable extension du domaine de la dépendance»: «il y a ce syndrome « je suis toujours connecté», « je vérifie mon téléphone au cas où ».

«On est dans une société robotique où on doit faire plein de choses à la fois. Une partie de la population pense que si elle n’est pas connectée, elle manque quelque chose. Et si on manque quelque chose ou si on ne peut pas réagir tout de suite, on développe des formes d’angoisse ou d’énervement. Les gens n’ont plus de patience», selon Phil Marso, auteur en 2004 du premier livre entièrement rédigé en SMS.

«Le téléphone intelligent détruit une forme de fantaisie. Tout est servi sur un plateau et il n’y a plus de spontanéité ou d’effet de surprise, comme trouver un restaurant au fil des rues au lieu de le repérer grâce à une application mobile et s’y rendre directement. On est en train de tuer une forme d’inattendu», estime-t-il.

http://fr.canoe.ca

16% des téléphones mobiles contaminés par la bactérie E.


Les objets que nous utilisons régulièrement et que nous passons a d’autres personnes peuvent devenir des contaminants. Que ce soit le cellulaire, Ipod, clavier d’ordinateur ou autre doivent être nettoyer souvent, sans oublier que nos mains sont porteur de gènes qui seraient réduit si nous prenions le temps de se laver souvent les mains
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16% des téléphones mobiles contaminés par la bactérie E.

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C’est l’étonnante conclusion à laquelle la London School of Hygiene & Tropical Medicine et l’institut Queen Mary, de l’Université de Londres, en sont venue. L’étude démontre que 16% des mains et 16% des téléphones portables des participants portaient des traces de la bactérie Escherichia coli, également appelé colibacille et abrégé en E. coli.

En fait, 92% des appareils mobiles seraient contaminés par différentes bactéries, mais 16% d’entre eux le sont par E.coli.

La dite étude, menée dans douze villes du Royaume-Uni, tend cependant à démontrer la nécessité d’une bonne hygiène des mains, porteuses de plusieurs microbes, virus et bactéries. Ainsi, et comme pour beaucoup d’autres maladies infectieuses, la prévention passe surtout par l’hygiène des mains.

Les scientifiques constatent que les personnes qui ont des bactéries sur leurs mains sont trois fois plus susceptibles, logiquement, d’avoir des bactéries sur leur téléphone.

La bactérie E.coli, d’origine fécale, possède la capacité de survivre sur les mains et sur différentes surfaces durant des heures, et peut se transmettre facilement par contact avec les poignées de porte, par exemple. Certaines souches peuvent entraîner des gastro-entérites, des infections urinaires, des méningites ou des septicémies

http://www.branchez-vous.com