Bonnes paroles


Il ne suffit pas de mots très recherchés pour apaiser, encourager, enfin avoir un impact positif sur une personne. Des fois, on peut parler avec une personne pendant toute une soirée et ce n’est qu’au moment de partir que quelques petits mots sincères qui font toute la différence.
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Bonnes paroles

 

 

De bonnes paroles peuvent être brèves et faciles à dire mais leur écho est véritablement éternel.

Mère Teresa

Le Saviez-Vous ► Décembre 1888, Vincent Van Gogh offre son oreille


Je n’aime pas le terme fou pour désigner une personne ayant des troubles psychiatriques. Enfin, Van Gogh souffrait de ces troubles, on croit qu’il était atteint de la schizophrénie ainsi que des troubles bipolaires et autres. Il est clair que couper son oreille et de l’offrir à une personne, il était gravement malade.
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Décembre 1888, Vincent Van Gogh offre son oreille

 

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L’histoire est bien connue, le peintre Vincent Van Gogh, atteint de divers troubles psychiatriques se coupe l’oreille et peint un des autoportraits les plus célèbres de l’histoire de l’art. Mais ce que la plupart des gens ignore, c’est que l’artiste fou a offert son oreille à une jeune fille… qui a crié d’épouvante avant de tomber dans les pommes. Normal.

 Vincent Van Gogh, un artiste torturé

Ce n’est un secret pour personne, Van Gogh était fou. Difficile d’établir un diagnostic mais on vise sur la schizophrénie avec troubles bipolaires, sans parler de la syphilis, du saturnisme et d’une épilepsie du lobe temporal… Bref. En 1888, Vincent Van Gogh vit à Arles, il partage un atelier avec Gauguin. Les deux artistes sont fauchés, ils passent leur temps à se disputer et à se menacer. Pour autant, ils ne peuvent se séparer et continuent leur vie commune. Mais le 23 décembre, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase pour Paul Gauguin.

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Vincent, qui vit aux dépens de son plus jeune frère Théo, vient d’apprendre que celui-ci s’est fiancé. Il va épouser une jeune fille et va nécessairement devoir répondre aux besoins financiers du ménage et de la future famille. Pour le peintre c’est certain, son frère l’abandonne ! Se sentant seul, il est pris d’une crise de panique, ou de folie. Une furieuse dispute éclate entre Van Gogh et son coloc. C’est la dispute de trop, il renonce à sa vie dans l’atelier du midi avec Van Gogh. Gauguin part dormir à l’hôtel et annonce qu’il prendra le train le lendemain matin.

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Impossible de savoir ce qu’il se passe réellement dans la tête de l’artiste néerlandais ce soir-là, mais à l’aide d’une lame de rasoir, il se tranche l’oreille, éponge le sang avec des draps et décide d’aller offrir son morceau de chair à une jeune fille, Gabrielle.

Qui est Gabrielle ?

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On a cru pendant longtemps que Gabrielle (parfois appelée Rachel) était une prostituée, mais les archives ont prouvé le contraire. A cette époque-là, la prostitution est réglementée par l’état et toutes les filles sont obligatoirement inscrites sur des registres afin d’être suivies médicalement et surtout contrôlées. Gabrielle ne figure nulle part. En réalité, Gabrielle a 19 ans et elle fait le ménage dans différentes maisons de passes arlésiennes, notamment « la maison de tolérance n°1 », c’est ici que Van Gogh la retrouve le 23 décembre, au milieu de la nuit, avec un paquet de papier journal. Le peintre, qui fréquentait régulièrement les bordels avait rencontré Gabrielle et avait pu voir une cicatrice sur son bras. Elle s’est faite mordre pas un chien quelques années plus tôt et il lui reste une belle marque. Vincent Van Gogh a voulu lui offrir sa chair après s’être coupé l’oreille…

Ne dit-on pas que c’est l’intention qui compte ?

http://www.racontemoilhistoire.com/

Pourrait-on ressusciter cet ancien cheval de l’ère glaciaire ?


On ne peut qu’espérer qu’ils ne trouvent pas une cellule exploitable pour l’ADN, jamais, il ne sera possible de faire revivre un cheval qui aurait vécu il y a 40 000 ans. Encore, une fois, au lieu de dépenser des fortunes dans ce genre de recherches, il serait vraiment mieux de protéger les espèces animales en danger présentement
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Pourrait-on ressusciter cet ancien cheval de l’ère glaciaire ?

 

Les scientifiques disent que ce plan pour ramener une espèce de cheval de race glaciaire éteinte constitue un plan extrême

 

Un poulain momifié qui a vécu entre 30 000 et 40 000 ans est superbement préservé, mais un ADN intact peut encore être insaisissable.

Crédit: Michil Yakovlev / Le temps sibérien

Une équipe de chercheurs annonçait il y a quelques jours la découverte, dans le permafrost de Sibérie, d’un poulain incroyablement bien conservé vieux d’au moins 40 000 ans.

Des chercheurs tentent aujourd’hui de ressusciter cet ancien cheval de l’ère glaciaire. Une entreprise très, très compliquée.

Il y a quelques semaines, une équipe de l’Université Fédérale du Nord-est (Russie) et de l’Université Kindai (Japon) tombait sur un poulain remarquablement bien conservé. L’animal avait gardé ses poils, sa queue, sa crinière et ses organes internes, et était gelé depuis 40 000 ans dans le permafrost du cratère de Batagaï, en Sibérie. L’espèce est aujourd’hui éteinte, mais certains comptent bien la ressusciter en clonant cet ancien poulain. Ces mêmes chercheurs travaillent actuellement au clonage d’un mammouth laineux. Cloner un cheval – ce qui semble plus simple sur le papier – pourrait alors permettre aux généticiens de se familiariser avec les techniques de clonage.

Pour ce faire, les chercheurs n’ont d’autre choix que d’extraire des cellules vivantes du cheval préservé

« Si nous ne trouvons qu’une cellule vivante, nous pouvons cloner cet ancien cheval », explique Woo-Suk Hwang, de la Sooam Biotech Research Foundation, spécialisée dans le clonage de chiens. « Nous pourrions ensuite la multiplier et obtenir autant d’embryons que nécessaire ».

 Rappelons que ce même chercheur fut condamné en 2006 pour falsification de données, puis en 2009 pour violations bioéthiques et détournement de fonds.

L’idée serait ici de récolter l’ovule d’une jument moderne afin de fabriquer artificiellement un embryon cloné de l’ancien poulain. Celui-ci serait alors placé dans une mère porteuse qui pourrait éventuellement donner naissance à un petit animal dont l’espèce est en veille depuis plusieurs milliers d’années. Si l’équipe semble confiante, l’entreprise paraît en revanche très compliquée. Les chances de trouver un noyau entier avec un génome intact, ou même une cellule congelée pouvant être récupérée, sont en effet très (très) minces.

Source

https://sciencepost.fr/

Les gens en colère verraient réellement plus de rouge dans leur environnement


La couleur rouge représente symboliquement l’agressivité, la colère, mais aussi le danger et l’interdiction. Il semblerait que les personnes ayant une tendance cholérique voient plus facilement le rouge dans l’environnement tout en préférant cette couleur.
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Les gens en colère verraient réellement plus de rouge dans leur environnement

 

par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

” Il voit rouge !” est une expression courante pour exprimer la colère d’une personne. Et si cette expression avait un fond de vérité ? Des chercheurs américains l’affirment : les personnes plus agressives ont tendance à davantage préférer le rouge que les individus considérés comme plus zen.

Une dimension psychologique

Les couleurs de l’arc-en-ciel représentent une certaine diversité, et lorsque l’on demande à une personne sa couleur préférée, difficile de deviner sa réponse. Et si les personnes colériques et agressives préféraient le rouge ?

Si l’on associe le noir aux ténèbres ou à la mort, de nombreuses cultures humaines estiment que le rouge est la couleur de l’agressivité, de la colère. Le rouge est surtout la couleur du sang qui lorsque l’on est très en colère, s’accumule au niveau de notre tête. Il symbolise également l’interdit, la signalétique de la route le prouvant avec les stops, les feux rouges et autres restrictions.

Une étude pour creuser la question

L’équipe menée par Adam Fetterman de l’Université du Dakota du Nord (États-Unis) avait en 2014 tenté de définir une certaine psychologie concernant les goûts pour les couleurs. Dans leur publication du Journal of Personality, les chercheurs détaillent plusieurs expériences menées sur 376 étudiants. La première étape consistait à demander leur couleur préférée puis leur faire passer un test de personnalité. Or, les étudiants jugés plus agressifs avaient davantage tendance à préférer le rouge.

Le second test invitait les volontaires à observer une image où du rouge et du bleu délavés étaient entremêlés – sans qu’aucune des deux couleurs ne domine l’autre. Les chercheurs ont tout de même demandé aux participants laquelle des deux couleurs dominait. Ils ont observé que les personnes ayant choisi le rouge avaient globalement une personnalité 25 % plus hostile que les autres.

Une dernière étape mettait en relief plusieurs scénarios, dans lesquels il était nécessaire de faire face à un danger. Mais les participants avaient aussi une solution pour s’en sortir. Les chercheurs ont observé que les volontaires choisissant de se défendre plutôt que de fuir avaient tendance à préférer la couleur rouge.

Comment expliquer ce phénomène ?

Les chercheurs américains ont tenté d’expliquer le résultat de leur étude en indiquant que les pensées agressives étaient implicitement associées à la couleur rouge. Or, il se pourrait que les personnes ressentant de l’hostilité envers ce qui se trouve autour d’eux soient plus à même de percevoir la couleur rouge que les autres ! Autrement dit, l’hostilité, l’agressivité et la colère feraient réellement voir la vie en rouge.

Les meneurs de l’étude ont également leur théorie sur l’origine de cette particularité. Il se pourrait bien que la symbolique liée à la couleur rouge – si présente dans certains esprits – ait pris source au temps de l’humain chasseur-cueilleur. En effet, celui-ci avait du apprendre à se méfier de de la présence de sang, de plantes, fruits, insectes ou d’animaux dangereux pouvant causer des blessures mortelles.

Sources : Futura SciencesImprobable Research

https://sciencepost.fr/

Ces scientifiques ont découvert un lézard capable de respirer sous l’eau


Les scientifiques croyaient qu’une espèce de lézard vivant au Costa Rica est un as de l’apnée, mais en réalité, c’est plus que cela. C’est une petite bulle d’air qui gonfle et dégonfle suivant la respiration.
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Ces scien­ti­fiques ont décou­vert un lézard capable de respi­rer sous l’eau

 

Crédits : Smith­so­nian Chan­nel

par  Ulyces

 

L’an­née touche à sa fin, mais pas les décou­vertes scien­ti­fiques incroyables.

La dernière en date, du côté du règne animal, est expo­sée dans un nouveau docu­men­taire inti­tulé Laws of the Lizard, diffusé par le Smith­so­nian Chan­nel. Elle concerne la décou­verte d’un lézard capable de respi­rer sous l’eau, Anolis oxylo­phus. Pas une sala­mandre ou un triton, un vrai petit reptile taillé pour vivre sur la terre ferme.

Obser­vés au Costa Rica par les biolo­gistes et docu­men­ta­ristes Neil Losin et Nate Dappen, ces petits lézards ne sont pas simple­ment bons en apnée comme le pensaient jusqu’ici les scien­ti­fiques – on savait déjà qu’ils pouvaient dispa­raître jusqu’à 15 minutes sous l’eau sans repa­raître. La vérité est beau­coup plus incroyable.

Sur leurs images, on peut voir la créa­ture rester posé­ment au fond de l’eau, avec sur le front une bulle d’air qui se gonfle et se dégonfle au rythme de ses respi­ra­tions… Vous vous rappe­lez du sort de Têten­bulle utilisé par Cedric Diggory et Fleur Dela­cour pour respi­rer sous l’eau dans Harry Potter et la Coupe de feu ? Bah ça fait le même effet.

Le truc, c’est que c’était la toute première fois que les scien­ti­fiques étaient témoins d’un tel compor­te­ment de la part du reptile. À l’heure qu’il est, ils sont donc parfai­te­ment inca­pables de l’ex­pliquer et il leur faudra étudier plus avant la petite créa­ture pour comprendre comment elle réus­sit cet incroyable tour de magie biolo­gique.

https://www.ulyces.co/